vendredi 10 avril 2009 - par Breizh

L’Europe gaspille l’argent du contribuable Breton…

Si les Bretons voient de plus en plus fleurir les panneaux « financé par l’Europe » apposés sur des nouvelles écoles, des piscines, ou encore des carrefours, il faut bien rappeler aux Bretons que cette manne financière miraculeuse vient en réalité de leurs impôts. On tente de faire croire aux Bretons et autres peuples européens, que l’Europe serait une institution mythologique, une sorte de corne d’abondance qui distribuerait sans limite des richesses aux travers de subventions et de financement de projet locaux.

L’argent de l’Europe, c’est d’abord l’argent des Bretons !

L'Europe gaspille l'argent du contribuable breton

Les Bretons versent chaque année environ 1,2 milliard d’euros au travers de leurs impôts prélevés par l’état français, et les clichés français sur les subventions européennes accordés aux Bretons sont bien éloignés de la réalité. La Bretagne perçoit de l’Europe moins de 900 millions d’euros, soit une différence négative d’environ 300 millions d’euros annuels que les Bretons offrent à l’Europe.

Cette différence budgétaire, les Bretons ne sont pas les seuls en Europe à la subir, les frais de fonctionnement de l’Europe sont colossaux. Quand l’Union européenne décide de subventionner des éleveurs Bretons, c’est autant d’argent - et même plus - qu’elle prélève aux Bretons, car les procédures administratives d’affectation des fonds sont lourdes et coûteuses.

Un budget qui ne tient pas debout
Saviez-vous que depuis 14 ans la Cour des comptes européennes a refusé de certifier le budget de l’Union européenne. Le rapport final de la cour des comptes européenne a jugé que 92% du budget 2009 présentant un trop haut niveau d’illégalité et d’irrégularités. Ce budget 2009 passera comme tous les ans en force grâce aux députés européens qui ont tout intérêt à ce que l’Europe continue de grossir et dépense encore et toujours plus. Ces mêmes députés qui devraient agir pour défendre les intérêts des contribuables européens et les libertés des peuples d’Europe, mais que les Bretons ne se fassent pas d’illusion, ils n’auront aucun représentant au parlement européen lors des élections de juin 2009, le découpage hexagonal est volontairement ciblé pour noyer les votes des peuples Bretons, Catalans, Alsaciens, Flamands, Basques et Corses au sein de grandes circonscriptions électorales.

Des gaspillages qu’on ne compte plus
Il serait beaucoup trop long de lister les milliards d’euros dilapidés chaque année par les parlementaires européens, mais quelques exemples suffisent à illustrer ces gaspillages.

3,7 milliards d’euros, c’est la somme perçue depuis 1996 par la Turquie sous la forme de crédits de « préadhésion » visant à financer les réformes internes nécessaires à son adhésion au sein de l’Union européenne. Si celle-ci venait à rentrer dans l’Europe elle toucherait annuellement - d’après les études réalisées par la Commission européenne - plus de 30 milliards d’euros.
2,4 milliards d’euros, c’est en 2008 le budget pub de Bruxelles afin de promouvoir l’Union européenne, ce budget dépasse le budget publicitaire mondial de Coca Cola.
15,4 millions d’euro, pour les élections européennes de juin 2009 (voir à ce sujet le communiqué d’Adsav, le Parti du Peuple Breton), c’est le montant prévu par le parlement européen pour l’envoi dans l’espace d’une urne de vote agrémentée du slogan « On peut voter partout ».
1,8 millions d’euros, c’est la somme investie en 2009 par la Commission Européenne pour un matraquage publicitaire visant les irlandais ayant voté massivement contre le traité de Lisbonne. Cette lobotomie publicitaire va se dérouler jusqu’à la date du second référendum irlandais. 

Elections européennes, les bretons des pions ?L’Europe actuelle, un étatisme à la française

L’Union européenne a été construite en partie par des français, et le modèle européen qui en découle est celui d’un super-état à la française, où l’état (l’Union européenne) passe avant le peuple. L’Europe est devenue un mastodonte qui ramasse l’argent dans les poches des contribuables européens grâce aux impôts des états membres, et qui après des procédures administratives aussi lourdes que les procédures française, le reverse aux états membres afin qu’ils le réinvestissent pour des projets décidés par Bruxelles.

Alors que la France ne laisse toujours pas aux Bretons la liberté de gérer eux-mêmes leur argent pour l’éducation, les transports, et autres domaines, c’est aujourd’hui l’Europe à un échelon au-dessus qui vient se mêler en plus de la France des activités que la Bretagne pourrait gérer elle-même dans le cadre d’une émancipation en vue de redevenir une nation souveraine au sein d’une Europe aux Cent Drapeaux.



52 réactions


  • titi titi 10 avril 2009 12:35

    Votre raisonnement sur la balance fiscale est un raisonnement libéral.
    Votre remarque sur les dépenses de l’EU est un raisonnement poujadiste.
    Je ne pensais pas que les régionnalistes Bretons relevaient de ces obédiences politiques !!
    Il me semblait qu’ils étaient plutot de gauche.

    Comme quoi on est pas toujours bien informé.

    Je pensais également que l’EU etait une institution « libre échangiste, libérale et anti-sociale ». Je vois qu’en fait il s’agit d’une institution dont le modèle est l’Etat francais Jacobin et centralisateur.

