lundi 6 décembre 2021 - par Décoder l’éco

La face cachée des réanimations en 2020

 

 

Pour mémoire, dans l’épisode précédent nous avons montré que finalement l’hôpital n’a jamais débordé en 2020 malgré toute la propagande réalisée à ce sujet. Le rapport de l’ATIH spécifique à la gestion de la crise Covid-19 par l’hôpital[i] a montré que les patients Covid-19 ont seulement représenté 2% des patients passés à l’hôpital, ce qui est insignifiant. Le rapport de l’ATIH sur les hospitalisations toutes causes confondues[ii] nous a montré que l’hôpital français était en sous-régime pendant toute l’année 2020 avec 10% de séjours en moins par rapport aux années précédentes.

Nous avons pu voir également, que même au plus fort des crises, le nombre de patients Covid-19 n’a représenté au maximum que 3,7% d’une activité normale. Enfin nous avons vu que la Région qui a connu la plus forte proportion de séjours Covid-19 en 2020 est l’Ile-de-France avec seulement 2,2% de séjours Covid-19.

Ainsi, l’hôpital français n’a jamais débordé en 2020, il a même fonctionné en sous-régime et donc abandonné de nombreux patients du fait des différentes mesures mises en place. La Covid-19 n’a pas eu d’impact visible sur les hospitalisations, ni sur l’ensemble de l’année, ni pendant les crises. Seules les décisions politiques ont été responsables de sa désorganisation.

Les défenseurs infatigables du gouvernement ou de la théorie de la pandémie mortelle opposent toujours 2 arguments à ces chiffres, pourtant difficilement contestables :

  • Ils affirment que la statistique du nombre de patients admis pour Covid19 ne représente pas bien les tensions extrêmes qu’a connu l’hôpital (de façon incontestable puisque vues à la télé) et qu’il faut explorer les autres, notamment les jours d’hospitalisations.
  • Ils affirment que les services de soins critiques et de réanimations sont les vrais révélateurs de la pandémie, (montrant son caractère extrêmement dangereux) et qu’ils étaient complètement saturés.

Dans cet article, nous allons terminer l’étude de ces 2 aspects pour montrer qu’il n’y a absolument eu aucune saturation nulle part et quel que soit l’indicateur retenu. Aucun argument logique ou rationnel ne permet de défendre l’histoire racontée sur l’hôpital Français depuis 18 mois. Nous ne doutons pas que les adeptes d’une religion trouveront toujours quelque chose pour la défendre. Il s’agit juste de permettre à ceux qui souhaiteraient faire usage de bon sens de comprendre le fantasme qui nous est servi.

 

lien vers la vidéo : https://youtu.be/DP27OA-8bzE

  1. L’activité Covid-19 de l’hôpital finalement faible quelle que soit la statistique retenue

Les défenseurs de la théorie de la pandémie mortelle rétorquent que les patients Covid-19 sont restés plus longtemps que les autres patients (18 jours en moyenne contre 8 jours pour ceux hospitalisés pour grippe en 2019).

Nous devons donc comparer le nombre de jours passés à l’hôpital en Médecine, Chirurgie obstétrique et Odontologie (MCO) par les patients Covid-19 (2 489 030) au nombre de jours total d’hospitalisation MCO (69 000 000). Les jours d’hospitalisation de patients Covid-19 ont donc représenté 3,6 % des journées d’hospitalisation sur l’année. Il s’agit donc d’une activité mineure de l’hôpital. Ajoutons que le nombre de journées d’hospitalisations a chuté de 10 % par rapport à 2019. Il n’y a donc pas eu de saturation là non plus. Il y a eu presque trois fois plus de jours de soin non utilisés que de jours de soin consacrés à la Covid-19. Là encore, en regardant le nombre de journée on ne conclut pas à une saturation de l’hôpital, mais au contraire à une grave sous-utilisation des services hospitaliers (Figure 1). Ces statistiques témoignent de l’abandon de soin de l’année 2020 à cause de la panique injustifiée liée à la Covid-19.

Figure 1 : Comparaison du nombre de journées d'hospitalisations en MCO entre 2019 et 2020

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Source : Rapport d’analyse MCO de l’ATIH

 

Nous n’avons pas de statistiques mensuelles des jours passés à l’hôpital, mais si on considère que la répartition mensuelle des journées hospitalisées est la même que celle des arrivées à l’hôpital, alors on en déduit que la part liée à la Covid-19 est 2 fois plus importante pendant les « vagues », donc qu’au maximum, les journées d’hospitalisations Covid-19 ont pu représenter 7,5 % des journées d’hospitalisation totales. Ainsi, même en nombre de journées, la Covid-19 n’a entrainé de saturation à aucun moment, nulle part.

  1. L’activité Covid-19 de l’hôpital finalement faible sur les soins critiques

Le dernier argument médiatique concernant l’hôpital est la saturation des services de soins critiques et parmi ceux-ci, les services de réanimation. Le rapport de l’ATIH sur la Covid-19 nous informe que 45 732 patients ont été admis en soins critiques pour Covid-19 avec 645 328 jours d’hospitalisation (Figure 2). Les soins critiques se composent, dans l’ordre de gravité de l’état du patient, des services de soins continus, des services de soins intensifs et des services de réanimation.

Figure 2 : Nombre de patients et de jours en soins critiques pour Covid-19

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Source : Rapport d’analyse COVID de l’ATIH

Les patients admis en soins critiques pour Covid-19 ont représenté 5% des patients en soins critiques en 2020 et 8 % des jours de soins critiques (Figure 3). Il s’agit donc là-aussi d’une activité faible dans un contexte de baisse.

Figure 3 : Poids des patients Covid-19 dans l'activité hospitalière MCO, en 2020

Source : Rapport d’analyse COVID de l’ATIH

 

En effet, sur l’année 2020, comme pour les soins classiques, le nombre de séjours avec passage en soins critiques a baissé par rapport à 2019 de l’ordre de 5,9 % (Figure 4). Du fait des déprogrammations et de la non prise en charge de patients, les soins critiques ont également été sous utilisés. Là aussi, la désorganisation du soin a pénalisé les Français qui ont été moins soignés que les autres années.

Figure 4 : Evolution 2019/2020 du nombre de séjours en soins critiques

Source : Rapport d’analyse MCO de l’ATIH

  1. L’activité Covid-19 de l’hôpital pour les réanimations : une augmentation en trompe l’œil

La seule statistique qui a augmenté en 2020 concernant l’hôpital est celle du nombre de patients et de journées en services de réanimation. Tout le reste a baissé, y compris le reste des soins critiques. Cette augmentation est de 2,9 % sur l’année par rapport à 2019 concernant les séjours. Il s’agit donc d’une augmentation très faible, mais dans un contexte de déprogrammation et de non prise en charge massive. Ainsi les patients Covid-19 ont représenté 11 % des patients en réanimation et 19 % des journées de réanimation. Les mois de mars et de novembre 2020 ont connu respectivement +9 % et +12 % de séjours en réanimation qu’en 2019 (Figure 5).

Figure 5 : Evolution 2019/2020 du nombre de séjours de réanimations

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Source : Rapport d’analyse MCO de l’ATIH

Mais ces augmentations sont à analyser en prenant en considération les changements importants réalisés à ces moments. Le rapport de la Cour des Comptes sur les soins critiques[i] nous éclaire sur la situation réelle de ces services tout au long de l’année 2020 : « À compter de la mi-mars 2020 toutefois, une transformation très rapide et à large échelle de lits de soins critiques et la création ex-nihilo d’unités de réanimation éphémères ont fait passer le nombre de lits installés de 5 080 en mars à 10 133 le 15 mai, avant de redescendre à 8 320 lits le 15 juin 2020 ».

Ainsi, les mêmes lits et personnels considérés en 2019 comme s’occupant de soins continus ont été considérés comme s’occupant de lits de réanimation en 2020, avec des patients Covid-19. Il est donc tout à fait normal d’observer une chute de l’utilisation des lits de soins continus et une augmentation de l’utilisation des lits de réanimation, puisqu’il y a eu un transfert entre les deux. Ainsi, le nombre de jours d’utilisations de lits de réanimation a augmenté de 10,5% en 2020, par rapport à 2019, mais cette hausse est plus que compensée par la baisse d’utilisation des lits des services de soins continus (Figure 6). Il y a donc un transfert qui masque une sous-utilisation des capacités.

