samedi 22 février 2014 - par CHALOT

La mort programmée des petits collèges publics !

Après le collège Pasteur situé au coeur du quartier populaire du Stanilas de Tours où la résistance s'est organisée ( image jointe à l'article) c'est un nouveau collège public qui est menacé de fermeture !?

La mort programmée des collèges publics non « rentables »

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Le peuple de gauche a vu un président « socialiste » mettre en vie « un pacte de responsabilité » qui conduit le gouvernement à supprimer d’ici 2017 les cotisations sociales patronales versées à la branche famille de la Sécurité Sociale.

Le peuple de gauche quelque peu écœuré a entendu François Hollande annoncer que d’ici à la fin du quinquennat il poursuivra la même politique afin de réaliser « 50 milliards d’euros d’économies supplémentaires » !

Evidemment que Sarkozy aurait fait pire, mais on n’a pas voté pour qu’un président « socialiste » mène une politique de liquidation des acquis issus du programme uni de la résistance !

L’annonce est claire, la politique totalement libérale tourne le dos aux aspirations de ceux et de celles qui ont voté Hollande en 2014.

Comme des petits soldats, des majorités « socialistes » départementales, embrayent et mènent la même politique d’austérité aux niveaux de responsabilité qui sont les leurs.

C’est ainsi que dans le département d’Indre et Loire, le Conseil Général à majorité PS-PCF- verts a décidé de fermer le collège Paul Valéry à Tours Nord.

Comme l’explique la Libre Pensée de ce département :

« Austérité ! Vaches maigres dans l’enseignement public et pour les 56 collèges publics d’Indre-et-Loire ! Mais les mêmes principes ne s’appliquent pas aux collèges privés confessionnels catholiques ».

C’est ahurissant mais c’est ainsi.

L’enseignement privé à caractère propre fait ce qu’il veut avec les fonds publics que les collectivités sont tenues de leur verser.

Mais qui oblige le Conseil Général à verser des subsides à des collèges privés de moins de 300 élèves ?

Est-il tolérable que le département fasse fermer les collèges publics de moins de 300 élèves et finance largement les collèges privés qui ont très peu d’effectifs.

Sur les 17 collèges privés catholiques, un seul dépasse les 500, 9 n’atteignent pas les 300 élèves et trois sont aux alentours de 100.

La mobilisation du terrain va réussir, nous l’espérons à empêcher la fermeture de ce collège mais d’autres sont dans le collimateur d’une majorité qui a remplacé le baromètre politique par un thermomètre numérique qui lui a fait oublier les engagements laïques d’hier !

La majorité du Conseil Général doit se ressaisir : maintenir et soutenir les collèges publics même de petits effectifs, ne verser aux collèges privés que l’obligatoire et se prononcer contre le financement public des établissements privés confessionnels.

Jean-François Chalot



28 réactions


    • Pere Plexe Pere Plexe 23 février 2014 09:17

      Des abrutis ? Non ! (sauf quelques uns bien sur)

      Mais des manipulateurs qui ignorent royalement les réalités et construisent des édifices « intellectuels » qui ne sont que des projections de dogmes libéraux érigés en vérités intangibles...en traitant au passage leurs opposants d’indécrottables doctrinaires...

  • non667 22 février 2014 12:28

    ça y est chalot est content il a sa ration quotidienne de curé ! smiley smiley smiley smiley


  • sandre08 22 février 2014 13:40

    Dans les ardennes,fermeture de deux collèges : Buzancy et Le Chesne .


    • TOUSENSEMBLE OU L ECUREUIL ROUGE TOUSENSEMBLE OU L ECUREUIL ROUGE 24 février 2014 09:33

      IL Y A 15 ANS QUE LES SYNDICALISTES VOUS PARLENT DE L AGCS privatisation a tout crin

      - écoles c’est en cours
      - hopitaux ca se privatise.....bien
      - maisons de retraite ca va mal en route ves les mouroirs

      MAIS CHAQUE CITOYEN Y PENSE......A LUI D ABORD  !!!!!!!!!!!!!!!!!!


  • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 22 février 2014 13:51

    Faudrait fermer Henry IV et Louis le Grand ...


