lundi 17 février 2014 - par JANCAP

Ne jamais se mettre en deuil d’une espérance

Le combat quotidien des socialistes qui croient au socialisme démocratique est très difficile actuellement.

Malgré les trahisons à gauche que l'on connait bien historiquement, l'humanité a besoin plus que jamais de socialisme, pour un développement harmonieux et apaisé.

Il faut donc tenir bon, avant d'être acteur des prochaines avancées humanistes et progressistes.

Actuellement, on dit souvent aux adhérents de base du Parti Socialiste qui ont la Gauche chevillée au corps : « Mais que fais-tu encore dans le PS ? Il n’est plus à Gauche depuis longtemps, il a oublié Jaurès et tu perds ton temps dans ce parti. Tu es un cocu du PS et en plus, tu lui sers de caution à Gauche ! Il n’y a plus rien à faire. A ta place, je laisserais tomber… » Je comprends bien cet état d’esprit qui incite à baisser les bras et si les évocations de Jaurès me touchent toujours, je sens malgré tout que la société humaine a besoin plus que jamais de Socialisme, pour progresser dans la solidarité et l’harmonie, afin d’éviter les désespérances, les conflits fratricides et les guerres. Les sociétés inégalitaires et le néolibéralisme actuel nous fournissant assez d’exemples édifiants qui nous conduisent au pire de l’homme.

Par ailleurs, il convient de préciser que le véritable Socialisme démocratique, humaniste et progressiste, peut être largement transversal à tous les partis de la Gauche. Mais pour être crédible, il doit s’appuyer constamment sur des programmes économiques et sociaux très solides et concrets pour les citoyens, dans un cadre démocratique formel et réel qui les rendent réalisables. L’objectif étant d’améliorer sans cesse les conditions de vie de notre population et de tendre vers notre idéal républicain de Liberté, Egalité et Fraternité. Ensuite, chacun organisera son bonheur à sa guise. Ces principes socialistes, pourtant évidents mais si peu respectés, sont universels et peuvent s’adapter à tous les pays d’Europe et du monde, à toutes les cultures et à toutes les religions, pourvu qu’elles soient tolérantes et respectueuses de la démocratie dans la laïcité.

Pour avancer vers ces idéaux et les atteindre, les Partis de la Gauche doivent s’unir, pour constituer des outils d’analyse et d’élaboration de projets qui impliquent la population, et non se regarder en chapelles concurrentes où grenouillent tous les opportunismes, arrivismes et compromissions, comme actuellement. En France et en Europe, la Gauche du XXIème siècle est pour le moment un champ de ruines disparates. Etre à Gauche, ce n’est pas un positionnement pour conquérir le pouvoir et en tirer profit avec ses petits amis, avant de s’allier ensuite avec les privilégiés, ennemis du Peuple qu’ils exploitent et appauvrissent. Etre à Gauche, c’est conquérir le pouvoir pour le rendre au Peuple en appliquant avec lui un programme, sous son contrôle. Quels sont actuellement les députés dits de Gauche qui font annuellement une réunion publique de compte-rendu de mandat, c’est-à-dire un retour périodique devant leurs électeurs ?

Les périodes noires de notre Histoire moderne nous montrent que lorsque l’on est à Gauche, il ne faut jamais baisser les bras, ne jamais se mettre en deuil d’une espérance. Après Robespierre ou en 1848, sous Jaurès ou lors de la débâcle de 1940, la Gauche était très affaiblie. Et c’est parce que de véritables Socialistes de conviction, que l’on disait déjà cocus ou archaïques, on tenu bon à l’intérieur de plusieurs Partis politiques réunis que nous avons obtenu tous nos progrès sociaux, la liberté et la laïcité. Nous connaissons bien les trahisons à Gauche, elles sont hélas très humaines. Près de nous, Guy Mollet a trahi, Mitterrand a trahi, Jospin a trahi …et Hollande nous trahit. N’ayons pas peur des mots. Au pouvoir, on est toujours à Gauche au début, avant de finir souvent à Droite ou dans les poubelles de l’Histoire. L’influence des élites vous coupe du Peuple…

Demeurer dans le Parti Socialiste n’est pas un cadeau actuellement, quand on est de Gauche, car il est impossible de cautionner la politique néolibérale de sa majorité qui gouverne. Est-ce une raison pour le quitter ou abandonner la politique parce que l’on aurait la chance de pouvoir vivre confortablement sans en faire ? Ou alors, vaut-il mieux entrer en dissidence et créer un mini-parti de plus, pour faire un petit tour médiatique et se faire aspirer par le séduisant tourbillon du néolibéralisme mafieux qui convertit si bien les arrivistes de Gauche ou les recycle en tyrans de Droite ? Lorsque l’on a l’humanisme et le progressisme chevillé au corps, on reste à Gauche et on se bat dans un Parti opérationnel, car on sait bien que notre détermination conduira tôt ou tard à des avancées significatives pour l’humanité. D’autant que la France, pays des Lumières et patrie des Droits de l’Homme, reste toujours observée et attendue par tous les Peuples de la planète.

