lundi 3 février - par LATOUILLE

Le PS et la censure, trahison ou fanfaronnade

Dimanche 2 février 2025, à l’heure où je mets la dernière main à ce billet les médias nous informent que François Bayrou aura recours au célèbre article 49-3 de la constitution. Quelle seront la position du PS et celle du RN ?

Lundi 3 février à 14h, je mets en ligne ce billet ; le PS et le RN n’ont pas encore décidé de leur position vis-à-vis de la motion de censure déposée par LFI.

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Incroyables socialistes qui ne présentent jamais d’objectifs ni de stratégie clairs et cohérents : un jour on vote la censure contre le gouvernement Barnier, le lendemain on ne vote pas la censure contre le gouvernement Bayrou (pourtant connu comme étant un roublard) et on négocie (sans ses partenaires) avec le gouvernement pour se donner une excuse pour éviter de voter la censure, puis vint un mot : la submersion migratoire, pas forcément stupide mais inopportun dans le climat politique et social actuel en France et, hop, voilà que les socialistes veulent à nouveau voter la censure, avant que ça ne change encore… Même si cette danse du scalp n’est pas complètement dénuée, sinon de bon sens, d’une teinte de stratégie politique, comment voulez-vous que le bon peuple, qui n’aspire qu’à une vie apaisée, s’y retrouve ?

En un mot : que cherche le Parti Socialiste ? À redorer une image déjà bien écornée par les deux septennats de François Mitterrand durant lesquels les valeurs socialistes ont été amplement noyées dans la soumission au monde de la finance sous-couvert de sociale démocratie[1]. Cette position idéologique voudrait qu’on puisse passer progressivement et sans révolution violente du capitalisme au socialisme, une définition qui peut si on n’approfondit pas l’analyse s’appliquer aux trois premières années de la présidence de F. Mitterrand. Après le renvoi, le 17 juillet 1984, du Premier ministre Pierre Mauroy et son remplacement par Laurent Fabius la teinte de sociale démocratie fut bien ternie et ouvrait grand la porte sinon au capitalisme du moins à une idéologie proche du libéralisme économique. Ainsi, après avoir « englouti » leur ennemi principal : les communistes, dans le Programme Commun de gouvernement, le PS mitterrandien avait les coudées franches pour mettre en œuvre une politique centriste, donc plus proche de l’idéologie « droitière » et conservatrice. À l’échéance du mandat de F. Mitterrand, en 1995, le PS représenté par Lionel Jospin arriva en tête au premier tour de l’élection[2] devant Jacques Chirac qui, au second tour, recueillit l’ensemble des suffrages de droite qui s’étaient dispersés entre plusieurs candidats notamment en raison de la présence d’Édouard Balladur. Les causes de l’échec du parti socialiste à l’élection présidentielle de 1995 sont multiples, variées et complexes, mais il en est une qu’il faut relever : le PS et le PC avaient perdu une grande partie du « vote populaire » qui pour une part non négligeable commençait à être attentif aux sirènes de Front National, ce dernier obtint 15 % des suffrages au premier tour ce qui le plaçait en quatrième position. Ces résultats marquaient la déception des électeurs face à un gouvernement qui n’arriva pas à enrayer les crises économiques et sociales du pays, et la prise de conscience par ces électeurs que le PS n’était plus le parti des ouvriers et des employés.

En 1981 ce fut l’accord passé entre le PS, le PC et les Radicaux de Gauche qui avait permis l’arrivée au pouvoir de la Gauche, le Nouveau Front Populaire présente une figure analogue bien que n’ayant pas permis de dégager une franche majorité il a assuré une position de leader et surtout permis de sauver le PS. Revenons en 2012 pour retrouver une situation semblable à celle de 1981 avec un écart moindre entre François Hollande arrivé en tête et Nicolas Sarkozy qui devance le troisième candidat : le Front National qui frise les 18 %. Si les communistes étaient absents de cette élection, une nouvelle force de gauche entrait en lice avec comme porte-étendard Jean-Luc Mélenchon représentant le Front de Gauche auquel participaient les communistes. Élu président de la République, François Hollande suivra, en l’empirant, la ligne politique de François Mitterrand. On vit apparaître des lois clairement en contradiction avec les valeurs du socialisme dont les plus emblématiques : la « loi travail » dite « loi El Khomri », et la réforme des retraites entre 2013 et 2014 conduite par Marisol Touraine. Ce qui eut pour effet d’aggraver la crise de confiance des électeurs vis-à-vis de la classe politique comme le relevait déjà Jacques Chirac en 1995 dans son livre programme[3] : « La France souffre d’un mal plus profond que ne l’imaginent les acteurs politiques, les responsables économiques, les intellectuels en vogue et les célébrités du système médiatique. Le peuple a perdu confiance. Son désarroi l’incline à la résignation ; il risque de l’inciter à la colère. Plus de la moitié de la population française n’est ni entendue ni défendue. Les ouvriers, les employés, les cadres, les professions intermédiaires, trame de notre tissu social et forces vives de notre pays, peuvent être sensibles aux sirènes de la démagogie. »

 

On peut voir à travers ce court résumé des péripéties politiques comment le parti socialiste a abandonné, au profit du monde de la finance, ses valeurs[4] et en même temps trahi ses électeurs. Que reste-t-il en 2025 de l’idéal socialiste ? Que reste-t-il de cet idéal tant le parti socialiste est prêt à abandonner ses partenaires « du moment électoral » pour aller, sous prétexte d’être une gauche et une opposition constructive, se compromettre avec son adversaire politique auprès duquel il quémande quelque menu fretin pour ne pas le renverser ?

Sans la coalition du Nouveau Front Populaire le parti socialiste aurait obtenu, vraisemblablement, moins de la moitié des sièges qu’il a obtenus en juillet 2024 ; doit-on conclure de l’attitude du PS qu’il n’a même pas une once de reconnaissance ? Si l’écart idéologique avec les autres membres de la coalition et notamment avec la France Insoumise est tel qu’on le présente aujourd’hui, raisonnablement le PS n’aurait pas dû s’aligner avec cette coalition. Il semble donc que le PS navigue entre deux moments de trahison : le premier en participant à la coalition du nouveau Front populaire alors que semble-t-il il n’en partageait pas l’idéologie donc en mentant à son électorat traditionnel, le deuxième en allant négocier avec l’actuel Premier ministre dont on connaît la capacité à lui-même trahir et mentir, il tourne le dos aux électeurs qui ont voté sur la base du programme du NFP.

Cette manœuvre semble purement électoraliste : le PS veut se positionner pour la prochaine élection présidentielle en souhaitant que celle-ci n’ait pas lieu avant 2027. Il veut se donner l’image d’un parti raisonnable et progressiste (ce qui n’est pas le cas depuis 1981), raisonnable et responsable en ne votant pas la censure (puisqu’on dit tant que voter la censure est un acte d’irresponsabilité), progressiste en confondant l’obtention de l’abandon de certaines mesures par le Premier ministre avec des propositions de progrès social. Comment les électeurs accepteraient que la remise en discussion de la loi réformant les retraites dans le cadre d’un carcan tel qu’il est proposé par F. Bayrou puisse représenter une quelconque proposition susceptible d’améliorer le bien-être de la société ? Comment pourraient-ils accepter que le renoncement à la suppression de quatre mille postes d’enseignants puisse représenter un progrès quelconque alors qu’en même temps les postes de contractuels ne sont pas renouvelées et que chacun sait bien que si on ne supprime pas ces postes cette année on les supprimera l’année prochaine (il y a là une question de cohérence budgétaire comme le rappelle Nicolas Baverez[5]). La base de négociation proposée par le PS n’est que de la poudre de perlimpinpin. Comment peut-il négliger qu’au-delà des babioles qu’il négocie, le budget prévoit la suppression de tout ce qui concerne l’écologie, qu’il ne prévoit pas d’amélioration du système hospitalier… et que plus globalement la politique envisagée par le Premier ministre est une politique défavorable aux plus vulnérables, déjà ce jour on apprend la suppression du Pass Culture collectif et des contrats du Service Civique… Mais le PS, marketing politique oblige, veut donner de lui une l’image « d’un parti responsable » comme le confirme la déclaration d’Olivier Faure le 16 janvier dernier alors qu’il tentait d’expliquer pourquoi son parti ne votera pas cette première motion de censure en se tournant vers les « forces de gauches » qui le chahutaient : « Si vous êtes gênés, prenez la parole après moi ! Si vous pensez que ce que je dis n’a aucun intérêt pour les Français, qu’ils ne sont pas heureux de voir une gauche qui propose, une gauche qui avance, une gauche qui fait céder le gouvernement, alors dites-le ! »

