samedi 1er octobre 2011 - par Ceri

Pédophilie : l’ambiance est à la tolérance

Faisons le point sur l’ambiance du moment, si tolérante envers les pédophiles, contrairement à ce qui est clamé haut et fort. Parce que oui, aujourd’hui les pédophiles sont très à l’aise. Ils ont leurs forums, leur journée internationale, des « scientifiques » qui les défendent… On n’est pas encore revenus à leur grande période revendicative des années 70, mais on en prend le chemin.

Contrairement à ce qu’on croit, les pédophiles ne sont pas honteux, au contraire ils revendiquent. Ils ont même crée une journée pour cela, qui s’appelle International Love Boy Day[1] pour ceux qui préfèrent les petits garçons, et Alice Day pour ceux qui préfèrent les petites filles.

Crée en 1998 pour rendre « honneur et reconnaissance » aux « amoureux des garçons qui, dans leur quête d’amour et d’acceptation qu’ils ne pourront trouver nulle part ailleurs, choisissent de défier les règles artificielles et malicieuses qui interdisent un tel amour », nous dit-on. On reconnaît là la phraséologie classique des pédos, qui n’aiment rien tant que de se faire passer pour des victimes du système.

Ils ont même leur logos, leurs slogans etc. Une vraie stratégie de communication…

Leur jour, c’est « le premier samedi après le solstice d’été dans les hémisphères nord et sud  ». Un peu ésotérique, mais passons. La « prochaine célébration » aura donc lieu le 24 décembre 2011.

 

Forums ultra sécurisés

Ils ont aussi de nombreux forums, francophones ou anglophones, sur lesquels ils se rassurent mutuellement de leurs penchants, sans jamais aucune considération pour les enfants, qui sont vus comme des adultes dans un corps d’enfant. La notion de mineur n’a pour eux aucun sens, en fait.

Sur ces forums, les modérateurs sont très stricts et effacent les messages appelant à commettre des actes sexuels sur les enfants, ou donnant des liens pour télécharger des images d’abus sexuels sur les enfants.

Mais il existe d’autres forums, où l’accès est très restreint : il faut envoyer un mail au modérateur, pour lui dire comment on vit sa pédophilie. Il y a même une case à remplir dans l’un d’eux, pour préciser à quel âge les petites filles les attirent le plus !

Depuis quelques mois, l’un d’eux a mis en place, par exemple, un système d’hébergement sécurisé pour les sites et forums pédos. Ca s’appelle le web bleu et ça a été créé spécialement pour les pédos francophones.

 Sur la page d’accueil, on peut lire ceci : « WebBLeu veut agir pour servir et pour améliorer la situation individuelle et collective des pédophiles et des pédérastes là où ils vivent mais en commençant par le Québec et les francophones. WebBLeu veut aussi favoriser une connaissance et une compréhension plus objectives de la pédophilie et de la pédérastie afin que les personnes pédophiles et pédérastes puissent participer à l'amélioration de leur société comme n'importe quel autre citoyen respectueux des Chartes (Constitution) et des Lois du pays ».

« Les principaux objectifs et leviers de la stratégie militante de WebBLeu sont : l'ouverture, le dialogue et la coopération avec les personnes non-pédophiles ni pédérastes ; l'information, l'éducation et le débat au sujet de la pédophilie et de la pédérastie ; la maitrise des outils informatiques de communication, d'information et de prise de parole (débat) ; les services de communication, d'information, de référence, de support et d'entraide aux pédophiles et aux pédérastes ; la solidarité des BL et des GL dans le respect de leurs différences personnelles, sociales et organisationnelles ; une perspective et une vision humaniste, éthique, historique, interculturelle et internationale ».

 predators_paedophiles_parishpriests_5473_l

On aura compris qu’Hadopi est déjà complètement dépassé pour les pédos qui étaient censés en être la cible. Enfin, on le savait déjà avant, avec la confession d’un informaticien pédophile qui a expliqué comment la sécurité avait été améliorée par les mafias qui gèrent les serveurs sur lesquels les pédos s’échangent des images et des adresses.

D’ailleurs, certains estiment déjà que les lois Hadopi ont au contraire favorisé le développement de la pédophilie sur le web. Le bouquin « Confessions d’un pédophile, l’impossible filtrage du web  » ne dit pas autre chose. Car il faut comprendre une chose : le marché de la pédopornographie est considérable, et peut rapporter énormément d’argent. Du coup, certains ont investi de gros moyens dans les serveurs qui hébergent ces trafics, et plus les lois style Hadopi destinées à filtrer Internet seront restrictives, plus ce marché sera juteux.

Dans le livre que je viens de citer, le pédophile qui témoigne explique : « J’ai en ma possession les statistiques de consultation de l’année 2001 d’un site web qui contenait des photos d’enfants et d’ado­lescents nus. Durant le mois de juin, ce site a reçu 6,5 millions de visiteurs uniques par jour. L’outil utilisé à l’époque ne permet pas de le calculer avec précision, mais selon mes estimations, et compte tenu du très grand nombre de visiteurs récurrents, ce site a accueilli plus de 15 millions de visiteurs par mois durant l’année 2001 ». Et ce n’était qu’en 2001. Il faut aussi savoir que les pédophiles fonctionnent beaucoup par spams, et reçoivent les portails où ils peuvent aller en toute sécurité pour choisir et payer des contenus pédophiles. Les spams, eux, sont envoyés via des ordinateurs infectés par des trojan.

Depuis 2001, nombre de solutions ont été trouvées en matière de sécurité. L’utilisation de proxys est devenue le B-A BA du pédo sur Internet, et les systèmes de paiement qu’ils utilisent empêchent toute traçabilité. Ils sont donc très bien organisés, et pour cause : beaucoup d’argent est en jeu.

Les défenseurs et autres appuis des pédos

  1. 1. Propagande scientifique

Mais surtout, nous avons à faire à une propagande dite « scientifique », qui consiste à dire que les enfants se sentent tellement épanouis grâce à la sexualité avec les adultes. Evidemment, ils y vont par petites touches. Mais en filigrane, le message est bien celui-là.

Ainsi, on a eu droit le 17 août, grâce à B4U-ACT, une association US destinée à amener une collaboration entre professionnels de la santé et pédophiles, à une conférence au cours de laquelle des scientifiques (psychiatres et sexologues) et psychologues se sont demandé si la pédophilie avait sa place dans la liste des maladies mentales[2]. Bref, il s’agit ni plus ni moins que d’une action de lobbying qui a eu beaucoup de succès auprès des pédophiles, si l’on en juge par leur enthousiasmes sur les forums.