Ce sont toujours les Peuples qui font progresser l’humanité, jamais les politiques professionnels ou les militaires. Le combat quotidien des Socialistes pour un Socialisme démocratique, même au niveau modeste du militant de base, pour un idéal et des objectifs réalisables, est un des jolis cadeaux que nous fait la vie quand on aime nos semblables et que l’on n’est ni professionnel de la politique, ni carriériste mais citoyen actif …dans le Parti Socialiste. Sans se croire indispensable, on se sent utile…

 



20 réactions


  • Vipère Vipère 17 février 2014 13:14

    Bonjour l’auteur

    Vous serez utile au social, lorsque vous aurez déposé le loto « socialisme » au rebus !

    Si vous avez du temps à perdre à « militer » pour du vent, c’est uniquement pour remplir la vacuité de votre vie, mais nul être sensé ne peut croire à l’utilité d’une action, tout simplement parce qu’il n’y a pas d’action, ni d’aide à des tiers par le militantisme.

    Le militantisme idéologique sans but, c’est du vide absolu !


  • Vipère Vipère 17 février 2014 13:15

    le logo (erreur de touches)


  • JANCAP JANCAP 17 février 2014 14:13

    Avec tout le respect que je vous dois, chère Vipère, je remarque que vous n’avez rien compris aux combats humanistes et progressistes qui ont fait avancer la société. L’humanité avance toujours de trois pas en avant, suivis de deux en arrière, comme actuellement avec le néolibéralisme.

    Et c’est toujours au niveau du Peuple, en militant quotidiennement, que les projets prennent corps. Jamais avec des hommes providentiels. Les Socialistes de la base militent pour des projets clairs et définis, dans l’action. Le militantisme consiste aussi à aider les tiers de façon quotidienne et efficiente. Le nier est une énormité qui confine à la mauvaise foi ou à l’irresponsabilité des propos.


  • JANCAP JANCAP 17 février 2014 14:24

    Cher lyacon, vous avec certainement oublié que votre vie actuelle est faite des utopies de hier...

    « L’utopie est la vérité de demain » (Victor Hugo)

    « L’utopie est simplement ce qui n’a pas encore été essayé » (Théodore Monod)

    « Le progrès n’est que l’accomplissement des utopies » (Oscar Wilde)

    « Ce n’est pas l’utopie qui est dangereuse, car elle est indispensable à l’évolution. C’est le dogmatisme, que certains utilisent pour maintenir leur pouvoir, leurs prérogatives et leur dominance » (Henri Laborit)
     


  • eric 17 février 2014 14:37

    Assez fantastique ! Un article entier sur le socialisme, et a la fin, on ne sait toujours pas de quoi il s’agit ! parce que égalité liberté, fraternité, c’est un peu léger pour déterminer une politique, et c’est le laïus de tous les partis français...
    Parce qu’aussi, toutes les expériences de « socialisme » au pouvoir ont été un échec, comme vous le reconnaissez honnêtement Blum, Miterrand, Jospin, hollande etc...). A la fin, il est difficile, et surtout peu socialiste, au sens étymologique, d’incriminer touts le temps des individus ou des mécanismes.
    Parce qu’enfin, des progrès sociaux, il y en a eu dans des tas de pays, et en particulier, et peut être même surtout dans des pays qui ignorent tout du socialisme.


    • epicure 17 février 2014 18:48

      Non ce n’est pas un peu léger quand on a un peu de réflexion, et qu’on ne raisonne pas uniquement qu’avec des schémas préconçus, comme avec les idéologies particularistes ou autoritaires.
      En fait il est facile d’écrire un programme politique basé sur la liberté, l’égalité et al fraternité, théorique certe, mais très possible.
      Tiens par exemple au niveau religion cela correspondrait à quelque chose qui ressemble à la laïcité, une laïcité sans concession avec tous les cléricalismes.
      Au niveau pouvoir politique, idéalement c’est la démocratie directe, ou au pire des élus sous contrôle des électeurs (notamment le mandat impératif), avec des principes généraux cadrant les lois et actions politiques, mais surtout pas un régime dirigé par un chef.
      Au niveau économique, c’est le pouvoir collectif comme pour la démocratie, mais appliqué à l’entreprise, un système coopératif en somme. Et surtout pas le pouvoir arbitraire et égoïstes des actionnaires.
      Au niveau sexe c’est légalement la liberté sexuelle,entre personne consentantes avec pour conséquence de cette liberté la punition du viol et de la pédophilie. (si tu as du mal à comprendre ceci revoit les définitions de la liberté), et bien sûr l’égalité légale et morale entre les hommes et les femmes.

      etc......