  • Qui propose : le PS voudrait, comme le gouvernement, rendre univoque la notion de proposition ; renverser un gouvernement dont on juge que son action est néfaste pour le pays n’estce pas une proposition ? Voter en faveur d’une motion de censure n’est pas un acte politique irresponsable contrairement aux discours malfaisants des conservateurs, il faudrait en débattre !
  • Qui avance : on peut avancer vers de multiples horizons, rien ne garantit que le PS avance dans la bonne direction ni dans le bon sens, en tout cas pas dans le sens de l’amélioration de la vie des Français les moins aisés (la France d’en bas aurait dit JeanPierre Raffarin).
  • Qui fait céder le gouvernement : en quoi le gouvernement cèdet-il vraiment ? Pas sur la réforme des retraites comme le souligne Nicolas Baverez[6] : « Un improbable « conclave » républicain est convoqué pour renégocier « sans tabou » la réforme des retraites… » Chacun a eu connaissance des conditions de fonctionnement de ce « conclave » et peut apprécier que « improbable » soit un mot faible pour décrire la supercherie gouvernementale.

Le PS n’a pas voté la censure le 16 janvier alors que ce choix ne faisait pas l’unanimité au sein du parti : « Personne n’était d’accord au parti. Ce n’était ni une question de courants, ni de générations, ni de circonscriptions. On était même tous un peu partagés à l’intérieur de nous-mêmes[7]. » Toutefois le matin du 16 janvier, à la suite d’une visioconférence avec les maires socialistes puis à la suite d’une réunion de groupe le rejet de la motion de censure a été majoritaire (53 pour le rejet / 10 contre) Nous pouvons donc raisonnablement penser que le PS ne votera pas la prochaine censure ( de février) qui fera suite, dans quelques jours, au recours par F. Bayou à l’article 49-3, bien qu’il ait laissé entendre le contraire : « On a obtenu des avancées pour les Français, après ça ne veut pas dire que c’est un chèque en blanc pour le gouvernement. On se réserve tout à fait de voter la censure lors du prochain 49-3[8] »

 

Ainsi, en négociant de couper la poire en deux dans un cadre où le partage n’est, d’emblée, pas équitable, pour ne pas censurer le gouvernement Bayrou, le PS oscille entre la trahison et la fanfaronnade. Entre un PS sénescent, un Premier ministre gonflé d’orgueil d’avoir enfin obtenu le poste convoité depuis des décennies et qui n’a d’objectif politique que de s’accrocher, et un président de la République dont l’ego, victime d’un narcissisme outrancier, est malmené et qui n’a plus comme ambition que de finir son quinquennat, on voit que dans ce marchandage entre le PS et Bayrou il n’y a d’objectif que de conforter chacun sur son perchoir et de flatter l’électorat de chacune des parties : « L’objectif de François Bayrou n’est pas de redresser la France, mais de durer à tout prix. Et cette durée, comme l’a souligné François Hollande, dépend entièrement du PS, qui entend mettre sa position au service exclusif de ses électorats. [...] En parfait accord avec Emmanuel Macron, dont la seule ambition se réduit à ne pas démissionner avant la fin de son quinquennat, François Bayrou a pris le parti d’installer la vie politique française dans une bulle faite de postures et de formules rhétoriques déconnectées du monde du XXIe siècle[9]… »

 

Il en est ainsi du socialisme qui bâtit sa stratégie politique sur des fondations trop souvent déconnectées des réalités du fonctionnement de la société et qui aujourd’hui n’a plus comme ambition que de maintenir autant que faire se peut les ruines de son château qui n’est plus qu’un échafaudage de cartes. Peut-être aussi veut-il aujourd’hui se détacher de la critique qu’on pouvait faire jadis du socialisme : « C'est pourquoi le socialisme n'a jamais pu acquérir la force de bâtir ; alors même que, sans le vouloir et sans le savoir, il suscitait chez ses adversaires cette force de construction, il ne comprenait pas les plans qui étaient proposés et les rejetait. Il n'a jamais été capable d'indiquer un but clair ; ses discours passionnés n'étaient qu'accusations et réquisitoires, son activité se bornait à l'agitation et à des procédés policiers[10]. »

Le parti Socialiste, comme opportunément les forces conservatrices, est sensible aux plaintes et autres jérémiades des associations et autres lobbies qui pleurent de risquer de ne pas voir leurs subventions arriver ; faut-il pour autant accepter une politique de misère ? Déjà en 1994 Jacques Chirac écrivait[11] : « Au lieu de gouverner, les hommes politiques se sont mis à communiquer en vase clos. Ils ont pris la pose devant les miroirs déformants des médias. L’obsession de leur image a orienté leur stratégie ; ils ont abandonné la sphère de l’action pour les mirages du narcissisme. Une esthétique de pouvoir a remplacé l’exercice du pouvoir, concédée à des entourages mondains, des experts technocratiques, des analystes financiers, des éminences lovées dans des cabinets ministériels plus habiles à flatter qu’à trancher. Peu à peu, des clans parisianistes ont pris le contrôle des leviers de commande de l’État, réduisant toute initiative à un effet d’annonce, la soumettant à l’appréciation des sondages, voire de la mode. D’où une dictature sournoise de l’émotion dans une atmosphère de cour, ou de bas‑empire, aggravée par une dérive monarchique dans le fonctionnement des institutions. » Si, le Parti Socialiste était une force de proposition responsable son but aujourd’hui serait de faire échec non pas au seul budget mais à l’ensemble de la politique du gouvernement Bayrou et de susciter un retour aux urnes en septembre prochain.

 

[1] Définition de « sociale démocratie » sur le site Équipe Perspective monde : Perspective Monde

[4] Les valeurs du parti socialiste sont assez bien résumées par Alain Savary dans son livre « Pour le nouveau parti socialiste » paru en 1970 : « Mais tout autant, la gauche, qui avait l'initiative du programme du conseil national de la résistance, fut ainsi à l'origine d'une profonde transformation des relations sociales. C'est à partir de ce programme que de grandes nationalisations furent faites, que la Sécurité sociale fut établie et que, prolongeant et amplifiant alors de 1936 la classe ouvrière se sentir enfin véritablement intégrée dans la Nation. »

[5] Nicolas Baverez, Durer quoi qu’il en coûte, Le Point, 23 janvier 2025.

[6] Nicolas Baverez, Durer quoi qu’il en coûte, Le Point, 23 janvier 2025.

[7] Mathieu Dejean, Pauline Graulle, Motion de censure, les socialistes préfèrent Bayrou au Nouveau Front Populaire, Médiapart, 16 janvier 2025.

[8] Mathieu Dejean, Pauline Graulle, Motion de censure, les socialistes préfèrent Bayrou au Nouveau Front Populaire, Médiapart, 16 janvier 2025.

[9] Nicolas Baverez, Durer quoi qu’il en coûte, Le Point, 23 janvier 2025.

[10] Rathenau, Walther. Où va le monde ? Considérations philosophiques sur l'organisation sociale de demain, Payot et C°, 1922.