Dans la même mouvance, un certain Bauserman a rédigé en 1998 un rapport sur les abus sexuels sur les enfants[3], rapport qui sert encore aujourd’hui de base d’argumentation à moult pédophiles. Car, l’auteur considère que les rapports sexuels avec les enfants ne sont pas systématiquement nocifs pour le mineur, surtout, dit-il, s’il s’agit d’un garçon. Ce qui, dans leur logique, excuserait de passer à l’acte avec des garçons, évidemment. D’aucuns ont considéré que ce rapport n’était qu’un « article militant qui utilise la science de façon inappropriée pour essayer de légitimer ses vues ».

Un des grands enjeux pour la propagande pédophile dans le domaine « scientifique » est de minimiser les conséquences de ces actes sur les enfants. Pour eux, l’enfant n’a pas obligatoirement de problèmes à la suite d’un viol, et quand il y en a ils ne sont pas forcément graves. Mais, d’autres études ne cherchent qu’à montrer que les gosses ont une sexualité, ce qui permet aux pédos de dire qu’ils sont prêts à les aider à la développer.

Mais on ne peut pas terminer ce volet sur la propagande « scientifique » sans parler du SAP, ou « syndrome d’aliénation parentale  », un machin inventé dans les années 80 par un ardent défenseur des pédophiles sans aucun fondement scientifique. Qui permet cependant à la justice de déclarer qu’un enfant qui évoque des abus sexuels de la part de son père est forcément manipulé par sa mère.

Ce truc est décrit en 1986 par Richard Gardner, comme étant un désordre psychologique chez l’enfant quand un parent (presque toujours la mère) opère sur lui un lavage de cerveau contre l’autre parent. Pour élaborer cette théorie, Gardner a observé 700 cas de divorces « hautement conflictuels » durant 12 ans, ce qui l’a amené à conclure que le SAP était présent dans de nombreux cas (90% disait-il[4] d’abord, avant de parler de 40%).

D’aucuns estiment que cette thèse ne se base sur aucun fondement scientifique, ce qui n’a pas empêché Gardner de publier moult bouquins sur le sujet à compte d’auteur (sans jamais être publié dans une revue avec un comité de lecture). Aujourd’hui, même la Cour Européenne des Droits de l’Homme se base sur cette théorie pour confier un enfant à l’un de ses parents[5]. Même si évidemment, certains parents manipulent leurs enfants dans un but ou dans un autre, Gardner va très loin en affirmant qu’un enfant qui dénonce des abus sexuels dans le cadre d’une séparation ment la plupart du temps. Ou 40% du temps.

Ledit Gardner a également milité pour supprimer l’obligation de signaler les agressions sexuelles sur les mineurs, ou pour supprimerbaby_that_need_protection_from_anglo_paedophiles_LM40wYdjyR7m la protection des professionnels qui signalent ces cas. Il a dit lui aussi que les enfants ne souffrent pas des abus, et même qu’ils entraîneraient une sexualité exacerbée des enfants, ce qui est très bien puisque cela favorise la procréation quand ils seront adultes, tout cela comme le voudrait Dieu, soi-disant. Pour ce type, on baigne dans un « climat d’hystérie » en matière d’agressions sexuelles sur les enfants.

Parmi ses disciples, Ralph Underwager, autre ardent défenseur des pédophiles, qui a déclaré à un journaliste hollandais que « Les pédophiles doivent acquérir une attitude plus positive ; ils doivent revendiquer la pédophilie comme mode d’expression acceptable de la volonté divine d’amour et d’unité entre tous les êtres humains », et qui considérait qu’il fallait limiter les pouvoirs de la protection de l’enfance. Ou encore Hubert Van Gijseghem, psychologue et expert auprès des tribunaux qui a introduit le SAP en Belgique, en Suisse et en France via des conférences et autres formations auprès des magistrats aussi bien que des professionnels de l’enfance. Pour lui, le SAP doit être intégré dans le DSM, la liste des maladies mentales, et c’est également un adepte du phénomène des « faux souvenirs ». Car, un autre créneau de Gardner et de ses adeptes est le phénomène des « fausses allégations », encore une fois appliquées au cadre précis des abus sexuels.

On a pu lire dans le Figaro un point de vue critique sur le SAP : « Pour Me Catherine Perelmutter, auteur de l'article « On achève bien les enfants », paru dans La Gazette du palais en mars 2010, le SAP est une théorie dangereuse. « L'instrumentalisation existe bien entendu, mais dans une minorité de cas, souligne-t-elle. Or les théoriciens de ce syndrome - qui est présenté comme un phénomène prouvé, alors qu'il ne fait pas partie de la classification internationale des maladies mentales - le brandissent systématiquement, faussant totalement l'appréciation des différents cas de conflit. » 

Selon cette spécialiste, on aurait trouvé là une « terminologie séduisante et commode » pour « expliquer simplement des problèmes complexes aux juges saturés par les conflits intrafamiliaux ». Une solution pragmatique « clé en main », mais aussi une arme idéologique qui viserait à « discréditer la mère et réhabiliter le père » pour obtenir, par exemple, la garde exclusive ou alternée. L'avocat met en garde : « Après les “fausses allégations”, on a trouvé le “syndrome d'aliénation parentale”, dit-elle. Les modes se succèdent, mais la victime reste : l'enfant. Avec une nouvelle fois le mépris de sa parole. Ce qui conduit inévitablement à de nombreux dénis de justice. » Car en effet, comme toujours dans les débats amenés par les pédophiles, la parole de l’enfant est complètement ignorée, de même que sa sensibilité. Logique : pour eux les enfants ne sont que des objets sexuels, même quand la pédophilie se pare de beaux atours rhétoriques et circonvolutions aussi mielleuses que malsaines.

 

  1. 22. Propagande médiatique

Sur le plan politique, il existait jusqu’à récemment un parti pédophile aux Pays Bas, où un parti pédophile et zoophile a été autorisé en 2006. Dénommé « Parti de la Charité, de la Liberté et de la Diversité » (PNVD), il a été créé par les membres d’une association pédophile appelée Martijn[6], dont le fondateur a été arrêté en 2011 pour avoir stocké du matériel pédopornographique. Du coup, l’association a enfin fini par s’auto dissoudre. La justice n’a pourtant jamais pu la rendre illégale, semble-t-il.

Une des revendications de ce parti était d’abaisser la majorité sexuelle à 12 ans, pour que les enfants puissent avoir des rapports sexuels avec des adultes, tourner dans des films porno, tandis qu’ils pourraient se prostituer dès 16 ans. Le PNVD demandait aussi que des films pornographiques soient diffusés à la télé l’après-midi. Tout cela au nom de la liberté individuelle, peut-être parlent-ils de la liberté des enfants de se faire sodomiser à longueur de journée par des pervers ?