Figure 6 : Nombre de journée en soins critiques en 2019 et 2020

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Source : ScanSanté fiches de synthèse

Il y a une confusion entretenue médiatiquement entre le fait d’avoir une réelle saturation des capacités de réanimation et le fait d’avoir des chiffres de réanimation qui augmentent juste parce que des lits de soins continus ont été requalifiés en réanimation.

Au bilan, il y a juste un jeu d’écriture entre les différents services de soins critiques. Nous avons constaté précédemment qu’ils ont été largement sous utilisés. D’après la Cour des Comptes, il y avait 5080 lits de réanimation au début du mois de mars 2020. Leur nombre a été doublé, principalement en changeant de catégorie de soins continus. Cependant, l’utilisation réelle de ces lits n’a augmenté que de 10 %. Cela signifie nécessairement que les capacités ont été bien trop agrandies par rapport aux besoins réels et donc qu’une partie conséquente de ces lits est en fait restée vide (Figure 7).

Figure 7 : schématisation de l'évolution des capacités et évolution des lits de réanimation

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Source : Cour des Comptes et rapport MCO de l’ATIH

  1. En 2020, de nombreux Français sont morts chez eux au lieu d’être soignés à l’hôpital

Dès le premier trimestre 2020, des mesures structurantes concernant la politique de santé publique ont été prises :

  • Le confinement, c’est-à-dire une limitation extrême des mouvements et l’ordre à tous les Français de rester chez eux.
  • L’interdiction aux médecins de ville d’appliquer leur art, autrement-dit de proposer des traitements pour limiter le risque de complication. Le débat s’est focalisé sur l’hydroxychloroquine, mais l’interdiction ne se limite pas à cette molécule, mais à toute substance en dehors du doliprane.

 

Concernant les impacts du confinement, le 7 mai 2020, dans son bulletin épidémiologique[ii], Santé publique France tire la sonnette d’alarme sur le renoncement au soin. En France, environ 80 000 infarctus sont dénombrés chaque année[iii], soit 13 000 attendus pendant la période de confinement. De même, 150 000 AVC sont comptabilisés chaque année[iv], soit 25 000 en 2 mois.

 

Santé publique France nous révèle que pendant la dernière semaine de confinement, les hôpitaux ont relevé 300 personnes de moins aux urgences AVC et 300 personnes de moins aux urgences cardiaques qu’à la même époque en 2019. Sur 8 semaines, cela fait 2 400 personnes non soignées pour chaque pathologie. Le rapport de l’ATIH sur les MCO confirme cette statistique en révélant un manque de 3 000 soins d’AVC entre mars et mai. Deux hypothèses sont alors possibles :

 

  • Les Français n’ont pas fait d’AVC ni de crises cardiaques pour laisser toute la place aux malades identifiés « Covid-19 ».
  • Les Français n’ont pas été pris en charge du fait de l’ordre de ne pas consulter et de rester chez soi. Ce ratio étalé sur 8 semaines représente 4 800 personnes non soignées.

 

Les pathologies non soignées du fait de l’ordre de ne pas consulter et de rester chez soi, ainsi que la peur panique engendrée par la pression médiatique quotidienne peuvent expliquer la surmortalité à domicile en France sur cette période détaillée sur le site de l’Insee[v] (Figure 8). Ces décès ne sont pas considérés comme ayant un quelconque rapport avec la Covid-19. Ils apparaissent pourtant aux mêmes périodes que ceux attribués à cette maladie, et surtout, pendant le confinement.

Figure 8 : Nombre de décès quotidiens à domicile en France

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Source : Insee

Sur mars-avril 2020, mortalité française au-dessus de la moyenne est de 5 200 décès. Ce nombre est extrêmement proche de l’estimation des 4 800 personnes non soignées pour constituer un indice fort sur la cause réelle de décès de ces personnes : l’abandon de soin. La Cour des Comptes relève également cette situation dans son rapport sur les Soins Critiques : « À titre d’illustration, une étude italienne publiée en février 2021 met d’ores et déjà en évidence durant la première vague épidémique, une forte baisse des séjours hospitaliers pour infarctus du myocarde en région Émilie-Romagne (- 42 %) et, de façon concomitante, une hausse de la mortalité extrahospitalière pour cette même cause (+ 62 % de février à avril 2020). »

  1. En 2020, de nombreux Français sont morts à l’hôpital par manque de soins précoces

La période de mars-avril 2020 est extrêmement particulière dans toute l’histoire du soin, car il s’agit de la première fois que l’on demande à des malades de ne pas consulter de généraliste, en particulier dans le cadre d’une infection respiratoire (Figure 9)

Figure 9 : Affichettes officielles françaises

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Cet ordre a entraîné un comportement de la population inédit dont on peut voir les effets sur les statistiques d’achat de médicaments en pharmacie de la base de données Médicam.

En représentant la base remboursable de tous les médicaments vendus par les pharmacies en France, chaque mois (Figure 10), on observe que le mois de mars 2020 a connu une hausse de 13 % des ventes de médicaments par rapport à la moyenne 2017-2019, représentant le provisionnement des Français à la suite de l’annonce du confinement généralisé. Les mois d’avril et mai 2020 présentent au contraire, des baisses de 15 % et 14 % par rapport à la moyenne. Ces baisses sont le reflet de la non-prescription par les médecins à la suite de l’ordre de ne pas consulter.

 

Figure 10 : Base remboursable mensuelle des médicaments distribués en pharmacie

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Cette chute est cependant bien plus forte concernant les traitements habituels prescrits dans le cadre des infections respiratoires aiguës. En particulier les antibiotiques permettant d’éviter les surinfections ont connu une chute sans précédent (Figure 11).

Figure 11 : Base remboursable mensuelle des antibiotiques distribués en pharmacie

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En mars, le provisionnement n’a pas existé et le total d’antibiotiques vendus est inférieur de 1 % à la moyenne 2017-2019. En avril et mai, les chutes de ventes furent respectivement de 40 % et 47 %. Depuis cette période, la vente d’antibiotiques est restée à des niveaux extrêmement bas, reflet du choix de ne pas proposer ce traitement en cas d’infection respiratoire.

A contrario, les français ont suivi les injonctions gouvernementales en ingérant massivement du Doliprane à cette période (Figure 12). Pour mémoire, ce médicament n’est utilisé dans ce cadre qu’en tant qu’antalgique (anti-douleurs) et antipyrétique (anti-fièvre). Il n’a donc pas la même visée thérapeutique qu’un antibiotique. L’ANSM[vi] rappelle d’ailleurs que le paracétamol peut entraîner des lésions graves du foie dans certains cas de surdosage, pouvant conduire à des greffes du foie (1ère cause de greffe hépatique d’origine médicamenteuse en France).

Une étude australienne[vii] a également averti en 2019 d’une recrudescence du nombre d’hospitalisations et de décès liés à des surdoses de ce médicaments.

Figure 12 : Base remboursable mensuelle de Doliprane distribué en pharmacie

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Ainsi, ce choix de ne pas laisser les médecins de ville proposer de traitements dans le cadre d’une infection respiratoire aiguë pendant les mois de mars et d’avril, a entraîné une dégradation sans précédent de l’état de santé des patients. La non-prescription d’antibiotiques aura permis aux bactéries de proliférer chez les patients âgés et affaiblis. Ainsi, à partir de fin mars, l’arrivée de ces patients qui décéderont à l’hôpital, n’est pas le signe du caractère exceptionnel de la maladie, mais celui du caractère exceptionnel de la situation : pas de prise en charge précoce, et pas de traitement antibiotique.

Ce réel défaut de prise en charge précoce pesant ensuite sur l’hôpital a été quantifié par deux membres du Conseil Scientifique, Arnaud FONTANET et Simon CAUCHEMEZ, pourtant à l’origine de cette stratégie. Leur article dans Science[viii], utilise les données hospitalières françaises et notamment le temps de passage jusqu’à la réanimation et jusqu’au décès depuis la prise en charge du patient. Les courbes les plus intéressantes ont depuis été supprimées de l’article principal, mais sont toujours disponibles dans les données complémentaires. Aux pages 15 et 16 sont détaillés les nombres de jours que mettent les patients arrivant à l’hôpital avant d’aller en réanimation (Figure 13 graphique de gauche) et le nombre de jours qu’ils mettent avant de décéder (graphique de droite).