[11] Jacques Chirac, La France pour tous, éditions NIL, 1994.



64 réactions


  • Eric F Eric F 3 février 19:18

    Bon, alors ils ont finalement décidé de ne pas voter la censure du budget, pour ne pas mettre en panne l’activité du pays.

    Comme il ne peut pas y avoir de nouvelles législatives avant l’été, renverser le gouvernement d’ici là , n’offre pas de perspective : on a vu qu’après Barnier, c’est Barnier-bis, en quelque sorte, il a juste lâché un peu plus de lest.

    Donc c’est du real-socialisme en quelque sorte


    • Octave Lebel Octave Lebel 3 février 19:46

      @Eric F

      Cherchez l’erreur. Je sais bien que c’est Marine qui l’a dit tout en disant que bien sûr elle faisait tout pour que Macron s’en aille parce qu’il avait failli à ses responsabilités et que  tout cela n’était pas démocratique (LCI,29/01/25).

      « Comme il ne peut pas y avoir de nouvelles législatives avant l’été, renverser le gouvernement d’ici là, n’offre pas de perspective » 


    • Fergus Fergus 4 février 11:41

      Bonjour, Eric F

      « du real-socialisme en quelque sorte »
      On peut l’appeler comme cela.
      Cela dit, pour une fois, j’approuve totalement la décision du PS de ne pas censurer car il était urgent de doter le pays d’un budget pour permettre le fonctionnement de nombreux rouages de l’état, des entreprises et des associations. Et cela même si ledit budget est évidemment très loin des attentes de la gauche.

      Une censure aurait entraîné un chaos dont nul ne peut dire ce qu’il en serait sorti.
      Comme vous le soulignez, « renverser le gouvernement d’ici (à l’été), n’offre pas de perspective », c’est donc l’attitude la plus responsable qui a été choisie, en attendant très probablement que le gouvernement Bayrou soit censuré par l’addition de toutes les voix de gauche et de celles du RN au moment où de nouvelles législatives pourront être organisées.


    • Eric F Eric F 4 février 14:49

      @Fergus
      En effet, le réalisme a conduit à prendre en compte l’inquiétude d’une grande partie de la population, de toute classe et situation, face à l’absence de budget. Le PS a pris cette option, et aussi le RN alors que les média qui lui sont hostiles affirmaient qu’il pratiquerait la politique du pire. Du coup ça relativise l’incontournabilité du PS. 


    • suispersonne 4 février 16:11

      @Eric F
      Parce qu’il est impossible de proposer un gouvernement différent de ceux confiés aux perdants ?
      Parce qu’il est déjà démontré son échec avant même toute proposition ?
      Parce que vous adorez les mensonges de l’extrême bourgeoisie LRNREZ ?


    • Octave Lebel Octave Lebel 4 février 17:31

      @Fergus @ Eric F

      Merci pour le spectacle de vos touchantes contorsions si prévisibles smiley

       

      La démocratie est un outil solide même confrontée à l’adversité de grands comédiens et petits politiciens et médias complaisants. Le NFP avait proposé un budget avec un travail parlementaire allant au-delà de ses membres et reconnu par de nombreux économistes. Et puis le RN et la macronie l’ont torpillé parce que cela n’arrangeait évidemment pas leur petits calculs électoraux et plans de carrière au service des oligarques du CAC 40 mais de plus en plus incertains et méandreux. Difficiles aussi à assumer en pleine lumière. Puis le RN, poussé dans le dos par une partie de son électorat, a du voter dans la foulée une motion de censure en mangeant son chapeau avant de voir tout une partie de son électorat prendre conscience de l’opposition de ses intérêts avec ceux défendus par l’état-major.

       

      « Cela dit, pour une fois, j’approuve totalement la décision ddu PS de ne pas censurer car il était urgent de doter le pays d’un budget pour permettre le fonctionnement de nombreux rouages de l’état, des entreprises et des associations... »


    • Octave Lebel Octave Lebel 4 février 18:20

      @Eric F

      La marchande des quatre  saisons smiley

       « En effet, le réalisme a conduit à prendre en compte l’inquiétude d’une grande partie de la population, de toute classe et situation, face à l’absence de budget. »

      La marchande des quatre saisons, pour la bonne marche de sa boutique et pour tenir ensemble des gens dont les intérêts s’opposent, a besoin de ritournelles susceptibles de plaire à tout le monde sans fâcher personne. Chacun étant susceptible d’y voir midi à sa pendule. Elle nous donne doctement, sans rire, 3 lignes rouges concernant son vote du budget (LCI, 29/01/25). À boire et à manger pour deux mondes dont l’un doit se serrer la ceinture pour que l’opulence de l’autre prospère.1.Protection du pouvoir d’achat 2.Lutte contre les fraudes et protection de nos entreprises 3. Lutter contre les impôts nouveaux. C’est formidable, mieux que du Hollande dont elle a pris des leçons visiblement, Bernard Arnault et le chômeur peuvent communier au même autel le temps d’une messe. Avec un détail, il semblerait que ceux de ses électeurs qui croient encore qu’ici on va sérieusement s’occuper du pouvoir d’achat et faire payer des impôts justes pour le bienfait de tout le monde commencent à ouvrir les yeux et à ruer dans les brancards. Ils ont compris que si on veut savoir à qui on affaire, la bonne vieille méthode consiste à, puisque ces gens se proposent à nos votes, confronter la réalité des votes de ces gens et leurs belles promesses et déclarations. En fait nous devrions tous toujours le faire et pour tout le monde.


    • Armelle Armelle 5 février 09:09

      @Eric F
      Au cas où vous ne l’auriez pas encore constaté, la panne d’activité est déjà là depuis un certain temps...


    • Fergus Fergus 5 février 09:10

      Bonjour, Octave Lebel

      Oui, et alors ?
      A un moment donné, il faut sortir de l’immobilité mortifère, la solution n’étant pas dans le chaos. 
      D’où la nécessité de laisser passer le budget, aussi injuste soit-il au plan social et vide au plan environnemental.
      Il y aura d’autres occasions de censurer le gouvernement Bayrou, et il ne fait aucun doute qu’il ne passera pas l’été !


    • Aristide Aristide 5 février 09:40

      @Fergus

      Vous virez votre cuti ?

      Allons, vous avez soutenu tous les mouvements qui se réclamaient révolutionnaires et anticapitalistes, du NPA aux Insoumis en passant par le PCF et autre...

      Voilà que vous avez trouvé votre chemin de Damas dans un réformisme socialisant, il vaut mieux tard que jamais…


  • L'apostilleur L’apostilleur 3 février 19:29

    Une seule issue pérenne pour le ps, une alliance socio-réaliste avec le rn et ceux qui seront perdus après le départ du Président... s’ils veulent bien du ps !!

    Sinon la traversée du désert risque de lui être fatale, avec Mélenchon qui ira chassé le socialiste avec un gros calibre smiley


    • Fergus Fergus 4 février 11:44

      Bonjour, L’apostilleur

      Mélenchon est enfermé dans sa stratégie de chaos  peu lui importe les intérêts de la nation dont il espère être le bénéficiaire, ce qu’il ne sera jamais tant il est devenu un repoussoir !
      Toute stratégie de chaos ne peut déboucher que sur l’arrivée du RN au pouvoir !


    • Aristide Aristide 4 février 15:50

      @Fergus

      RN auquel vous ferez barrage en votant Mélenchon s’il se retrouve au second tour…


    • Fergus Fergus 4 février 16:04

      Bonjour, Aristide

      Faux  ! Je ferai barrage au RN en votant pour n’importe quel candidat de gauche, du centre et même de droite dès lors que ce candidat ne sera pas Mélenchon ou l’un des extrémistes de sa garde rapprochée !!!