En matière de lobbying, par contre, il y a plus de monde. L’association pédophile la plus puissante est la North American Man/Boy Love Association, créée à la fin des années 70 aux Etats Unis. Si l’association elle-même n’a jamais été poursuivie en justice, certains de ses membres l’ont été, pour des faits de pédophilie ou détention d’images. C’est la NAMBLA qui a inspiré le jour de la fierté pédophile, l’International Love Boy Day.

Au niveau international, il y a l’International Pedophile and Child Emancipation (IPCE), qui chapeaute plusieurs associations à travers le monde.

 

  1. 3. Propagande judiciaire

Sur le plan judiciaire, les pédophiles tentent de revenir sur les notions de mineur et de majorité sexuelle, qui impliquent celle du consentement. En droit, un mineur ne peut être consentant puisqu’on considère qu’un mineur est directement influencé par son environnement immédiat. En gros, même si un mineur « accepte » un rapport sexuel, on considère que c’est impossible. Ce qui est logique : un enfant ne sait pas ce que c’est, et ne peut accepter en connaissance de cause, et s’il le fait c’est parce qu’il vient d’un milieu dans lequel on ne l’a pas protégé. Cependant, les pédophiles sont largement aidés dans cette manœuvre par sarko et son gouvernement qui n’ont de cesse de nier la notion de mineur en voulant les rendre pénalement responsables de plus en plus jeunes. Au passage, il est intéressant de noter qu’au Vatican, la majorité sexuelle est une des plus basses du monde, fixée à 12 ans. 

Enfin, bref, les attaques contre la majorité sexuelle ont justement été l’objet de pétitions dans les années 70, publiées dans Libération et d’autres journaux. Ainsi, en 1977 sort une pétition demandant au Parlement d’abroger différents articles de la loi sur la majorité sexuelle, ainsi que la dépénalisation de toute relation sexuelle entre un adulte et un mineur de moins de 15 ans. Des personnes en vue de ce qu’on appelait l’intelligentsia telles que Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir, Michel Foucault, Guy Hocquenghem, Jacques Derrida, André Glucksman, Roland Barthe, Alain Robbe Grillet, Françoise Dolto ou Philippe Sollers l’ont signée.

La même année, une lettre ouverte est publiée dans le Monde, pour demander la clémence envers trois pédophiles[7] qui ont abusé de mineurs et se sont amusés à prendre leurs prouesses en photos. Les auteurs de cette lettre ouverte évoquaient « une simple affaire de ‘mœurs’ où les enfants n’ont pas été victimes de la moindre violence », avant de conclure que « trois ans de prison pour des baisers et des caresses, cela suffit ». Parmi les signataires, Louis Aragon, Francis Ponge, Roland Barthes, Simone de Beauvoir, docteur Michel Bon, Patrice Chéreau, Gilles et Fanny Deleuze, Bernard Dort, Jean-Pierre Faye, André Glucksmann, Guy Hocquenghem, Bernard Kouchner, Françoise Laborie, Jack Lang, Georges Lapassade, Gabriel Matzneff, Catherine Millet, Jean-Paul Sartre, René Schérer, Philippe Sollers. A la suite de cette lettre ouverte, des lecteurs de Libération ont crée le Front de Libération des Pédophiles (FLIP),

Mais, on atteint le sommet en 1979, quand Jacques Dugué publie une tribune dans Libération[8], sur une page entière, deux jours de suite. Le journal est d’ailleurs très conciliant avec lui, qui évolue « dans l’univers des couples échangistes qui se passent des photos d’enfants », a des « thèses sur la pédophilie » et défend la sodomie sur les enfants. Accessoirement, cet éducateur sportif était poursuivi pour avoir livré des enfants à la prostitution et abusé d’eux[9].

Pour lui, les lois de protection des enfants « vont contre leurs désirs » et font souffrir les adultes. Il écrit ainsi « tous les garçons que j’ai connus m’ont aimé. Ils ont toujours aimé et voulu, tout ce que nous avons fait ». Il évoque ensuite des gens qu’il connait, comme ces « couples avec des enfants, qui sont comme moi, et qui vivent très heureux et amis, parce que justement chez eux, le sexe n’est pas tabou, mais au contraire une belle et saine chose », ou « ce couple » dont le mari « faisait l’amour avec sa femme, mais aussi avec les garçons et surtout avec celui de 11 ans, et pas en catimini, dans le lit conjugal » en précisant que gamin avait droit d’être sodomisé, et qu’il « demandait de lui-même la sodomisation et y prenait un réel plaisir, qui était physique mais aussi affectif ». Ledit Dugué a été à nouveau condamné –à 30 ans de prison- par la Cour d’Assises de Chambéry en 2002, pour avoir abusé de jeunes garçons et trafiqué des images pédo pornos, enfants dont il avait déjà abusé du père quand il était enfant. D’après l’AFP, « Jacques Dugué avait déjà été condamné trois fois pour des atteintes aux mœurs concernant des mineurs en 1981, 1983. Et la dernière fois, en 1990, il avait été condamné à 8 ans de prison ».

Je parlais d’une sorte d’atmosphère pédophile dans les années 70, mais parfois on sent quelques relents aujourd’hui, dans certains Sexual_Abusediscours, formations ou conférences. Il existe des associations qui répandent la bonne parole au sujet du SAP, le « syndrome d’aliénation parentale », auprès des professionnels de l’enfance qui se rendent à leurs stages etc. Moult intervenants y participent, comme des psychiatres, des médecins, des juges… Il y a même une journée pour ça aussi, le 25 avril paraît-il.

Et moult associations qui pensent probablement se battre pour une bonne cause, mais hélas sans beaucoup de discernement. Ainsi, l’ACALPA (association contre l’aliénation parentale), qui « travaille en partenariat avec tous les intervenants institutionnels, privés ou associatifs concernés par la protection des enfants lors des divorces et des séparations, pour proposer : une plate-forme d’information, un espace d’accueil pour les familles, une passerelle d’échange pour les professionnels ». Une autre association dans le Var, Anthea, organise des formations pour les professionnels de l’enfance, les magistrats ou les avocats, notamment sur l’aliénation parentale. On a aussi une obscure « association de défense des thérapeutes et citoyens victimes de fausses allégations d’abus sexuels »

Des psys on aussi fait leur fonds de commerce avec le SAP[10], et sont parfois experts auprès des tribunaux, où ils « diagnostiquent » des « syndromes d’aliénation parentale » par-ci par-là…

Même si le SAP existe, ce qui n’est pas certain[11], il semble, au regard de certaines affaires, judiciaires servir de prétexte pour retirer les enfants à un parent dès que celui-ci dénonce des faits de viol, et particulièrement si l’enfant évoque des viols en réunion, filmés, voir des meurtres d’enfants.

