samedi 16 novembre 2013 - par

Expérience d’un ancien fumeur qui arrêté

Lorsqu'une expérience éprouvée s'est avérée mauvaise, dangereuse et dominante dans l'addiction : il est louable même si on n'y arrive pas de persévérer pour s'arrêter. Dans ce cas, l'expression : "il n'est jamais trop tard pour s'arrêter" est sincère et "jamais" prend son vrai sens.

Bonjour, Messieurs et Mesdames,

En été 2012, après "X" tentative pour arrêter de fumer, je suis enfin parvenu à arrêter de fumer. Tout ce qui est lié au phénomène d'un arrêt d'addiction ici : "le tabac plus particulièrement" je les ai vécu puisque cela n'était pas la première tentative. Notamment la fringale, la nervosité lié au manque, les visions des gens qui fument devant moi et le stress national Français lié au chômage. Cet article est en novembre 2013, ce que je rêvais pendant mes dizaines années tabagiques s'est réalisé. Et je crois avoir suffisamment de recule dans ma conscience pour dire que je ne veux plus recommencé tellement les bénéfices dans la vie de tous les jours sont pertinentes : je m'essouffle moins, je récupère plus vite, je suis fière d'avoir arrêté ce que la majorité des hommes et des femmes croient à tort impossible d'arrêter *"j'expliquerais plus loin"* et je veux aussi à l'aune de cette expérience arrêter de consommer de l'alcool comme auparavant.

*Pour le produit d'addiction que je connais "ici le tabac" : mon vécu de l'arrêt me permet de dire que les idées reçus sur l'impossibilité de arrêter de fumer occupe une place très importants dans la tête "au niveau travail pour s'arrêter" car elles (les idées reçus) sont dans la mémoire collective ou mentalité (au choix)*. En effet lorsque l'on voit quelqu'un fumer un homme ou un femme, j'avais une sorte de passerelle entre la vision et l'appartenance "à ces idées reçus". Il me semble que cela agit aussi bien dans la conscience que dans le subconscient. Au cours des centaines d'essais pour arrêter de fumer, j'ai été confronté à la difficulté dans les supermarchés par exemple à acheter ou ne pas acheter de produit qui devait comblé ma récompense d'avoir essayé de m'arrêter, le chômage pour être poli est casse pied par exemple les fumeurs dans la rue font penser au chômage et cela déprime. Or la cigarette on a l'impression d'un anti-dépresseur, mais derrière il y a les performances physiques qui rétrécient et la probabilité du cancer qui augmente " ont fini dans l'angoisse.

Lors de mes tentatives pour arrêter de fumer, je me disais que cela est bien et qu'un bien n'est jamais perdu. Quant j'arrivais à arrêter : "à un moment après un certain temps d'arrêt où je me sentais bizzare comme n'ayant plus rien à m'occuper. J'avais réussi mais je me sentais tout seul". Puis je me suis dit : "je vais guetter tous ce que la fumée fabrique dans mon corps et si cela me procure du bien ou si cela me gêne et me donne du mal. Petit à petit avec mon corps et "mon travail de chercheur", j'ai fini par comprendre que mon corps n'aime pas le tabac et je sentais que le tabac m'empêchait d'aller plus loin dans ma vie de tous les jours et fil des années je suis enfin parvenu à m'arrêter. Avec cette expérience, "je ne suis pas alcoolique", j'ai voulu produire le même travail avec l'alcool.

Il est important de ne pas paniquer, s'accorder à l'erreur ou à la rechute et accepter les remarques de ceux et celles en qui vous avez confiance et prendre les meilleurs conseils par rapport à vos capacités pour vous et choisir un médecin traitant réputé pour son honnêteté pour aller voir le cas échant un spécialiste notamment les psychologues au niveau de la moral qui est assez spécial en tabagisme et surtout ne pas changer de médecin toutes les cinq minute après en avoir trouvé "un". D'abord bien travailler avec ce médecin et si il vous semble pertinent par solidarité après ces épreuves dans le temps vous pouvez le conseiller à vos amis "le bouche à oreilles" est mieux que les pubs. Pour ce sortir d'une mauvaise expérience, la persévérance est un outil majeur. Je témoigne que cela sera toujours possible de s'en sortir. Aujourd'hui, mais même avant et avec conviction je trouve la VIE BELLE. De toute ma Vie, je n'ai jamais adhéré à la violence. Je préfère vivre pour la PAIX plutôt du de battre pour la paix car le mot battre et son histoire ne convient pas pour la PAIX.

Ma signature est solidaire de celles et ceux qui veulent le bien car le monde appartient aux hommes, aux femmes et aux enfants du bon coté de la barrière. La destruction nous l'avons jeté comme une vieille semelle depuis très et très longtemps déjà.




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