  • lsga lsga 22 février 2014 13:56

    Une excellente nouvelle. Le rôle réactionnaire joué par l’éducation centralisée et jacobine est une des causes principales de la disparition du communisme en France. 

     
    Les professeurs sont devenus des bureaucrates au service de la Nation Impérialiste Française. Eux qui se prétendent tellement « de gauche » sont ceux qui ont poussé le jeune prolétariat issus de l’immigration dans les bras de la réaction. 
     
    Quand tous ces connards de bureaucrates protégés par les l’État Providence Bismarckien se retrouveront de nouveau dans la même classe sociale que le reste du prolétariat, alors peut-être pourront-ils à nouveau, comme dans les années 60, enseigner la Révolution plutôt que le programme bourgeois nationaliste. 

    • jaja jaja 22 février 2014 14:15

      En 60 j’avais 11 ans et les profs non seulement ne nous enseignaient nullement la Révolution mais ils nous amenaient tous les 11 novembre au cimetière pour l’armistice de 14-18. avec force de drapeaux bleus, blancs et rouges ..la grande boucherie impérialiste célébrée par l’Éducation nationale avec présence obligatoire, tous en rangs d’oignons comme des cons...
      Avec ta cocarde tu aurais eu un bon-point.... (T’as pas fini de dire des conneries)

      Qui se souvient parmi les vieux ?


    • lsga lsga 22 février 2014 14:37

      yep t’as raison, pas de nostalgie, mais les profs issus de 68 (donc en fait, plutôt années 70) ont été impliqués quelques années dans l’enseignement de la théorie révolutionnaire.

       
      Depuis, les enseignants se contentent de transmettre l’éducation bourgeoise et nationaliste. Les profs d’Histoire et de Français en particulier. La vision manichéenne qu’ils donnent de la seconde guerre mondiale (les gentils alliés contre les méchants nazi) est totalement idéaliste et bourgeoise. La nature jacobine, étatiste, centralisée de l’Éducation Nationale les pousse sur cette voie. 
       
      Des profs qui font de la propagande marxiste durant leur cours, j’en ai croisé très peu. La plupart étant satisfait du confort qui leur est apporté par l’État Providence Bismarckien préfèrent rester à leur place et se cantonner au programme bourgeois nationaliste. 
       
      La révolte prolétarienne de 68, certainement à cause de l’influence réactionnaire de l’impérialisme de l’URSS, a dérivé en une forme Bismarckienne : défense de la Nation et de l’État Providence. 
       
      Aujourd’hui, le Nationalisme sous sa forme fasciste est en train de revenir. On ne rigole plus : il est temps pour les communistes de redevenir vraiment communistes, et de s’opposer le plus énergiquement que possible à l’État Providence qui n’est possible que dans un cadre colonial. 

  • claude-michel claude-michel 22 février 2014 14:03

    (La mort programmée des petits collèges publics)....C’est aussi et surtout la mort programmée de la France... !


    • lsga lsga 22 février 2014 14:39

      tout à fait ! et c’est précisément pour cela que c’est une excellente nouvelle. 

       
      « LA » France est une entité artificielle, qui a écrasé les nations naturelles que sont les régions, et qui a permis à la bourgeoisie d’organiser le colonialisme et l’impérialisme. 
       
      Que la France et sa bourgeoisie nationale crèvent la gueule ouverte. Notre Patrie : c’est le prolétariat. 

  • Francis, agnotologue JL 22 février 2014 14:05

    Je soutiens cette initiative, CHALOT,

    Mais vos conneries ABCD-LGBT, il faut reconnaitre que ça n’aide pas !


    • lsga lsga 22 février 2014 14:40

      et oui... les réactionnaires soutiennent l’État Providence et la gestion bureaucratique de l’éducation. C’est en effet le meilleur moyen pour vous de contrôler le contenu de l’enseignement. 


    • Francis, agnotologue JL 22 février 2014 15:33

      Isga,

      faut-il vraiment vous mettre le nez dans vos contradictions, et par conséquent démontrer l’ineptie de votre post ci-dessus ?

      Non, hein ? Je suis sûr qu’en vous faisant violence, vous serez capable de comprendre tout seul.