Bref, si le SAP existe, il doit être manié avec modération. Or, le lobbying mené par certaines associations auprès des professionnels de l’enfance ou de la Justice ne semble pas vraiment emprunt de nuances.

On observe que le même microcosme a tendance à s’exciter sur les « fausses allégations », comme ce Bensussan, qui a contribué à un documentaire d’Anthea destiné aux professionnels de l’enfance et intitulé : « Fausses allégations d’abus sexuels : une autre forme de maltraitance ». Le point commun à toutes ces théories est de relativiser et même pourquoi pas, aller jusqu’à nier la parole des enfants[12], qui ne semblent mentir ou être manipulés que dans moins de 6% des cas.

Je ne vais pas m’étaler sur le « syndrome des fausses allégations », qui a d’abord été fondé sur des raisonnements des plus scabreux, et a été véhiculé par les militants pour le droit des pères US. Quoi qu’il en soit, nombre d’avocats défendant des pédophiles n’hésitent pas à recourir à cet argument massue…

L’association SOS papas conseille carrément ses membres sur les démarches à suivre afin d’accuser leur ex de fausses allégations ou d’aliénation parentale. Le problème, c’est que l’association ne cherche pas à savoir si les allégations sont vraies ou pas : pour elle, tous ses membres sont innocents et doivent récupérer la garde de leurs enfants.

Dans la panoplie, on a aussi le « syndrome des faux souvenirs », particulièrement adaptés aux cas d’abus sexuels sur les enfants, alors que la plupart des victimes ont plutôt tendance à « oublier » lesdits souvenirs[13].Encore une fois, la théorie des « faux souvenirs » est née dans les années 80 aux Etats Unis, et la false memory syndrome foundation a même été créée en 1992 notamment par Ralph Underwager, ce pédophile dont on a déjà parlé, et qui a longtemps fait partie du « comité scientifique » de la fondation… C’est d’ailleurs lui qui a lancé la mode de la « false memory ».

En France, on a eu dès 2005 l’association « alerte faux souvenirs induits  », qui considère que, comme les victimes ne se rappelaient pas des viols dans leur enfance, ils mentant quand ils les dénoncent à l’âge adulte, et c’est qualifié de « dérives psychosectaires ». Doit-on encore rappeler que l’esprit humain a cette capacité à occulter les souvenirs douloureux ? Bref, avec les « faux souvenirs » également, le lobbying a pour but de faire inscrire ce « syndrome » dans la liste des maladies mentales de l’American psychiatric association, qui en débat encore malgré sa propension à ajouter n’importe quel syndrome dedans, pourvu que ça fasse vendre des médicaments.

Enfin voilà, quel hasard que les théories en vogue qui dédouanent les pires pédophiles soient justement l’invention des pédophiles.

 

----------------------

Pour conclure, il faut arrêter de se voiler la face. Pendant qu’on pense à autre chose, les pédos gagnent du terrain, on vient de voir comment.

Pour contrer cette dérive qui mènera immanquablement à blanchir des tarés et à nier le statut de victimes de nombre de gamins, il faut se poser des questions, mener des études sérieuses sur le sujet, et arrêter de croire que la psychologie humaine rentre dans des cases ou se résume à des schémas aussi simplistes. Surtout, oserais-je dire, quand on à affaire à des pédophiles, qui sont d’excellents manipulateurs quand ils dépassent 3 de QI.

Il faut voir les choses au cas par cas, et cesser d’imposer des théories pseudo scientifiques dans des procès où la vie de gamins est en jeu.

 


[1] Je ne mets pas le lien de leur site pour ne pas mâcher le travail à d’éventuels pédos.

[2] Il s‘agit de la liste (qui s’allonge tous les quatre ans) des maladies mentales dite DSM (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders) établie par l’American Psychiatric Association, et qui fait référence pour les psychiatres du monde entier. Fort critiquable car elle cède aux laboratoires en ajoutant régulièrement des maladies qui n’en sont pas, elle a quand même raison d’y mettre la pédophilie.

[3] A meta-analytic examination of assumed properties of childsexual abuse using college samples. (Méta-analyse des conséquences de l'abus sexuel sur enfants, à partir de cas non cliniques, par Bruce Rind, Philip Tromovitch et Robert Bauserman, dans la revue Psychological Bulletin.

[4] Sans étayer cette affirmation par des données scientifiques, cf. Carol S. Bruch, "Les concepts de syndrome d’aliénation parentale (SAP) et d’enfants aliénés (EA) : sources d’erreur dans les conflits de garde d’enfants."

[5] Arrêt Elsholz du 13 juillet 2000.

[6] Qui avait clairement pour but de promouvoir la pédophilie, y compris en menant un lobbying auprès des politiques.

[7] Bernard Dejager, Jean-Claude Gallien et Jean Burckardt, accusés d’attentats à la pudeur sans violence sur mineurs de moins de 15 ans, qui avaient déjà passé 3 ans en détention préventive en attendant les Assises, où ils risquaient 5 à 10 ans de réclusion criminelle.

[8] Un journal qui semble encore prompt à défendre les pédophiles et la pédophilie, jusqu’à l’affaire Cohn Bendit plus récemment.

[9] En 1978, Dugué aurait été inculpé pour avoir prostitué 17 enfants et alimenté des magazines pédos en photos. On a retrouvé celles-ci dans de nombreux magazines du genre aux Pays Bas notamment. L’accusation de proxénétisme est tombée lors du procès, on n’a retenu que des attentats à la pudeur. Des gens comme Matznef ou Schérer sont venus témoigner en sa faveur.

[10] Comme un certain Bensussan, psychiatre de son état (et pas pédopsychiatre), qui fait le tour de France avec ses conférences sur l’aliénation parentale et est aussi « expert national »

[11] D’ailleurs le concept est des plus mouvants, et chacun peut y aller de sa petite définition pour se différencier des délires de Gardner.

[12] A ce sujet, des études ont été réalisées aux Etats Unis et au Canada notamment, pour évaluer l’ampleur des mensonges des enfants dans les cas de divorce, ou quand ils dénoncent des abus. Au final, les mensonges restent très marginaux. En France, on n’étudie pas cela, ce qui n’empêche pas la croyance populaire d’estimer qu’environ la moitié des enfants mentent dans ces cas-là. On parle de 1 à 9% de faux signalements (mais 9% est un chiffre extrême) dans le cas d’enfants victimes violences sexuelles avec des parents séparés. Une étude Française portant sur 10.000 dossiers a compté deux fausses allégations pour 1.000 cas, soit 0,2%, alors que « En revanche, la pression qu'un parent exerce sur un enfant pour qu'il ne révèle pas l'existence d'authentiques agressions sexuelles reste fréquente ». Certaines études mentionnent aussi que les pères ont largement plus tendance à mentir que les mères (21,3% de fausses allégations des pères contre 1,3% chez les mères). Apparemment, le chiffre avancé de 50% de fausses allégations a été véhiculé par les associations de pères aux Etats Unis dans les années 80.