      Mais le problème de la plupart des politiciens français c’est que c’est uniquement une formule, une devise vide de sens car les idées qu’ils défendent ou appliquent sont loin de ces valeurs, surtout à droite.

      Ce n’est pas tant Blum qui a échoué que les rad-soc libéraux au niveau économique qui ont mis fin au front populaire.
      Quand Mitterrand il ’a jamais été vraiment de gauche, même si ses premières années ont été marquées par des réformes de gauche conséquence du programme commun qui lui était de gauche.
      Quand à hollande dés sa première année il a prouvé qu’il était loin d’être de gauche et que sur les sujets importants il avait plus de points communs avec sarko qu’il ne le prétendait avant la campagne.

      Le problème du PS c’est que c’est devenu un parti d’élus, de carriéristes, qui en fait n’ont pas grand chose à faire des idées politiques qu’ils sont sensés défendre.


  • howahkan Hotah 17 février 2014 15:05

    Et si il n’y avait pas du tout d’évolution ? La graine contient l’arbre tout entier , est ce une évolution ? pas du tout, c’est un changement de forme......

    C’est finalement bien joué de faire croire à ceux qui veulent bien le croire sans regarder que il y a évolution, expansion de l’univers ..Pourquoi ? aujourd’hui on est dans la « merde » mais demain ça ira....là je ne parle que de psychologique ....et de fil en aiguille on devient persuadé sans rien savoir que il y aurait un but à atteindre.....que vivre est totalement anecdotique sans profondeur, sans........vie....la preuve le gorille mange une banane et si je vois un gorille je courre ou je le tue si je suis à plusieurs tres bien armé

    Il y aurait au delà de la matière, une origine au delà du temps, sans début et sans fin car sinon quelque chose viendrait de rien or ce rien ,pour nous ne peut être de toutes façons que quelque chose.....qui nous serait lui aussi parfaitement inconnu....quelle claque pour Mr scientifique je sais tout, mais faut me payer tres cher pour çà....

    bon de toutes façons Manu a enterré, bien joué manu ! mondialement et à tout jamais l’idée fausse du socialisme,communisme à la bronstein etc etc on a vu que désormais que il n’y a que des partis oligarchiques que j’appelle bolchevo-capitalistes tous issus de la même finance, mais pas de la finance russe, une autre finance, plus élitiste , moins normale, plus élue que d’autre..mais pas seulement, ce serait trop facile....quoique ???


  • Trelawney 17 février 2014 15:45

    Dans le même texte vous commencez par : « la société humaine a besoin plus que jamais de Socialisme, pour progresser dans la solidarité et l’harmonie ». Et vous poursuivez par : « Ensuite, chacun organisera son bonheur à sa guise »

    C’est intéressant car c’est exactement ce qu’est le socialisme. Au début quand vous n’avez pas le pouvoir, vous revendiquez une société d’entente et de partage. Ce que certains cyniques qualifieront d’utopie. Une fois que vous avez le pouvoir, vous organisez votre bonheur selon vos envies soit : « chacun ma gueule ».

    Comment faire confiance à des personnes qui revendiquent en même temps la fraternité et la réussite personnelle ?


    • howahkan Hotah 17 février 2014 15:53

      Salut tu dis : Comment faire confiance à des personnes qui revendiquent en même temps la fraternité et la réussite personnelle ?

      effectivement cela me semble être une question pertinente..les deux sont comme eau et feu les deux ne peuvent coexister au même moment, au même endroit et en même temps....il s’agissait bien d’une arnaque, une construction de la pseudo droite, qui est oligarchique

      salut..ations


    • epicure 17 février 2014 19:42

      Il n’est pas question de la réussite libérale, mais du bonheur de chacun.
      Le bonheur ce n’est pas matériel donc il ne se gagne pas au dépend des autres.
      Rappelles toi : « l’argent ne fait pas le bonheur »
      Donc déjà ton discours est biaisé, ton attaque repose sur une confusion des genres, et une mauvaise approche philosophique.