    Comme quoi on est vraiment pas bien informé.


    • K K 11 avril 2009 08:21

      il y a aussi des autonomistes breton d’estreme droite. Des ultra conservateurs.


    • Bois-Guisbert 11 avril 2009 10:42

      Il me semblait qu’ils étaient plutot de gauche.

      C’est bien, même si maladroit, de préciser implicitement que la lucidité n’est ordinairement pas de gauche smiley


  • Lediazec Lediazec 10 avril 2009 12:54

    @ titi. Tous les bretons ne sont point logés à la même enseigne...


  • Breizh Breizh 10 avril 2009 14:12

    Poujadiste ? C’est un qualificatif politique généralement utilisé de manière péjorative pour parler de populisme, or dénoncer le gaspillage des impôts que versent les Bretons c’est du simple bon sens sans flatterie des bas instincts.
    Quand à l’autre aspect du poujadisme corporatiste, le « corporatisme » instauré par certains états autoritaires dans l’entre-deux guerres n’était pas semblable à nos idées. Nous souhaitons une nation organisée suivant un modèle fédéraliste, où les contre-pouvoirs sont réels.

    Le « libéralisme » est un mot mis à toutes les sauces pour mieux asseoir l’étatisme.
    J’appartiens au parti Adsav, le Parti du Peuple Breton, qui encourage l’esprit d’entreprise et l’initiative économique, mais, les lois du marché ne doivent pas être un prétexte à la recherche absolue du profit.
    Le « matériel » et la « richesse » ne sont pas des fins en soi !
    Contrairement au principe libéral qui veut que « la société n’existe pas, seuls les individus existent », nous pensons que la recherche du profit individuel ne doit pas non plus aller contre le bien commun.


    • Zalka Zalka 10 avril 2009 14:30

      Les indépendantistes sont pathétiques. Lorsque vous aurez eu gain de cause, vous trouverez le moyen de militer pour l’indépendance du finistère vis à vis du morbihan et des côtes d’armor qui symboliseront votre nouvel opresseur.


    • Breizh Breizh 10 avril 2009 14:38

      Tout peuple a droit à son indépendance. Pourquoi vouloir être dirigé par les autres quand on peut l’être par soi-même ?
      Par ailleurs, la présence française est néfaste en Bretagne.
      Les droits fondamentaux des Bretons sont confisqués, la Bretagne est une colonie de seconde zone qui en plus d’être détruite culturellement et spoliée de ses richesses se voit aujourd’hui entrainée par la France dans son suicide.

      Depuis l’an 845, la Bretagne existe dans ses frontières actuelles et forme par le fait un ensemble cohérent tant au niveau culturel que politique. Sa taille et sa population la place au rang des petites nations atteignant la « taille critique » suffisante pour vivre au mieux économiquement tout en permettant une expression pleine et rapprochée de la démocratie. Comparativement, le finistère (qui n’existe -comme tous les départements- que depuis 1790) ne disposerait pas des moyens suffisants pour s’autosuffire économiquement et souffrirait d’une image floue autant au plan international qu’au niveau de la population. Rappelons que, selon le dernier sondage du Télégramme-Presse-Océan (17/09/2000), seulement 1% des bretons se reconnaissaient dans leur département respectif (!)...


    • titi titi 10 avril 2009 15:06

      Si je vous dis que je paie des impots sur le revenu, sur le foncier, sur les ordures et que je ne recois rien de l’état : rien de la CAAF (revenus trop élevé) , rien de la sécu (j’ai la chance d’être en bonne santé), rien de l’Educ Nat (pas d’enfant).
      Ma balance fiscal est donc largement négative et je réclame moins d’Etat. Je souhaite géré moi même mon argent : j’épargnerai plus et si j’ai besoin j’utiliserai cette épargne. Et les autes ? Bah qu’ils se débrouillent.
      Je suis quoi ? Je suis un libéral.

      Remplacez « Je » par « Les bretons », « l’Etat » par « l’UE », et « les autres » par « Turquie » et vous obtenez votre propre discours. CQFD.

      La bonne question c’est qu’est ce que le bien commun au XXIème siècle.
      Est ce le bien à l’échelle d’une région (votre discours), de la France (le discours de nos Jacobins) ou du Continent (discours de l’UE).
      Personnellement que mes impots aille à développer les « marches »(je n’ai pas oublié d’accent) de l’UE je pense que c’est la garantie de la paix future.


    • Breizh Breizh 10 avril 2009 16:21

      Le malentendu entre nous (et avec un des autres intervenants) réside dans la conception de la nation.

      Pour vous votre nation est la France, et en ne parlant que des bretons je suis un individualiste, sauf que ma nation c’est la Bretagne, et que je ne parle pas des MES impôts mais des impôts des bretons, donc de mon peuple, qui est un tout composé de riches et de pauvres, de gens en bonne santé et en moins bonne santé.

      Quand je dis que « je pense que la recherche du profit individuel ne doit pas non plus aller contre le bien commun. », j’indique justement que je place la solidarité nationale au dessus de l’individualisme.

      L’individualisme n’est pas conforme à l’esprit de solidarité nationale qui conçoit le travail comme un devoir social et non seulement une source d’enrichissement personnel ou familial.


    • faxtronic faxtronic 10 avril 2009 17:32

      Et moi ma nation c est le Berry. Du foin pour nos vaches, le Berry independant !


