samedi 26 juillet 2008 - par Bastien Gouly

Une association proche de la scientologie attaque la psychiatrie

Mardi soir, deux membres de la Commission des Citoyens pour les Droits de l’Homme (CCDH) se sont installés à la station de métro « Saxe-Gambetta ». Leur but : dénoncer les abus psychiatriques. Une action qui se répétera durant tout l’été sur Lyon.

Ce mardi, l’association anti-psychiatrique a pris ses quartiers dans le troisième arrondissement, à la rencontre des lyonnais. Certains d’entre eux se sont montrés très intéressés par la question de l’utilité de la psychiatrie, se montrant toutefois sceptiques vis-à-vis de la psychiatrie.

En effet, la CCDH est une organisation contestée par la ligue des Droits de l’Homme, puisque co-fondée aux Etats-Unis en 1969 par l’Eglise de Scientologie. La CCDH « dénonce les atteintes aux droits de l’homme dans le domaine de la psychiatrie et de la santé mentale. »

A travers les tracts, les militants accusent la psychiatrie et l’industrie du médicament « d’un complot international », qui se refléterait à Lyon dans les hôpitaux de Vinatier et de Saint-Jean-de-Dieu.

« Pour les droits de l’homme en France ! » pouvait-on entendre de leur bouche. Des passants intrigués interrogent le président de l’association à Lyon, Jean-Paul-Blanc : « En quoi les psychiatres attaquent les droits de l’homme ? Les psychiatres, ils sont là pour aider les gens, ils aident aussi les gens ! » Gêné, Jean-Paul Blanc tente de répondre : « Ceux qui se plaignent disent que non ! » « Eh bien, il faut aller en voir d’autres, il y en a qui soignent, c’est comme partout il y en a des bons et il y en a des mauvais » rétorque une passante. « Bien sûr, tout à fait, c’est vrai, »s’incline J-P. Blanc avec un sourire embarrassé. « Moi ce qui me gêne, c’est le rapport entre la Scientologie et votre association » avoue un intéressé. « Vous ça vous gêne, moi non ! » répond naturellement le président de l’association lyonnaise.


Mais pourquoi cette association rejette-t-elle la psychiatrie ?

Dans la lignée de Ron Hubbard, fondateur de la Scientologie, l’association considère la psychiatrie comme une « industrie mortuaire. » « La psychiatrie est la plus grande fraude de tous les temps. C’est aussi la plus dangereuse, » indique dans une revue de l’organisation, Jan Eastgate, présidente de la CCDH internationale et... membre de la Scientologie. Dans une revue de la CCDH, un lien direct est fait entre la criminalité et la psychiatrie : « Les traitements psychologiques et psychiatriques favorisent la criminalité » à travers les médicaments comme les antidépresseurs. Jan Eastgate continue son argumentation en assimilant terrorisme et pratiques psychiatriques sur le site psychassault.org (site web proche de la Scientologie) : « Le terrorisme pour nous, n’est rien d’autre que le produit d’individus fous, et qu’avec ces fous, sont véhiculées des intentions tout aussi folles [...] Ces gens sont manipulés par des techniques psychiatriques ou psychologiques qui sont destinées à obtenir un contrôle du comportement et du mental. » Les médicaments tels que les tranquillisants, les antidépresseurs ou les sédatifs agissent, selon l’association, comme des drogues illégales sur le comportement humain entraînant des modifications dans notre façon de penser, de voir ou de sentir. Un propos qui ne colle pas forcément avec la réalité scientifique.


« Avec la psychiatrie, on obtient des résultats »


Max Lafont, président du Groupement des Psychiatres Libéraux Rhône-Alpes et psychiatre à Lyon, entend rétablir quelques vérités scientifiques. Entretien.

LyonCapitale : Selon la CCDH, les électrochocs constituent un danger pour le patient atteint d’une maladie mentale, avec des conséquences irréversibles. Ont-ils raison de dénoncer cette pratique ?