      Il ne peut y avoir fraternité que si on laisse justement chacun avoir pour son bonheur et les siens, donc quand on permet le bonheur de chacun.
      SI tu imposes à quelqu’un comment il doit être heureux, ce n’est plus de la fraternité, ni de la solidarité, c’est le contraire.
      Il y a une formule qui dit il me semble « le bonheur des uns fait le bonheur des autres »
      Ici il s’agit de favoriser le bonheur de tous, pas qu’un fasse son bonheur au détriment des autres.
      Enfin le bonheur c’est un bien grand mot, qui veut dire beaucoup et peu à la fois.
      L’émancipation et l’absence d’oppression sont des notions plus concrètes, qui sont deux conditions pour que chacun puisse accéder au bonheur. C’est à dire enlever au mieux les contraintes qui peuvent s’imposer aux individus pour qu’ils puissent devenir heureux.

      la solidarité c’est justement partager les moyens pour que chacun puisse être « heureux ».
      Comme aider quelqu’un dans le besoin, gérer collectivement l’accès au soins plutôt que de voir de nombreuses personnes rester sur le carreau pour l’accès aux soins etc.....

      Pour être plus précis il ne faudrait pas dire « être heureux » mais « avoir ce qu’il faut pour être heureux » parce que le bonheur ça se décrète pas.

      Pour rappel la fraternité ne peut exister que si on traire les autres en êtres libres et égaux, et donc les laisser agir dans leur vie privée de façon personnelle tant qu’ils ne nuisent pas à autrui.

      C’est la philosophie de l’individualisme universaliste, qui concilie l’individu avec le collectif.
      Parce que l’individualisme se contredit le moins quand il s’applique à tout le monde, qu’il traite tout le monde comme des individus libres et égaux en droits, en devoirs. Il refuse que certains soient dans la pratiques plus des individus que les autres à cause de leur égo surdimensionné ( le je fais ce que je veux sans se soucier des conséquences pour les autres ) , de leur possession patrimoniale/économique ou tout autre particularisme.
      Et l’universalisme est total quand ses règles de la société ont pour base l’ensemble des individus comme égaux , et non des règles arbitraires venant d’une autorité arbitraire.

      Donc il s’oppose à la fois à l’individualisme particulariste ( l’individualisme de la bourgeoisie libérale et des anglo-saxons ) qui fait des seuls possédants économiques les seuls individus autonomes au niveau politique et économique, un individualisme de compétition entre les individus, la guerre de tous contre tous, où certains peuvent tout se permettre s’ils en ont les moyens.

      Et à l’égalitarisme autoritaire, où certains individus (morts ou vivants) décident arbitrairement de toutes les règles qui s’appliquent uniformément à l’ensemble de la société jusque dans le moindre recoin de la vie privé, dans le seul bénéfice de la collectivité. et donc que leur volonté est supérieure aux autres individus à qui justement on ne reconnait pas l’individualité. La fameuse uchronie de la société uniforme et totalitaire.


    • howahkan Hotah 17 février 2014 20:06

      le bonheur me semble être une invention pour le futur de celui qui est malheureux, je suis malheureux est une vérité que je fuis car ça fait mal psychologiquement ! , je ne sais pas pourquoi , je suppose que ci ou ca mais ca ne résouts rien de profond et a partie de là conquérir mes rêves utopiques sera ma vie..on en est là et ca donne le pire tres souvent ..mais a partir de demain je vais être heureux....mon but c’est çà ++on tourne en rond là, pour moi....car on va continuer à faire exactement la même chose que avant qui nous a mené au malheur...

      et si le bonheur n’avait en fait aucun support et etait comme le père noël un conte pour enfant que nous sommes restés ..

      le sujet est le malheur, son origine ultime...or on fuit cela, on n’a aucune idée de comment aborder cela, on ne fait que fuir ce fait sans savoir, jamais...donc on ne sait pas....wrong way again ?????

      salutations..


    • howahkan Hotah 17 février 2014 21:24

      patriote si ca s’adresse à moi je ne sais pas si, mais je suppose, je ne comprends pas le sens de ces mots..


  • mario mario 17 février 2014 20:40

    je croit avoir compris que l’auteur nous recommande d’etre content d’etre cocu .

    je me trompe ?


    • eric 17 février 2014 21:16

      Oui ! Ce qu’il vous susurre, en ne le disant pas tout en le disant sans le dire, c’est que la gauche est une classe sociale, qu’il y a vraiment une crise, que Hollande pour le moment a rempli son mandat en lui épargnant de participer aux efforts de tous pour s’en sortir, et que si vous faites semblant de croire aux slogans de generosites qui sont destines aux autres, ou aux promesses de « toujours plus pour nous »,qui sont les slogans electoralistes et populistes des gauches de gauche, le mieux que vous puissiez espérer, c’est une alternance qui fatalement aura comme priorité de faire participer les gauches a la solidarité nationale...Il faut donc faire profil bas quand il y a des élections en gardant l’idée que l’important, n’est pas tant ce que l’on en fera, mais de garder le pouvoir.