    • titi titi 10 avril 2009 17:41

      Au contraire. C’est exactement ce que je disais.

      La question du « c’est quoi le bien commun », implique de savoir de quelle communauté on parle. Et donc qu’est-ce qui définit une communauté.


  • Breizh Breizh 10 avril 2009 14:14

    Concernant le régionalisme, je suis indépendantiste, et le parti politique auquel j’appartiens l’est également. Je te suggère cet article sorti récemment qui appelle à tourner définitivement la page du régionalisme

    http://blog.adsav.org/174/tournons-definitivement-la-page-du-regionalisme/


  • Zalka Zalka 10 avril 2009 14:24

    Et demain, en exclusivité, l’article « le contribuable corse paie les gaspillages de l’Europe » par Corsica Independenzia fascista.


  • Breizh Breizh 10 avril 2009 14:27

    Et bien s’ils ont les chiffres pour l’étayer en quoi cela dérange de mettre face à la réalité. Je ne suis pas Corse et ne connais rien à l’économie Corse, donc je n’émettrai aucun avis, mais sur la Bretagne les faits sont là.


    • Zalka Zalka 10 avril 2009 14:36

      Les faits sont là ?

      Vous détaillez longuement la liste des « gaspillages », sans d’ailleurs vous souciez le moins du monde des autres contribuables européens (ce qui montre votre pitoyable nombrilisme de chauvin pathétique), mais vous ne faites que donner deux chiffres brut non vérifiables sur ce que donnerait et recevrait la Bretagne.

      J’attend les chiffres globaux sur ce que donne et reçoit chaque région. Par ailleurs, vous devriez étudier le concept de « solidarité nationale » qui explique que la coins un peu plus riches donnent un peu plus et reçoivent un peu moins, de manière à ce que tout le monde puisse se dévellopper.


    • Breizh Breizh 10 avril 2009 14:47

      Je suis Breton, je parle des bretons, les gaspillages concernent tous les européens, et quand je dis « Ces mêmes députés qui devraient agir pour défendre les intérêts des contribuables européens et les libertés des peuples d’Europe » je place également l’absence de conviction des députés européens au niveau de tous les peuples d’Europe qui subissent ces mêmes déboire de l’étatisme à la française de l’Union Européenne.


    • LE CHAT LE CHAT 10 avril 2009 14:48

      @zalka

      c’est vrai ça ! que fait Neuilly sur Seine pour les pauvres bergers du monte Cinto ? rien , à part une loi liberticide sur le port des cagoules , costume traditionnel de là bas !


    • faxtronic faxtronic 10 avril 2009 17:34

      « je suis breton, je parle pour les bretons »

      Aaarf

      http://www.youtube.com/watch?v=enuJMMR8a6E


    • faxtronic faxtronic 10 avril 2009 17:41

      et a tou ceux qui ont oser les mariages non consanguins, et qui de fait ne font plus parti d aucun peuple, tu leur dit quoi.

      Moi j ai deux grand parent corses. Selon ces porcs d independantistes, il faut 3 grand parents corses pour etre corses ( j aime la recursivite de ce discours).

      Alors qu il faudrait donner le pouvoir a des consanguins comme toit et tous les autres.


    • K K 11 avril 2009 08:29

      Faxtronix,
      Moi je n’ai que deux grands parents bretons, et deux Normands... Comment fait on dans ce cas ? Je suis d’accord avec vous, ces raisonnements sont stupides.


  • LE CHAT LE CHAT 10 avril 2009 14:41

    l’Europ godaïe les doupes des contribuabs chtis ! bind ’eud ’voleux !


  • Kalki Kalki 10 avril 2009 16:09

    Crise 1929-40 : Des économistes ont détruit les Républiques

    http://www.agoravox.tv/article.php3?id_article=22451


    Crise 1929-40 : Des économistes ont détruit les Républiques

    L’histoire contemporaine est sous influence. Quelles sont les causes de la défaite française de 1940 ? Les classes dirigeantes françaises ont-elles planifié dans la décennie 1930, comme leurs homologues belges guidées par la Banque nationale de Belgique, l’occupation prochaine de leur pays par l’Allemagne de Hitler ? À la lumière d’archives françaises et étrangères, pour la plupart jamais encore dépouillées, Annie Lacroix-Riz revient sur les origines de Vichy.

    Présentation :

    Comment comprendre l’engagement des banquiers et industriels dans la " collaboration économique " avec les Allemands entre la défaite et la libération de Paris sans s’interroger sur la phase précédente ? Annie Lacroix-Riz signe Un essai très engagé, qui bouleverse notre connaissance de cette période de l’histoire de France et au-delà, des relations internationales. Cet ouvrage défend la thèse que les hommes de Vichy ont préparé leur arrivée au pouvoir et que la transformation des institutions, rendue nécessaire par la crise, passait par la défaite française. L’ouvrage montre ainsi, dans une approche nouvelle, que les causes de l’Occupation sont avant tout intérieures. Il aborde la question de la nature des actions menées de 1933 à 1939 en faveur de l’axe Rome-Berlin. Surtout, il met en exergue le caractère déterminant de l’économie dans le fonctionnement de la société française des années 30.


    • Kalki Kalki 10 avril 2009 16:20

      Il faut garder en mémoire le crime de haute trahison, contre le peuple, la nation, la démocratie, la république.

