mardi 3 mai 2005 - par dark planeur

Les ’Aristos’ de Typepad, les ’Sauvageons’ de Skyblog et les français d’en bas ’d’Overblog’...

La Blogosphére est un bon instantané de la France contemporaine.
Il existe déjà une fracture sociale entre les blogueurs, voyez plutôt :

Typepad

Les Aristocrates du domaine de Typepad

Les Aristocrates du domaine de Typepad sont des blogueurs professionnels (ils payent cher pour être publiés lol) , la mission qu’ils donnent à leur blog est principalement professionnelle. Leur blog est là pour démultiplier leur réseau et faire passer leur idéologie marketing.
L’Aristo de Typepad a souvent une haute estime de ses productions « bloguesques ». Il respecte ses cousins Typepadiens (attention aux unions consanguines) et avoue une allégeance totale à son roi Loic Premier
Certains journalistes de gauche accusent les Aristocrates de Typepad d’être une armée secrète à la solde de Sarkozy.

Loiclemeuropti

Le roi Loic I est solidaire avec les "Français d’en bas" d’Overblog, il porte des vestes moches et vintage datant de la Nouvelle Économie

Skyblog

Les Sauvageons de Skyblog

Le Sauvageon de Skyblog est jeune, sans foi, ni loi et en plus il paye pas d’abonnement !
Nombrilliste convaincu, il ne parle que de sa vie privée (le taff ? Pour quoi faire) en toute transparence.
Ses ambitions : impressionner sa tribu, baiser sa voisine de cours et passer à la Nouvelle Star et rentrer après le BAC dans la fonction publique.

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Le blog N°3 de Skyblog : Miss Madesasa, intégralement dédié aux jujus Olsen ! Non PeeWee elles ne sont pas nues dedans !

Overblogcom

La France d’en bas d’ Overblog

Les prolétaires de la Blogosphère, les pauvres blogueurs doivent supporter des maintenances permanentes, une absence de statistique depuis des semaines et surtout sont condamner à passer tous les jours sur la homepage d’Overblog, soit le plus grand hommage jamais réalisé à la culture graphique de l’ex USSR.

L’Overbloguien est un anti mondialiste convaincu, il voit le Typepadien comme l’ennemi capitaliste à abattre, ce qui ne l’empêche pas de s’incruster sans payer aux fêtes de la jeunesse aristocrate.




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