[13] D’après une étude US, 38% des femmes victimes ne se rappelaient pas du viol 17 ans plus tôt.



232 réactions


    • hommelibre hommelibre 4 octobre 2011 00:49

      Ne vous en faites pas, j’ai toutes les copies des calomnies de Morice. Je n’ai pas besoin de les coller partout, ni les vôtres. Méthode infantile. Non il y a mieux à faire. Et vous ne le verrez pas venir.

      Quand aux propos sur l’inceste entre adultes consentants, veuillez aller dire cela à Madame Maria Roth Bernasconi, si vous en avez le courage. Elle vit à Genève et est politicienne féministe socialiste.

      Comme vous le savez très bien mais ne le dites pas, c’est de sa proposition que je parle. Et juridiquement, à l’ère où le consentement est une valeur juridique dominante, elle a juridiquement raison. C’était l’objet de mon billet. Après il peut y avoir un débat anthropologique, qui existe d’ailleurs chez les anthropologues, ou un débat sur les valeurs. Mais cela je le fais avec des gens qui pensent, pas des violeuses perverses.

      Bon, allez dire à cette dame qu’elle défend des immondices.

      Vous n’en aurez pas le courage. Vous préférez vous cacher derrière votre pseudo pour calomnier et salir, Susy Miniz. Violeuse perverse.

      Quand à Amaroli, informez-vous avant de dire des conneries...

      Allez, cette fois je vous laisse, on m’attend.


    • gébé gébé 4 octobre 2011 00:54

      ouh là là !Ca devient tendu, là..

      Allez Lorelei, en parlant d’inceste, une ’tite histoire pour vous faire rire :

      Le frère et la soeur sont couchés dans le même lit.

      Elle lui dit :

      - tu sais, tu fais bien mieux l’amour que papa.

      et il répond :

      - je sais. Maman dit la même chose...

       smiley

      Ah... ça vous fait pas rire du tout... ! Désolé...  smiley


    • Lorelei Lorelei 4 octobre 2011 01:12

      lol lol lol il suffit de lire vos propos et si déjà mettre mon nom entier susy lorelei minz...et vous pouvez rajouter mes origines kabyle et franco allemande avec un grand père résistant un vrai héros comme quoi.....

      autrement vos propos parlent pour vous ainsi que votre blabla sur votre famille ça aussi il faut le faire...sans rire à votre âge c’est trop drôle

      en dehors de ça il suffit de lire vos commentaires insultant sur agora et médiapart quiconque ne laisse pas avoir par votre diatribe nauséeuse...


  • Lorelei Lorelei 3 octobre 2011 23:44

    et je termine en disant que vous n’avez rien compris à Ghandi, c’etait un pacifiste oui mais pas un collabo...


  • babaro babaro 3 octobre 2011 23:56

    Lorelei ou l’art d’inverser les rôles


    • Lorelei Lorelei 4 octobre 2011 00:08

      lol lol lorelei où l’art d’exposer le vomi de certaines personnes au passage je ne fais rien que mettre leurs propos en evidence et c’est si edifiant, entre insulter morice d’etre un violeur et d’autres agoriens d’etre des moins que rien, j’ai pas grand chose à faire il faut avouer, bon en dehors vous aussi vous êtes adeptes de boire vos urines, en même temps vu votre profil...je n’en serais point étonnée....bonne oui j’ose pas l’ecrire lol...mais ça vous ira parfaitement, vous avez l’autre site, faut l’ecrire dites nous ce que vous reprochez à ce site ??,


    • babaro babaro 4 octobre 2011 00:16

      C’est tout simplement un site de délation.


  • babaro babaro 3 octobre 2011 23:58

    Lorelei, vous devriez vous inscrire à Indymédia


    • babaro babaro 4 octobre 2011 00:14

      Pourquoi tant de haine ?


    • Lorelei Lorelei 4 octobre 2011 00:17

      bah je ne savais qu’exposer des propos d’une rare violence à l’encontre des femmes pouvaient vous causer tant de soucis dites moi un type ecrit les mêmes choses sur les juifs ? vous auriez trouvé haineux de le faire savoir ???

      vous avez parlé d’inversion des rôles n’est ce pas ?? lol j’adore cette novlangue....l’inversion des realité où exposer la haine devient avoir de la haine lol...


    • babaro babaro 4 octobre 2011 00:25

      Je suis dur avec vous car vous êtes extrèmement violente, et vous réfugier derrière une image de champion de la lutte contre la pédophilie ne diminuera en rien l’image d’ultra violence de vos propos.

      Habituellement, je ne suis pas querelleur, mais vous forcez tellement le trait que vous amèneriez même le plus sincère des pacifistes à vous insulter.

      Reprenez- vous bon sang, nous ne sommes pas en guerre. Et vos allusions sont clairement intolérables.


    • Lorelei Lorelei 4 octobre 2011 00:30

      Sans rire, vous ecrivez « je suis dure avec vous car vous êtes contre la pédophilie etc... »

      vous devriez vous relire.... ça craint pour vous....


    • Lorelei Lorelei 4 octobre 2011 00:36

      je me sens touchée sérieusement à un point incommensurable par le profond crétinisme de vos propos....bon j’attends la prochaine novlangue si on comprend le pacifisme c’est être sympas avec les criminels et la violence c’est dire clairement sans ambages non aux crimes, ouii ouiii, vous savez que l’inversion de la réalité est la base de toute idéologie totalitaire...


    • babaro babaro 4 octobre 2011 00:40

      Il n’y a plus rien à ajouter. Le cas est sans doute psychiatrique
      Bonne nuit quand même


    • Lorelei Lorelei 4 octobre 2011 00:47

      je vois que tous les serfs et autres oncle tom ont tendance à projetter leurs propres etats et profils... smiley

      allez un peu de courage, faut avoir pas peur je vous assure que pédophile egal prédateurs et hypers criminels...et n’oubliez pas les victimes de ses criminels ne sont pas les méchants dans l’histoire, n’inversez pas la réalité c’est au minimum inappropriée quand ce n’est pas en realité criminel, pensez un instant à la guerre 39-45 et comment on fit des innocents des coupables....