      A votre avis on pourrait mettre qui proposer qui pour Crime de haute trahison ?

      Les économistes ? Les néocapitalistes ? Le néolibéralisme ? Tous les idéologues ? Tous les politologue ? Tous les gens de pouvoir ?

      Tous les sarkozistes ? Tatcher ? Berlusconni ? Bush ? Puttin ?

      Toutes les gauches molles qui ressemblent a des droites ? Toutes les droites qui ressemblent a des extrèmes droites ?


    • Kalki Kalki 10 avril 2009 17:37

      « On a donc négocié sur le plan économique et financier d’une part.
      On a saboté le réarmement, le ministre de la guerre constate que Renaud ne veut pas faire de char (... et puis Schneider non plus et puis les autres, ils ne veulent plus, ça ne les intéresse plus )
      donc on ne réarme pas, et le livre montre qu’on n’a pas du tout réarmé plus ( ce qui est une légende très largement répandue)
      La légende c’est qu’on aurait pu gagner, mais on n’a pas eu de chance à cause des 40H par semaine ( et c’est pour ça qu’on ne réarmer pas du tout) et à partir des 48h on aurait réarmé ( c’est entièrement faut , et le livre le montre de manière formelle garantie par la banque de France)

      La banque de France dit : y a toujours pas d’investissement industriel, il y a que de l’investissement spéculatif. ( excusé moi l’investissement spéculatif ça fait pas frabiquer des cannons, et d’ailleurs ça ne donne pas de travail aux horaires qu’on veut, et ça ne vaut rien dans l’économie REEL)

      Cela vous rappelle t’il quelque chose ?

      Donc on ne réarme pas, mais on fait plus que ça, on prépare des plans avec l’étranger (vers l’Allemagne nazie national-socialiste, l’Espagne de franco).
      Donc on ne réarme jamais ( ou si vous préférez dans notre aire on dirait : on ne fait pas tourner la machine de guerre économique)
      Ce que l’on fait : Comme on sait que l’Allemagne va faire guerre, on négocie sans arrêt, on se couche.

      On fait semblant de faire la guerre : on négocie avec l’ennemi au dernier moment pour que l’élite reste roi d’un royaume (cette élite-là aurait pu changer de pays, elle l’a fait, laissé faire, et a favorisé cette invasion).

      Bien entendu que la similitude avec ce qui se passe aujourd’hui est frappante :Vous dites la bourgeoisie, les élites intellectuelles.
      Du point de vue des élites c’est la même chose (soumission aux »mondialismes « nouvel ordre mondial ? Pour le bien de tous ? ça, c’est la question à garder en tête)
      Je dirais que du point de vue des élites intellectuelles : mon sentiment personnel est que la situation est plus grave qu’elle n’était en 1940 .
      L’histoire contemporaine est sous influence, je considère que l’histoire est en posture de dépendance plus grande qu’en 1940.

       »PS de kalki au niveau psychologique : il y a un effet qui fait que l’on préféra le « voisin le plus proche » (Hitler, franco, Mussolini) aux voisins éloignés (Staline). Finalement sans aucune considération idéologique ou peut-être un peu ? Le communisme (même celui de Staline) ne permettait pas de controler les peuples comme l’ont fait les totalitarismes en cette période, ce qui e ne doute pas doit intéresser toute élite du monde en tout temps même aujourd’hui !(sociologiquement : fascisme et nazisme c’est de la soumission, bolchévisme, prétendument un peu plus tourné sur le « peuple » par le peuple, c’est l’acceptation sans avoir le choix ce qui revient à la même chose au final, un peu comme dans nos « démocraties » pardon république, oh fait communiste et anarchiste ne font pas bon ménage il faut le rappeler)

      _ Il faut les empêcher de nuire
      _ Oui, mais comment ?
      _ Il faut (re) constituer un mouvement (citoyen, humain) qui soit en mesure de les tenir en respect
      _ Mais il n’y a personne.
      _ Si y a des militants, il y a qu’a reconstituer les organisations. De toute manière, ce n’est pas la peine de se mettre la tête sous le sac, si on ne le fait pas ... c’est ça la question !

      Oui là est la question :
      L’histoire pourrait avoir les mêmes causes ( l’économie, la soif économie, l’économie de l’ombre, les élites qui ne défendent par leur peuple et qui sont prêt a vendre leurs nations économiques idéologique et culturelle)...
      L’histoire de l’humanité pourrait être finir pire que le pire des cauchemars : un monde totalement sous contrôle, un monde de pensé unique , un monde ou on ne remet pas en cause le sacro-saint marché ( le marché étant juste une manière de voler , de faire payer, de faire travailler la majorité de la population sans même voir qu’elle paye, car le marché l’économie et ses raisons sont soit bien trop abstraites, soit beaucoup trop idéologiques)

      Bienvenue dans un monde globalement TOTALITAIRE.

      La nouvelle guerre ne sera pas contre un autre pays : la guerre sera contre tout ceux qui penseront différemment, contre tous ceux qui verront l’organisation du monde FONDAMENTALEMENT autrement.

