O’Micron ! maman, j’ai peur !!!
Ils nous auront tout fait !
Des masques illusoires, puis indispensables,
Des vaccins efficaces à 99%... puis à 40%... après quelques mois.
Des gestes barrières pour les uns,
La nouba pour les autres.
Et en prime l’arrogance d’assurer qu’on ne pouvait mieux faire...
Sauf qu’avec le temps, les historiens jugeront, mais plus tard, probablement trop tard.
Nouba à l’Elysée :
Alors quid de ce nouveau variant, dont on nous dit qu’il est implacable, qu’il va plus vite que les autres, et qu’il serait probablement encore plus dangereux...
Alors on se barricade...
Mais qu’en est-il de cet omicron ?
Mérite-t-il une telle panique ?
D’ailleurs même l’OMS ne comprend pas l’affolement qui s’est emparé de certains gouvernements, et s’en tient à « mieux comprendre la chronologie des études en cours (...) afin de déterminer si ce variant doit être qualifié de variant d’intérêt ou de variant préoccupant ». lien
Ajoutons que l’OMS, pourtant souvent timide sur les questions sanitaires, ne valide pas les fermetures de frontières envisagées. lien
Ecoutons le Dr Angélique Coetzee, membre du conseil d’administration de l’association médicale sud-africaine qui, le 18 novembre, semble être l’une des premières à avoir détecté ce variant.
Elle a remarqué des patients par ailleurs en bonne santé, présentant des symptômes inhabituels : « leurs symptômes étaient si différents et si légers de ceux que j’avais traités auparavant », a-t-elle déclaré.
« L’un d’eux a présenté une maladie bénigne avec des symptômes tels que des muscles endoloris et une fatigue pendant un jour ou deux, ne se sentant pas bien (...) nous avons détecté que les personnes infectées ne souffrent pas de perte de goût ou d’odeur. Elles peuvent avoir une légère toux. Il n’y a pas de symptômes importants. Parmi les personnes infectées, certaines sont actuellement traitées à domicile ». lien
Et c’est pour cet omicron que les pays paniqués ferment leurs frontières, annonçant toujours plus de nouvelles vagues.
Qu’en est-il de la dernière en date ?
Le 27 novembre, on ne comptait que 27 morts du virus (et/ou du vaccin), en France, ce pays de 67 millions d’habitants, pays dans lequel 1700 personnes meurent chaque jour, dont 400 du cancer. lien
Par contre, les médias nous parlent moins des vagues de myocardites suite à l’injection :
Le professeur Christian Peronne, invité sur l’antenne de Cnews, a confirmé que la 5ème vague était une illusion, ajoutant, prenant l’exemple de la Grande Bretagne, que le virus frappait 4 fois plus les anglais vaccinés que les non-vaccinés, en se basant sur les chiffres de « santé publique Angleterre ».
Puis prenant aussi l’exemple d’Israël, en se basant sur les chiffres officiels, assure qu’il ne s’agit pas de vaccins, mais d’injection, et qu’elles ne protègent pas du virus...
Sur ce lien, les cartes prouvant les dires du Professeur Peronne.
Cerise sur le gâteau, il affirme que les lois décidées par le gouvernement ne sont pas légales, même si elles ont été validées par le Conseil d’Etat, ajoutant qu’on ne peut pas obliger les personnes à être vaccinées, car ces injections sont encore en phase expérimentales...nous en sommes à la phase 3 qui s’arrête fin 2022, et le code de Nuremberg ne permet pas d’inoculer un produit qui est encore en phase 3. lien
Toujours au sujet d’Israël, le journaliste Alexis Boisselier, dans les colonnes d’Ouest France, posant la question au directeur général du ministère de la santé d’Israël : « le vaccin protège-t-il vraiment contre le Covid-19 » a obtenu la réponse suivante : « 40% des cas de covid concerne des personnes vaccinées ».
Comme l’écrit avec un humour grinçant une internaute : « La troisième dose augmente l'immunité, donc après la quatrième dose vous êtes protégé. Une fois que 80% de la population a reçu la cinquième dose, les restrictions peuvent être assouplies car la sixième dose devrait empêcher la propagation du virus. Il est prévu que la septième dose résoudra tous les problèmes résiduels et c'est pourquoi nous n'avons aucune raison de craindre la huitième dose car la phase clinique de la neuvième dose a confirmé que les anticorps restent stables après la dixième dose. Ainsi la onzième dose garantissant qu'aucune nouvelle mutation ne se développera, il n'y a donc plus de raison de critiquer l'idée de la douzième dose ».
En tout cas, s’il faut en croire le « world economic forum », tout semble avoir été prévu.
Comme dit mon vieil ami africain, (et Coluche !) : « c’est pas parce qu’ils sont nombreux à avoir tort qu’ils ont raison ».
L’image illustrant l’article vient de « et si on arrêtait d’avoir peur »
Merci aux internautes pour leur aide précieuse.
Olivier Cabanel
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