mercredi 22 septembre 2010 - par L’enfoiré

Rendons à César...

... ce qui appartient à César. Rendons lui, son temps et ses propres idées. Bien. Et si chacun s’appelait, un jour, César, avec sa propre histoire, ses anecdotes, bien à lui.

 

medium_Laisser_le_temps_au_temps_00.jpgLe monde des humains se veut dans le vent. Pas dans la bise mais le plus souvent dans la tempête. Le temps est galvaudé. On n’aime pas trop la nostalgie du passé. L’histoire doit s’écrire avec un grand "H" pour intéresser ou être ignorée de tous.

Est-ce la seule "fuite en avant" qui motive à agir sans respect pour des sources plus intime ? Fuite en avant qui pousse à effacer ses propres instants présents  comme s’il n’était qu’un mauvais moment à passer.

Cette tendance de chercher un modèle commence déjà depuis la plus tendre enfance. Les « grands » leur suscitent une envie d’accélérer le temps pour qu’ils ressemblent à leur propre image.

On pourrait croire que ce serait pour chercher à grandir en liberté. Pas vraiment.

L’adolescent voudra d’abord singer son père pour s’en dissocier, ensuite.  

Il se choisit un "remplaçant", un mentor idéologique. Il se retourne vers des modèles en s’habillant comme eux, en parlant comme eux. L’esprit de bande avec un leader, dans le réel. Un esprit de clan, dans le virtuel. Sur Internet, cela se transformera dès lors en bocalisation des blogs.1.jpg

Les blogs, on penserait qu’ils viendraient ajouter des bribes supplémentaires à l’histoire commune en passant par l’intimisme et des idées personnelles. Et bien, non, ce n’est pas ce qui se passe en réalité. Les blogueurs sont tenté de jouer au journaliste. S’ils étaient chroniqueur local avec une vision apportée par sa propre expérience, ce ne serait pas une déviance. Mais c’est plutôt parler de tout avec très peu de connaissance du terrain.

Dans une société qui n’existe que pour les gagnants, il croira avoir raté sa vie dès le premier échec, la première remise à sa place. L’esprit d’équipe ne sera souvent qu’un leurre.


Puis, tout va de plus en plus vite. La perception du temps devient plus que suggestive, perdue et partagée entre métro, boulot et dodo. La liberté, le rêve, n’existent plus, dépassés par toujours plus d’obligations et de contraintes.

 

Pourtant, chaque période a son lot de souvenirs, de bons moments et de périodes plus "indigestes" qui ont trouvé un coin plus désagréable dans le passé. Parties de notre histoire intime qui s’échappent de la mémoire.


Pourquoi cette honte à vouloir ressortir de vieilles histoires personnelles jaunies par le temps ? Et si on se lançait carrément dans l’intimisme.

Ces moments de "grâces" ont pourtant une place de choix. Cela commence alors par ces mots...

- Tu te souviens de...


  Paroles idiotes, magiques, parfois, histoires banales pour les autres, probablement.

Les souvenirs sont là pour fixer un cliché de notre présent. Ce seront des repères, des moments de vacances, des rencontres, des événements fortuits qui reviendront tel un déclic. Si les livres enregistrent le côté officiel du passé, c’est bien naturel. Les anecdotes s’y ajoutent et n’ont pas moins d’intérêts. Ce serait croire au Père Noël que de penser devenir riche seuelement en se rappelant des événements et de l’histoire des autres. Ils ne se retrouveront pas dans les questions d’un jeux tel que "Questions pour un champion", mais ils n’en auront pas moins une valeur intrinsèque. 

Qui tient encore un journal intime, aujourd’hui ? C’est devenu ringard. L’ambiance ne s’y prête plus. Pour intéresser, chacun ne pense plus qu’à s’extraire de lui-même et répercuter l’information que tout le monde connaît par la presse officielle.

L’idéosphère reste dans l’ornière des chemins battus, sans s’enrichir des expériences multiples. Les idées évoluent sans cesse. Elles se propagent, se relayent, s’amplifient par la parole, les écrits et parfois par les actes ou s’endorment pour ne plus se réveiller. 


Facebook joue ce rôle de bouée de secours plus intimiste par son but social. Des photos personnelles y sont diffusées pour communiquer. Cela fait son succès. Les blogs en voulant jouer dans la cour des grands en oublie son âme de partage de l’information en rendant le temps de chacun et en restituant ses moments de plaisir et d’émotions du vécu. Parler tout haut de soi, c’est se confronter aux idées et expériences des autres. Le rêve peut ainsi refonctionner.


