jeudi 21 mars 2019 - par REMY Ronald

Le contre-projet de société « En Marge »

 

Difficile bilan officiel du Grand débat National avant prise des premières mesures « correctives » par le Président de la République et avant le nécessaire lancement des navettes parlementaires pour enclencher certaines réformes. Difficile synthèse également en provenance des Gilets jaunes et des citoyens massivement consultés dans chaque commune, tant les doléances sont parfois contradictoires.

Parce que présents dans chaque parti et au vu des informations récoltés, les « Bouledogues de la Républiques » sont donc dubitatifs sur les perspectives et la légitimité des décisions qui en sortiront. D’où le désir de VLC » (collectif électoral des chômeurs et précaires « Vaincre Le Chômage ») d’exprimer sa propre analyse synthétique, via le think tank « En Marge ». Au-delà de sa sensibilité sociologique particulière, « la France d’en bas et des sans dents » espère ainsi œuvrer à la concorde nationale en effectuant quelques propositions concrètes potentiellement consensuelles. Une base contractuelle partielle possible pour un futur rassemblement républicain ?

JPEG

Depuis 30 ans, nous avons largement la preuve que le système actuel de gouvernance « social libéral à la française » ne fonctionne pas.

Parfois sans formation technique spécifique ni expérience de la gestion d’entreprise privée, s’est développé un système de « pantouflage », de copinage, de cooptation et d’installation d’ENArques à la tête de grandes sociétés françaises. Cela est parfois perçu comme une forme subtile et institutionnalisée de corruption par entremissions ou cooptations (NB/ La France est en queue de peloton de l’OCDE au niveau corruption). Ce système opaque d’entre soi, souvent coûteux en rémunération, à grandement nuis à l’ingéniosité, à la créativité, à la productivité et à l’expansion de l’emploi industriel qualifié. Résultat : accumulation d’erreurs. Fermetures d’entreprises par manque de réactivité managériale sous le poids des concurrences internationales souvent déloyales (tant au niveau social, écologiques, administratives, normatives que fiscales). Délocalisation d’une partie des ateliers restants pour payer moins de charges sociales et de salaires. Déménagement de sièges sociaux pour payer moins d’impôts et taxes. Nouvelles vagues successives de perte de compétitivité par manque de budget recherche et d’investissement dans les nouvelles technologies. 70% de des emplois industriels détruits. Augmentation dramatique du chômage, des drames sociaux, du stress et des suicides. Clochardisation progressive de certains services publics (accélération des fermetures dans les campagnes). Hausse des taxes et des impôts pour penser l’accumulation des plaies sociales et tenter de mieux préparer l’avenir (souvent en vain : dans ce pathétique « pays de sans dents », une armée de 160.000 jeunes sortent de notre système éducatif sans diplôme chaque année ! Heureusement Agnès Buzyn /Santé et Jean-Michel Blanquer / éducation semblent vouloir sérieusement rectifier la situation).

 

Malgré l’un des engagements électoraux phares d’Emmanuel Macron, malgré le constant travail de porte à porte des militants LaREM (censés informer sa hiérarchie sur la colère montante des contribuables), malgré les nombreux signaux d’alarme tirés par « En Marge » depuis un an, l’aveugle augmentation fiscale du Premier Ministre Edouard Philippe a fait de la France la suicidaire championne du Monde des prélèvements obligatoires. Révolte des Gilets Jaunes (attendue et que nous jugions inévitable). Tardive rétrocession maladroite et partielle de 11 milliards d’Euros. Grand Débat National pour trouver enfin une solution collective rationnelle face au déficit budgétaire, à la baisse du pouvoir d’achat, et face au grave déclin économique, financier, social, culturel et éducatif du pays.

Après 3 mois de débats disparates et dépareillés sur les 30 dernières années de gestion peu glorieuse du pays, un immense travail récapitulatif a été tenté par la société informatique « Cap collectif », sous la houlette de 2 ministres et le contrôle de 5 personnalités « garantes » de son indépendance. (Paradoxalement, sans participation de la CNDP, la coûteuse Commission Nationale du Débat Public dirigée par Chantal Jouanno au salaire de 14.660 € brut par mois, payés par nos impôts).

 

Le think tank « En Marge » a décidé de diffuser ce texte complémentaire, en raison des propositions lues dans la presse, entendues à la télé ou aperçues sur les ronds-points, qui nous avons estimé insatisfaisantes. Ce n’est pourtant pas faute d’avoir tiré les signaux d’alarme et exprimé nos suggestions pendant et avant la crise des Gilets jaunes. Nous exposons donc un extrait de 8 de nos 14 propositions pour tenter de sortir notre pays du déclin : une dose complémentaire de concret, de pratique, saupoudrée d’une pincée de bon sens... L’objectif de ce résumé complémentaire non exhaustif est d’être pris en compte AVANT la 1ère série de mesures présidentielle et AVANT les prochaines navettes parlementaires.