 

Figure 13 : Délai entre l'entrée à l'hôpital et l'entrée en soin intensif ou le décès

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Ainsi, 50 % des patients arrivant à l’hôpital sont placés en réanimation dès de le premier jour et 17 % des patients décèdent dès le premier jour. Ces ratios énormes prouvent que les patients arrivent trop tard à l’hôpital. On observe d’ailleurs une très forte différence entre le nombre de décès au jour 1 et le nombre de décès au jour 2, illustrant qu’une grosse partie des arrivées n’est plus sauvable. Les auteurs en déduisent d’ailleurs qu’il y a 2 courbes séparées, entre ceux décédant très tôt et les autres et concluent à un Covid-19 court et un Covid-19 long. C’est l’explication restante dans l’article toujours en ligne. Une lecture moins orientée déduit de cet énorme ratio de décès au premier jour, que les soins sont trop tardifs. Il est donc très probable que les décédés des jours suivants soient également pour beaucoup du fait de personnes dont l’état a eu le temps de s’aggraver et dont certains auraient pu survivre si les soins avaient été précoces. Ces 17 % de patients arrivés trop tard représentent 3 000 personnes sur les 17 570 décès déclarés Covid-19 à l’hôpital sur cette période. Si on considère qu’un décès dans les 3 jours à l’hôpital est un signe d’une prise en charge trop tardive, le total de décès potentiellement évitable est alors de 6 000. Ce total de 6 000 est à rapprocher de la surmortalité hospitalière de la période : 7 170 personnes.

  1. L’activité Covid-19 de l’hôpital : une activité lucrative ?

La surmortalité hospitalière se mesure en calculant le surplus de mortalité sur la période aux statistiques habituelles. Les hôpitaux ont commencé à remonter des décès Covid-19 à partir du 18 mars 2020 (Figure 14 courbe orange). On constate, en effet à partir de cette date, une augmentation du nombre de décès dans la mortalité générale de l’hôpital (courbe grise).

Figure 14 : Nombre de décès quotidiens à l'hôpital en France

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Le nombre de décès enregistré à l’hôpital entre novembre 2019 et février 2020 est en moyenne de 931 par jour. Ce nombre a bien été franchi quotidiennement à partir du 18 mars 2020, date à laquelle les hôpitaux ont commencé à remonter des décès estampillés COVID 19, et jusqu’au 18 avril 2020, avec un maximum à 1 345 le 31 mars 2020. Durant cette période entre le 18 mars 2020 et le 18 avril 2020, le nombre de décès à l’hôpital est passé en moyenne à 1 150 par jour. Cela représente donc 200 décès de plus par jour. Pendant cette période, le nombre de décès identifié COVID 19 a été de 370 par jour en moyenne. Ainsi, le nombre de décès remontés déclarés Covid-19 est 2 fois plus élevé que l’augmentation du nombre de décès total constatée.

A partir du 18 janvier, plus les hôpitaux remontent de décès liés à la Covid-19 et moins ils remontent de décès liés à d’autres pathologies. On voit nettement la courbe bleue baisser lorsque la courbe orange augmente et inversement.

Au bilan, la surmortalité hospitalière représentant le surnombre de décès à l’hôpital sur la période du 18 mars au 30 avril 2020 est de 7 170 personnes. Ce nombre est 2 fois plus petit que le nombre de décès attribués à la Covid-19 par l’hôpital sur cette période : 14 283. Nous avons vu précédemment que la mention Covid-19 a été appliquée pour 20% des cas à des patients ne se présentant initialement pas pour Covid-19. Cette pathologie a été identifiée avec beaucoup de largesse, due à la définition très souple d’un « malade Covid-19 ». On observe que le nombre de décès Covid-19 remontés par les hôpitaux dans la semaine du lundi 23 mars 2020 au dimanche 26 mars 2020 est de 282 en moyenne. Cette moyenne explose à partir de la semaine suivante pour passer à 469, puis 480, avant de commencer à redescendre avec l’arrivée des beaux jours. On ne peut pas écarter l’hypothèse que l’augmentation très forte visible fin mars vienne uniquement du changement de la stratégie de comptage au moment où les hôpitaux ont pu déclarer des malades Covid-19 à partir de simples « radios évocatrices ».

Rappelons que la mise en place de la Tarification à l’Acte (T2A), mise en place par Jean Castex a radicalement changé la façon d’envisager le soin en France. Les hôpitaux sont désormais rémunérés en fonction des actes qu’ils produisent et non pas pour répondre au besoin d’assurer des services publics. Cette politique permet de justifier la fermeture de toutes les structures trop petites pour atteindre un seuil de rentabilité et ainsi abandonner de nombreux territoires. Elle force également les hôpitaux à mettre en place des stratégies pour s’orienter vers des activités rentables.

Une de ces stratégies est de déclarer le code d’intervention le plus rentable possible lorsqu’arrive un patient. Nicole DELEPINE, pédiatre, oncologue, prend exemple d’un patient arrivant pour une chimiothérapie de base rapportant 5 000 € à l’hôpital, mais qui rapporte 12 000 € si une infection est découverte sur le patient[ix]. Il y a donc plus qu’un intérêt, mais une nécessité de trouver sur un maximum de patients hospitalisés, des infections, pour rentabiliser son séjour. Le déploiement des tests RT-PCR, leur très haute sensibilité et leur faible spécificité laissée à la libre interprétation du laborantin, sont une aubaine financière pour les hôpitaux. Si on ajoute que le test positif n’est même pas nécessaire pour déclarer un malade infecté de la Covid-19, mais qu’une « radio évocatrice » (qui nécessite donc une radiographie qui sera facturée) suffit, sans qu’il soit question de mentir à aucun moment, il devient quasi systématique de classer toute personne âgée qui tousse en « Covid-19 » et de la placer en réanimation, surtout lorsqu’il y a des places à prendre à la suite de la réorganisation qui a fait rentrer dans cette catégories les lits de soins continus.

Un tract de la CGT de mai 2020 nous informe des codages prévus à cette époque pour la Covid-19 rentrant dans les catégories des infections respiratoires[x]. Le classement en Covid-19, donc en infections et inflammations respiratoires au lieu d’une maladie virale classique permet d’augmenter la valorisation de 480 € par patient et par séjour (Figure 15). Le classement en réanimation au lieu de soins continus permet une augmentation de valorisation de 484 € par patient et par jour.

Figure 15 : Tarif par type de séjour

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La conclusion reste rigoureusement identique à l’épisode précédent : nous pouvons dire que nous avons montré dans de nombreux articles et vidéos que la mortalité sur l’année 2020 ne peut en aucun cas être attribuable à la seule Covid-19 et est bien trop faible pour justifier la moindre mesure coercitive. Grâce à l’ATIH, nous savons dorénavant qu’il en est de même pour les hospitalisations, donc les réanimations. Le catastrophisme médiatique est toujours une mise en scène justifiant la répression.

Toutes ces statistiques proposées par l’ATIH ne font que nous confirmer que nous faisons face depuis 2 ans à des choix idéologiques, politiques ou financiers de la part des décideurs, et qui n’ont rien à voir avec la santé des Français.

 


394 réactions


  • Clocel Clocel 6 décembre 2021 09:59

    « C’est écœurant comme pratique » :

    Un hôpital engage des comédiens pour tester son personnel...


  • Ben Schott 6 décembre 2021 10:18

     

    Certains abonnés à Science&Vie attendaient ces précisions avec impatience... smiley

     

    Merci, Pierre.

     

     


    • samuel 6 décembre 2021 16:02

      @Ben Schott

      oh oui. Merci Pierre de me donner l’occasion de tirer à nouveau sur l’ambulance smiley


  • V_Parlier V_Parlier 6 décembre 2021 10:33

    Avec ou sans covid, la surcharge est, en France, le mode fonctionnement « normal » des hôpitaux depuis longtemps : https://www.youtube.com/watch?v=YLmnAR7KD8s .