Motivé par le conformisme et l’égalisation de pensée, on a plutôt tendance de ne plus se battre pour être dans les premiers, mais pour ne pas descendre trop vite parmi les derniers dans une même défaite.

Mon nom est "personne", s’il reste maquillé derrière un pseudo, dans un anonymat de la peur. Un pseudonyme est utilisable s’il reste représentatif ou plus expressif qu’un nom propre.

 

Les "Réflexions du Miroir" que vous êtes en train de lire a ce souci et cet objectif de sortir le miroir de son tiroir. Elles n’en ont rien à cirer de rester dans l’actualité. Elles voudront s’en extraire le plus souvent. Exit les préjugés. Faisons fondre cette glace pour aller voir ce qui se cache sous l’iceberg.

La petite histoire est ce qui restera quand on aura tout oublié.

 

Vous en voulez une anecdote banale pour tout le monde, mais mignonne pour moi ?

Un jour, une collègue avait remarqué qu’elle manquait ses boucles d’oreilles.

Elle téléphona à l’opératrice asiatique qui s’occupait alors de nos trois machines énormes avec laquelle nous dialoguions à courtes distances. Pas d’Internet, à cette époque, une simple connexion Ethernet.

- Dites, vous n’auriez pas trouvé mes boucles d’oreilles dans la salle machine ?

- C’est sur le B, le C ou le D ?, questionna l’opératrice qui ne se figurait même pas le concept de ce qu’on lui demandait. Habituée de répondre par la lettre alphabétique qui correspondait aux machines et à ses propres outils, elle continuait simplement son travail, un peu en automate, sans réfléchir à ce qu’on lui demandait.

Dans un dialogue de sourds et de quiproquos, le jeu de question-réponse revint en boucle dans l’incompréhension, la plus totale.

Chacun restant dans son propre environnement, ses propres notes, sans essayer de comprendre la partition de l’autre.

Cette anecdote, une fois racontée, revint encore souvent dans les conversations par la suite, générant à chaque fois, les mêmes sourires. Elle s’éteignit ensuite en passant de la mémoire vivante à la mémoire morte, tout en restant disponible.

Cette historiette exprime ce que chacun vit dans son monde à lui. Elle a, aussi, une valeur d’hommage au passé révolu car la jeune collègue, en question, n’est plus depuis 10 ans. Elle avait, alors, 36 ans.

L’anecdote m’était revenue récemment. Elle n’avait pas pris une ride dans mon esprit.


Une vie est ce genre de collection de petits moments de tristesses, de plaisirs, d’explosions de rires exprimées avec humilité, sans fanfares ni trompettes.

 

Comme disait dans un de ses spectacles, Fred Pellerin, conteur québécois, "Il faut prendre le taureau par les contes".

 

Chacun a un jour de gloire pendant lequel il pourra se sentir comme un César avec son histoire. 

 

Cétait le week-end du patrimoine un peu partout dans le monde. Le thème en était "Les Grands Hommes".
Ces petites anecdotes anonymes font aussi partie de notre patrimoine de nos souvenirs.

 

L’enfoiré,

 

 

Citations :

 

  • "Le Temps nous égare Le Temps nous étreint Le Temps nous est gare Le Temps nous est train.", Jacques Prévert
  • "Temps : ce que les hommes essayent toujours de tuer, mais qui finit par les tuer.", Herbert Spencer
  • "Je n’aime de l’histoire que les anecdotes", Prospère Mérimée


21 réactions


  • L'enfoiré L’enfoiré 22 septembre 2010 10:05

    Comme chantait Patrick Bruel dans "Place des Grands Hommes" qu’il commençait par un refrain :

    .
    On s’était dit rendez-vous dans dix ans
    Même jour, même heure, mêmes pommes
    On verra quand on aura trente ans
    Sur les marches de la place des Grands Hommes
     smiley

  • ALBIE Alain 22 septembre 2010 10:12

    Bonjour Guy,

    merci tout d’abord d’avoir cité mon article. entre la rédaction de celui-ci est la publication du tien sur AV les choses se sont quelque peu précisées dans mon esprit.

