vendredi 19 novembre 2010 - par
Le Dou en Islamisme et Capitalisme
Frappé par le capitalisme sauvage et la montée de l’islam politique, notre monde vie l’une des crises les plus fatales de son histoire. Il s’agit de deux fléaux armés de toute manigance destinée à nous tromper et exploiter. Le premier fléau est le néo-libéralisme, surtout depuis reaganisme, ne tarit pas d’éloges sur les l’éclipse du communisme en tant que le triomphe du monde " libre ". Le deuxième fléau est l’islam politique, monté au créneau par le capitalise américain pendant la guerre froide, s’impose au nom d’Allah. Il réclame qu’il n y de dieu qu’Allah et son dernier messager, Mohamed, est le seul à suivre donc l’État islamique sera universel.
Les dictatures communistes sont balayées l’une après l’autre à la fin de la guerre froide. Beaucoup de leurs dirigeants corrompus ne cédant pas la place à la démocratie rétablissent d’autres formes de régimes basés sur le capitalisme sauvage. Le nouveau mode de production et échange continue les intérêts de ces anciens et nouveaux nantis. En même temps, dans le monde islamique, d’ailleurs jamais démocratisé, les mouvements et régimes islamiques s’émergent. Leur mot d’ordre semble la baissasse de l’identité d’homme laïque et libre et surtout la dégradation des droits de femme dans la communauté musulmane, oumma. http://www.mideastyouth.com/2010/03/08/journee-internationale-des-femmes/.
Vivons –nous les symptômes d’un monde bloqué ? Acheminons-nous vers l’enlisement d’une longue alternance entre le capitalisme et l’islamisme qui uniquement favorisent des nantis et fanatiques de tous azimuts ? Subissons-nous une éclipse imposée par les capitalistes déchainés d’une part et l’islam politique d’autre part ? Alors, je me pose la question s’il n’y a pas certains liens entre ces deux fléaux de l’humanité. Ne se concurrenceront et ne collaboreront-ils pas à la fois ces deux nouveaux pôles du pouvoir sur le même train d’exploitation du corps et de l’âme de l’homme ? À mon avis, à part certains pays moins endommagés par le capitalisme sauvage ou l’islam politique, la baisse de vertu et la dignité d’homme sont les plus caractérises de ces deux pôles.
La perte d’influence de la solidarité internationale contre le capitalisme néolibéral et les mouvements islamistes ou parfois la combinaison de deux sous l’état d’islamo-capitalisme, tels que l’on voit sous les Mollah en Iran et les Scheiks aux pays arabes, renforce les difficultés accumulées que les citoyens de ces pays éprouvent. Capitalisme sauvage uniquement fondé sur la propriété privée des moyens de production et d’échange insiste sur la caractérisation commerciale de ses relations avec quiconque ; il en voit chez ces dirigeants corrompus des partenaires idéaux. Les faits montrent à quel niveau le capitalisme collabore avec le régime criminel des Mollahs. http://www.iranian.com/main/blog/jahanshah-rashidian/sanctions-contre-mollahs.
Que signifie alors être humain sans un sens de solidarité au vingt unième siècle ? Si ces difficultés aux citoyens de deux pôles ne sont pas écartées, elles marqueront une époque de l’histoire humaine où elles brassent les nouvelles formes d’extrêmes et d’autres catastrophes à venir.
Le capitalisme déchainé devient aujourd’hui le seul système de la domination après la chute du communisme. Il est tellement néfaste que l’exploitation de toutes les ressources du monde ne suffit pas à la reproduction des besoins primordiaux. http://www.clac2010.net/en/node/176.
La révolution technologique, les robots à l’usine, les ordinateurs aux bureaux ne sont pas forcement aux intérêts de la classe travailleuse ou bien au service du développement intégral d’individus libres et égaux. Ils poussent plutôt les intérêts d’une poignée de nantis au prix d’accumulation de diverses difficultés sur le dos de la société. http://www.lcrlagauche.be/cm/index.php?view=article&id=544:quest-ce-que-lexploitation-capitaliste&option=com_content&Itemid=53.
Le capitalisme tend à imposer un rapport unique, un nivellement, un code uniformisateur, une moralisation qui n’est pas forcement en contradiction avec les milieux les plus réactionnaires, les plus criminels et les plus islamistes du monde. Là, leur signification morale et leur sens humain ignorent la brutalité des Mollahs, la corruption des Scheiks, et la mégalomanie des rois musulmans— tous en effet des parasites de la société et des oppresseurs de leurs propres peuples.