    • Décoder l'éco Décoder l’éco 6 décembre 2021 10:59

      @V_Parlier
      Béni soit la Covid qui nous a permis de régler le problème de la surcharge hospitalière.
      Castex avait instauré la T2A pour inciter gentiment les hôpitaux à abandonner les vieux qui crèvent chez eux en toussant tous les hivers. A la place, on « dépiste » tous les 3 jours les « potentiels malades » de cancers. Les « nouvelles technologies » permettent de dépister les cancers « bien plus tôt » et « d’augmenter les chances ».
      On trouve d’ailleurs depuis qu’on dépiste « beaucoup plus de cancers » sûrement dû à la pollution et au « changement climatique ».

      Ces bisounours des hôpitaux n’avaient pas compris le message avec la T2A. Il restait toujours des vieux briscards qui continuent de vouloir soigner les gens l’hiver et qui ont pigé qu’il n’y a pas d’augmentation de cancers ailleurs que des les bénéfices des laboratoires.

      Il y a une énorme augmentation des tests qui trouvent des microkystes. Cela permet de déclencher la prise en charge pour les enlever et injecter une batterie de saloperies à l’heureux cobaye.
      Comme l’humain est assez costaud, il s’en sort assez souvent. On pourra dire que c’est grâce à la prise en charge précoce et aux bons soins.
      Quand il ne s’en sort pas, on dit que c’est la faute du cancer et surtout pas du « nouveau traitement RE-VO-LU-TION-NAIRE » qu’on vient d’essayer sur lui.

      Tout ça, sans que jamais on n’ai pu prouver que les cancers non-mortels auraient de toute façon été non-mortels sans prise en charge et que le ratio bénéfice/risque est supérieur à 1.
      C’est la magie des cancéreux et des sidéens depuis 30 ans : convaincus de leur morts prochaines avant l’heure, on peut tout leur faire. En plus ils signent et ils disent merci...

      Cette folie du test cancer est la même que la folie du test Covid. Elle a permis de terminer la transformation de l’hôpital : machine à pognon et essais cliniques grandeur nature.


    • doctorix, complotiste doctorix, complotiste 6 décembre 2021 15:01

      @Décoder l’éco
      Personne ne peut croire qu’une mammographie tous les deux ans de 50 (ou 40) à 75 ans est sans incidence sur la survenue des cancers du sein. Il n’y a pas d’irradiation anodine.
      C’est bien commode : à force d’irradier, on finit par déclencher le cancer.
      Et donc les mammographies sont réputées utiles, puisqu’elles détectent les cancers qu’elles provoquent.
      Directement du producteur au consommateur.
      Ou le serpent qui se mord la queue.
      Médecine de fous...Ou d’escrocs...


  • nono le simplet 6 décembre 2021 11:07

    silence glacial ...


  • xana 6 décembre 2021 11:12

    Bravo encore une fois pour cet article.


  • Lynwec 6 décembre 2021 11:29

    Pour les tests dits « de dépistage », au vu de l’absence totale de respect du code de déontologie d’une partie du corps médical, je pense qu’un certain nombre de personnes pourraient commencer à avoir une saine réaction de défiance, entre les erreurs d’analyse, les erreurs d’identification du patient et autres péripéties déjà observées .

    Quelle confiance raisonnable pourra-t-on avoir dans la réponse d’un test de dépistage de cancer par exemple, quand on voit que des test pcr reconnus comme faux à 95% ont servi de base à l’arnaque covidiste ?


    • CoolDude 6 décembre 2021 15:00

      Quand on voit que des test pcr reconnus comme faux à 95% ont servi de base à l’arnaque covidiste ?



      D’après :
      https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/communique-de-presse/le-nombre-de-tests-realises-entre-le-4-et-le-10-janvier-2021-repart-la-hausse

      Entre le 1er mars 2020 et le 10 janvier 2021, on estime qu’environ 40,5 millions de tests RT-PCR et antigéniques ont été réalisés en France : environ 36,4 millions de tests RT-PCR et 4,1 millions de tests antigéniques.

      Soit 90% de RT-PCR...

      Et d’après le site Géodes, mi-juillet 2020 au plus bas de « l’épidémie », on avait
      85 000 tests réalisés pour 900 positif.

      1,05 % de positif.

      Cf. Synthèse des pages :
      https://geodes.santepubliquefrance.fr/#c=indicator&i=sp_capa_quot.t&s=2021-12-02&t=a01&view=map2
      https://geodes.santepubliquefrance.fr/#c=indicator&f=0&i=sp_pos_quot.p&s=2021-12-02&t=a01&view=map2

      Même en considérant que ce soit que des faux positifs et que les RT-PCR représentent 90% des tests, concernant les faux positifs, on a que 1,1% de faux positif ce qui pas mal !

      Aucun autre type de test ne fait mieux et il a d’autres avantages :
      On peut détecter un cas Covid avant même qu’une réponse immunitaire ne s’instaure... Et souvent la réponse immunitaire est inscrite dans la duré et on peut encore détecté la présence d’anticorps des mois après une contamination.

      Bref, les Tag (Tests antigéniques) sont beaucoup moins fiables. Mais ils sont plus rapide, etc...

      Depuis Novembre 2020, il semble que la part de ce type de test réalisé devient important 1/3 des tests réalisés en début d’année et je pense que cette tendance n’a pas diminué.

      Tout ça pour dire que pour moi, les RT-PCR sont de très bon test !


    • Lynwec 6 décembre 2021 15:26

      @CoolDude
      C’est d’ailleurs dans cet esprit que l’inventeur du test avait bien spécifié que c’était un outil de travail et en aucun cas un instrument fiable pour détecter et identifier des virus. Il ne devait rien y connaître sur le sujet, n’ayant fait que le concevoir...

      Quand on veut prendre les gens pour des c... tous les moyens sont bons, mais il y a une limite, d’après Audiard, on les reconnait assez vite, les vrais...


    • CoolDude 6 décembre 2021 15:30

      @Lynwec

      Ce n’est pas parce que, il n’a pas été pensé comme un test, d’ailleurs à quoi d’autre pourrait-il servir d’ailleurs, qu’il ne peut pas le devenir.

      L’expérience montre le contraire.

      Bien maitrisé, ça fonctionne.

      1% de faux positifs, ce n’est pas 95.


  • samuel 6 décembre 2021 11:53

    « Nous ne doutons pas que les adeptes d’une religion trouveront toujours quelque chose pour la défendre. Il s’agit juste de permettre à ceux qui souhaiteraient faire usage de bon sens de comprendre le fantasme qui nous est servi. »

    Ils affirment que la statistique du nombre de patients admis pour Covid19 ne représente pas bien les tensions extrêmes qu’a connu l’hôpital (de façon incontestable puisque vues à la télé) et qu’il faut explorer les autres, notamment les jours d’hospitalisations.

    Poids des patients COVID en réanimation MCO en 2020 : 19% (pour 11% des patients).

    Près d’1/5 des journées d’hospit en reanimation ont été consacrées à des patients COVID sur 2020 (donc en dehors des pics épidémique). Je sais pas ce qu’il faut à l’auteur...

    Sans compter que les journées d’hospitalisation ne reflètent pas le nombre d’heures travaillées ni l’attention que demandaient ces patients (mais bon, pour le savoir faut sortir des tableau Excel).

    La figure 5 montre l’énorme poids du COVID sur les services concernés (ceux-ci ayant une baisse d’activité énorme hors COVID mais une hausse brute par rapport à 2019) !

    Sur la base de chiffres annuel forcément lissé, j’affirme, que les services de réanimations ont été surchargés et, qu’à fortiori, les pics épidémiques ont été des moments d’extrême tension dans ces services.

    Ils affirment que les services de soins critiques et de réanimations sont les vrais révélateurs de la pandémie, (montrant son caractère extrêmement dangereux) et qu’ils étaient complètement saturés.

    Non. Ce sont les reportage télévisés qui ont mis en avant la surcharge dans les service de réanimation.

    Donc, pour affirmer qu’il ne s’agirait que de pure propagande, il faudrait démontrer la baisse d’activité dans ces même services. 

    En passant, la T2A c’est Bachelot (15 ans avant le COVID).

    Attention, je n’affirme pas que l’hopital est bien géré et je ne suis pas le garant de la bonne ou de la mauvaise gestion de la crise par le gouvernement.

    Le COVID, c’est la bassine d’eau qui fait déborder le bidet... Mais ce n’est pas parce que le bidet était déjà bien rempli que le COVID c’est du flan.


    • samuel 6 décembre 2021 13:03

      @samuel

      3 votes négatifs mais pas (encore) une seule remarque sur le fond.