      Je ne veux plus entendre parler de cette clique de néostaliniens à la sauce guévariste. Et j’encourage tous les LFIstes qui ne se reconnaissent ni en Mélenchon ni en Bompard ni en Panot à, d’ores et déjà, jeter les bases d’un NFP hors de ces enragés qui n’ont, de toute façon, pas l’ombre d’une chance de gagner !


    • suispersonne 4 février 16:22

      @L’apostilleur
      Bien vu.
      Arlette Chabot (une groupie bien connue de jlm) avait sidéré tout le plateau de lci en disant : « jlm a gagné sur tous les tableaux ».
      Les zalliés inconsistants du nfp glissent sur le toboggan de leur trahison jusqu’à la fosse septique où ils vont disparaître.
      Qui devine les poids relatifs des forces en présence ?
      Après la défaite de 100% des sondages, la grosse déception de herrhaine, la raclée de hellère (qu’on retrouve triomphant dans ces gouvernements, visage hideux de la répression la plus bornée), la survie artificielle de la macronie, arcboutée sur le refus absolu de l’abrogation de la contre réforme des retraites, une possibilité de déclencher l’article 16, une épuration naturelle agit au sein de nfp.
      Et donc, lfi va disparaître ?
      Sans blague ?


    • Octave Lebel Octave Lebel 4 février 17:43

      @Fergus

      Vous nous confirmez que l’extrême-droite est la roue de secours de l’oligarchie du CAC 40 et de ses obligés. Ce n’était pas la peine, nous savons lire entre les lignes. Sinon pour ceux qui ont besoin de la caricature permanente du mouvement LFI et en l’occurrence de nos concitoyens s’y reconnaissant qui sont des citoyens de ce pays comme tout le monde, une bonne tartine de confiture pour nourrir le débat public et la réflexion politique .Que les gourmands se rassurent, le pot n’est pas vide et il en reste largement de quoi en tartiner pour un régiment.

       https://linsoumission.fr/2025/02/02/melenchon-rima-hassan-cnews

      → Des médias de Bolloré aux journaux de Bernard Arnault, de BFM TV aux plateaux de Martin Bouygues, chaque jour est une occasion supplémentaire pour constater la partialité des médias dominants et leur acharnement. 

      Indignations sélectives, censure, criminalisation des voix de la paix, choix partiaux des invités et sujets traités, désinformation, invectives constantes … Telle est la réalité du journalisme de cour et d’éditorialistes d’extrême droite prêts à tout pour imposer leur agenda idéologique et conserver une place au chaud.

       

      ● Le Point, propriété du milliardaire français François Pinault, a fait de l’eurodéputée de la France insoumise Rima Hassan l’une de ses obsessions. Durant le seul mois de janvier, au moins 12 articles exclusivement consacrés à la diffamer sont parus dans ce journal de propagande de Benjamin Netanyahu en France. Sans la France insoumise, ça serait le dépôt de bilan pour Le Point.

      Ce 30 janvier 2025, le directeur de publication du journal, un certain Étienne Gernelle, a publié un édito intitulé « Jean-Marie Le Pen est revenu, il s’appelle Rima Hassan  ». En traçant un trait d’égalité entre un tortionnaire négationniste, homophobe, misogyne multi-condamné d’un côté, et une militante pour le respect du droit international et du droit d’un peuple à exister de l’autre.

      ● Rapporteur de la commission d’enquête sur l’organisation des élections en France, le député de la France insoumise Antoine Léaument a pu le 30/01/25 interroger le président de l’ARCOM (régulateur du paysage audiovisuel français) au sujet d’une pratique courante des médias dominants. Concrètement, cela consiste par exemple pour une chaîne comme CNEWS à diffuser des discours de Jean-Luc Mélenchon en pleine nuit pour rééquilibrer artificiellement les temps de paroles des différents mouvements politiques. Des mots de son Président, les réponses de l’ARCOM à ces pratiques qui influent sur l’expression démocratique ont pour l’instant été de simples mises en demeure.

      ● Dans une ambiance morbide et de violence permanente contre la France insoumise entretenue par les médias et alors que Jean-Luc Mélenchon a déjà échappé à deux tentatives d’assassinat, voilà cette semaine que France 2 filme la porte d’entrée de son domicile sous prétexte d’une enquête sur la sécurité des « politiques ». Si les médias bourgeois s’intéressent vraiment à la sécurité des « politiques », qu’ils commencent par éviter d’être eux-mêmes les agents de l’insécurité.

      ● La député de la France insoumise Sophia Chikirou a obtenu, après l’intervention de ses avocats, qu’Apolline de Malherbe reconnaisse lui avoir attribué à tort des propos au cours d’un hommage au maire de Saint-Malo, le 3 décembre 202, à l’Assemblée nationale. La députée LFI Danièle Obono a de son côté vu confirmer en appel la condamnation d’Éric Zemmour et de CNEWS pour diffamation publique à son encontre, et le classement sans suite des plaintes et signalements politiques lancés par Gérald Darmanin en octobre 2023.

       


    • Fergus Fergus 5 février 09:17

      @ Octave Lebel

      « la caricature permanente du mouvement LFI »
      Désolé, mais ceux qui en alimentent le mieux la substance se nomment Mélenchon et ses porte-parole.
      Puisse le plus grand nombre des LFIstes dont le cerveau n’a pas été lavé par le discours de l’aspirant dictateur avoir le courage de la rupture et rejoindre les élus purgés hors des rangs de cette officine 100 % centrée sur les seuls intérêts de Mélenchon ! 


    • Aristide Aristide 5 février 09:32

      @Fergus

       Je ferai barrage au RN en votant pour n’importe quel candidat de gauche, du centre et même de droite dès lors que ce candidat ne sera pas Mélenchon ou l’un des extrémistes de sa garde rapprochée !!!

      Soyez clair, en cas de duel Le Pen — Mélenchon, vous votez quoi ????
       — Le Pen
       — Mélenchon
       — blanc ou abstention


    • charlyposte charlyposte 5 février 10:55

      @Fergus
      LOL smiley


    • Fergus Fergus 5 février 11:16

      Bonjour, Aristide

      J’ai déjà répondu à cette question : dans un tel cas de figure, je vote blanc  !
      Car oui, il faut faire barrage à Le Pen.
      Mais porter Mélenchon au pouvoir ne présenterait pas de meilleures garanties pour la démocratie, les purges internes à LFI ayant montré de manière éclatante de quelle manière cet enragé entendrait conduire les affaires.


    • suispersonne 5 février 16:32

      @Fergus
      Échanger avec de lourdement carencés cognitifs de l’acabit de ce gugusse est aussi utile et agréable que la masturbation avec une râpe à fromage.
      Celui ci est encore plus repoussant par sa prétention de cuistre.
      Son obsession haineuse de jlm lui fait vivre un enfer.
      Insignifiant.


    • Fergus Fergus 5 février 18:01

      Bonjour, suispersonne

      « Échanger avec de lourdement carencés cognitifs de l’acabit de ce gugusse est aussi utile et agréable que la masturbation avec une râpe à fromage. »
      Vous avez raison, cela décrit parfaitement Mélenchon qui est en train de couler la gauche. 
      Une enquête du Monde montre d’ailleurs clairement que, par la faute de JLM et ses proches, « LFI est devenu un repoussoir pour une partie de la gauche », ce que nous sommes plusieurs sur ce site à dire depuis des mois. 
      Ouvrez les yeux et participez au sauvetage de LFI (et du NFP) en exigeant son départ et la mise en place d’une vraie démocratie dans le mouvement !!!


    • suispersonne 5 février 19:13

      @Fergus
      Votre prétention vous appartient.
      Votre profonde nullité nous réjouit.
      Vous n’avez jamais été de gauche.