    Il y a tout d’abord les blogs « normaux » dont une majeure partie de la « clientèle » est celle d’amis ou de personnes ayant les mêmes valeurs d’idées ou de conception de la société. On y présente sous diverses formes sa vie, ses pensées, ses voyages, le but premier restant le partage ou la volonté de mettre à disposition d’un plus grand nombre une espèce de bibliothèque personnelle.

    Arrivent ensuite ceux qui n’ont en fait pas souvent grand chose à dire, mais qui utilisent cette forme d’expression pour faire ce que l’on nomme du « buzz », c’est à dire un mode d’exploitation de la bêtise humaine.

    Le système est toujours le même et consiste à prendre une actualité quelconque et d’y rajouter quelques lignes personnelles afin de s’approprier cette info. Ces lieux sont alors les endroits où l’on se doit d’aller pour lire ce que l’on pense soi-même, mais que l’on n’ose pas dire publiquement.

    C’est là que l’on retrouve les Allain Jules et autres spécialistes du domaine chez qui l’on n’apprend rien, mais d’où l’on repart rassuré car sûr de ne pas être seul.

    Une variante est le blog de quelques gourous modernes tel celui de Paul Jorion, devenu le mètre étalon de ce qu’il est possible de faire an matière d’endoctrinement moderne à destination des masses. Là, on assène des vérités du moment, soulignant que lorsqu’il pleut on a plus de risque de se mouiller que quand il fait soleil, le tout applaudi par une foule en délire.

    Des lieux comme agoravox sont quand à eux hélas devenus l’antre de quelques piliers de bar au paroles empattées par l’orgueil qui leur fait croire à une certaine notoriété, ne se risquant que rarement à sortir de leur bocal protecteur.

    Comme toute vedette à la mode, ils ont leurs aficionados, leurs détracteurs, et comme pour certains chanteurs le simple fait de voir le nom de l’artiste suffit à en tirer une conclusion positive ou non dispensant de lire le contenu de l’article proposé.

    Dans cet aquarium plein de poissons multicolores, évoluent également un certain nombre de lecteurs venant pour être bien plus vus dans un lieu à la mode qu’une véritable source d’informations. Il n’est de plus pas question de sortir de ce bocal, et les auteurs pensant faire venir à eux ces personnes superficiellement intéressées par le sujet se trompent lourdement.

    Si on regarde en effet les poissons du bocal Agoravox, il est hors de question d’approfondir une réalité quelconque en visitant l’aquarium de l’auteur. Un exemple : mon dernier article qui a recueilli un peu plus de 2000 visites, n’a incité que 6 personnes à aller plus loin, ce qui démontre que l’on vient avant tout ici pour dire y être venu.

    Je pourrais aussi citer centpapiers qui se cherche une identité propre au milieu d’un ramassis d’ordures et de ruines du passé, mais j’ai horreur de tirer sur les ambulances.

    Disons.fr peut devenir autre chose que ce qui existe, pour peu que ses fondateurs s’écartent de l’élitisme dont ils semblent vouloir faire leur image de marque. Vu leur jeunesse, l’avenir leur appartient toutefois une fois devenu plus mature dans la conception et la politique éditoriale. Le monde ne s’étant pas fait en 3 jours .....

    Voilà donc à peu près ma vision de ces différents bocaux à poissons, dont le verre cache parfois bien des surprises malgré sa supposé transparence.