 

1) Plafond institutionnalisé des prélèvements obligatoires.

Un « grand bouclier fiscal élargis » à tous les prélèvements obligatoires et à ne plus jamais dépasser. Débattue à l’occasion d’une sorte de « Grenelle », la ventilation sera régulièrement réactualisée avec les partenaires sociaux dans le cadre du plafond que le Parlement pourra par contre baisser (notamment grâce aux futures recettes provenant de la taxe « sociétale » sur les flux spéculatifs « dérivés »). Une Stabilité contractuelle enfin trouvée qui ne génèrera plus de jacquerie fiscale et de fuites des investisseurs français.

 

2) Encadrement « conditionné » du « pantouflage ».

En sus du meilleur encadrement conditionné du phénomène de pantouflage, ENArques ou pas, les hauts grands dirigeants d’entreprises seront responsabilisés sur les résultats. Les fameux faramineux « parachutes dorés » seront à l’avenir « indexés » sur les bénéfices boursiers certes, mais AUSSI diminués en raison des baisses de chiffres d’affaires et des licenciements (une dictature de la raison sur la rapacité des actionnaires)

 

3) Démocratie participative réelle, avec représentation des usagers dans les Conseils d’Administration des services publics (privatisés ou non). Voir l’atelier, site En Marche !

Sans cette représentation déjà expérimentée (notamment à l’éducation nationale), tout le reste n’est que bonnes paroles pour gogos. Même symbolique, cette représentation citoyenne peut empêcher les déviances administratives, limiter certaines erreurs de gestion, diminuer les disfonctionnements, les injustices, les gaspillages et… la corruption (une corruption qui nuit à l’image de marque de la France, plombe les budgets locaux ou nationaux et exaspère les citoyens en raison des hausses de taxes et d’impôts qui en découlent).

4) Orientation des flux financiers au profit de l’économie réelle, de la production de richesses et d’emplois. Comment ? Par la mini taxe « sociétale » sur l’achat des produits spéculatifs toxiques appelés « dérivés » (des paris non pas sur les chevaux ou le foot, mais sur les hausses ou baisses d’actifs boursiers ; un Himalaya de paris semi clandestins actuellement gérés hors bilan par les banques). De facto, les produits spéculatifs « dérivés », quitteront petit à petit le territoire ; l’épargne et les placements financiers s’investiront progressivement vers l’économie réelle. Avec un deuxième gros avantage : la recherche, l’investissement dans les entreprises « stratégiques » et les emplois « valorisant » seront boostés par la massive recette de cette petite taxe « sociétale » (NB/ Le flux financier alimentant l’énorme bulle spéculative est supérieur au PIB français !).

 

5°) Centrales nucléaires SANS URANIUM (au Thorium).

Un très vieux dossier qui mérite attention. Malgré les remarquables avancées technologiques en Hollande, Inde et Chine, le très décevant ex ministre de l’écologie Nicolas Hulot, reconnaissant ne pas bien connaître ce dossier, avait cependant rejeté le 18 Février 2018 une proposition de commission d’étude faite en séance parlementaire par le député Benoit Potterie (LaREM). Idem pour un simple budget de veille technologique. Comment la France peut-elle maintenir son niveau de connaissance nucléaire er son rang international, si elle décide (tel un cancre) de faire l’impasse sur toute une filière scientifique ? D’autant que la filière EPR a coûté 11 milliards d’Euros en 11 ans sans produire un watt d’électricité  ! Le tout sans débat, aux frais des citoyens et des usagers…

(Nous, les gueux, avons juste le droit de nous taire et de payer des hausses sans fin. En sus, le fisc français est le seul au Monde à avoir le culot de « tondre les moutons » avec une taxe sur les taxes !!! Là aussi, l’acceptation "bêlante" ne doit plus perdurer).

 

6°) Réforme du Coran.

Cela ne concernerait pas le Grand Débat National… Seuls des problèmes de « gaulois » par/pour les « gaulois » ont droit au statut de doléance. Même dans les cités et grandes métropoles où la majorité des bébés naissent musulmans, la réponse est « dégagez ».