  • Robert GIL ROBERT GIL 22 février 2014 15:13

    Depuis ces dix dernières années les différentes réformes de l’Education Nationale n’ont eu qu’un seul but, son intégration sur le marché très porteur du projet néolibéral en matière d’éducation. Peu à peu, l’on prépare le passage d’une école publique à des structures privées.........

    voir : L’ECOLE EST FINIE


  •  C BARRATIER C BARRATIER 22 février 2014 17:07

    Oui, oncle Archibald, le contrat d’association oblige communes, conseils généraux, conseils régionaux, à financer à égalité chaque enfant du public et chaque enfant du privé. Le hic est que dans le contrat d’association (loi DEBRE) l’enseignement du fait religieux devait être facultatif. Depuis 1999 l’enseignement privé catholique oblige ses écoles, collèges, lycées catholiques à enseigner la religion à tous, ils disent « à la proposer de manière adaptée » …

    Ecole privée catholique et mission évangélique

    http://chessy2008.free.fr/news/news.php?id=142

    Côté financements, la loi interdit bien qu’un élève du privé soit davantage bénéficiaire de fonds publics que chaque élève du public, mais elle n’est pas respectée, et aucune sanction ne se produit jamais. Par exemple dans ma commune, un élève du privé ressortissant de la commune recevait deux fois plus de fonds communaux que ne dépensait un élève du public jusqu’en 2008 inclus, par ailleurs, pour un prix de revient de l’accompagnement cantine qui revient pour le groupe accompagné à 2700 euros à l’école privée, la commune versait jusqu’en 2008 8000 euros, ensuite 4000, puis davantage en 2013 (année pré électorale). Voir mon recours

    Recours gracieux sur utilisation de fonds publics

    http://chessy2008.free.fr/news/news.php?id=250

    Enfin, l’école privée reçoit des subventions de fonctionnement en fonds publics que ne reçoit pas une école publique, ce qui fausse la parité.

    Déjà en postes Ecoles privées et fonds publics injustement répartis

    http://chessy2008.free.fr/news/news.php?id=234

    Mais aussi des subventions de conseils généraux, de députés sur les fonds publics de leur « réserve parlementaire », de fondations délivrant des reçus fiscaux,…ces fonds publics là, le public n’en voit pas la couleur. Autre exemple : un élève du privé reçoit en taxe d’apprentissage (fonds publics) deux fois ce que reçoit son homologue du public, les centres de formation d’apprentis étant par ailleurs à égalité financés par les Régions.

    C’est long, j’ai naïvement dénoncé tout cela à l’arrivée d’Hollande. C’est ici

    Nouveau gouvernement : stop au gaspi et aux illégalités

    http://chessy2008.free.fr/news/news.php?id=214

    D’une manière générale, vu le niveau de dignité sociale des parents d’élèves de l’école privée il est exclu pour eux qu’ils ne reçoivent que ce qui est dépensé pour le public.

    Tout ceci se fait dans l’opacité, les parents d’élèves du public n’en savent rien, il est vrai que les parents d’élèves du privé suivent mieux ces questions qu’eux : il ne s’agit pas de la même famille de pensée. On a vu les APEL (associations de parents d’élèves de l’école libre) inviter leurs ouailles aux manifestations anti mariage pour tous et aux manifestations opposées  à l’égalité entre les filles et les garçons qu’ils faisaient semblant de confondre avec la similitude, ce qui n’a pas de sens.

    Il n’y a qu’une logique dans tout cela : la privatisation des services publics et la fin de la République  de la liberté de conscience et de l’égalité.e publique, ce qui fausse la pa


    •  C BARRATIER C BARRATIER 23 février 2014 17:08

      Pour moi, dans ma famille, il y a beaucoup d’aquaintances pour le pivé catholique que nous connaissons de l’intérieur. Actuellement il y a une reprise en mains pour que ce ne soit pas le même public qu’à l’école publique, on a le droit de choisir ses élèves, on fait donc des promotions destinées à la classe sociale dominante.
      Nous avons chaun nos vues en direct


    • spartacus spartacus 24 février 2014 10:21

      Qu’il est drole Baratier


      Un type qui vivent dans l’inégalité de droits sociaux, et qui se plaint, que sa « corporation » dispose d’un peu moins qu’un collège privé dans son patelin.