    • hommelibre hommelibre 4 octobre 2011 00:50

      Babaro : en effet. Nous sommes nombreux à penser cela ici.


    • Lorelei Lorelei 4 octobre 2011 01:07

      oh tiens dans son délire il se voit comme une légion....


    • babaro babaro 4 octobre 2011 01:51

      @Lorelei

      j’étais déjà couché mais quelque chose me trottait dans la tête qui m’a poussé à revenir vers vous.

      Pour vous serf, ça veut dire goy ? Et forcément, je ne pourrais pas savoir ce qu’est une victime.

      Cela expliquerait que vous assimiliez les femmes aux juifs dans la victimisation ?


    • babaro babaro 4 octobre 2011 02:03

      Par contre les serfs et oncle Tom, ont apparemment votre mépris (d’ailleurs très courroucé).


    • hommelibre hommelibre 4 octobre 2011 07:07

      Bonne chance Babaro : c’est un mur.

      Et puis, les serfs, les oncles tom, supposés être des opprimés : elle n’a que du mépris, aucune compassion chez elle. Les Indiens qui pratiquent amaroli : des dégénérés qui faisaient des sacrifices humains.

      Sauf qu’elle aurait encore une fois dû s’informer : ce ne sont pas les même indiens...

       smiley

      Lorelei derrière ses grands mots ce n’est que mépris pour les êtres et les peuples. Même les juifs ne sont que des objets pour elle, elle s’en sert pour démontrer autre chose qui n’a rien à voir. Gandhi aussi : elle utilise sans cohérence, comme bon lui semble. C’est le mode de fonctionnement d’un pervers. Il n’est pas cohérent, utilise tout à son seul avantage, et est incapable d’avoir une émotion, de parler d’un ressenti, et de se mettre en question. Par contre, troller, ça elle sait faire. Elle n’apprécie les gens que quand ils l’admirent et lui passent de la pommade, mais est capable de virer à 180° en une phrase.

      Psychiatrique, oui.

      Perverse. Harceleuse dès que vous dite autre chose qu’elle.


    • Lorelei Lorelei 4 octobre 2011 11:34

      ben dis donc vos réponses laisse penser à réel probleme de déficience en neurones...


  • Patrick Guillot Patrick Guillot 4 octobre 2011 15:03

    Article remarquable, oui, mais par sa confusion et son ignorance.

    Oui, il existe bien une partie de la pédophilie qui est occultée et objectivement protégée par la société contemporaine : c’est la pédophilie féminine, et l’inceste maternel, sujets tabous et inconcevables. Très peu d’études là-dessus, un seul livre grand public (L’ultime tabou, d’Anne Poiret), de très rares documentaires (aussi d’Anne Poiret), et l’adulte pédophile qui apparaît sur les spots de prévention est toujours un homme ! Mais curieusement, l’article ne parle pas de cet aspect des choses.

    Pour le reste, s’il existe toujours des pédophiles, non, l’ambiance n’est pas à la tolérance, loin de là ! La société vit à l’heure de l’obsession pédophilique : tout homme en contact avec des enfants en est suspecté, des centaines d’enseignants en ont été accusés à tort et ont vu leur vie détruite (Lisez L’école du soupçon, de Marie-Monique Robin), de jeunes éducateurs ne trouvent plus de travail du fait de la suspicion. C’est l’accusation qui tue, idéale pour les règlements de compte, comme au temps des procès en sorcellerie. Il faut arrêter cette psychose, et non l’entretenir.

    A part ça : oui, le SAP existe bel et bien ; oui, la technique de création de faux souvenirs a été est toujours pratiquée par de nombreux pseudo-thérapeutes ; non, Gardner n’a jamais justifié la pédophilie, ni Van Giesghem (il faut plutôt louer leur courage pour avoir fait face à l’hystérie des fausses accusations)

    Pour votre gouverne, allez voir le site d’un instituteur faussement accusé et emprisonné :
    http://soutien.jean-paul.degache.over-blog.com/


    • Lorelei Lorelei 4 octobre 2011 17:13

      C’est cela mettre 1an de taule pour un pédophile montre à quel point la société est inconsciente et affirmer que les enfants mentent n’est rien d’autre que de la propagande afin de nier la parole des enfants.

      Si la société etait juste on mettrait cette engeance derrière les barreaux à vie.


    • Lorelei Lorelei 4 octobre 2011 17:20

      La pédophilie est un crime et ecrire que l’on est dans l’obsession n’a aucun sens, et faire croire que les gens sont fous car ils refusent un crime contre l’humanité, c’est vraiment de la propagande et une réelle inversion des realités c’est exactement les propos de l’article où on voit des pro pédophiles traiter les autres de fous etc...pour minimiser les actes.

      Et je ne parle du reste des propos délirants hoministes, oui les pédophiles sont à 98 pour cent des hommes et oui ce sont des criminels et personne ne fait homme égal violeur, car faire ça c’est essayer de faire croire qu’être contre les pédophiles c’est être contre les hommes, ce qui est la base immonde de la propagande hoministes...dont le but est de faire croire que les profils criminels concernent toute l’humanité alors qu’il s’agit de tarés de la malade de haineux de prédateurs à mettre en cage, car ils sont pires que les animaux et on se fiche royalement de la couleurs de peaux du sexe des pédophiles en taule à vie voilà ce que veut la majorité qui croit que ses enfants sont le futur de l’humanité...

      votre fond de commerce totalitaire consistant à amalgamer homme et pédophile est dégoutant à l’image de vos propos hoministe mouvance qui je le rappelle est pour la pédophilie et l’inceste


  • emmanuel muller emmanuel muller 9 octobre 2011 12:47

    @ Lorelei

    Je crois que tu es victime d’un des mécanismes qui est décrit des en amont dans les réponses : exaspérer l’autre jusqu’à ce que des dialogue deviennent rebutant et que sa propre expression utilisant les même mots ne soit plus facilement dissociable.
    Les gens normaux se détourne rapidement et ne savent plus trop qui est le pervers dans l’histoire.
    Et puis en tournant avec deux trois interlocuteur on use tout opposant a ce qu’on veut finir par voir écrire.

    Encore une fois les commentaire de cet article sont didactiques. Ils sont définitivement enregistré, et il permettrons tôt au tard l’étude et le démontages des modalités d’actions des mécanismes pervers en générale, et pédophile en particulier.
    Rassure toi, la chose est déjà clairement identifiable, et les points ne servent qu’a rappeler que ceux qui restent a squatter la zone après 300 commentaire sont concerné par le sujet de l’article : la propagande pédophile.