      Apprêtez-vous à vous soumettre OU À FAIRE PARTIE DES ENNEMIES de l’ordre unique.
      On pourra toujours laisser des apparences de faux rebelle en politique qui n’auront jamais le pouvoir tout ceci donner l’illusion de pluralisme alors qu’il s’agit de penser unique,de politique unique, de société unique ( qui n’appartienne plus aux nations, aux peuples) voila la traitrise des élites, la HAUTE TRAHISON contre le peuple (et pas seulement des intêrets), voilà le CRIME CONTRE L’HUMANITE, PAR LA VOLONTER DE CONTROLER LES PEUPLES QU’ILS SONT sensés SERVIR POUR LE BIEN COMMUN, économique ET SOCIAL/HUMAINS !

      On pourra laver les cerveaux avec la télévision, et les journalistes ne s’en priveront pas, pourquoi ? parcequ’il n’ont pas la capacité critique, c’est toujours mieux de
      1. respecter la ligne idétoriale /éditoriale
      2. Aller dans le sens de tout le monde suivre la meute, il ya plus de chance pour que le papier ou le journal se vende et rapporte.
      3. Surtout ne pas critiquer trop profondément, des critiques sur la forme c’est tout aussi vendeur (psychologiquement, et puis ça donne une certaine crédibilité au journal d’information) et on ne remet pas en question l’idéologie, le fond de tout le problème.

      Qui n’est pas capable de critiquer n’est pas un journaliste, n’est pas un philosophe.
      Qui n’est pas capable de prendre du recul, d’analyser, n’est pas un journaliste, n’est pas une philosophe.

      Je dirais que c’est plus de la race des chiens des vautours ou des hyènes ( ou un mix).

      Dans ce spectre : pourquoi Sarkozy se met dans l’OTAN ?


  • Axel Axel 10 avril 2009 16:47

    @ l’auteur
    Vous êtes français avant d’être breton ou breton avant d’être français ?

    Par ailleurs, quelle place donnez-vous au métissage ethnique dans votre nationalisme décérébré (par exemple un enfant né d’une mère bretonne et d’un père alsacien) ?


  • Axel Axel 10 avril 2009 16:56

    « En 2008, sur son site internet Adsav revendique, plus de 750 adhérents. » Nous pouvons donc affirmer que les membres de l’Adsav ne sont qu’une minorité de crétins, une goutte d’eau dans la population bretonne.

    Next.


    • Axel Axel 10 avril 2009 17:24

      J’ai le droit de dire : « j’aime pas taggle » ?


  • Shaytan666 Shaytan666 10 avril 2009 17:23

    Euh ! Si la Bretagne devient indépendante où la France va t’elle parquer ses SNLE ?


  • michaeljean 10 avril 2009 18:32

    Bon c’est vrai que çà fait un peu poujadiste ; Adsav étant un parti d’extrême-droite (pardon de la droite nationale !) ceci explique peut-être cela.
    D’un autre coté, il y a du vrai dans ce pamphlet contre cette Europe technocratique d’aujourd’hui. En ce qui concerne la Bretagne, on pourrait faire la même comparaison avec ce qu’elle verse à l’état français et ce qu’elle reçoit en retour ; je n’ai plus les chiffres en mémoire mais je me souviens qu’ils étaient assez effarants ; et depuis le temps que la France pompe la Bretagne ! C’est d’autant plus scandaleux quand on voit la différence entre le développement de la Bretagne et celui de la région Ile-De-France, entre les revenus des bretons et ceux des autres ; l’égalité républicaine s’applique différemment selon que l’on est plus ou moins « français » ; mais tous ceux qui ce sont intéressés à ce problème et à la glorieuse histoire de la Bretagne souveraine et indépendante savent que ce n’est pas fait par hasard, bien au contraire. Quand la Bretagne a été annexée par la force à votre hexagone pourri, elle n’a pas seulement perdue son indépendance mais aussi sa richesse ; à l’époque on parlait de la Bretagne comme la perle de l’Europe ! D’où la volonté de ses voisins français de se l’approprier ; « Une Bretagne trop forte risquerait de remettre en cause l’unité de la République » c’est ce genre de rengaine que l’on entend souvent dans la bouche de ceux qui nous dirigent ! La boucle est bouclée !
    De plus, j’ajouterais que c’est Paris qui s’occupe des subventions européennes données à la Bretagne, sauf que si ces subventions ne sont pas utilisées au bout d’un certain temps et bien elles doivent être rendues ; ce qui est déjà arrivé.


  • masuyer masuyer 10 avril 2009 20:12

    Pour info, Adsav est à la Bretagne ce que le FN est à la France. Je reviendrais vous en reparler plus tard.

    Da Vreizh, paour-kaezh faskour peus ken ’met mont d’o’r un dro deus kostez Skrignag, ’mechañs vo graet da jeu dit. Sac’h kaoc’h, mab deus ar re n’esu gwerzhet ar vretoned d’ar boched.


  • masuyer masuyer 10 avril 2009 21:42

    Un peu plus long sur Adsav

    Je me rappelle d’une affiche d’Adsav, représentant le minaret d’une mosquée surplombant un village et légendée : « Ca c’est la France, la Bretagne c’est autre chose ». Il se situe dans l’exacte filiation de la Bezen Perrot et des Bagadoù Stourm de sinistre mémoire en Bretagne. Une petite photo des Bagadoù Stourm, pour se faire une idée de l’inspiration des uniformes.