 

La nécessaire adaptation coranique, pourtant recommandée par le prophète Mahomet lui-même, est déjà mise en pratique en Asie et dans l’Europe de l’ex empire ottoman. Contrairement aux affirmations des communautaristes ("idiots utiles", dirait Staline), la majorité des musulmans des Balkans mangent du porc et sont complètement laïcisés, sans être traumatisés.

 

Les précédentes réformes avaient regroupé des dizaines de textes (tous postérieurs à la vie de Mahomet, écrits sur des parchemins ou des peaux de chèvre). Initiées par les califes successifs, elles ont eu lieu il y a plusieurs siècles, de façon discrète ou avec grandes cérémonies rassemblant les oulémas (sunnites) ou Hojatolesl-am (chiites) des pays de « l’Oumma ». Ces réformes du Coran se sont accumulées via le processus des « Mansukhs » et « Nasikhs ». Des dizaines de variantes du Coran ont été détruites, surtout à partir du Calife Othmân (notamment le Coran d’Ali Abi Talib, gendre de Mahomet, celui d’Ubay ibn Ka’b, d’Abdul-lah ibn Mas oüd, etc.).

L’objectif de la future modernisation sera de rendre enfin compatible la dernière version du Coran avec les lois fondamentales de la République et des droits de l’Homme. Entre autres « améliorations », les phrases appelant au génocide de certaines catégories de peuples, ou à l’esclavage d’autres, seront clairement abrogés, « mansukhées ». (Info. : DAECH : Quelle solution contre la barbarie et l’islamophobie ?)

Toute future lâcheté des législateurs entrainera la fatale poursuite sans fin du sanglant et coûteux djihad islamiste aux dépens de nos Nations et aussi de l’Oumma elle-même (les 5 premiers Calife succédant à Mahomet ont été assassinés par des musulmans. Autrefois et aujourd’hui, plus de 90% des musulmans tués le sont par des musulmans. Pour Mahomet, l’Oumma incluait les juifs et les chrétiens. Jusqu’à sa mort, la majorité des amis de Mahomet étaient et sont demeurés juifs et chrétiens).

Une fois engagé le « processus de refonte du Coran », les extrémistes (déistes ou non), opposés à la réfor-me, y compris autochtones ou naturalisés, seront fermement invités à quitter le territoire.

 

7°) Une Europe dynamisée par des agences fédérales protectrices des Nations indépendantes.

Le bruit médiatique dû à la crise des Gilets Jaunes a étouffé l’urgent débat européen. D’un côté, des partisans du maintien béat, conservateur, aveugle, d’institutions Européennes figées, parfois dépassées par les évènements sur certains sujets, en retard d’une guerre contre les concurrences déloyales et l’immigration massive sauvage. De l’autre côté, des partisans du FREXIT, de l’abandon de l’Euro, de l’éclatement de l’Europe et du chacun pour soi face aux grandes menaces internationales. Nous soutenons une 3ème voie constructive, mobilisatrice et bien plus sécuritaire.

Plutôt que rechercher sans cesse en vain l’unanimité de 27 (et bientôt 30) pays, plutôt que subir la pusillanime dictature de bureaucrates et technocrates non élus, aveugles, ou juridiquement non compétents sur des dossiers importants, nous proposons une alternative libérant enfin l’initiative, la créativité, l’expérimentation au profit d’une avancée, d’un renforcement d’une plus grande efficacité et protection de l’union : Des agences autonomes regrouperont uniquement les pays désirant en faire partie. En raison des résultats obtenus, d’autres pays indépendants adhéreront. Des pays pourront sortir d’une agence sans être expulsés des autres institutions européennes. Donc sans vivre l’absurde situation des britanniques hésitant (avec bon sens) à subir un complexe et complet BREXIT.

A l’avenir, les débats de fond ne seront plus occultés par les hauts fonctionnaires européens et les gouvernements. Le Parlement Européen aura enfin son mot à dire sur nombre de dossiers, en imposant une meilleure transparence et gestion des institutions. Y compris sur le décrié Pacte de Marrakech ou sur le véritable rôle des agences EUROSUR et FRONTEX.

Exemple : Devons-nous tripler leur budget pour écarter radicalement tous les trafics humains et bloquer toute immigration illégale ? Ou bien faciliter les sauvetages en mer

(en complicité avec les passeurs) et tripler l’immigration sauvage ? Ou alors une troisième solution mixte, complétée, nécessitant l’accord de tous les pays méditerranéens ? 

Une dizaine d’idées d’agences autonomes potentielles s’annoncent déjà : Centre Européen de Formation Technique Militaire. Coopérative européenne d’armement. Centre européen de recherche appliquée sur les centrales au Thorium. Agence de collaboration et de soutien aux innovations protectrices de l’environnement. Agence européenne de développement des produits génériques de santé. Etc..