Max Lafont : Il y a eu plusieurs phases dans l’histoire. Aujourd’hui, la communauté des psychiatres a scerné que la sismothérapie (traitement par électrochocs, NDLR) était efficace contre les troubles de l’humeur. Ceux qui la pratiquent, utilisent l’anesthésie. Aussi, la décharge électrique n’est plus utilisée sur les deux lobes du cerveau mais sur un hémi-cerveau car les conséquenes pouvaient être des troubles du cerveau, réversibles avec le temps. La pratique est efficace mais la sismothérapie doit se faire avec des indications précises et une surveillance sérieuse. La communauté des psychiatres fait consensus sur les résultats probants de la sismothérapie sur les troubles de l’humeur. Pou inverser l’argumentation, on peut faire plus de mal en donnant de façon inappropriée certains médicaments psychotropes qui ne conviennent pas à des personnes atteintes de troubles de l’humeur, et surtout en ne les soignant pas du tout, qu’en pratiquant la sismothérapie à bon escient.

Les hôpitaux, comme le Vinatier, abusent-ils de cette pratique ?

La pratique est assez limitée puisqu’il faut mobiliser un anesthésiste, du matériel de pointe, etc. Même si je n’y exerce plus, je sais que dans un établissement public comme au Vinatier, la pratique reste très limitée. Il faut souligner le fait que des confrères ont eu des résultats avec la sismothérapie et aujourd’hui ils défendent la méthode. J’ai une patiente qui était atteinte de troubles de l’humeur et du sommeil. Je ne savais plus quel traitement lui donner. Elle a demandé à aller en clinique et on lui a proposé deux séries de plusieurs chocs. En sortant, je dois reconnaître qu’elle allait très mal, j’étais inquiet... Mais après une période de deux à trois mois, après la sismothérapie, elle a totalement changé avec la disparition des symptômes et une restriction du traitement médical. Après je ne peux pas faire une corrélation scientifique absolue entre le passage en clinique et sa transformation mais il y a un lien. Comme beaucoup de psychiatres, je reste humble et circonspect sur la sismothérapie. On fait confiance.

Concernant les antidépresseurs, selon l’association, ceux-ci attaqueraient le cerveau entraînant la dégénérescence des neurones, le transfert entre neurones ne se feraient plus, à la manière d’une lobotomie chimique...

C’est un raccourci très simpliste et faux... Déjà, il y a plusieurs sortes d’antidépresseurs qui agissent sur la sérotonine et d’autres neurotransmetteurs. Certaines recherches prouvent justement que les antidépresseurs ont des effets neuroprotecteurs. Je prends l’exemple du lithium qui n’est pas un antidépresseur mais qui agit également dans la neuroprotection. A forte dose, le lithium est toxique, et son maniement est complexe mais les recherches les plus récentes montrent que c’est un probable neuroprotecteur qui sera certainement administré plus tard dans les maladies dégénératives telle que la maladie d’’Alzheimer.

D’après l’association, la psychiatrie guérirait seulement 1% des cas...

Là où je serais peut-être d’accord avec l’association, c’est qu’on est en déficit de bonnes évaluations et de statistiques mais on est à un pourcentage bien plus élevé que 1% ! On a des résultats et cela mérite d’aller encore plus loin. La psychiatrie a encore beaucoup de progrès à faire. On a une meilleure connaissance sur les troubles bipolaires qui se guérissent plutôt bien. Les antidépresseurs et la neuroclinique, comme avec le lithium, sont efficaces. La plupart du temps ça marche mais il faut associer la chimiothérapie avec une psychothérapie plus ou moins importante selon les troubles névrotiques. Il faut soigner dans le soutien et la régularité pendant une longue période. Généralement, on a affaire à des maladies à vie que l’on arrive tout de même à stabiliser. Certains patient atteints de troubles viennent me voir une à deux fois par an et sont "biens" depuis vingt ans.

Bastien Gouly



124 réactions


  • sisyphe sisyphe 26 juillet 2008 13:47

    La scientologie attaque depuis toujours la psychiatrie, parce qu’elle leur soustrait de potentiels adeptes, et qu’elle "concurrence"
    leurs méthodes de lavage de cerveaux.

    Extrait du rapport Miviludes sur les sectes :

    "Les sectes évoluent, mais elles sont toujours là", estime Jean-Michel Roulet, président de la Miviludes qui souligne qu’à partir de 2000 elles se sont "engouffrées" dans le domaine de l’accomplissement de soi, les unes dans l’humanitaire, les autres dans les techniques de "recherche de son moi profond".

    Le rapport dénonce notamment le "faux souvenir induit" qui résulte de "techniques d’autosuggestion" ou de l’influence de certains thérapeutes qui manipulent le patient en l’amenant à se rappeler des abus subis dans la petite enfance.