    Au cas où Breizh voudrait nous faire croire que Adsav c’est différent, je vais conter une petite anecdote. Il y a quelques années, lors de la Nuit de la Gavotte à Poullaouen, une petite bande de militants d’Adsav, bien dégagés derrière les oreilles, était venue. Ils arboraient des T-Shirts Bagadoù Stourm. T-shirt qui rappelaient de bien mauvais souvenirs au participants les plus âgés. Nous avions dus leur demander fermement de quitter les lieux.

    Certains s’étaient aussi amusés à refaire le portrait d’un de mes amis. A plusieurs, tant ils sont courageux.


  • sparrow 10 avril 2009 22:12

    Bravo, le pied là où il fallait le mettre, même si sa sent très mauvais. Il faut être pour l’Europe, mais pas comme elle a été construite, comme un meccano sans mode d’emploi avec des mini-mini dictateurs qui n’ont même pas besoins de faire des revendications pour qu’ont leur accorde des privilèges. Les méchants c’est pas vraiment les députés européens, élus par le peuple, mais c’est surtout une clique de fonctionnaires européens qui sont là presque à vie, indéboutable et qui, eux, dirigent le CHMILBLIK, (pour les plus vieux LE MACHIN, et pour les plus jeunes… ?, je ne sais pas). Des pseudo démocrates qui nous dirigent sans partages, qui gardes sournoisement leur os, pour exemple les commissaires européens ; qui peut les virées à part eux-mêmes.
    Y a un truc que j’ai adoré en passant en Bretagne c’est les autoroutes gratuites ? Vous faites comment ? Nous en Savoie (Haute et Basse Savoie), on arrête pas de payer. A propos, il fait très beau chez nous et on bronze.

     


  • moebius 10 avril 2009 22:24

     autoroute gratuite, beaucoup d’efforts ont été fait pour désenclaver la Bretagne. Elle a su en profiter c’est tant mieux


    • sparrow 10 avril 2009 22:32

      Alors on fait comment, nous ? on paie pour les autres, c’est facheux. Dites moi si la notion d’entraide nationale, pour les indépendentistes, n’est valable que quant ils en profitent ? il fait toujours beau ici, et en plus on peux faire du ski en tee-shirt. Le seul problème c’est les coups de soleil.


    • michaeljean 11 avril 2009 10:11

      Encore un qui c’est de quoi il parle ! Je veux pas vous faire de la peine mais à chaque fois que je fais mes allés/retours de Région parisienne en Bretagne je passe par le péage pour payer ! Une fois l’investissement rentabilisé cette autoroute devait être rendue gratuite mais elle ne le sera jamais. De plus la région bretagne et ses contribuables ont payé une bonne partie des frais ; idem pour le TGV avec l’aide de Bruxelles.


  • amenis 10 avril 2009 22:25

    Mouarf , ça calme ...
    Merci masuyer


  • manusan 10 avril 2009 23:38

    Les alcooliques du Morbihan dépensent l’argent du contribuable des cotes d’Armor.


  • MR MERLIN Perpleks 10 avril 2009 23:43

    Ne pas oublier que les gaulois et les bretons trouvent leurs racines dans des tribus celtes :
    Que ce soit les osismes, les curiosolites, les redones, les namnètes etc......,
    a l’exception des vénètes du morbihan.
    Pour ce qui est de la Bretagne aujourd’hui, Breizh sait aussi bien que nous qu’elle n’existe que comme entité folklorique,
    kenavo


  • Bernard 10 avril 2009 23:48

    Ciao,
    Je suis Italien, du Nord de l’Italie (la Lombardie), mais je me débrouille pas mal en Français (Komz a ra un tammig Brezhoneg ivez ...) donc :
    Pour tout dire je trouve que la plupart des jeunes de votre pays sont plutôt prétentieux, tristes et ringards.
    C’est d’ailleurs une opinion courante dans toute l’Europe et ailleurs.
    La plupart des intervenants que j’ai pu lire ici le confirme.
    Tout ce qu’il y a de plus parler creux et politiquement correct.
    Votre pays est vraiment déprimant et déclinant, il n’a plus de personnalité et vous y rabâchez toujours les mêmes vieux poncifs affligeants.
    Chez moi il y a encore des pays ayant leur personnalité, leur saine fierté, une vie politique qui n’est pas convenu d’avance, et je dois dire qu’un partit politique comme ADSAV ! y aurait toute sa place dans la vie politique (ce sont d’ailleurs les seuls intervenants qui ont dit quelque chose de sensé et de sérieux ici) ; mais je regrette pour la Bretagne qu’elle soit si loin de mon Italie du Nord (la Padanie) et j’imagine le courage qu’il doit falloir à des gens sensés pour survivre au milieu de tant de tristes crétins.
    Bennozh Doue da Adsav ! (Mille grazie per Adsav ! ... e che gli altri vadano a cagare ...)
    Kenavo. Arrivederci


    • manusan 11 avril 2009 05:27

      merci pour la remarque Bernard, mais au fait que faite vous ici ? Pourquoi vous abaissez vous a discuter avec des types comme nous. Est ce par compassion ?

      En effet, comme vous dites le français est prétentieux contrairement à chez vous qui parait il sont, je vous cite :« Chez moi il y a encore des pays ayant leur personnalité, leur saine fierté ». S’il vous plait Bernard, montrez nous le chemin de la « sainte fierté » et viva Il Cavaliere et la Juventus.