      Le maître nageur qui ne sait pas nager essaye d’apprendre à nager aux autres.
      Le privilégié est jaloux des privilèges des autres !....sic...

      Va t-il au nom de son « auguste croyance qu’il est symbole du bien » réclamer le droit social égalitaire et un alignement des ses conditions sociales sur le privé ???

      En belle hypocrisie corporatiste des profs réunis gauchistes, l’égalité c’est pour tous les autres sauf pour soi ? 

    • Danièle Dugelay Danièle Dugelay 22 février 2014 20:10

      @ Tonton Archibald
      L’avenir des enfants n’est pas d’ingurgiter des dogmes religieux dont on leur apprend qu’ils sont par nature et par essence véridiques et non modifiables. L’obscurantisme
      ne peut pas aider à la maîtrise de la méthode de la recherche scientifique, ni à l’exercice du jugement personnel, de l’esprit critique, de la contestation, de l’esprit créatif.
      Cet article est bien conforme à la politique qui consiste à placer dans la zone marché toute activité qui peut l’être ou le devenir. L’école en fait partie. Dans certains états des USA, ils ont presque fini le travail et sont obligés de faire marche arrière car les rares écoles publiques qui restent sont devenues de vrais ghettos de la misère et de la violence. La sécurité n’est plus garantie dans les quartiers alentour. C’est cela l’égalité dont parlent certains commentaires ?
      Ne pas oublier non plus que les écoles privées sont payantes soit en tant qu’écoles, soit en tant qu’associations dont les adhésions s’élèvent à des prix faramineux. Par contre, je connais des professeurs qui n’ont pas réussi à passer le concours d’entrée des enseignants qui arrivent à se placer dans le privé. Là encore, dans les deux cas, pas d’égalité.


    • Pere Plexe Pere Plexe 23 février 2014 09:26

      Merci Danièle d’apporter un peu de factuel .Même si je ne crois pas un instant que les manipulateurs confortablement installés dans leurs posture idéologique en tiennent compte.


  • Mowgli 22 février 2014 23:00

    Isga : « Notre Patrie : c’est le prolétariat. »

    Allez, tous en choeur :

    Avanti, l’popaul haut,
    Bandera haut, ça
    Bandera haut, ça

    (chant viril)

    Demain l’Internationaaa-le sera
    Le j’enrhume un
    ATCHOUM !

    (chant rhumé)


  • Plum’ 22 février 2014 23:16

    Au delà de ce délabrement du service public, il y a l’absurdité écologique qui consiste à obliger des enfants à prendre le bus ou la voiture pour aller en périphérie alors qu’ils pourraient aller à l’école à pied ou à vélo à côté de chez eux. A croire que plus il y a de densité, plus on supprime de collèges ! Et ces imbéciles de politiciens osent nous faire la leçon sur les plans climat et la diminution des gaz à effets de serre...

    En détail ce qui se passe à Tours pour le collège Pasteur (tranformé en « ghetto » par le maire cumulard mis en examen Jean Germain) et le collège Paul Valéry (avec le gros mensonge de son sbire président du conseil général) : http://pressibus.org/pasteur et http://aquavit37.fr/2013pasteur

  • eric 23 février 2014 08:52

    Et ce n’est qu’un début. Dans toute la France, l’Éducation nationale et ses syndicats co-gerant, on organise un système a deux vitesses.
    http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/le-rapport-obin-courageux-mais-peu-15843
    Jusque dans les gros bourgs ruraux.
    Un établissement avec les bons profs et les bons élevés, enfants de profs et de riche. Un établissement dépotoir avec les gosses de pauvre et les profs débutant ou mal notes.
    A coup de carte scolaire et de dérogation piston, l’homogénéité des deux types était a peu prêt préservée tout en les alimentant en élèves.
    Le prétexte ? La « mixité sociale ». Du flanc complet. D’une part, tous ceux qui ont les moyens d’y echapper y échappe. D’autre part, ce n’est pas un objectif pédagogique.
    Mélanger par exemple des enfants migrant aux familles non francophone avec des gosses de profs gaves de cours prives et pousse par les parents, c’est la garantie qu’au moins une partie n’aura pas une pédagogie adaptée a ses besoins propres.
    La vérité est que les profs veulent la mixité sociale pour les enfants des autres pour « éviter la reproduction bourdieusienne », mais surtout, cherchent a éviter les gosses de pauvres. C’est difficile, ils ne sont pas toujours disciplines, c’est moins gratifiant. Tous le système est prévu pour qu’au prix de quelques premières années en débutant a te taper les pauvres, tu puisse ensuite les fuir dans les bons établissements pour enfant sages.