    Ce phénomène, apparu aux Etats-Unis dans la seconde moitié du XXe siècle, "se développe de manière inquiétante en France", selon la Miviludes.

    La Miviludes s’est encore intéressée à la vente multi-niveaux, qui consiste à vendre des produits ou services, le plus souvent liés au bien-être, et à convaincre les acheteurs de devenir vendeurs à leur tour. Ils n’ont pas de contrat de travail, sont rémunérés au pourcentage, et les plus convaincus finissent par quitter leur travail et ne plus fréquenter que les membres du réseau.

    Au chapitre du lobbying, le rapport 2007 se penche sur les pratiques de mouvements comme la scientologie, les raéliens ou les témoins de Jéhovah, qui s’adressent aux organisations internationales pour dénoncer la lutte contre les dérives sectaires, au nom de la liberté religieuses. La Miviludes cite leurs interventions auprès du Bureau des institutions démocratiques et des droits de l’homme de l’OSCE.


    • Eric Roux Eric Roux 26 juillet 2008 20:43

      Votre rapport de la Miviludes traite surtout des faux souvenirs induits, qui n’ont rien à voir avec la sciento (lisez le rapport). La sciento est traitée dans le passage sur l’ONU, et là encore, ça n’a aucun rpport avec votre analyse de l’article.


    • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 27 juillet 2008 00:53

       @L’Auteur : Ca me gêne beaucoup qu’on insiste tant sur un rapport entre cette association et la Scientologie. Quand on juge d’une intervention à l’aune des fréquentations de celui qui intervient, on n’est pas dans une démarche scientifique et l’on n’est pas dans le processus normal d’un état de droit.  J’aimerais   avoir : 1) Ce qu’ils affirment ; 2) ce que répondent les psychiatres ; 3) un accès au dossier des éléments de preuve qu’ils soumettent.  Sur cette base, chacun pourrait se former une opinion. Autrement on est dans le procés d’intentions et la culpabilité par association  

      Pierre JCAllard


    • Eric Roux Eric Roux 27 juillet 2008 01:05

      @ Pierre JC Allard, j’approuve totalement, je ne l’aurais pas si bien dit. (Bon ce n’est pas très constructif comme commentaire mais j’avais envie de le dire )


    • stephanemot stephanemot 27 juillet 2008 02:19

      Rappelons que, avant de se revendiquer "Eglise" pour bénéficier d’avantages fiscaux, la Scientologie se faisait passer pour une forme de science, d’où le nom. Elle propose un attirail bidon (le fameux E-Meter) sensé analyser mécaniquement leurs victimes.

      A mon avis, Hubbard était quelqu’un de sérieusement complexé (probables troubles sexuels à en juger par ses théories sur le sujet) et a peu à peu développé sa propre forme de psy pour échapper à ses névrôses.

      Le problème c’est qu’il a embarqué des milliers de victimes dans sa folie et qu’elle continue à lui survivre. Pour la simple raison qu’il y a des enjeux financiers au-delà de cette idéologie de pacotille.

      Ses disciples ne partagent visiblement pas le même type de pathologie : comme dans la plupart des sectes, la Scientologie fonctionne sur le contrôle des personnalités et a connu de nombreux cas d’abus sexuels.


    • Philou017 Philou017 27 juillet 2008 18:11

      @JC Allard : bien d’accord. Ne tombons pas dans l’excommunication systématique, sinon on tombe dans les mêmes atttitudes sectaires que l’on critique.


    • Traroth Traroth 28 juillet 2008 13:02

      @JC Allard : Pas du tout d’accord. Quand ce bonhomme dit que les relations entre son assoc et la scientologie ne le dérangent pas, c’est une prise de position, tout de même !


  • Luc DUSSART Luc DUSSART 26 juillet 2008 14:03

    Si le but de l’Église de Scientologie est de recruter de nouveaux adeptes, de préférence aisés, alors il se comprend qu’elle cherche à cibler des personnes fragiles ou fragilisées par des traitements psychiatriques. Peu importent les arguments d’ailleurs, et s’ils sont infondés cela n’a pas d’importance. On joue avec les fragilités humaines.