  • MR MERLIN Perpleks 11 avril 2009 00:32

    @ Bernard

    Les tristes crétins vous feront remarquer que les vénètes ont probablement la meme origine que les vénitiens de votre Italie, comme quoi il est tant de faire
    l’europe et non de s’enfermer dans son pré.
    Quand au courage d’ADSAV on pourra en reparler

    signé : un crétin qui aime l’italie mais pas les fascistes..............


  • Bernard 11 avril 2009 01:02

    Votre manière soit condescendante, soit larmoyante, soit style gros beauf d’apprécier les autres pays que le votre est étouffante. Et puis vous voulez toujours a tout pris vous persuader que les ’’autres’’ sont comme vous, comme si en plus ils en avaient forcément envie ...
    De plus, la plupart des Italiens aujourd’hui n’ont pas vraiment envie à ce que leurs équipes de foot, par exemple, ressembles aux vôtres ; un exemple parmi tant d’autres ...
    En fin j’ai l’impression que les ’’français’’ ne s’aiment même plus eux-même (je me trompe ?)
    Alors je vous en pris, votre ethnomasochisme gardez le pour vous.
    Il fait pitié.


  • ASINUS 11 avril 2009 07:33

    @ masuyer , je connais les ptits gars de l adsav pas tous des fafs. Tentés
     par le nationnal socialisme ? certes mais faute de quoi ?la gauche qui s etait
     appuyée sur le sentiment d appartenance est passée avec arme et bagage
     du coté du pognon de l eradication culturelle et du discour mondialisateur,
     la representation nationnale umps s occuppe du voyant du clinquant nous la ici la majorité invisible sur son territoire somme confronté a deux guerres une economique et une culturelle , rigolo n est il pas l origine de l agresseur c est
    la mondialisation le lissage culturel et le capital apatride « au sens sans racine
    ni identification » alors bien sur la reponse c est l irrédentisme teinté de lutte des classes ;bien sur j aurais préféré le discour de M LEBESQUE 
    mais vous m excusez
    en meme temps que leur racines et culture j inculque a mes fils des notions de tirs et autre utilités . les temps viennent qui ne seront plus au discours et philosophes ,
     le dormeur s est eveillé


    • masuyer masuyer 11 avril 2009 09:32

      Asinus,

      Pas tous des fafs ? peut-être, alors qu’ils aillent faire un tour sur le site d’Adsav. Ils pourront notamment y lire ceci :

      20- Quelle est la position d’ADSAV ! au sujet des Bretons qui ont joué la carte de l’Allemagne pendant la seconde guerre mondiale ?
      ADSAV ! se refuse à condamner ceux qui ont combattu pour l’indépendance bretonne avec sincérité et droiture, quelles que soient l’époque et les circonstances.

      C’est étrange qu’ils ne se soient pas posé la question de Stur et de son fondateur Mordrel.

      Leur positionnement indépendantiste ne me pose pas de problème. Mon problème est avec le nationalisme, qu’il soit français, breton, ou autre.

      en meme temps que leur racines et culture j inculque a mes fils des notions de tirs et autre utilités . les temps viennent qui ne seront plus au discours et philosophes ,

      Personnellement, je préfère leur apprendre le breton, alors que je ne suis pas breton, et ne vis plus en Bretagne. La proximité avec la nature aussi, et la coopération, la protection des plus faibles, qui comme l’avait bien compris Darwin, contrairement à l’utilisation abusive qui a été faite de sa théorie, sont les facultés développées par l’espèce humaine lui ayant permis le succès que l’on sait et son adaptation au milieux les plus divers et les plus inhospitaliers de prime abord.

      C’est un choix philosophique

      Et pour vos enfants et les futurs miens une bien belle chanson de la Bretagne que j’aime :

      Benn ar bemp a vis mae, an oll elektourien
      Vo gelvet da votiñ gant ar gonsailherien
      Diw listenn am eus klevet, Ya a zo klask mouezhioù
      Hini gwir ar Republik hag Haïn ar boñbañsoù

      Al listenn sosialist eo al listenn gentañ
      Gouest oc’h da reiñ dehe chikour, ’n oll dud er barrez-mañ
      Kar an dud a zo en enni, a gar o liberte
      Ma roet dehe ho mouezhioù chikouret vec’h gante.

      ’N eil listen serten a zo gwenn, choaset eo gant an nobl
      Ma roet dehe ho mouezhioù vo ket eürus ar bobl
      Kar e lec’h gwellaat hom henchoù ha reiñ demp chikourioù
      An erc’hant a vo kaset d’ober seminerioù.

      Biskoazh n’ho peus bet gwelet listenn evel dezhi
      Kichen kure ar bourk, ’mañ person ar Gili
      Daou varc’hadour pedennoù, gwechall en konkurañs
      Klask ’n om servij da drompiñ o daou deus memes balañs

      Barzh konsailh en ilis, da gestal gant ur plad
      ’Mañ paotred an tu gwenn, na dre-se sellet mat
      Matreze e assurint dec’h int republikaned
      Met barzh gwele Mariann, ne garfent ket kousket

      Ya gant manieroù ken faos hag o aer pinvidig
      ’Maint ’ klask dominañ ar vrom met ne n’imp ket spontig
      Kar ar chupenn a vo prest benn ar bemp a vis mae
      Hag a vo kalz tommoc’h dehe, moned d’ar gêr goude

      N’eus ket pell zo e Landerne, oant bet an asened
      Daoulinet war ar blassenn e oant ’n om brometed
      Dont d’ober brezel d’ar skolioù ha d’an oll skolaerien
      Da harzañ an deskadurezh deus bugale ar baourien

      J’oubliais :


      10- Quelle place pour la langue bretonne après l’indépendance ?
      Quelle place pour le Gallo ?