  • jaja jaja 17 février 2014 21:30

    La riposte elle arrive !

    PARIS, 17 fév 2014 (AFP) - Jean-Luc Mélenchon, coprésident du parti de gauche et Olivier Besancenot, figure du Nouveau parti anticapitaliste (NPA), ont annoncé lundi vouloir organiser une « marche nationale » le week-end du 12-13 avril en réponse aux "manifestations de droite et d’extrême droite des derniers mois« .

     »La préparation de cette marche s’appuie sur des collectifs. Nos organisations ne prétendent ni diriger, ni prendre la tête du processus« , a-t-il précisé. (JL Mélenchon)...

     »On est sur la même longueur d’ondes pour construire avec d’autres une initiative de rue la plus importante qui soit et répondre à l’air du temps, (...) au climat nauséabond qu’on connait, de ceux qui ont pris le pavé depuis des mois et des mois, c’est-à-dire la droite et l’extrême droite et que la politique du gouvernement actuel favorise« , a déclaré Olivier Besancenot.

     »C’est un appel qu’on lance ensemble pour construire la mobilisation de ceux qui voudront exprimer un ras-le-bol de gauche à la politique du gouvernement« , a-t-il dit.

     »Il y a une situation qui va de mal en pis avec des élites dirigeantes qui ne se rendent pas compte de la violence de ce qu’ils déclenchent dans le pays", a ajouté Jean-Luc Mélenchon.

    http://npa2009.org/content/vers-une...


    • eric 17 février 2014 22:32

      Excellent ! Attaquer le gouvernement pour protester contre l’extrême droite... ! Ou le contraire.... Mais bien sur, après les élections. Au bout du bout, ce sont quand même aussi les crédits des municipalités qui font bouillir les marmites de toutes les gauches...

      Vous êtes vraiment des tartuffes...


    • jaja jaja 17 février 2014 22:39

      Bof la marmite du NPA c’est pas byzance... Mais c’est pas ce qui nous intéresse... Par contre Éric le « politologue » idiot d’Avox qui nous traite de tartuffe c’est assez rigolo...


  • Dwaabala Dwaabala 17 février 2014 22:10

    Avant de devenir un ensemble de considérations sur la morale, le genre, le militantisme et le bien que l’on apporte à ses administrés ou voisins, le socialisme avait pour objectif le renversement du pouvoir des capitalistes et la mise en œuvre par les prolétaires (au sens large : qui n’ont que leur salaire pour vivre) et la société des grands moyens de production et d’échange.


  • claude-michel claude-michel 18 février 2014 08:45

    Vous partez dans le mur à croire qu’il y aurait encore du socialisme en France.. ?

    Toute la gauche est « cocu » depuis Mitterand...ça fait un bail non...Ou alors vous n’avez pas compris..ou ne voulez pas voir...


  • soi même 18 février 2014 10:46

    Un article qui revisite un mouvement politique qu’ils soient de gauche où autre et qui utilise ( doivent ) ne veut plus dire grand chose !
    Car si, ils doivent et bien, il y a cas !
    Ce n’est pas à nous de changer, c’est à vous d’agir autrement !
    Et pour l’instant, il y a aucun des parlementaires Socialiste qui remette en causse fondamentalement le Gouvernement, sur quoique ce soi !

    A mon avis, vous êtes un idéaliste sans pied, il est évident que depuis des années, en France , il y a rejet du monde politique sous toute ses formes !

    J’en vois une des raisons, et la vénalité des parties, et l’autre le carriériste à tous crains, fait que une grande majorité des Français vous fais le coup du yo-yo électoral, en changeant régulièrement les majorités.

    Si vous ne comprenez pas de quoi, il s’agit , et à quoi cela va aboutir, les français se cherchent un avenir en dehors des parties constituer, et quand ils trouveront leurs stabilités. Il y a fort à parier que vous allez tous êtres balayer pour le meilleurs comme pour le pire. 

    Monsieur le PS avait une change comme les autres d’évoluer, vous avez préfère, vous enfermez dans le dogmatisme dominateur et dans la veulerie de la réal politique.
    Vous êtes plus l’ombre morte d’un passé qui à raté sa métamorphose. Il est évident que les Français aspirent à une Liberté de s’organiser et comme vous nous avez trompés.

    Il est évident que les Français ne vous croient plus et se passe de vos aspirations.


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