Le capitalisme ne se casse pas la tête pour la violation des droits de l’homme ; par contre, il tire sur le volet les partenaires d’après les critères du marché où la loi de l’offre et de la demande qui devront assurer la rentabilité du tronc. Là, le choix cherche les goûts des Scheiks et Mollahs corrompus et ne ressenti jamais la douleur de leurs victimes. Pour les brigades des ressources des peuples opprimés, Il s’agit avant tout de toutes les ruses possibles pour empocher une part des gaspillages des Scheiks et Mollahs par le partage des exploitations pétrolières et la richesse nationales du monde islamique. Les brigades ne montrent jamais en un seul instant de remords face à leur complicité avec les oppresseurs, ils mentent, rétorquent, et relativisent pour maquiller le visage des oppresseurs et cacher le calvaire des peuple opprimés. http://www.partageinternational.org/approfondir/46_1_3.php.
Malgré des divergences politiques entre les Mollahs et les états capitalistes occidentaux, malgré le rejet total de la culture occidentale par les islamistes, les deux camps englobent une alliance stratégique. Ils sont tous les deux antisocialiste, anti-égalitaire et antihumain et ils partagent la même vision d’exploitation : à savoir, la croyance islamique traditionnellement favorise un mode de production injuste comme celle du féodalisme et capitaliste sauvage. Les deux camps farouchement opposent à la société égalitaire et non-discriminatoire. À part la question sur la forme et contenu de démocratie " marché ou islamique ", les deux pôles ont leur histoire, leur identité, et leur dogmatisme qui les allient. Ils étaient alliés pendant la guerre froide et ils le seront encore pendant l’exploitation de l’homme par l’homme.
Chaque phénomène social implique une conception. Sans elle, aucun mouvement social, aucun parti politique et aucune tendance ne s’épanouit guère. Changer la société commence par changer les normes, paradigmes, et les idées dominantes. Il faut une grande force de solidarité pour qu’une poussée populaire soit incarnée vers le changement profond dont la démocratie inconditionnelle, justice sociale, et la paix mondiale sont les fruits. Nous n’avons pas des ressources financières pour nos buts communs, nous n’avons pas beaucoup de médiats indépendants et de forces politiques à notre côté mais nous sommes très nombreux, nous sommes des peuples libres composés des démocrates, des laïcs, des femmes et d’hommes responsables. À commencer par nos ressources humaines, notre capacité intellectuelle et morale pour déjouer la manigance des fléaux capitaliste sauvage et islamiste barbare, nous devons relever les défis de ce duo, en islamisme et capitalisme, qui menace l’ensemble de l’humanité.
Les dictatures communistes sont balayées l’une après l’autre à la fin de la guerre froide. Beaucoup de leurs dirigeants corrompus ne cédant pas la place à la démocratie rétablissent d’autres formes de régimes basés sur le capitalisme sauvage. Le nouveau mode de production et échange continue les intérêts de ces anciens et nouveaux nantis. En même temps, dans le monde islamique, d’ailleurs jamais démocratisé, les mouvements et régimes islamiques s’émergent. Leur mot d’ordre semble la baissasse de l’identité d’homme laïque et libre et surtout la dégradation des droits de femme dans la communauté musulmane, oumma. http://www.mideastyouth.com/2010/03/08/journee-internationale-des-femmes/.
Vivons –nous les symptômes d’un monde bloqué ? Acheminons-nous vers l’enlisement d’une longue alternance entre le capitalisme et l’islamisme qui uniquement favorisent des nantis et fanatiques de tous azimuts ? Subissons-nous une éclipse imposée par les capitalistes déchainés d’une part et l’islam politique d’autre part ? Alors, je me pose la question s’il n’y a pas certains liens entre ces deux fléaux de l’humanité. Ne se concurrenceront et ne collaboreront-ils pas à la fois ces deux nouveaux pôles du pouvoir sur le même train d’exploitation du corps et de l’âme de l’homme ? À mon avis, à part certains pays moins endommagés par le capitalisme sauvage ou l’islam politique, la baisse de vertu et la dignité d’homme sont les plus caractérises de ces deux pôles.