  • André Faivre André Faivre 25 janvier 2012 11:39


    Nous apportons ici notre commentaire en vertu de l’esprit du droit de réponse prévu par la législation française et en nous réclamant de la politique éditoriale d’AgoraVox qui affirme que les articles «  … décrivant des faits faux ou non vérifiables, … à caractère diffamatoire … incitant à la haine … » ne seront pas publiés. Nous nous attendons donc à ce que le texte intégral de notre réplique soit placé en première place, sous l’article de Ceri, et y demeure aussi longtemps que cet article restera en ligne.

    Je réagirai le premier, puis je « passerai la parole » aux deux autres membres fondateurs du conseil d’administration de Les amis de toutes les minorités sexuelles Inc. (LATMS Inc.).

    * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * *

    Je n’essaierai pas d’adopter ici le ton détaché et officiel d’un administrateur et je n’entrerai pas dans le débat au sujet de la pédophilie et de la pédérastie. Sauf pour féliciter la France d’avoir encouragé et conservé un sens du débat d’idées qui manque souvent au Québec.

    Mais ces débats d’idées publics, en France comme au Québec, sont balisés par la Loi qui n’autorise pas la diffamation. Si Ceri est tellement convaincue de la justesse et de la justice de ses opinions, pourquoi s’autorise-t-elle alors, sur AgoraVox, bien planquée derrière son anonymat, à nous diffamer par des accusations sans autre fondement que son imagination ?

    Notre organisation est une corporation légalement constituée (c’est le terme employé au Québec) : le nom, l’adresse et la profession de nos administrateurs sont enregistrés et publiés chez le Registraire des entreprises du Québec. Ils sont donc publics et, de ce fait, notre site-Web est signé.

    Contrairement à ce que l’anonyme Ceri prétend sans citer ses sources, LATMS ne minimise pas l’impact des actes pédophiles sur les enfants, ne relativise pas la notion de mineur et de minorité sexuelle pour abaisser l’âge légal et ne banalise pas les propos à caractère pédophile. En fait, nulle part sur notre site-Web http://lesamis.minoritessexuelles.net/ n’apparaissent de tels objectifs : c’est facile à vérifier, il suffit de visiter et de lire !

    Alors pourquoi inventer, mentir et diffamer lorsqu’on sait que n’importe quel lecteur d’AgoraVox le moindrement curieux ou critique peut aller vérifier et constater par lui même que c’est faux ? Pourquoi risquer ainsi de perdre sa crédibilité ? À quoi lui sert cet article fleuve, si elle le débute par une cascade d’inventions et de faussetés ? Recherche de la vérité, aveuglement volontaire ou campagne idéologique ? Objectivité ou sensationnalisme ? Débat sportif ou vulgaire règlement de comptes ?

    LATMS ne défend aucune minorité sexuelle taboue mais nous défendons leur droit de parole. Nous défendons le débat juste et équitable parce que, à notre avis et sur la base de nos expériences personnelles et professionnelles, « La Chose » est loin d’être entendue. Le tsunami des opinions au sujet des pédophilies et des pédérasties charrie pas mal de préjugés, d’ignorance, de désinformation, de généralisation, de simplification, d’irrationalité, de contradiction et de sophisme… autant que l’opinion publique en charriait au sujet de l’homophilie, il n’y a pas si longtemps.

    S’il fallait « juger » de l’hétérophilie de la même manière que sont « préjugées » la pédophilie et la pédérastie, surtout depuis deux décennies, on ne pourrait faire autrement que de conclure que l’hétérophilie est presque devenue une maladie mentale ou une véritable menace : la quasi-totalité des violeurs de femmes, des violents conjugaux, des batteurs d’enfants et des proxénètes sont des hétérophiles. Les prisons en sont pleines !

    En plus de mentir au sujet de nos objectifs, Ceri pousse la sottise jusqu’à croire et à prêcher que nous facilitons le paiement d’échanges d’images pornographiques à caractère pédophile ou pédéraste ! Qui serait assez stupide pour publier une telle magouille sur un site-Web qu’il signe ? Faire publiquement la promotion et le commerce d’un acte criminel et en alerter sois-même les polices et les banquiers !

    Si Ceri avait voulu démontrer un minimum de rigueur et d’honnêteté intellectuelle, elle aurait pu nous écrire pour vérifier ses perceptions et valider ses interprétations : elle aurait même pu nous téléphoner ! Elle aurait alors appris et pu informer les lecteurs d’AgoraVox que LATMS n’offre ses services d’intermédiaire administratif et logistique que pour des activités légales comme louer une salle ou un serveur, acheter un nom de domaine, faire un don, payer une cotisation, etc.
    .
    D’autre part, nous servons des organisations et non des individus et nous exigeons de ces organisations qu’elles appliquent une politique semblable à celle que notre premier « client », WebBLeu, s’est donnée en copiant la loi canadienne : https://webbleu.net/regles_hebergement.html

    Enfin, notre mission ne s’intéresse pas qu’aux pédophiles et qu’aux pédérastes : homosexuels nous-mêmes, nous avons constaté combien nous pourrions être utiles, voire « humanitaires », auprès des personnes homosexuelles encore taboues en Afrique, dans l’Est de l’Europe et dans les régions du monde où on applique la charia de l’Islam avec sévérité.

    André Faivre,
    Président de LATMS Inc.
    Montréal, 6 janvier 2012

    * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * *

    À la réplique fort vigoureuse et pleinement justifiée demandée par le président de notre groupe à AgoraVox, j’ajouterai un bref commentaire.

    Je considère que Ceri nous fait l’honneur, tout en falsifiant l’information, de nous lier à la voix de tous ceux et celles qui, à travers l’univers, tentent de maintenir un discours démocratique touchant un groupe de personnes condamnées d’avance, indépendamment des gestes qu’elles posent. Une vaste clameur venue de partout voudrait tellement garder ces personnes enfermées dans la prison d’un silence absolu, sans tenir compte des critères de justice et d’équité.

    Auprès de combien d’entre elles Ceri a-t-elle pris le temps de s’asseoir pour les écouter attentivement et sans préjugé ? Si tel n’est pas le cas, elle devrait se taire par respect pour la vérité.
     
    Jacques Beausoleil,
    Administrateur de LATMS Inc.
    Montréal, 9 janvier 2012

    * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * *

    J’ai longtemps hésité avant de m’associer à la fondation des Amis de toutes les minorités sexuelles. Et ce n’était pourtant pas par faute de convictions ! Mais j’avais peur d’être assimilé aux agresseurs d’enfants, confondu avec les violeurs d’innocence. Des amis m’avaient prévenu : « tu vas te faire lyncher ! ». Et je leur répondais que je n’avais pas peur de la vérité, que notre bon droit suffirait, que je vis en France, la république de la Liberté de parole, la terre d’accueil, le pays des droits de l’Homme.