    • Fergus Fergus 5 février 20:35

      @ suispersonne

      Quelle « prétention » ? Je ne prétends à rien, pas même à convaincre quiconque de mes opinions. Comme vous, je ne suis qu’un insignifiant moucheron ! 
      Si « prétention » il y a, elle est du côté de Mélenchon qui se voit encore en fédérateur de la gauche  ce qu’il a été, et ce pourquoi il a été soutenu  alors qu’il est clairement devenu le repoussoir des électeurs modérés sans lesquels il n’y aura pas de victoire possible ! 
      Ouvrez les yeux !!!

      « Votre profonde nullité nous réjouit »
       smiley Très puéril, non ?

      « Vous n’avez jamais été de gauche »
      Ni plus ni moins qu’un électeur qui  mis à part en 1981 pour Mitterrand  a toujours voté PC, LCR, NPA, FdG, LFI, NFP.
      Un profil dans votre genre, probablement, les oeillères en moins ! smiley


  • Seth 3 février 19:47

    Faut comprendre les socialisses : il n’y a plus grand monde dans leurs rangs depuis qu’ils ont du quitter Solférino par manque de thune sans doute...

    Une épuration aurait été le meilleur chemin à prendre vu leur image désastreuse mais combien se seraient restés si on avait dégagé tous les droitistes ? Faut les comprendre !!!...

    Quant à faure il n’en a même pas l’ombres d’une seule. C’est sans doute pour ça qu’il est où il est.  smiley


  • Octave Lebel Octave Lebel 3 février 19:48

    Voilà où cela mène quand on joue avec ses électeurs en ne respectant pas ses engagements, on a droit aux conseils de l’apostilleur  smiley


  • Octave Lebel Octave Lebel 3 février 20:26

    Sinon, petit travail de mémoire pour comprendre le présent qui revient en principe aux journalistes, un des piliers de la démocratie comme ils aiment à nous le rappeler.

    "Salut les poissons rouges ! "

    Pas un mot de trop, pas un mot inutile.

    https://melenchon.fr/2025/02/03/salut-les-poissons-rouges

    « Le vote de non-censure par le PS consomme son ralliement au gouvernement Bayrou. Pour l’instant sans participation. Mais qui s’en souvient : le refus du recours au 49.3 était une des lignes rouges du PS au début de sa danse du ventre devant Bayrou ! Et qui le rappellera : le vote de la censure est une motion de défiance opposée au refus du gouvernement de demander un vote de confiance à l’Assemblée. La drogue politicienne brouille les esprits. Le minimum républicain n’est même plus présent à l’esprit de certains parlementaires ou chroniqueurs. Ce ne sera pas la seule preuve de la méfiance dont il faut s’entourer face à la mémoire de poisson rouge de la caste médiatico-politique.

    Les commentaires de presse sur Villeneuve-Saint-Georges et ceux des tireurs dans le dos de la « goche » ont été unanimement concentrés sur la défaite de Louis Boyard et de LFI. Comme prévu. Que la ville ait été de droite avant l’élection, que le PCF l’ait perdue la dernière fois avec onze points de moins que Louis Boyard, rien de tout cela ne doit empêcher le ramassis des rageux de pétuler en rond. Pourtant un événement énorme s’est noué sous les yeux de ceux que la haine anti-insoumise aveuglent. 

    À Villeneuve, l’évènement majeur était ailleurs. Il est resté enseveli médiatiquement par la campagne de sabotage du PS et de ses commensaux EELV et PCF. Comme les journalistes politiques pensent sur commande, il faut faire le travail à leur place. Faisons-le. À Villeneuve, le RN et Zemmour ont appelé à voter pour la liste LR. Les cerveaux sont tellement lepénisés que, dans les rédactions, certains se demandent déjà où est le problème. Il y a quelques temps cela aurait été l’actu pendant huit jours. En mars 1998, aux élections régionales en Rhône-Alpes, Charles Millon fut renié par Chirac, exclu de son groupe parlementaire et de l’UDF pour avoir accepté les voix du FN. Pour finir, ce ralliement de l’extrême droite avait entraîné l’annulation de l’élection. À l’époque, François Bayrou, député UDF, avait pourfendu Charles Millon. Aujourd’hui même la présence de Zemmour ne coupe pas l’appétit des muscadins et des merveilleuses de la presse et des partis « de gouvernement » ! Et comment oublier les hurlements devant les accords de désistements réciproques de Jean-Claude Gaudin avec le RN en 1988. Pendant des années, « Le Monde » et même Plantu ont représenté Jean-Claude Gaudin encerclé d’un vol de mouches à merde, lui-même à moitié dissimulé dans un imperméable entrouvert. Ces finesses montraient comment la bonne société réagissait à l’époque. Aujourd’hui : silence et bouches cousues. Adieu « le cordon sanitaire » ! La seule évocation du nom du Hamas suffit, sans aucune vérification, à unifier le spectre politique dans un même soutien. La « légitime défense » de Netanyahu a étendu son périmètre jusque sur les bords de la Seine grâce à Olivier Faure. Quelle réussite !

    LFI ne saurait gagner si ce n’est pas eux qui mènent le bal. Telle est la nouvelle doxa des états-majors de la goche. La question de revers ne sera pas traitée avant qu’ils aient tous désaoulés : comment comptent-ils gagner eux-mêmes sans LFI ? Addicts aux bonnes paroles bues dans les médias, les nigauds ne se rendent pas compte du fossé qu’ils creusent avec enthousiasme. Ils pensent nous séparer de leurs électeurs sans se rendre compte qu’ils se séparent des nôtres. Et pour finir la preuve est faite à Villeneuve-Saint-Georges que les électeurs peuvent surmonter la division malgré les appareils. C’est la leçon majeure de cette élection après que le PS et ses accompagnateurs aient passé cinq jours sur sept à nous inonder de déclarations sur le « candidat du Hamas » qu’il y aurait dans notre liste. On retrouvera cette partition aux premiers tours de 2025. Partout sauf exception. 

    L’évènement de cette non-censure va maintenant produire ce que nous savons et pourquoi cela a été fait par ses auteurs : le NFP est réduit d’un parti. Il va nous falloir vérifier qui y demeure et comment fonctionner. Mais il est vrai qu’il y a encore quatre 49.3 en vue et 4 motions de censure. Mais le signal donné aujourd’hui ne peut pas être nié. Non censure-Villeneuve-non censure : trois points font une ligne. »

     

     


    • leypanou 3 février 22:25

      @Octave Lebel
      Quand on a été candidat aux présidentielles 3 fois et qu’à chaque fois, on a été incapable d’être présent au 2ème tour, si on a encore une once de lucidité, on laisse la place aux autres. Il n’y a pas d’investiture éternelle comme il disait à la député ex-LFI de Paris.


    • Aristide Aristide 4 février 15:49

      @leypanou

      Surtout lorsqu’en meeting, Mélenchon ne cesse de trouver toutes les qualités au renouvellement des générations qui font table rase du passé…

      Oups, c’est bon pour les autres, mais lui à son histoire qu’il faut respecter et plus si affinités…


    • suispersonne 5 février 16:32

      @leypanou
      Propos débiles.


  • sylvain sylvain 3 février 20:42

    je pense qu’a l’avenir, dans le dictionnaire, PS et trahison seront des synonymes


    • L'apostilleur L’apostilleur 3 février 22:19

      @sylvain
      « ..PS et trahison seront des synonymes.. »
      Pourquoi ?
      Parcequ’il a eu le courage de ne pas rester inféodés au tyran de lfi - le ferry islamique - ? Le promoteur du grand remplacement s’en réclame maintenant, il est vraiment au bout.
      Faure pourra continuer à se regarder dans une glace lui. 


    • Aristide Aristide 4 février 15:47

      @sylvain

      Ce n’est pas nouveau. Révisez votre histoire, vu du camp des révolutionnaires, les socialistes ont toujours été nommés les « sociaux traitres ».
      Ce cher Lénine avait et visiblement, il a toujours son fan club ... 