      Volà voilà, CQFD. 


    • Adèle Coupechoux 6 décembre 2021 13:05

      @samuel
      Cette tarification a été introduite en 2004 par Mattéi et c’est Castex, qui en tant que Directeur de l’Hospitalisation et de l’Offre de Soins au ministère de la santé mit en place cette réforme. Afin de gérer l’hôpital comme une entreprise.
      Bachelot c’est la réforme HSPT en 2008 avec la création des ARS.

      Quant à la baisse d’activité, elle est bien réelle, les services ferment faute de soignants.

      https://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/ille-et-vilaine/rennes/temoignage-pediatrie-en-crise-il-faut-etre-fou-pour-aller-travailler-a-l-hopital-je-n-y-crois-plus-2312842.html

      https://www.lemonde.fr/societe/article/2021/10/28/tri-des-patients-perte-de-chance-un-collectif-alerte-sur-la-situation-catastrophique-en-pediatrie_6100265_3224.html

      Et ce ne sont que deux exemples parmi tant d’autres...


    • samuel 6 décembre 2021 13:13

      @Adèle Coupechoux

      « Directeur de l’Hospitalisation et de l’Offre de Soins au ministère de la santé »

      Ce n’est donc pas lui qui a proposé ni voté la loi smiley 

      « Quant à la baisse d’activité, elle est bien réelle, les services ferment faute de soignants. »

      Donc les services restants sont surchargés !


    • Ben Schott 6 décembre 2021 13:21

      @samuel

      « Ce n’est donc pas lui qui a proposé ni voté la loi  »
       
      Adèle ne t’a pas dit ça, petit manipulateur. Ce n’est pas Bachelot, c’est Mattéi en 2004, voilà ce qu’elle t’a dit.

      Tu crois qu’on t’a pas repéré ?...  smiley
       


    • Adèle Coupechoux 6 décembre 2021 13:26

      @samuel

      « Ce n’est donc pas lui qui a proposé ni voté la loi »


      C’est bien Castex qui l’a mise en place avec zèle...Comme il est bien premier ministre aujourd’hui même si c’est macron qui navigue à vue  smiley

      " Donc les services restants sont surchargés !

      "
      L’hôpital est quasi détruit par toutes ces politiques de rationalisation et mercantiles. Et vous allez vous retrouver sans hôpital très bientôt.


    • samuel 6 décembre 2021 13:26

      @Ben Schott

      Et Bachelot généralise la T2A... 
      https://www.lefigaro.fr/debats/2008/08/23/01005-20080823ARTFIG00067-loi-bachelot-le-risque-d-achever-l-hopital-public-.php

      par contre Castex n’a été qu’un exécutant.

      Mais ce n’est qu’un point de détail de l’histoire smiley


    • samuel 6 décembre 2021 13:28

      @Adèle Coupechoux

      « L’hôpital est quasi détruit par toutes ces politiques de rationalisation et mercantiles. Et vous allez vous retrouver sans hôpital très bientôt. »

      Je ne dis malheureusement pas le contraire smiley


    • Ben Schott 6 décembre 2021 13:28

      @samuel
       
      « Mais ce n’est qu’un point de détail de l’histoire »
       
      C’est ton sable du Sahara...  smiley
       
       
      Tu n’as pas les moyens de faire le malin, petit cuistre.
       


    • Adèle Coupechoux 6 décembre 2021 13:39

      @samuel

      Castex, un exécutant très zélé qui a défendu son bilan et se retrouve aujourd’hui avec Véran dans ce gouvernement ubuesque qui est en train d’achever un moribond.

      https://www.lemonde.fr/societe/article/2006/02/22/la-rentabilite-imposee-a-l-hopital_743923_3224.html


    • samuel 6 décembre 2021 13:41

      @Ben Schott

      « C’est ton sable du Sahara... »

      Lol. Je ne base pas mon contre-argumentaire là dessus, heureusement smiley

      Pas comme le philosophe sénile smiley


    • samuel 6 décembre 2021 13:45

      @Adèle Coupechoux

      « Castex, un exécutant très zélé qui a défendu son bilan et se retrouve aujourd’hui avec Véran dans ce gouvernement ubuesque qui est en train d’achever un moribond. »

      Ai-je dis le contraire ? 

      Est-ce que l’auteur de cet article précise que Castex n’était pas ministre à l’époque de la mise ne place de la T2A ? Non. Est-ce qu’il laisse croire à son auditoire que la mise en place de la T2A est concommitente avec l’apparition du SARS-COV2 ? Oui. 


    • Ben Schott 6 décembre 2021 13:48

      @samuel
       
      Pagani a basé son argumentaire sur le sable du Sahara ?
       
      Piètre sophiste... et t’es pas près d’inventer la machine à cintrer les bananes...  smiley
       

       

       


    • samuel 6 décembre 2021 13:57

      @Ben Schott

      « Pagani a basé son argumentaire »

      https://www.agoravox.fr/commentaire6208016
      J’ai écrit « contre-argumentaire » 

      Déjà que tu fais pas la différence entre grippe et grippette smiley

      Je comprend que 1/5 de patients covid dans les réa sur tout 2020 ça ne soit qu’un point de détail pour toi smiley

      PS : 
      Pour les autres. Il s’agissait de trouver ridicule de la part de pagani que les ressources en sable de construction fussent limitée car les réserves étaient énormes au Sahara. Et ainsi de dénigrer le discours de P. Servigne. Mais ce Mr ignore que ce sable est impropre à la construction...


    • Ben Schott 6 décembre 2021 14:00

      @samuel
       
      « J’ai écrit « contre-argumentaire » 
       
      Et donc ?
       
       
       
      PS : les autres ont compris que tu es un gros clown, te fatigue pas, glandu...  smiley
       

       


    • véronique 6 décembre 2021 14:19

      @samuel

      Est-ce que l’auteur de cet article précise que Castex n’était pas ministre à l’époque de la mise ne place de la T2A ? Non. Est-ce qu’il laisse croire à son auditoire que la mise en place de la T2A est concommitente avec l’apparition du SARS-COV2 ? Oui


    • véronique 6 décembre 2021 14:26

      @véronique

      @Samuel

      Non je n’ai pas du tout compris ça. C’est vous qui avez fait une confusion. En lisant le nom de Castex, vous avez compris qu’il était visé en tant que 1er ministre actuel, ou bien que l’auteur se trompait sur la date de la réforme du financement de l’hôpital. Mais si on connait un peu l’histoire, on sait bien que Castex a eu une vie avant de devenir premier ministre et que la tarification à l’acte date du début des années 2000. Donc il n’y a rien à préciser. 


    • samuel 6 décembre 2021 15:34

      @mes chers contradicteurs

      C’est fou comme tout mes chers contradicteurs éludent 95% de mon post.

      (1/5 des patients en rea ont le COVID sur l’année 2020).

      CQFD


    • samuel 6 décembre 2021 15:36

      @Ben Schott

      « Et donc ? »

      ça change le sens de mon propos. Et c’est malhonnête smiley


    • roby roby 6 décembre 2021 17:58

      @samuel
      Bachelot,Bachelot c’est pas celle qui chez Ruquier avait dit que la politique on ne la reprendrait plus , langue de vipère sans aucun honneur....


  • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 6 décembre 2021 12:01

    ’’Toutes ces statistiques proposées par l’ATIH ne font que nous confirmer que nous faisons face depuis 2 ans à des choix idéologiques, politiques ou financiers de la part des décideurs, et qui n’ont rien à voir avec la santé des Français.’’

    La croyance s’affranchit aisément du principe de non contradiction.

    Quand l’auto-contradiction est instituée en principe de gouvernement, alors c’est qu’on a entrepris de remplacer les êtres humains par des caprins.

    Ainsi, à défaut de réussir à devenir des sur-hommes, les dirigeants politiques serviles pourront se flatter d’êtres des super caprins.

     

     


  • Adèle Coupechoux 6 décembre 2021 12:16

    Ce qui m’interroge c’est le silence des familles, des usagers. Je sais qu’il y a eu des plaintes de déposées pour maltraitance :

    https://www.bfmtv.com/police-justice/covid-19-elle-porte-plainte-pour-homicide-involontaire-apres-la-mort-de-son-pere-contamine-a-l-hopital_AN-202102020475.html

    C’est cette acceptation de la majorité de la population et sa collaboration qui me fait le plus peur.