Les agences verront le jour en fonction des besoins, des moyens et de l’imagination des partenaires.

 

8°) Débat démocratique de principe AVANT les grands traités internationaux.

La moitié des pays européens (Russie, Autriche, Italie, Bulgarie, Croatie, Hongrie, Pologne, Serbie, Slovaquie, République tchèque, Suisse, Danemark, Pays-Bas, etc.) ont refusé ou sont revenus sur la signature de la fameuse « autoroute juridique » légitimant et facilitant l’émigration massive régulière. Le tant décrié Pacte de Marrakech a été signé en catimini par la délégation française le 19 décembre 2018. Sans interroger le Conseil Constitutionnel sur les implications juridiques pourtant reconnues par des chefs d’Etat, dont l’allemande Angela Merkel. Sans débat parlementaire. Sans consultations des français et de ses institutions démocratiques. Complot d’idéologues d’extrême gauche ? Complot d’ultralibéraux en vue de peser sur les salaires et faire plus de profit ? Si ce texte ONUsien divise tant l’Europe, c’est parce que des phrases sont jugées inacceptables, méritent analyse, débat et « améliorations ». Pourquoi diffuser plus tard un texte dans toute la presse européenne en prétendant relancer l’union des peuples d’Europe, si on ne fait pas le geste de les écouter et d’instaurer avec respect un début de dialogue ? Le refus de tout débat sur ce sujet (y compris pendant le Grand Débat National), est symptomatique, caricatural d’un mode de gouvernance autoritaire, autiste, dépassé, massivement rejeté par les citoyens. Une pseudo élite hors sol tente pourtant de l’imposer aux français par tous les moyens. Comme Richard Ferrand, parfait exemple du « mode de gouvernance politique à l’ancienne », qui a mené d’une main de fer le troupeau des nouveaux députés LaREM vers un suicidaire reniement électoral en matière fiscal, avec les conséquences et violences qui en ont découlé. Comme le calamiteux Ministre des Affaires Étrangères Jean-Yves Le Drian, notamment parce que responsable du sulfureux Pacte de Marrakech et abominable lors de son ignoble point presse du 19 Mars 2018e légitimant le martyr d’AFRIN par le tyran pro-djihadiste Erdogan (désirant pratiquer la même purification ethnique avec les autres régions kurdes)

Si son successeur se déclare en faveur du retrait de la signature Française de l’inacceptable Pacte de Marrakech, ou si le successeur du Premier Ministre accepte le principe de la représentation des usagers dans les Conseils d’Administration des services publics (privatisés ou non), et aussi de respecter l’engagement électoral phare d’Emmanuel Macron pour enfin baisser les prélèvements obligatoires, on en déduira que le « mode de gouvernance à la française » est peut-être en train de s’améliorer ; que nous n’avons pas vécu un vaste « enfumage » politique général cherchant à prolonger un système de gestion du pays à la fois inacceptable et inefficace. 

 

A propos de « l’atterrissage » concret (législatif) de ce vaste débat (tronqué ou non), je pose une question de principe, en caricaturant exprès :

Si 99% des français n’ont pas parlé de certains sujets difficiles, délicats ou « brûlants » (la faute aux médias, aux partis, etc., voire même la faute à personne), cela va-t-il institutionnaliser l’omerta ou l’oubli de dossiers « sensibles » ? Dans le cas où des statisticiens auraient une influence excessive et déterminante sur les futures décisions présidentielles, où se trouverait le courage d’initiative politique d’Homme d’État ? Comment naîtrait la bénéfique démarche visionnaire qui a rempli les meilleures pages de l’histoire de France ?

Le temps est-il venu d’enrichir et de compléter l’échiquier politique français avec un groupe d’union nationale de réformateurs déterminés provenant de divers partis de droite et de gauche ? Qu’en pensez-vous ?

 

 

« En Marge » :

Petit Think tank de quartiers populaires, accusé d’être à la fois la plus ancienne racine idéologique de la révolte Gilet Jaune et un solide soutien à Emmanuel Macron  ! Accusations exactes.