La perte d’influence de la solidarité internationale contre le capitalisme néolibéral et les mouvements islamistes ou parfois la combinaison de deux sous l’état d’islamo-capitalisme, tels que l’on voit sous les Mollah en Iran et les Scheiks aux pays arabes, renforce les difficultés accumulées que les citoyens de ces pays éprouvent. Capitalisme sauvage uniquement fondé sur la propriété privée des moyens de production et d’échange insiste sur la caractérisation commerciale de ses relations avec quiconque ; il en voit chez ces dirigeants corrompus des partenaires idéaux. Les faits montrent à quel niveau le capitalisme collabore avec le régime criminel des Mollahs. http://www.iranian.com/main/blog/jahanshah-rashidian/sanctions-contre-mollahs.
Que signifie alors être humain sans un sens de solidarité au vingt unième siècle ? Si ces difficultés aux citoyens de deux pôles ne sont pas écartées, elles marqueront une époque de l’histoire humaine où elles brassent les nouvelles formes d’extrêmes et d’autres catastrophes à venir.
Le capitalisme déchainé devient aujourd’hui le seul système de la domination après la chute du communisme. Il est tellement néfaste que l’exploitation de toutes les ressources du monde ne suffit pas à la reproduction des besoins primordiaux. http://www.clac2010.net/en/node/176.
La révolution technologique, les robots à l’usine, les ordinateurs aux bureaux ne sont pas forcement aux intérêts de la classe travailleuse ou bien au service du développement intégral d’individus libres et égaux. Ils poussent plutôt les intérêts d’une poignée de nantis au prix d’accumulation de diverses difficultés sur le dos de la société. http://www.lcrlagauche.be/cm/index.php?view=article&id=544:quest-ce-que-lexploitation-capitaliste&option=com_content&Itemid=53.
Le capitalisme tend à imposer un rapport unique, un nivellement, un code uniformisateur, une moralisation qui n’est pas forcement en contradiction avec les milieux les plus réactionnaires, les plus criminels et les plus islamistes du monde. Là, leur signification morale et leur sens humain ignorent la brutalité des Mollahs, la corruption des Scheiks, et la mégalomanie des rois musulmans— tous en effet des parasites de la société et des oppresseurs de leurs propres peuples.
Le capitalisme ne se casse pas la tête pour la violation des droits de l’homme ; par contre, il tire sur le volet les partenaires d’après les critères du marché où la loi de l’offre et de la demande qui devront assurer la rentabilité du tronc. Là, le choix cherche les goûts des Scheiks et Mollahs corrompus et ne ressenti jamais la douleur de leurs victimes. Pour les brigades des ressources des peuples opprimés, Il s’agit avant tout de toutes les ruses possibles pour empocher une part des gaspillages des Scheiks et Mollahs par le partage des exploitations pétrolières et la richesse nationales du monde islamique. Les brigades ne montrent jamais en un seul instant de remords face à leur complicité avec les oppresseurs, ils mentent, rétorquent, et relativisent pour maquiller le visage des oppresseurs et cacher le calvaire des peuple opprimés. http://www.partageinternational.org/approfondir/46_1_3.php.
Malgré des divergences politiques entre les Mollahs et les états capitalistes occidentaux, malgré le rejet total de la culture occidentale par les islamistes, les deux camps englobent une alliance stratégique. Ils sont tous les deux antisocialiste, anti-égalitaire et antihumain et ils partagent la même vision d’exploitation : à savoir, la croyance islamique traditionnellement favorise un mode de production injuste comme celle du féodalisme et capitaliste sauvage. Les deux camps farouchement opposent à la société égalitaire et non-discriminatoire. À part la question sur la forme et contenu de démocratie " marché ou islamique ", les deux pôles ont leur histoire, leur identité, et leur dogmatisme qui les allient. Ils étaient alliés pendant la guerre froide et ils le seront encore pendant l’exploitation de l’homme par l’homme.
Chaque phénomène social implique une conception. Sans elle, aucun mouvement social, aucun parti politique et aucune tendance ne s’épanouit guère. Changer la société commence par changer les normes, paradigmes, et les idées dominantes. Il faut une grande force de solidarité pour qu’une poussée populaire soit incarnée vers le changement profond dont la démocratie inconditionnelle, justice sociale, et la paix mondiale sont les fruits. Nous n’avons pas des ressources financières pour nos buts communs, nous n’avons pas beaucoup de médiats indépendants et de forces politiques à notre côté mais nous sommes très nombreux, nous sommes des peuples libres composés des démocrates, des laïcs, des femmes et d’hommes responsables. À commencer par nos ressources humaines, notre capacité intellectuelle et morale pour déjouer la manigance des fléaux capitaliste sauvage et islamiste barbare, nous devons relever les défis de ce duo, en islamisme et capitalisme, qui menace l’ensemble de l’humanité.