    • Décoder l'éco Décoder l’éco 6 décembre 2021 12:31

      @Adèle Coupechoux
      Témoignage intéressant.
      La seule erreur c’est le passage où la dame dit que son père a été « contaminé ». Il a juste été déclaré Covid+. Rien à voir avec une contamination. Probablement rien à voir avec ses symptômes. 

      Pour le moment, je n’ai pas trouvé la moindre trace de l’existence d’une contamination nulle part.
      Malade oui. Test + oui. Malade et test + oui. Malade et test  oui. non Malade et test + oui. Tous les cas de figure existent montrant qu’il n’y a pas de rapport entre test + et malade.

      Ensuite il y a tous les cas entre malade oui, puis voisin malade oui ou non. Test + puis voisin test + ou test -.

      Mais aucune étude scientifique n’apporte de preuve qu’avoir un test + ou être malade vient du fait qu’on a croisé un test + ou un malade. Il y a juste une synchronicité de ces états.
      D’ailleurs, une remarque juste comme ça, d’où viendrait le « premier contaminé » ? Mais là, je sens qu’on touche au fondements de la théologie virale alors je m’attends à un procès rien que pour oser poser la question.


    • Adèle Coupechoux 6 décembre 2021 12:38

      @Décoder l’éco

      J’avais relevé ce détail, ayant depuis le début pensé que ces tests étaient et restent une totale arnaque.
      Une manipulation pour entretenir le processus de contrôle des populations.
      Et la maltraitance.


    • pemile pemile 6 décembre 2021 12:42

      @Décoder l’éco "Mais aucune étude scientifique n’apporte de preuve qu’avoir un test + ou être malade vient du fait qu’on a croisé un test + ou un malade. Il y a juste une synchronicité de ces états."

      Oulala, on dirait du Mélusine ou la Robe de Saphir ??!!


    • Décoder l'éco Décoder l’éco 6 décembre 2021 12:54

      @pemile
      Ah bah vous revoilà.
      Montrez-moi l’étude observationnelle apportant une preuve qu’il existe une transmission de virus respiratoire.
      Pour l’instant, c’est une licorne.


    • pemile pemile 6 décembre 2021 13:13

      @Décoder l’éco « Montrez-moi l’étude observationnelle apportant une preuve qu’il existe une transmission de virus respiratoire. »

      Merci de persister dans vos dénis puérils, je vais me contenter d’archiver votre « licorne » dans la WayBack Machine.


    • Ben Schott 6 décembre 2021 13:25

      @Décoder l’éco

       
      « Montrez-moi l’étude observationnelle apportant une preuve »
       

      Vingt minutes de recherches infructueuses sur le net et...
       
      ...et notre prix Nobel va se recoucher, penaud !...

       
       smiley
       


    • nono le simplet 6 décembre 2021 13:28

      @pemile
      mon silence glacial se transforme en un rire mal contenu smiley


    • pemile pemile 6 décembre 2021 13:36

      @Ben Schott « Vingt minutes de recherches infructueuses sur le net et »

      Ridicule, 5 secondes suffiront à tous lecteurs pour se marrer de lire de telles âneries en décembre 2021 !


    • bubu123 6 décembre 2021 13:49

      @pemile

      je ne suis pas sur de comprendre ce que raconte l’auteur la sur le coup  smiley


    • pemile pemile 6 décembre 2021 13:56

      @Ben Schott « Contente-toi d’archiver dans ta WayBack Machine, et ferme-là »

      C’est exactement ce que j’ai fais, mais j’ai l’impression que cela frustre ton petit rôle de troll ??!! smiley

      Plus personne ici ne sait taper « covid 19 transmission aérosol » sur Google ??!!


    • Décoder l'éco Décoder l’éco 6 décembre 2021 14:42

      @pemile
      Déni de quoi ? Pour qu’il y ai un déni, il faut une affirmation.
      Affirmez-moi quelque chose, avec un preuve de votre affirmation et parlez de déni après.


    • pemile pemile 6 décembre 2021 14:50

      @Décoder l’éco « Déni de quoi ? Pour qu’il y ai un déni, il faut une affirmation. »

      Oui, vous affirmez bien ne pas avoir connaissance des nombreuses études sur la transmission aérosol du SARS-COV2, non ?


    • Décoder l'éco Décoder l’éco 6 décembre 2021 15:21

      @pemile
      Citez-en une. Une étude observationnelle.
      Allons-y. Pas une étude avec des données administratives qui présuppose la transmission, mais bien une étude qui questionne la transmission pour conclure : oui ça se transmet.
      Si vous me la trouvez, je la lis et on verra vraiment ce qu’elle a dans le ventre.


    • pemile pemile 6 décembre 2021 15:27

      @Décoder l’éco « Allons-y »

      Pas envie de nourrir un troll, surtout si il est auteur d’une vingtaine d’articles sur le sujet et donc censé avoir bosser le sujet ! smiley

      Mais je prends note que vous affirmez le 06/12/2021 à 15:21 ne pas en avoir connaissance ! smiley


    • Ben Schott 6 décembre 2021 15:31

      @Décoder l’éco

       
      No comment.  smiley
       
       
      Bon, à vue d’œil, comme d’hab et tel que c’est parti, les trois trolls de service vont te pourrir ton article : tu peux les éjecter momentanément si tu veux...
       
       smiley
       


    • nono le simplet 6 décembre 2021 15:36

      @Décoder l’éco

      je la lis et on verra vraiment ce qu’elle a dans le ventre.

      de statisticien aux prérogatives d’organisation de personnel te voilà bombardé lecteur correcteur d’une étude sur la transmission des virus aérosols pour le Lancet ... smiley


    • samuel 6 décembre 2021 15:37

      @Ben Schott

      « tu peux les éjecter momentanément si tu veux »

      On se retrouve sur youtube smiley En vrai même si tu veux smiley


    • Ben Schott 6 décembre 2021 15:40

      @nono le simplet
       
      « de statisticien aux prérogatives d’organisation de personnel te voilà bombardé lecteur correcteur d’une étude sur la transmission des virus aérosols pour le Lancet »
       
      Parce que d’avoir nettoyé la paillasse d’un labo pendant vingt ans fait de toi quelqu’un de plus légitime ?... on croît rêver...
       

       
      Tu devrais courir, loin, sans t’arrêter...  smiley
       

       


    • pemile pemile 6 décembre 2021 15:43

      @nono le simplet

      C’est les chinois qui ont commencé les premiers, il y a plus d’un an, à faire des PCR d’échantillons d’air dans les chambres et couloirs de leurs hopitaux mais notre ami pierre va rebondir en prétendant que d’après le philou même une pizza est positive au covid ?


    • pemile pemile 6 décembre 2021 15:50

      @samuel

      Le pire, c’est que pierre nie toute contamination, pas uniquement les aérosols pour lesquelles la communauté scientifique a mis du temps à faire consensus !


    • charlyposte charlyposte 6 décembre 2021 16:28

      @nono le simplet
      LOL smiley hum.


    • Décoder l'éco Décoder l’éco 6 décembre 2021 17:42

      @samuel
      C’est étude va dans le même sens que le reste que j’ai lu :
      des virus excrétés par les hôtes.
      Je n’ai aucun problème avec ce sens. Je connais maintenant de nombreux biologistes dont le métier est de trouver et de compter des virus en sortie.
      Donc oui, les humains, les animaux, les plantes produisent et balancent partout du matériel génétique appelé virus. Ok pour ça.

      En revanche, cet article n’apporte pas de preuve de l’autre sens. A quel moment a-t-on vérifié le fait que c’est le fait d’ingérer du virus qui rend malade ?

      Ce n’est pas parce qu’on trouve des virus en sortie que c’est le problème en entrée. 

      Pour faire simple, où est la preuve que ce virus est un pathogène ?


    • Décoder l'éco Décoder l’éco 6 décembre 2021 18:20

      @pemile
      Il n’existe pas de consensus en science.
      La science c’est la contradiction.
      Il n’y a que ceux qui font du marketing ou qui veulent dominer les autres qui font croire à un « consensus ». L’idée est d’utiliser l’instinct du conformisme. C’est l’expérience de Asch.
      Vous en êtes une parfaite illustration.