    Les parents ont finit par comprendre et c’est la fuite. Rien ne les ramènera dans les écoles dépotoir.
    Et cela gagnera. Quand un établissement ferme, il faut bien recycler les gosses ailleurs.
    Déplacer le problème.

    C’est partout pareil dans le monde, Il vient d’y avoir des reportages sur un soit disant engouement soudain pour le français a New York.... Tu parles ! Les langues phare, c’est l’espagnol et le chinois. Si ton gosse fait du français, tu as des chances qu’il ne soit ni avec des latinos, ni avec des chinois...

    Il y aurait une solution : les meilleurs profs,mieux payes, des moyens maxi. dans les établissements a problèmes, avec des méthodes pédagogiques adaptées a des publics en difficulté. Des paasgesfacile de l’un a l’autre sans carte scolaire.

    les syndicats, jusqu’ici ont toujours réussi a s’y opposer avec succès. Égalité entre profs disent-ils.

    Le prive a de beaux jours devant lui et c’est la faute des gauches enseignantes.


    • eric 23 février 2014 20:05

      Demosthene, vous êtes un abrutis discourtois...le rapport que j’ai mis en lien a ete realise par 11 inspecteurs de l’education nationale dont beaucoup avaient bosse dans les cabinets ministériels sous Jospin. Ils offrent donc toutes les garanties....


    • eric 24 février 2014 08:01

      Je ne comprend pas comment vous avez pu vous laisser fourrer dan la tête ces idées et surtout comment vous parvenez a les préserver du réel.

      Depuis les 30 glorieuse, la dépense réelle par tête d’Élève a double. Le nombre d’agents publics a peu prêt aussi et leur niveau de recrutement s’est considerablement eleve, la part du pib consacre a la dépense publique s’est prise 10 a 15 points sur un pib croissant. Le tout avec une population en légère croissance.
      C’est a dire que les moyens du service public n’ont jamais été aussi élevés qu’aujourd’hui.
      Pendant les 30 « glorieuses » on a financé d’abord par la croissance. L’inflation ponctionne les revenus, en particulier salariaux, pas la « richesse passée » et en valeur absolue, pas en pourcentage, le pays s’est plus enrichi dans les 30 années qui sont suivie les 30 glorieuses.
      « Même le Nouvel obs » se rend compte que c’est bien une question d’allocation des moyens existant et que c’est la faute des syndicats. http://tempsreel.nouvelobs.com/education/20140221.OBS7316/comment-la-france-a-sacrifie-son-ecole-primaire.html...


    • eric 24 février 2014 08:51

      C’est quoi l’argument ou le fait dans ce fatras ?


  • lerenard lerenard 24 février 2014 08:34

    dois je dire que des familles modestes et pourtant athée choisissent de payer l’école libre parce que il y a encore une discipline alors que dans le public il n’y en a plus et que certain élève pourrissent la vie des autres au point même d’en pousser au suicide
    que la seule politique du privé et la réussite de chaque élève au bac peut être qu’on vas réussir à pourrir l’école privé mais c’est pas encore l’heure 


  • C'est Nabum C’est Nabum 24 février 2014 14:28

    Bonjour


    C’est justement dans les collèges de moins de 300 élèves que l’on peut encore espérer un enseignement de qualité.
    C’est bien pour ça qu’il faut les fermer quand l’ambition est de réduire à néant la démocratisation du savoir.

    Seuls des socialistes pouvaient oser ça ! 

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