      ADSAV ! veut rendre au breton sa place de langue d’Etat et de langue de culture. Le gallo est un parler local qui mérite le respect, pas une langue nationale.

      Alors là, Adsav se complaît dans d’énormes conneries. La frontière linguistique de Bretagne n’est pas une création de l’Etat français, même si cet Etat à sa responsabilité (qui n’est pas exclusive) dans l’affaiblissement du breton (et du gallo). Cette frontière à d’abord été géographique, avant d’être sociale. Et les Ducs de Bretagne, ainsi que la haute noblesse furent les premiers à abandonner le breton.

      Un petit lien sur l’immigration bretonne en Armorique.


  • ASINUS 11 avril 2009 11:26

    @ masuyer trugarez pour le chant , je ne meconnais pas les errements du nationalisme breiz un de mes grand oncles est passé directement de stur a la
    charlemagne a contrario un de ses cousins a finis dans un fossé raflé et fusillé du coté de Kemper . Nos elites ont foutus le camp ou plutot choisis leur camp la nature ayant horreur du vide face a la deseperance il reste quoi ?l irédentisme qui a toujours eté latent au bro breiz et la soufrance sociale un coup de shaker et vous obtenez au mieux des luttes sociales a identité regionale au pire un national ou regional socialisme mais est ce le pire ? la disparition comme entité geographique culturelle sociale identitaire nest ce pas cela le pire ?


  • Bois-Guisbert 11 avril 2009 12:25

    Je me rappelle d’une affiche d’Adsav, représentant le minaret d’une mosquée surplombant un village et légendée : « Ca c’est la France, la Bretagne c’est autre chose ».

    Il faut être complètement à la masse pour croire qu’on peut défendre l’identité bretonne sans s’opposer radicalement à l’immigration alterculturelle ! Qu’elle soit de matrice musulmane, animiste, hindouiste, vaudou, bouddhiste ou raélienne, elle est également déplacée !


    • masuyer masuyer 11 avril 2009 13:20

      Bois-Guibert,

      l’identité bretonne est-elle même le fruit d’une immigration alterculturelle. Renseignes-toi mon grand. Quant à la religion chrétienne, c’est pas un truc importé de contrées asiatiques bien loin de nos clochers ?


    • Bois-Guisbert 11 avril 2009 19:49

      « l’identité bretonne est-elle même le fruit d’une immigration alterculturelle… »

      Et c’est pour cela qu’elle ne mérite pas d’être défendue contre la tiers mondisation et l’arriération qu’elle induit ? Ben merde alors !

      « Quant à la religion chrétienne, c’est pas un truc importé de contrées asiatiques bien loin de nos clochers ? »

      Et c’est pour cela que notre culture ne mérite pas d’être défendue contre l’islamisation et le supplément d’arriération qu’elle induit ? Ben merde alors-bis !

      Si t’as l’estomac qu’il faut pour digérer de l’andouillette de Quimperlé et de la sauciss de Morteau à la viande d’ovins qui pue, nous sommes encore quelques-uns à qui cette perspective fout la gerbe !


    • masuyer masuyer 11 avril 2009 20:37

      Bois-Guibert,

      l’andouille de Guéméné, l’andouillette de Quimperlé ça n’existe pas. Je me demande contre qui il faut le plus défendre l’identité bretonne. Et pour le moment, l’acculturation de la Bretagne tient plus à la France que tu chéris tant qu’à une quelconque islamisation que tu fantasmes.


    • masuyer masuyer 11 avril 2009 20:44

      Bois-Guibert,

      la viande d’ovins qui pue

      Ouarf, j’y crois pas. Tu vas donc boycotter l’agneau pascal.

      T’es vraiment un marrant.

      Joyeuses pâques


  • Bois-Guisbert 11 avril 2009 23:58

    « ... une quelconque islamisation que tu fantasmes. »

    Comme je suis sûr que tu m’as tendu la perche pour que je la saisisse, je ne peux pas, au nom de notre vieille amitié, te décevoir. Donc :

    http://www.islamisation.fr/

    http://www.fdesouche.com/

    http://www.bivouac-id.com/

    Un lien chez nos cousins touchés, eux aussi, par les métastases :

    http://pointdebasculecanada.ca/

    La France en danger d’Islam :

    http://www.islamisation.fr/list/documents_a_telecharger/lefranceendangerdis lam.pdf (document à télécharger, 4 pages)

    L’Islam à l’école (rapport Odin) :

    http://www.islamisation.fr/list/documents_a_telecharger/rapport_obin.pdf (document à télécharger, 37 pages)

    L’Islamisation de la France, livre de Joachim Vélicas, éditions Godefroy de Bouillon, décembre 2006, 500 pages.

     Tu vas donc boycotter l’agneau pascal.

    Etant agnostique, je ne sacrifie pas à ce genre de traditions. Ce qui m’intéresse dans le catholicisme, ce sont les rôles sociétal et civilisationnel, le rôle religieux me paraît résolument secondaire. Et plus encore depuis Vatican II




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