  • L'enfoiré L’enfoiré 22 septembre 2010 10:41

    Salut Alain,
     C’est rassurant, en effet, de penser comme tout le monde.
     Quoi qu’on dise, l’homme est resté grégaire. Son esprit de meute ne s’exprime pas nettement par la soumission mais il en approche. Il cherche un chef de groupe, un leader qui va lui montrer le chemin. Il n’apportera pas son obole mais il ne réagira que quand il se sentira lésé, c’est-à-dire quand les patates sont cuites.
     Je ne classerais pas vraiment Paul Jorion dans les gourous.
     Je lui ai dit, je m’intéresse à sa formation d’anthropologue ce qui est original par rapport à un économiste fraichement émoulu d’un enseignement qui ne se base que sur l’expérience de quelques grands décideurs de l’histoire qui eux deviennent des gourous de fait.
     L’économie est à géométrie très variable.
     L’anthropologie est la branche des sciences qui étudie l’être humain sous tous ses aspects, à la fois physiques et culturels, nous dit Wiki.
     Cela fait intervenir la sociologie sur une grande échelle et la psychologie sur une plus petite.
     A moins d’être une nullité, tout le monde est un mètre étalon de quelque chose, tout le monde doit apporter sa participation dans ce qu’il se destine et cela sans en chercher l’orgueil mais par simple motivation et compétence spécifique. On ne peut être bon en tout, très heureusement. Laissons à chacun de creuser son propre trou.
     Les aficionados sont parfois les rémoras de quelques requins, des suiveurs par manque d’intérêts. Ce sont les plus mal dans leur peau.
     Quand aux détracteurs, il faut séparer ceux qui le font par volonté de détruire de ceux qui le font de manière constructive.
     Je n’ai personnellement pas de problèmes avec les seconds couteaux.
     Le troisième groupe de lecteurs passifs, resteront dans l’ombre de leur écran noir et de leur nuits blanches.
     Tous les forums ont le même problème aujourd’hui. Aucune distinction de couleur, de pays ou de discipline.
     Il y a une période de fougue, une période de tassement pendant la quelle sentant la descente, on racole et puis les lumières s’éteignent.
     On n’investit plus, on ne met plus à jour, cela ne rapporte plus assez et on ferme.
     L’élitisme est une affaire de jeunesse.
     Les généralistes arrivent toujours pour ne pas tomber dans le trou de l’exclusion de ceux qui ne sont pas dans le groupe de départ.
     C’est écrit à l’encre sympathique comme toutes les entreprises humaines.

     Ce que je voulais faire ressortir par mon billet c’est ce besoin de sortir de soi, d’avoir un symbole à suivre, d’avoir un porte drapeau qui est parfois de l’autre côté de la planète.
     On n’ose plus parler de soi, d’atteindre le niveau de l’intimisme.
     Sortir de la politique, de ce qu’on lit tous les jours dans la presse est la tarte à la crème.
     Tu vois, j’ai été étonné qu’AV accepte facilement mon article, c’est tout dire.
     smiley
     


    • L'enfoiré L’enfoiré 22 septembre 2010 10:53

      Petite correction :
      " Sortir de la politique, de ce qu’on lit tous les jours dans la presse est la tarte à la crème."
      ... N’est la tarte à la crème.


  • L'enfoiré L’enfoiré 22 septembre 2010 11:02

    Un rapide relevé des articles du jour pour confirmer ce que je viens de dire.
    Sur 32 articles, si je compte bien, il y en a deux (dont celui de Nguyen et le mien) qui ne parlent pas des affaires du monde, de politique. Des journalistes en herbe ?
    Une catégorie n’existerait pas pour exprimer ce que chacun à à dire de manière plus personnelle ?


  • Pierre R. Chantelois Pierre R. Chantelois 22 septembre 2010 18:06

    Bonjour l’Enfoiré


    J’avais déjà commenté votre article sur votre site. Il m’a plu. Sortir des sentiers battus et proposer une réflexion qui sort de l’ordinaire mérite d’être souligné. Un article qui ne porte à controverse est comme un soleil qui s’installe lentement un matin d’automne. Contre quoi diable allons-nous grommeler ? Le plus important, pour ma part, est qu’une réflexion comme celle que vous nous avez proposé aujourd’hui soit publiée sur un forum comme celui-ci ou sur d’autres forums. Je l’ai déjà dit : il y a un lecteur qui passe, il y a le lecteur qui réfléchit, il y a le lecteur qui écrit. Les trois sont d’égale valeur à mes yeux. Sauf pour l’auteur qui, en toute légitimité, souhaite bien évidemment recevoir un retour (feed back). 

    Amicalement

    • L'enfoiré L’enfoiré 22 septembre 2010 19:09

      Bonjour Pierre,

       Sortir des sentiers battus, avoir une vision entre deux eaux, c’est un peu le but que je me suis fixé, en effet.
       Toujours le même canevas.
       Ce qu’on en dit ailleurs, en bien ou en mal, ce qui oblige parfois à la longueur, et enfin, mes impressions, mes extrapolations bonnes ou mauvaises. En finales, des citations qui donnent une impression de déjà analysé et donc, pour moi, une occasion de me sentir pas tout à fait à côté de la plaque.
       Un article est parfois, aussi, un prétexte à la discussion.
       Ce qui veut dire qu’un commentaire, bien ficelé, peut parfaitement dépasser en valeur intrinsèque, le billet lui-même.
       Une fois, la technique, les contraintes et les modalités, on comprend déjà mieux les raisons du pourquoi.
       smiley
      Amicalement,
       
         


  • morice morice 23 septembre 2010 08:50

    L’anecdote m’était revenue récemment. Elle n’avait pas pris une ride dans mon esprit.