    • sylvain sylvain 4 février 17:58

      @L’apostilleur
      c’est plus vieux que ca, mais si vous critiquez jules ferry, on peut s’entendre au moins la dessus


    • sylvain sylvain 4 février 18:12

      @Aristide
      le socialisme, c’est l’utopie de marx, proudhon... staline et lenine melangent allegrement socialisme et communisme tant la conception qu’ils en ont est proche, alors je ne sais pas de quoi vous parlez, de la SFIO, du PS depuis sa creation ?, des bolcheviks, des anrchistes ?? Qui sont donc pour vous les « veritables revolutionnaires » ??


    • Aristide Aristide 5 février 09:46

      @sylvain

      Qui sont donc pour vous les « veritables revolutionnaires » ??

      Ceux qui s’en réclament, c’est simple...

      je ne sais pas de quoi vous parlez

      De la scission historique du congrès de Tours, la scission qui n’a jamais été résolue, seulement masqué par des accords électoraux qui aboutissent tous au même constat, nous n’avons rien deux blocs de gauche irréconciliables…


  • suispersonne 3 février 22:19

    Qui ne comprend pas que la situation actuelle est une clarification indispensable ?

    Que les sotssialisses en peau de lapin ont déjà glissé sur le toboggan couvert de leurs déjections vers la fosse septique de leur avenir politique ? ... comme celui des zékolos de pacotille incapables d’aller au cœur de la responsabilité de tous les dérèglements : l’avidité des zaxionnères ?

    Que les défaites actuelles de lfi sont toutes dues à une collusion LRNREZ + sotssialisses + zékolos, et à une mobilisation insuffisante des abstentionnistes ?

    Que la popularité de lfi est meilleure chaque jour ?

    Que ce gouvernement de minoritaires échappe à la censure est bien possible. Et alors ?


    • Panoramix Panoramix 4 février 09:35

      @suispersonne
      ’’la popularité de lfi est meilleure chaque jour’’
      Comme Louis Boyard l’a constaté le week end dernier

      C’est le parti qui a le moins de ’’pour’’ et le plus de ’’contre’’,


    • Octave Lebel Octave Lebel 4 février 11:01

      @Panoramix

      Vous avez une fois de plus raison avec vos amis.Décidément.

      Abstention encore trop forte + des représentants politiques qui ne tiennent pas leurs engagements, une, deux ,...fois envers leurs électeurs+ supercherie du RN envers toute une partie de ses électeurs qui donne et reçoit des votes des partisans de l’oligarchie pour ceux qui n’ont pas encore compris.Comme ici et encore dernièrement à Grenoble dans une législative partielle et déjà aux législatives de 22 puis 24 ainsi que dès le premier tour de la présidentielle de 22 où les voix perdues de Pécresse sont allés à MLP et Zemmour. Quels électeurs vont croire que Bernard Arnault et le chômeur peuvent communier au même autel le temps d’une messe sans voir qui sera le dindon de la farce ?

      Votons et votons dorénavant résolument utile à toutes les élections dès le 1er tour pour la cohérence de ceux qui respectent leurs engagements sans avoir besoin de comédie. C’est le prix à payer et l’effort minimum à faire si nous voulons mettre en cohérence nos aspirations à plus de justice sociale, de responsabilité écologique et être des citoyens avec les moyens d’arbitrer le pilotage des politiques publiques. Le prix de l’effort à faire est relatif même si s’astreindre à une réflexion sur le fond dans le contexte médiatique qui nous est imposé et qui bénéficie à nos adversaires avec une puissance jamais vue jusqu’ici, ne l’oublions jamais, n’est pas facile.

      La conséquence de ne pas le faire est redoutable. N’oublions pas d’en parler entre nous et dans nos entourages parce que nos adversaires avec la machine médiatique qui pour l’essentiel tourne pour eux n’ont pas besoin qu’on leur rappelle les enjeux ni où sont leurs intérêts ni qu’on leur explique que leurs intérêts est de voter ensemble ( ils n’oublient jamais de voter et le font méthodiquement) dès lors qu’il s’agit de barrer la route à une gauche authentique qui tient sa parole et fait ce qu’elle a dit.


    • L'apostilleur L’apostilleur 4 février 13:27

      @Octave Lebel
      « ..Bernard Arnault et le chômeur peuvent communier au même autel le temps d’une messe sans voir qui sera le dindon de la farce ? »
      Une messe c’est pas une réunion chez lfi, l’assistance est détendue sans suspicion .
      Vous devriez essayer smiley


    • Panoramix Panoramix 4 février 13:30

      @Octave Lebel
      Si Arnault condamne le budget, alors censurer le budget, c’est être d’accord avec Bernard Arnault. Le PS ne censure pas, le RN non plus, ils ne sont donc pas d’accord avec lui.
      Le chômeur a besoin d’un budget pour que les ARE soient provisionnées, les agriculteurs ont besoin d’un budget pour que les aides soient mises en oeuvre, etc. à un moment la ’’fin du mois’’ l’emporte sur le grand soir.


    • L'apostilleur L’apostilleur 4 février 13:31

      « ...votons utile à toutes les élections dès le 1er tour pour ceux qui respectent leurs engagements.. »

      Vous éliminez là Mélenchon...

      https://search.app/dMpi14RcqU5cRVJU9



    • suispersonne 4 février 13:39

      @Panoramix
      Vous avez des sources parmi les sondages ?
      Il est vrai que les sondages peuvent vous aider à prendre vos désirs pour des réalités.


    • Aristide Aristide 4 février 15:44

      @suispersonne

      Les élections, pas les sondages :
        présidentielles 2022 :
          LFI Mélenchon 46,19 %, il cartonne , sur la France entière, c’est 21,95 %
          la droite tout confondu 35 % dont RN à 16 %
        municipales partielle 2025 : 
          LFI Boyard 38,75 %
          la droite LR + DVD 61,25 %

      Que la popularité de lfi est meilleure chaque jour ?

      Le point d’interrogation est ... justifié ...


    • tonimarus45 4 février 15:48

      @Aristide et scores des socialos ?


    • Aristide Aristide 4 février 15:57

      @tonimarus45

      A la ramasse depuis bien longtemps... Tellement empétré dans une alliance de gauche mortifère sous la férule d’un arriviste. Et pas que... des dirigeants de plsu en plus médiocres ...

      Votre arriviste est devenu insoumis après avoir flatté pendant plus de 20 ans le mitterandisme ...


    • suispersonne 4 février 16:27

      @Panoramix
      Vous avez bien raison de vous gargariser avec la défaite de boyard.
      Ne cherchez pas plus d’information.
      La popularité de lfi ne peut pas vous intéresser, il vous suffit de la nier bêtement.
      Rassurez vous avec des sondages qui disent ce que vous voulez.
      Faites leur confiance.


    • Octave Lebel Octave Lebel 4 février 17:34

      @Aristide

      Chiche, vous nous donnez les sources irréfutables

       smiley


    • Octave Lebel Octave Lebel 4 février 17:52

      @L’apostilleur

      Non merci, pas avec des gens dans votre genre.

       

       Révocation de l’édit de Nantes. L’enrayement du protestantisme, un exemple à suivre (par L’apostilleur (son site) vendredi 3 janvier 2025)

       → Octave Lebel 3 janvier 16:03

      Joli.

      « On voit donc que la liberté de conscience des individus pourrait être un privilège plus qu’un droit dans des sociétés fortement constituées, signe de leur évolution. Il pourrait n’être concédé par les nations qu’à ceux qui en partagent leurs fondements culturels sous peine de se saborder avec d’inévitables guerres civiles »

      Qui sera à la tête du comité de quartier chargé de dire qui a droit à la liberté de conscience et à quelles conditions. Pour mémoire, à tout hasard je rappelle que l’Eglise Catholique a reconnu la liberté de conscience en 1964 dans le cadre de Vatican II.