    • samuel 6 décembre 2021 18:31

      @Décoder l’éco

      « Pour faire simple, où est la preuve que ce virus est un pathogène ? »

      L’apparition synchrone entre un tableau clinique particulier et ce même virus.

      "En revanche, cet article n’apporte pas de preuve de l’autre sens. A quel moment a-t-on vérifié le fait que c’est le fait d’ingérer du virus qui rend malade  ?

      En l’occurent il ne s’ingère pas. Il s’inhale.

      « Donc oui, les humains, les animaux, les plantes produisent et balancent partout du matériel génétique appelé virus. Ok pour ça. »

      oui, ils produisent des particules virales.Mais jamais ex-nihilo. Il faut être infecté (donc avoir inhalé du virus) pour produire des particules virales et éventuellement tomber malade...


    • samuel 6 décembre 2021 18:37

      @Décoder l’éco

      « Il n’existe pas de consensus en science. »

      la science est affaire de vérité sur le réel. Si une théorie ou un modèle est proche voir représente de ce que nous pouvons observer de la réalité, alors elle peut faire l’objet d’un consensus...

      Les canards jaune fluo n’existent pas. Cela fait l’objet d’un consensus qui sera remis en cause dès qu’on observera un canard jaune fluo...

      La science ce n’est pas la contradiction ! Ce sont les conditions de remise en cause du consensus. Tant qu’un consensus n’est pas remis en cause, il peut être utilisé !


    • pemile pemile 6 décembre 2021 18:37

      @Décoder l’éco « Il n’existe pas de consensus en science. »

      Si, que l’on peut toujours remettre en cause, mais sûrement pas en pratiquant le cherry picking sur youtube ou AVox, ton domaine de jeu !


    • pemile pemile 6 décembre 2021 18:39

      @samuel

      Quelle synchronicité, mais tu m’as grillé ! smiley)


    • samuel 6 décembre 2021 19:02

      @pemile

      « Quelle synchronicité »

      On a du contracter la même réponse ex-nihilo en même temps.

      C’est la fameuse théorie de la synchronicité des infection de « Pierrot le fou ». Elle est loin de faire consensus smiley


    • samuel 6 décembre 2021 19:06

      @Green gladiator

      «  mais un article la peut te mener tres loin pemile ...  en attendant pierre lui n’ as pas de soucis judiciaire a cause de ce que tu appelle difamatoirement du cherry picking aka des fakenews ... »

      Y a pas de fake-news, il y a juste une interprétation erronée des faits. Heureusement qu’il n’y a pas une assignation en justice à chaque fois qu’un statisticien torture les chiffres smiley Y aurait la moitié du personnel politique, des journaliste et 100% des compltistes en tole... Déjà que la prison est surchargée...


    • Décoder l'éco Décoder l’éco 6 décembre 2021 19:09

      @samuel
      Vous venez de réciter un dogme.

      L’apparition synchrone entre un tableau clinique particulier et ce même virus montre une corrélation. Pas une causalité. Le virus est une production. Il pourrait très bien être une conséquence.

      Comment pouvez vous affirmer que les particules virales ne sont pas créées ex-nihilo. D’où vient cette affirmation ?


    • samuel 6 décembre 2021 19:12

      @Décoder l’éco

      « Comment pouvez vous affirmer que les particules virales ne sont pas créées ex-nihilo. D’où vient cette affirmation ? »

      De Lavoisier. Rien se perd, rien ne se créé, tout se transforme !


    • samuel 6 décembre 2021 19:18

      @Décoder l’éco

      0_o

      Le but d’un virus c’est d’infecter hein. C’est la base ça. La génération spontanée ex nihilo à échelle mondiale c’est... une théorie très ambitieuse (je suis poli hein smiley )


    • Ben Schott 6 décembre 2021 19:45

      @samuel
       
      Des infections comme toi, c’est pas de la génération spontanée, ça c’est sûr. Il a bien fallu qu’une telle purge soit conçue... On espère tous que tu ne deviendras pas une pandémie !...
       
       smiley
       


    • samuel 6 décembre 2021 21:00

      @Green Gladiator

      « lavoisier c’ est vrai pour les brique elementaire , pas pour les mocule , encore mois pour des organisme complexe ... »

      Sauf que ton pote il parle bien de particules virales créée ex-nihilo. Ex-nohilo ça vaut dire « du vide »... A partir de là, je trouve Lavoisier très pertinent à lui renvoyer à la gueule.

      Mais à ce que je vois, tu cautionnes ce genre d’inepties


    • samuel 6 décembre 2021 21:05

      @Ben Schott

      Amuses-toi bien dans le bac sable. J’apprécie tout particulièrement ton absence sur les discussions autour des chiffres de Pierre ou de sa théorie de la non transmibilité du virus.

      Il y a des non dits qui ont caractère d’avoeux smiley


    • pemile pemile 6 décembre 2021 21:13

      @Green gladiator

      Encore une vidéo qui exige de se connecter chez google !


    • samuel 6 décembre 2021 21:14

      @Green gladiator

      et bien je te laisse répondre à ma place sur la théorie des particules virales fantôme smiley


    • Ben Schott 6 décembre 2021 21:17

      @Green gladiator
       
      Moi aussi, ça me fout un putain de cafard...
       
       smiley
       

       


    • Décoder l'éco Décoder l’éco 6 décembre 2021 21:20

      @samuel
      Cessez de faire l’andouille.
      j’ai utilisé le terme ex-nihilo à la place de dire « sans virus initial ».
      Par exemple un création du corps à la suite de conditions extérieures particulières. On même d’une infection bactérienne ou parasitaire (tien, ça expliquerait pourquoi les antibiotiques et antiparasitaires fonctionnent).

      Bref, vous ne répondez-pas, vous n’avez pas autre chose que des dogmes à m’envoyer pour le moment.
      Si vous avez une source qui prouve le principe d’infection virale, je prends. Sinon il va falloir assumer votre rôle d’apôtre de l’église virologique.


    • samuel 6 décembre 2021 21:37

      @Décoder l’éco

      « dogmes »

      Ce n’est pas un dogme. C’est l’état de l’art sur la transmissibilité virale ! 

      Je ne sais pas trop ce que vous attendez de plus que ce que la science connait des virus et qui colle bien avec le comportement du SARS-COV2...

      • Une étude qui aurait visualisé les particules virales se baladant d’ans l’air pour infecter un hôte ?
      • Enfermer des gens négatifs et positifs dans la même pièce et voir le résultat ?
      Faut relire les expériences de base sur la mosaïque du tabac...

    • samuel 6 décembre 2021 21:53

      @Décoder l’éco

      Puisqu’il faut reprendre à la base :

      https://www.sciencedirect.com/topics/medicine-and-dentistry/tobacco-mosaic-virus


    • samuel 6 décembre 2021 22:02

      @Green gladiator

      « et tu pretend donner des court sur la mosaique du tabac ? »


      Je fourni une source demandée par l’auteur sur les principes de transmission virale.


      Merci de ne pas troller !


    • pemile pemile 6 décembre 2021 22:50

      @Décoder l’éco « Si vous avez une source qui prouve le principe d’infection virale, je prends. »

      Un stage en short et tongues pour enterrer des cadavres infectés d’ébola ?


    • Décoder l'éco Décoder l’éco 7 décembre 2021 07:57

      @samuel
      Pourquoi vous m’envoyez un article qui décrit la mosaïque du tabac ?
      J’ai déjà lu des articles historiques sur sa découverte, merci. Vous semblez ne pas comprendre que je ne nie pas l’existence des virus.
      Je trouve tout au plus que cette dénomination est un fourre-tout trop large.

      Je précise ma demande : où est la partie qui montre que c’est une plante qui contamine ses voisins en lui envoyant des virus ?


    • Décoder l'éco Décoder l’éco 7 décembre 2021 07:58

      @Green gladiator
      je suis banni de twitter pour avoir :
      osé dire que Pfizer a tué des gens dans l’affaire Bextra, 
       osé dire que concentrer autant de pognon et de pouvoir dans quelques mains est dangereux (avec un gif de Gates qui promeut son plan climat)


    • Captain Marlo Captain Marlo 7 décembre 2021 09:13

      @Décoder l’éco
      (avec un gif de Gates qui promeut son plan climat)

      Il ne s’occupe pas que du climat, il investit des millions de $ dans les médias, dont l’Immonde, le Financial Times, le Guardian, Der Spiegel, El Païs etc, avec retours d’ascenseur, forcément.