    Non, je n’ai pas peur de la vérité mais de ceux qui sont prêts à tous les mensonges et à toutes les infamies pour arriver à imposer leurs croisades et leur hystérie. Aujourd’hui, cet article de Ceri me confronte au mensonge d’esbroufe, aux demi-vérités malsaines et malignes, aux amalgames sournois et nauséabonds. La vérité (ce que nous faisons réellement : on défend et on outille le droit de parole de ceux qu’on n’écoute jamais, rien d’autre) même publiée sur notre site-Web, ne suffit plus.

    À quoi sert-il de dire la vérité si les fieffés menteurs sont à égalité avec elle ? Ces menteurs peuvent dire tout et n’importe quoi ! Ils peuvent même inventer, sur mesure, quand la vérité ne leur sied pas, quand elle contredit leur propagande. Mentir et répéter, ad nauseam : la technique de Goebbels !

    Drôles d’alliés et surprenantes méthodes pour la si « noble cause » de Ceri. Proclamer et prétendre tout savoir, tout connaître de la réalité... en le démontrant par le mensonge et la diffamation.

    Ceri a bien sur le droit de promouvoir ses opinions mais elle n’a pas le droit de diffamer. Ses propos à notre sujet sont de la diffamation : un délit qu’en plus elle commet masquée derrière son pseudonyme.

    En conclusion, nous exigeons que Ceri nous révèle (en privé si elle le préfère) sa véritable identité et ses coordonnées (autant qu’elle connaît les nôtres) et qu’elle retire complètement ce qu’elle a écrit à notre sujet. Si Ceri veut donner son opinion au sujet de notre mission qu’elle le fasse en citant textuellement notre site-Web, sans y ajouter d’interprétation, d’hypothèse et d’extrapolation non fondées et diffamatoires.

    Denis X  smiley
    Administrateur de LATMS Inc.
    Nantes, 15 janvier 2012


    • Ceri Ceri 27 janvier 2012 16:06


      LATMS : http://lesamis.minoritessexuelles.net/faq.php

      En mettant sur le même plan la pédophilie, y compris lorsqu’il y a passage à l’acte, avec les hétéro et les homos, relève de la banalisation de la pédophilie. Simplement parce qu’on ne tient pas compte de l’autre « partenaire », qui est mineur. Et n’est donc pas un « partenaire » consentant, selon les lois.

      Quant aux « mensonges » sur les services que vous proposez : http://lesamis.minoritessexuelles.net/index.php#activites

      Je ne vais pas revenir sur ce qu’est le web bleu, ni pourquoi il a été créé, tout est disponible sur le web.
      Bref, vous vous êtes bien amusés à répondre, ca a du vous prendre du temps, mais la rhétorique ne suffit pas à relativiser la réalité des choses.


    • André Faivre André Faivre 27 janvier 2012 23:49

      Vous avez écrit :

      «  En mettant sur le même plan la pédophilie, y compris lorsqu’il y a passage à l’acte, avec les hétéro et les homos, relève de la banalisation de la pédophilie. Simplement parce qu’on ne tient pas compte de l’autre « partenaire », qui est mineur. Et n’est donc pas un « partenaire » consentant, selon les lois.

      Quant aux « mensonges » sur les services que vous proposez : http://lesamis.minoritessexuelles.n...

      Je ne vais pas revenir sur ce qu’est le web bleu, ni pourquoi il a été créé, tout est disponible sur le web. Bref, vous vous êtes bien amusés à répondre, ca a du vous prendre du temps, mais la rhétorique ne suffit pas à relativiser la réalité des choses. »

      Vous vous gardez bien, Madame « Ceri », de répondre à notre message en réagissant à autre chose qu’à notre réplique à votre diffamation au sujet de notre mission et de nos activités. Vous utilisez la tactique de la distraction.

      Diffamer LATMS Inc, n’a pas plus de justification, n’est pas plus juste ni acceptable que le serait le fait de diffamer AgoraVox qui donne la parole à des débatteurs sous prétexte qu’on n’aime pas ou qu’on n’est pas d’accord avec les positions et les opinions des débatteurs qui l’utilisent.

      Ce manque d’objectivité face au statut de médium (celui qui permet la communication. La distinction entre le messager et le message, vous connaissez ?) est assez inattendu de la part d’une personne qui s’annonce journaliste professionnelle.

      On pourrait donc en conclure que vous continuerez à vous cacher derrière votre anonymat pour diffamer. Au Québec, n’eut été de votre camouflage indigne d’une professionnelle de l’information, nous exigerions une rétractation et, à défaut, nous déposerions une plainte devant le Conseil de Presse. On peut comprendre que vous n’oserez donc jamais vous nommer ;)

      André Faivre

      LATMS inc.


  • Nemrod Nemrod 28 février 2013 15:39

    Légalement en France la majorité sexuelle n’existe plus et est pédophile toute personne qui a eu des relations avec un ou une mineur(e) [donc de moins de 18 ans révolus]. Le cas est simplement aggravé si la relation a été consommée avant 15 ans.
    Dans toutes les villes de France existent des cellules de police ou de gendarmerie dits « NTech » qui sont chargés de fouiller de fond en comble les ordinateurs suspects, sur simple accusation, sans la moindre preuve.
    Prenez garde avec ce sujet en laissant penser que la pédophilie se libéralise. Bien des gens en ont fait les frais et l’ont payé de leur liberté quand ce n’est pas de leur vie.


    • jidejeandominique jidejeandominique 31 mai 2013 08:41

      C’est archi-faux. Et il n’y a pas desoin d’être docteur en droit - comme moi - pour en être convaincu. L’âge de majorité sexuelle en France existe, comme dans tous les pays. Il est consultable sur le site d’Interpol et naturellement, pour la France, dans le code pénal.
      Dire par ailleurs que la pédophilie concerne les mineurs du 18 ans est une autre ânerie.


  • jidejeandominique jidejeandominique 31 mai 2013 08:36

    Je ne juge pas le fond du sujet, qui mériterait mieux que ce texte. Je juge seulement la forme. Il s’agit d’un article miltant, alors que la rigueur aurait été nécessaire. Par exemple distinguer, parmi les mineurs, les classes d’âges que la loi détermine. Sur le plan judiciaire et sur le plan moral, c’est essentiel. Bref ce n’est pas sérieux du tout.


    • Ceri Ceri 2 juin 2013 16:06

      c’est vous qui ’netes pas rigoureux. vous etes dans l’idéologie, là, pas dans les faits


Réagir