    Une vie est ce genre de collection de petits moments de tristesses, de plaisirs, d’explosions de rires exprimées avec humilité, sans fanfares ni trompettes.

    Finalement vous vous parlez à vous-même : et ça n’a aucun intérêt.

  • morice morice 23 septembre 2010 08:51

    Comme chantait Patrick Bruel dans « Place des Grands Hommes » qu’il commençait par un refrain :

    ah, en plus il y a des références littéraires....

    • Castor 23 septembre 2010 08:54

      Morice, 

      tu nous pètes les roustons avec tes messages.

      Y’a pas que toi sur agoravox, y’a pas que tes obsessions nazifiantes et tes sempiternelles critiques, accusations, insultes, menteries et autres saloperies dont tu es coutumier.

      De la place !


    • LE CHAT LE CHAT 23 septembre 2010 09:01

      @Momo

      t’es pas parti à la manif avec tes copains de gôôôôche ?


      @ Guy

      patrick bruel doit être un mec de doite , sans doute ...  smiley


    • Castor 23 septembre 2010 09:06

      Minet,

      Morice est à la retraite forcée depuis des lustres.

      Personne ne veut plus lui donner de boulot à part quelques bonnes âmes qui ont un mac et le laissent poster de chez eux sous prétexte de mises à jour.

    • L'enfoiré L’enfoiré 23 septembre 2010 09:10

      Et si on faisait un article sur momo ?
      Sa psychologie, son ego, sa manière d’écrire, de commenter, de vivre, de...
      Je vais y penser.
      Il sera très content, j’en suis sûr.
       smiley


    • Castor 23 septembre 2010 09:21

      L’enfoiré,

      faut faire plus qu’y penser, faut le faire !

    • L'enfoiré L’enfoiré 23 septembre 2010 09:26

      Cher Castor,
       Avec tes dents aiguisées de Castor, je suis sûr que tu devrais avoir des idées très « tranchées ».
       Mon adresse email est ouverte pour les idées du genre.
       J’adore.
       Les participants auront le privilège d’apposer leur signature au bas du document d’histoire.
       Je propose comme titre « Un soldat inconnu à la Place des Grands Hommes ».
       smiley
        


    • LE CHAT LE CHAT 23 septembre 2010 09:27

      @GUY

      finalement , il doit pas être fondamentalement différent de quelqu’un qu’on connait bien tous les deux pour l’avoir approché , complétement dans sa bulle et egocentrique le momo !


    • LE CHAT LE CHAT 23 septembre 2010 09:29

      Les participants auront le privilège d’apposer leur signature au bas du document d’histoire.

      je vois d’ici le momo dire que c’est de l’histoire révisionniste , vu que c’est pas écrit par lui !  smiley nous allons devenir tous des Faurisson en herbe ! smiley


    • L'enfoiré L’enfoiré 23 septembre 2010 09:30

      Le Chat,
       En fait, j’ai déjà ébauché le sujet, si tu te souviens.
       Cela s’appelait le « Syndrome d’Erostrate ».
       smiley


    • L'enfoiré L’enfoiré 23 septembre 2010 09:42

      Le Chat,
      "finalement , il doit pas être fondamentalement différent de quelqu’un qu’on connait bien« 
      Exact. Et qui se ressemble, s’assemble non.
      Je me suis amusé en les voyant se faire des »mamours" ensemble.
       smiley


    • LE CHAT LE CHAT 23 septembre 2010 09:51

      @guy

      très intéressant cet article sur le syndrome d’Erostrate , mais je crains que Momo en soit en phase terminale , carrèrment le syndrome de prostate , celui où on ne se sent plus pisser !  smiley


    • L'enfoiré L’enfoiré 23 septembre 2010 09:55

      Le Chat,

      « Le syndrome de la prostate » ?
      Là, avec un titre pareil, cela ne ferait plus du tout sérieux, pour Momo.
      « Le Syndrome de la danse d’Echternacht »
      Oui, ça ce serait pas mal.
      Deux pas en avant, trois pas en arrière.
      Le sur place assuré.
       smiley


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