    • samuel 7 décembre 2021 11:04

      @Décoder l’éco

      « où est la partie qui montre que c’est une plante qui contamine ses voisins en lui envoyant des virus ? »

      A vous entendre, il faudrait pouvoir observer les particules virales migrer d’un hôte à un autre. C’est impossible de manière directe.

      Quel protocol expérimental serait suffisemment solide pour étayer ce que vous demandez ?

      Je pense que c’est vous qui jouez à l’imbécile et demandez des preuves impossibles à produire et totalement inutile pour prouver les infections virales.

      mais je me répète, quel protocol expérimental serait selon vous minimal pour prouver une contamination d’un hôte sain par un hôte malade ?


    • Décoder l'éco Décoder l’éco 7 décembre 2021 11:34

      @samuel
      J’aime bien quand vous avouez tranquillement votre propre supercherie : 
      Je pense que c’est vous qui jouez à l’imbécile et demandez des preuves impossibles à produire et totalement inutile pour prouver les infections virales.

      C’est magique de lire ça. Donc on doit supposer que détecter des virus vient du fait que quelqu’un l’a filé à son voisin. Juste parce que.

      Revenons sur votre totalement inutile. Je ne sais pas sur quelle planète vous vivez, mais ici, je vis dans un pays où des gens imposent à mes enfants de porter un bout de tissu sur le nez toute la journée et les abreuvent de discours culpabilisants et mêmes traumatisants.
      Je cite un prof de français : « n’enlevez jamais votre masque, c’est une question de vie ou de mort »
      Je n’ai pas le droit d’emmener mes enfants à la piscine, de les voir jouer au foot, de les emmener dans des parcs de jeux etc.
      Les humains et, particulièrement les enfants, sont accusés d’être coupables de la maladie des autres êtres humains.

      Je demande donc une preuve scientifique de cette culpabilité.

      Tout le monde est présumé innocent avant d’être prouvé coupable. Depuis 2 ans, on inverse la charge de la preuve. Avant de mettre en place la moindre mesure coercitive, il faudrait prouver que le virus se transmet bien d’un organisme à un autre. Tant que ce n’est pas fait, je ne risque pas de valider une seule seconde la moindre mesure. C’est juste du bon sens.

      quel protocol expérimental serait selon vous minimal pour prouver une contamination d’un hôte sain par un hôte malade ?
      Dans le bon sens des choses, c’est à l’accusateur de mettre en place ce protocole. Moi, je suis la défense. En l’occurrence j’ai fait une grosse étude qui montre que l’arrivée des maladie hivernale et la hausse de la mortalité sont parfaitement corrélées aux changement météorologiques (j’ai pris la température, mais ça marche aussi avec l’humidité de l’air, j’ai les données sur quelques années).
      J’ai donc une explication avec 90% de corrélation qui exclue le phénomène de transmission.
      Corrélation n’est pas causalité certes, mais il va falloir me faire un sacré papier pour m’expliquer que c’est la hausse de la mortalité qui entraîne la chute des températures 5 jours avant...

      Pour résumer : je me battrai jusqu’au bout pour empêcher des dingos qui récitent un dogme religieux de l’église de la virologie de s’en prendre à mes enfants. Mes enfants sont innocents de ce que vous les accusez. Ils ne propagent pas de virus tant que vous ne l’avez pas prouvé. Allez tous vous faire piquer avec vos saloperies j’en ai rien à carrer. Laissez mes enfants respirer.


    • Ben Schott 7 décembre 2021 12:58

      @Décoder l’éco
       
      « je me battrai jusqu’au bout pour empêcher des dingos qui récitent un dogme religieux de l’église de la virologie de s’en prendre à mes enfants. »
       
      Et tu ne seras pas seul !...  smiley
       

       

       


    • samuel 7 décembre 2021 14:47

      @decoder l’éco

      Vous avez quitté le scientifique pour l’émotionnel mais peut importe. 

      « Dans le bon sens des choses, c’est à l’accusateur de mettre en place ce protocole. Moi, je suis la défense »


      Je demande à la défense quel niveau de preuve la satisferait ? smiley

      Les articles publiés sont suffisants pour moi sur la base de l’état de l’art scientifique sur les virus.


      « En l’occurrence j’ai fait une grosse étude qui montre que l’arrivée des maladie hivernale et la hausse de la mortalité sont parfaitement corrélées aux changement météorologiques  »


      La présence de cluster montre une correlation d’infections de population qui ont été en contact... C’est la définition même du cluster ! Bizarre que cette corrélation là ne vous satisfasse pas !


      « J’ai donc une explication avec 90% de corrélation qui exclue le phénomène de transmission.  »

      Non. Vous avez éventuellement un facteur confondant (la température) mais sans mécanisme d’action et qui n’exclue en rien le phénomène de transmission.


      L’humidité relative et la température peut augmenter l’effet aérosol qui est le mécanisme de transmission par exemple.


      Faire des statistiques sans expertise est vraiment une plaie... Y en a qui font ça sur des pyramides vous savez...


    • nono le simplet 7 décembre 2021 15:12

      @samuel
      decoder est partisan de la génération spontanée de virus qui renaissent aux premiers froids comme les escargots ou les champignons quand la pluie arrive ...
      ardant disciple d’Esculape, clystère et sangsue sont ses instruments ...


    • Décoder l'éco Décoder l’éco 7 décembre 2021 15:35

      @samuel
      Il n’y a pas la moindre preuve de transmission dans vos articles.
      Il s’agit d’articles fouillés qui décrivent les virus.

      J’ai bien compris que c’est suffisant pour vous. Je vous mets juste sous le nez que c’est l’absence de preuve qui est suffisante pour vous. C’est donc une croyance et pas de la science. Faites-vous piquer 14 fois à la pleine lune la tête en bas, je m’en contrecogne. 
      Le problème c’est que des dingos comme vous veulent imposer ça à mes enfants.


    • Xenozoid Xenozoid 7 décembre 2021 15:40

      @nono le simplet

      alors le nono il est content, c’est l’hiver, il va alligner plein de courbes, il va prouver quoi le nono ? que c’est l’hiver et sa culture des chiffres d’hiver....omaha.lol le nono il vous distribue des masques a tout le monde,mais rien ne change,sauf lui et les chiffres,mais il vous distribue des masques...si il est dit 99,0 et quelque seulement pour cent meurt il dit que c’est grace a ces masques et privation de vie que les autres sont vivant( il est content quand les morts sont sous-évalués,) apres il y eu les vaccins, mais encore ce n’était pas assez le nono voudrait bien plus de police, et de répression car le vaccin ne marche pas,avec des masques ,des gants, et le martphone non plus, il faut donc couper l’enfant en deux ,et voila l’hiver prochain si on est pas tous mort ,on aura nono qui distribura des courbes au petit moitier d’enfant,pour leur longues soirées d’hiver


    • pemile pemile 7 décembre 2021 21:47

      @Décoder l’éco "Je vous mets juste sous le nez que c’est l’absence de preuve qui est suffisante pour vous. C’est donc une croyance et pas de la science"

      Toi, t’aurais pu être avocat des politiques et des financiers au procès du sang contaminé ! smiley


    • samuel 8 décembre 2021 11:36

      @Décoder l’éco

      « c’est l’absence de preuve qui est suffisante pour vous »

      Les travaux sur la mosaïque du tabac prouvent que les virus se transmettent et sont des pathogènes.

      Adolf Mayer« Über die Mosaikkrankheit des Tabaks »Die Landwirtschaftliche Versuchs-stationenvol. 32,‎ 1886p. 451-467

      Iwanowski, D. (1892). « Über die Mosaikkrankheit der Tabakspflanze ». Bulletin Scientifique Publié Par l’Académie Impériale des Sciences de Saint-Pétersbourg / Nouvelle Serie III (in German and Russian). St. Petersburg. 35 : 67–70. Translated into English in Johnson, J., Ed. (1942) Phytopathological classics (St. Paul, Minnesota : American Phytopathological Society) No. 7, pp. 27–-30.

      Iwanowski, D. (1903). « Über die Mosaikkrankheit der Tabakspflanze »Zeitschrift für Pflanzenkrankheiten und Pflanzenschutz (in German).


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