Le catastrophique Maduro et son hyper inflation crucifiant économiquement son peuple n’est pas du tout notre préférence (hurlements d’apparatchiks FI). Nous respectons les institutions françaises (hurlement de pro-VIe République) et préférons la démission du 1er Ministre (protestation d’apparatchiks LaREM) qui a ouvertement et systématiquement renié jusqu’au bout, « droit dans ses bottes » l’engagement électoral de baisse des prélèvements obligatoires. Au lieu de nous trouver au milieu d’une foule noyautée par des bannières « Macron démission » et des casseurs d’extrême gauche ou d’extrême droite (avec ou sans quenelles), nous (l’extrême centre, les « Bouledogues de la République » de tous partis, les exclus en révolte, avec une poignée de vieux « radsocs » et de quelques Gilets Jaunes pro-Macron) avons préféré, sans haine ni violence, distribuer sur les pare-brises des tracts de propositions concrètes consensuelles.

NB / Des ramettes de prospectus sont, comme d’habitude, à votre disposition à la permanence, 10 rue Edouard Lockroy Paris 11° (Métro Parmentier) 01 48 06 75 10

 



4 réactions


  • REMY Ronald REMY Ronald 21 mars 2019 10:07

    En raison du décès de 14 personnes dans mon proche entourage (maladie ou vieillesse), les relectures et corrections me sont devenues laborieuses. De 3 à 4 versions vaillamment discutées lors des dîners-débats du samedi soir, j’en suis arrivé péniblement à éditer la huitième version ici hier soir, et avec encore des coquilles !

    (alors que l’actualité n’attend pas).

    .

    Merci à feu mes amis et membres de ma famille m’ayant soutenu pendant un quart de siècle de convalescence. Merci Gérard, Yseult, Denyse, Georges, Bernard, Claude, Patrice, et tous les autres de m’avoir incité à poursuivre ensemble ce travail intellectuel et de m’avoir permis une sorte de renaissance intellectuelle. Vous me manquez terriblement. On l’a bien vu avec la précédente version que j’avais éditée ici trop précipitamment le 14 mai.

    .

    Merci aussi à vous, anciens ou nouveaux amis internautes, qui m’avez tiré les oreilles et incité par courriel à améliorer le texte. Castaner a eu droit à une « soufflante d’en haut ». Et moi, coïncidence, j’ai eu droit exactement au même moment à une amicale, chaleureuse mais très ferme soufflante de « mes amis d’en bas ». Merci à tous. Dans cette version plus courte, moins sopo, j’espère n’avoir oublié aucune de vos remarques et améliorations. J’espère que cette version est à la hauteur de votre soutien et apport. Preuve que je et que l’on travail mieux en groupe. Encore merci. Amicalement.


  • Francis, agnotologue JL 21 mars 2019 11:49

    ’’Depuis 30 ans, nous avons largement la preuve que le système actuel de gouvernance « social libéral à la française » ne fonctionne pas.’’

     

     Qui veut noyer son chien prétend qu’il a la rage.

     

     Ce système était bon ; la droite voulait le détruire . La mondialisation néolibérale est en train de l’achever.


    • REMY Ronald REMY Ronald 21 mars 2019 13:08

      @JL
      la France est devenue la championne du Monde des prélèvements obligatoires. Encore plus d’impôts, de charges et de taxes proposés à l’occasion du Grand Débat National.
      La France est le seul pays au Monde à avoir des taxes (TVA) sur les taxes !!!
      (regardez vos factures énergétiques)
      .
      Les hôpitaux et les écoles ne sont pas meilleurs qu’au Canada (que je connais bien) et qu’en Allemagne,
      => tout en coûtant 30% plus chers et
      => en produisant le plus grand nombre d’échecs scolaire de tout l’OCDE (160.000 par an !).
      .
      70% des emplois industriels perdus en 30 ans
      (gouvernements d’union de la gâche compris dans le lot des ENArques génocidaires industriels).
      .
      Etc. (beaucoup d’etc.)
      .
      Et vous dites que ce système était bon ??????
      .
      Un peu trop facile de tout mettre sur le dos d’Emmanuel Macron (effectivement entourés de très mauvais cobnseillers qu’il faut virer rapido, Premier Ministre « droit dans ses bottes jupéïstes » en tête).
      A+
      cordialement.


    • Francis, agnotologue JL 21 mars 2019 13:33

      @REMY Ronald,
       
       je sais tout ça. Et même j’ajoute : en 20 ans, le nombre de femmes vivant à plus de 45 mn d’une maternité est passé à 5 %.
       
      La France est en voie de tiers-mondisation.Mais je persiste et signe : Les gvts successifs de droite comme de gôche ne se sont pas contentés de dire que le chien a la rage : ils la lui ont injectée. Rappelez vous la grande gueule qui voulait « dégraisser le mammouth ».
       
       Macron n’est que l’héritier des ces gvts. En plus pressé.


Réagir