  • Parrhesia Parrhesia 4 février 11:42

    Ce n’est pas « trahison OU fanfaronnade » !

    C’est trahison ET fanfaronnade.

    Bien que les socialistes (d’essences SFIO, puis Radicale, puis mitterrandienne), ne soient pas les seuls, il en est ainsi de tout ce qu’ils ont produit sans interruption depuis 1920 jusqu’ à ce jour, en passant par leurs succès les plus retentissants de1940, de la guerre d’Algérie, et de 1968  !

    Nous avons aujourd’hui le résultat sous les yeux et nous n’avons pas encore vu le meilleur.


  • tonimarus45 4 février 15:46

    bonjour-D’abord on ment quand certain disent que l’on n’avait pas de budget car le budget de l’an dernier etait autamatiquement reconduit, et c’est ce budget qui a permis que les retraites ne soient pas rackettes, budget qui donc ne prevoyait ni la suppression de 4000 enseignat, ni l’augmentation des jours de carence pour les fonctionnaires

    Des la nomination de Bayrou j’ai eu le sentiments que les socialos ne censureraient pas ce gouvernement mendiant( siou plait monsieur une piecette) au pres du premier ministre des pretextes a cela .D’abord cela ete la demande du gel de la reforme des retraites ; a cela il leur a ete repondu NON ?qu’a cela ne tienne, ensuite cela ete , non censure si pas de 49,3 cela ete la aussi « NON », puis ils ont obtenus la non supression des 4000 postes d’enseignants mais a la place grand coup de varloppe( grand rabot)sur le budget de l’education ? la non application des deux jours de carence pour les fonctionnaires,mais 10% de moins sur les indemnites ce qui en fait rapportera bien plus, et tout est a l’avenant

    La trahison est dans les genes des socialos, les communistes au debut des annees 80, sous mitterand en savent quelque chose ; et j’ajouterais l’hypocrisie qui leur fait deposer apres le vote du budget une motion de censure dont ils savent tres bien qu’elle a aucune chance d’aboutir

    Concernant la commission sur les retraites avec les partenaires sociaux dites moi quel interet a le patronat proche du socle commun du premier ministres ,en position de force ,d’accorder quoi que ce soit d’important et certainement pas le retour a 62ans, surtout que le le budget est maintenant vote.Les socialos savent tres bien cela et ont là aussi menti en pretendant que cela etait une avancee

    Bien sur toujours les memes tartuffes en profitent pour matraquer « melenchon », mais dites donc quoi du progrmme avec lequel les socialos se sont presentes et se sonr « refait la cerise » a ete repris dans le budget « Bayrou » ?


    • Seth 4 février 16:03

      @tonimarus45

      Les cocos du pécéèfe dans les années 80 n’ont pas hésité à trahir non plus mais faut les comprendre : « dictature » du prolétariat, pouah quelle horreur ! Car comme on le leur avait soufflé au cul, ça revenait à mélanger communisme et stalinisme. Quant à la haine de l’égalité, elle a le cuir dur depuis le pétainiste mitterrand.

      Alors on eu le droitiste hue et puis sa doublure actuelle, roussel.

      Tout cela pour dire que de « gauche radicale », il n’y en a plus l’ombre réelle.


    • Aristide Aristide 4 février 16:04

      @tonimarus45

      Mélenchon a été au PS pendant plus de 32 ans, de 1976 à 2008. 

      Et voilà maintenant, lui et les insoumis voient la lumière. Il serait tant que face à la réalité politique qui sépare, depuis plus de 100 ans, la gauche en deux mouvements irréconciliables, les insoumis comprennent que toute alliance n’est que du flan électoral ...


    • suispersonne 4 février 17:17

      @tonimarus45
      La trahison est indispensable aux systèmes de pouvoir.
      Les fameux « corps intermédiaires » ont davantage de relations avec les gouvernants qu’avec leurs adhérents.
      Les syndicats trahissent (tous sans exception) les syndiqués.
      Les dirigeants des coopératives trahissent les coopérateurs.


    • tonimarus45 4 février 17:47

      @Seth j’ai demontre dans le post auquel vous repondez ce que sont vraiement les socialos et bien sur les tartuffes ne nient pas ce que je dis mais tapent en touche certain etant pres a laisser acceder au pouvoir le « r n », plutot que voter insoumis ?bouah ,et cela se pretend quand meme de gauche, prets a remettre en selle les « hollandiens » qui peu a peu on repris les renes du ps
      Ceci dit un de leurs elus a avoue tout benoitement ,qu’ils n’ont pas vote la censure parce que ils n’etaient pas pret a affronter une presidentielle en cas de demission de macron ; et c’est la seule raison de leur trahison( caseneuve n’est en fait pas pret ?)


  • Seth 4 février 15:55

    Trahison, cela va sans dire. C’est un parti qui a toujours trahi et n’existe encore que par la connerie d’une gauche plus radicale acceptant de pactiser avec lui à son détriment.

    Résultat : une parti à 1,74% est rené de ses cendres. Mais quand va-t-on se décider à le laisser crever une bonne fois pour toutes et sans respiration artif !

    Perso, plus de voix pour des sosalauds, front de gauche ou pas. Ne sont de gauche « radicale » ni les soces, ni les faux cocos nI les zécolos et pour lfi, c’est à peine limite.


  • Mozart Mozart 4 février 15:57

    Le PS est un mouvement d’immatures qui se croient encore dans les années 30 avec Léon Blum. Sauf que déjà sous Blum, ils n’avaient rien compris au monde et notre décrochage date de cette époque. Blum n’est resté qu’une année mais cela a suffit pour mettre nos finances à plat. N’oublions pas aussi, que le PS a voté majoritairement pour les pouvoirs accordés au Maréchal Pétain, l’extrême droite et la droite faisant le voyage avec De Gaulle à Londres et les communistes s’alliant aux nazis. Et le PS nous a remis sur la voie de garage durant la 4ieme république. Ils en profitaient en même temps pour mettre l’Angleterre économiquement à genoux jusqu’à l’apparition miraculeuse de Margareth Thatcher qui nous en mis plein les mirettes. En fait le PS est une épave qui surnage entre deux eaux. Et comme le disait ce bon vieux Winston : Christophe Colomb fut le premier des socialistes : il ne savait pas où il allait, il ignorait où il se trouvait... et il faisait tout ça aux frais des contribuables.


    • Seth 4 février 16:08

      @Mozart

      Pour analyser ainsi, Mozart tournerait-il gaucho ? smiley

      Pour Blum n’oublions pas que sa politique « de gauche » a duré 3 semaines contraint et forcé qu’il était et qu’après sa survie miraculeuse au nazisme, il est allé participé à la pax americana et la mise en place du plan marshall et discrètement à la main mise du yankistan sur l’europe.

      Des « gauchistes » comme cela, j’en fais un tous les matins.


    • Octave Lebel Octave Lebel 4 février 16:57

      @Mozart

      Qui a besoin de gens que l’on pense idiots qu’il s’agit d’essayer d’entretenir dans la confusion et la désinformation pour aller à la pêche aux voix ? Voilà le genre de question que CNEWS ne demandera jamais de poser en commandant un sondage smiley

       

      Une partie des responsables du PS sont des escrocs purs et simples que l’on a même plus besoin de nommer, une autre les éternels attentistes et carriéristes qui surveillent comment les vents tournent et d’autres qui sont sincères et ont d’authentiques convictions de gauche. Tout cela est assez clair maintenant et il nous appartient en tant que citoyens avec nos votes de pousser les uns quand ils ne sont pas en train de jouer la dispersion des forces de la gauche tout en sachant qu’ils ne manquent pas de candidats compétents et honnêtes par ailleurs pour nous représenter. Sinon, qui a envie d’accorder un quelconque crédit aux idées de ceux qui se disputent ici le plaisir du mensonge et de la désinformation.

       

      « le PS a voté majoritairement pour les pouvoirs accordés au Maréchal Pétain, l’extrême droite et la droite faisant le voyage avec De Gaulle à Londres et les communistes s’alliant aux nazis. »

       

      Une minorité de gens de droite et d’extrême-droite ont suivi De Gaulle à Londres et l’écrasante majorité s’est tout à fait accommodée à Pétain et ses sbires, tous étant d’une extrême-droite assumée en en rajoutant sur les demandes de l’occupant. Notons aussi que l’extrême-droite actuelle est encore traversée des relents de cette époque et pas seulement Zemmour. Et bien sûr, c’est la droite et l’extrême-droite qui ont voté les pleins pouvoirs à Pétain en dépit de la manipulation des chiffres habituels que vous truquez parce qu’en réalité toute une partie des députés étaient mobilisés ou en province sans possibilité de se déplacer dans le chaos de la situation, les députés communistes étant eux aux arrêts. J’ai déjà avec d’autres publié sur ce site les références et les chiffres mais qui va croire que vos mensonges répétitifs ne seront pas reconduits. Sur le rôle des communistes je ne perdrai pas mon temps non plus à relever votre manipulation de l’histoire qui complète parfaitement le portrait de l’extrême-droite et ses méthodes que vous esquissez si bien ici. Merci de si bien nous éclairer.


    • Mozart Mozart 5 février 10:47

      @Octave Lebel
      Qu’une partie de l’extrême droite ait été pro Pétain mais anti-allemande, on ne peut le nier. Mais à Londres le noyau de départ était constitué de gens tel Daniel Cordier qui étaient « action française », Par contre, peu voir pas de gens de gauche. 
      75% des députés et sénateurs de gauche ont voté les pleins pouvoirs à Pétain, ignorant les consignes de Léon Blum. De plus, il était normal que les communistes ne soient pas présent, eux qui, tel Maurice Thorez, ont appelé à la désertion devant l’ennemi (pour respecter les accords germano-soviétiques). D’ailleurs il a fallu attendre l’attaque de la Russie par les nazis pour que les communistes commencent à se bouger car auparavant ils prônaient la collaboration et fustigeaient la résistance. De même, les grands collaborateurs tel Doriot, Déat, Laval... venaient, dans les très grandes majorité de la gauche voir du communisme.
      Pour finir, Zemmour n’est pas d’extrême droite. Il est sans doute nationaliste, mais ses thèses économiques libertariennes vont à l’encontre de celles de l’extrême droite.
      Vous voyez, je ne refais pas l’Histoire à ma façon, mais contrairement à ce que vous insinuez, je rétablis une vérité escamotée par la gauche actuelle.


  • LeMerou 5 février 08:03

    @LATOUILLE

    Bonjour, 

    Très bon texte, avec de nombreuses citations empreinte de vérités.

    Mais qu’est ce que le socialisme aujourd’hui, sûrement pas la représentation qu’il en est faite par ses représentants.

    « Incroyables socialistes qui ne présentent jamais d’objectifs ni de stratégie clairs et cohérents » 

    Le parti Socialiste et sa composante politique est comme un roseau, se courbant sous le vent, malgré la tempête de 2017, ayant fortement balayée le marigot politique, il en subsiste encore quelque uns, ayant résisté, avec leur jeune racines.

    Nous sommes très loin du socialisme de Jaurès leur Dieu, d’abord écorné par les années roses et les mensonges éhontés qui les ont accompagnés, achevé par l’homme au scooter, ayant exacerbé le canyon existant entre la représentation politique et ses adhérents ainsi qu’avec le restant du peuple.

    Quelle est désormais la différence entre le Parti socialiste et le gouvernement ?

    Il n’y en a pas, d’abord majoritairement tous issus du même organisme de formation professionnelle, leur seul mots d’ordre est régner ou subsister et tous les coups sont bons y compris la trahison, la honte et le déshonneur, sans compter sur les retournements de vestes, ce qui en dit long sur le comportement de ces derniers en 2026 et 2027 vis à vis de leur électeurs, croyant toujours au père noël, à ce qui fut et n’est plus depuis De Gaulle ou Mitterrand nos derniers hommes d’Etat, quoique l’ont en dise.

    Nous avons là, l’exemple parfait de ce qu’est la politique Française, un spectacle immonde, une mauvaise comédie, jouée par des acteurs qui ne veulent pas quitter la scène.

    Rabâchant les mêmes mots qu’il y a cinquante ans ou plus, de belle paroles sans rien derrière, rhétorique quant tu nous tiens..

    En fait il ne font même pas honneur à cet art, tellement leur propos son vides de sens, usités, l’art de parler sans rien dire, ou de parler inutilement, mais ça fait bien, ça impressionne le bon peuple et fait vivre médias et réseaux sociaux.

    Tous ces vieux partis politiques ou leur nouvelle émanations, véritable cancer pour le pays, pourquoi Cancer ? car ils n’arrivent même pas à faire durer le corps qui les nourris, ils le consument.

    « Ils » portent des appellations différentes uniquement pour le grand public, s’écharpant dans dans des joutes verbales sans intérêts, ces grands garants de LEUR REPUBLIQUE, car en coulisse c’est bien différent. Machiavel était très loin de se douter que ses pensées puissent être exacerbées à ce point.

    Finalement, ceux catégorisés comme les extrêmes, me paraissent peut être plus fiables ou honnêtes, car ne variant pas ou très peu. Inexpérimentés dit on car non maître des concessions les plus fourbes ou viles. L’Art de la politique et des compromis est absent de leur savoir. Tout leur est reproché, leur incompétence, etc... alors que la situation dans laquelle nous sommes n’est aucun cas de leur fait. 

    Mais si ’ils’ parvenaient au pouvoir le Pays vivrait un cataclysme épouvantable, dont il ne se remettrais jamais. Eux ou nous ? 

    Alors Mélenchon ou Le Pen ?

    Alors qu’en face, nous avons un troupeau infâme d’opportunistes prêt à tout pour avoir la place suprême, faisant fi du Pays et de ses citoyens.

    Mais pourquoi sont ils encore là, c’est très simple par notre faute, certain prenant l’acte électoral au sérieux, d’autres comme le PMU, pariant sur une casaque dont les couleurs sont chatoyantes.

    Ah, mince j’ai perdu !!!!!

    Des « gagnants » se disant après coup, sans l’avouer, les salauds, ils m’ont mentis, mais revoterons pour eux, ou leur successeurs au langage différemment identique. L’idéologie personnelle étant supérieure à celle d’un groupe, d’un état d’une Nation.

    Il faut dire aussi que nos « politiques » sont férus de mythologie, connaissant parfaitement le job des sirènes..


  • charlyposte charlyposte 5 février 11:03

    Il faut selon Pécresse ressortir la guillotine de la cave !


  • tonimarus45 5 février 13:39

    bonjour-lu tout a l’heure

    «  »« 

    Le gouvernement Bayrou a engagé sa responsabilité pour faire passer le budget 2025, sans passer par le vote de l’Assemblée nationale, ce lundi 3 février 2025. L’article 49 alinéa 3 de la constitution donne en effet la possibilité au Premier ministre de faire adopter un projet de loi sans un vote de l’Assemblée nationale. Mais cette option politique est souvent crispante, et celle-ci ne fait pas exception à la règle.

    Economiser en taxant davantage les auto entrepreneurs

    Et cette fois, au cœur des mécontentements, on trouve les auto-entrepreneurs. Pourquoi ? Car le budget pensé par le gouvernement prévoit d’abaisser le seuil d’exemption de TVA pour les petites entreprises à 25 000 euros de chiffre d’affaires annuel (contre 37 000 jusqu’ici), ce qui suscite l’inquiétude des professionnels qui craignent »une perte de marge et une complexifÉcation comptable« , précise l’AFP. »"

     Les petites entreprises disent merci aux socialos ?


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