    Ceci dit la psychiatrie officielle n’est pas exempte de reproches. Les psychiatres sont les médecins les plus courtisés par les laboratoires pharmaceutiques car les traitements sont de longue durée et parfois ’pointus’. Je ne suis pas choqué que l’on accuse la psychiatrie d’excès de médication, comme par le passé on l’a accusée d’excès d’internement. Métier difficile certes mais un peu de critique externe peut soulever de légitimes questions : les réponses de Lafont sont fort instructives.


    • appoline appoline 6 août 2008 19:35

      Il y a encore de beaux restes en psychiatrie et si effectivement les patients y sont à leur place, on ne peut pas dire la même chose de certains soignants. Les camisoles chimiques ont encore de beaux jours devant elles et pour une proportion non négligeable ne sont pas justifiées. J’ai travaillé dans ce milieu et je l’ai quitté sans regret car ce que j’y ai vu, n’est pas joli-joli. Ah, le pouvoir même chez les médecins, je dirais même surtout chez les médecins créée des érections auxquelles ils renoncent difficilement. Alors, de quel côté se trouve la secte, il y a à débattre.


    • zorro 10 mars 2014 22:42

      Vous dites que c’est « du passé » les internements abusifs ???? Mais vous êtes FOU ?
      La psychiatrie est une SECTE, un piège. Vous y avez goûté ? Je bénis les « scientologues » pour ce qu’ils font. non, il n’y a pas de « bons » psys, que des gentils amateurs dans le meilleurs des cas. Des inconscients. La psychiatrie en effet le piège le mieux monté de notre époque. que cela rassure certain de croire le contraire est consternant.
      Aller donc voir la vérité ici (deux reportages l’un sur Arte et l’autre suer France 2) et je vous garantis que c’est du pipi de chat à côté de l’enfer psychaitrique. et personne ne manifeste à part ces courageux gens de « secte », mort de rire !! qu’ils soient vénis ces scientologues sur qui les ignares bavent. Si seulement ils étaient aussi perver et dangereux que la psychaitrie !!!! Ce monde est FOU !!! C’est la marche à l’envers !!
      http://www.youtube.com/watch?v=m2qe4uuU9R0
      http://www.youtube.com/results?search_query=arte%20les%20oubli%C3%A9s%20sainte%20anne&sm=12
      Un livre à lire : http://www.lepoint.fr/livres/dans-l-enfer-de-la-psychiatrie-16-05-2013-1689561_37.php
      Et NON ça n’a pas changé, et NON ce n’est pas un épiphénomène mais bien la norme, avec plus ou moins de perversion. Et non aussi je ne suis pas « scientologue » même si je trouve ces citoyens très courageux et que cela me fait l’impression d’un grand bol d’air frais quand je lis les vérité qu’ils énonce, que cela plaisent ou non aux psyphiles.
      Depuis le sociologue Erwin Goffman et ses livres « Asile » et « Stigmate » que certains psychiatres ont appelé l’antipsychaitrie, RIEN N’A CHANGE.
      A l’époque des journalistes avaient « essayé » les H.P. d’états en disant ceci : « docteur j’entends une voix dans ma tête ». Ces crétins de psys leur ont diagnostiqué une schizophrénie avec assurance et moult mots savants. Trouvant tout les symptômes. il a fallu des médecins et parfois des avocats pour les faire sortir de l’enfer psychaitrique désocialisants. et personne en France ne manifeste...je suis écoeuré par cela...pardonnez-leurs , ils ne savent pas ce qu’ils « laisse faire »


  • Yvance77 26 juillet 2008 14:28

    Il convient de rappeller que le psychaitre est avant tout un médecin qui a suivi le cursus classique plus sa spécialisation de doctorat.
    Ca garantit pas de la qualité du praticien c’est sur, mais il reste un pro.

    Le gonze qui prêche pour la sciento il peut dire quoi face à cet état de fait ?

    Bon post

    A peluche


  • Bastien Gouly Vanbastien 26 juillet 2008 14:31

    Bonjour, j’ai essayé de mettre une video... mais cela n’a pas marché voici la video du sujet, si vous êtes intéressé : http://fr.youtube.com/watch?v=2Mnqcr59ZUo


  • Lisa SION 2 Lisa SION 26 juillet 2008 14:46

    "...Elle a demandé à aller en clinique et on lui a proposé deux séries de plusieurs chocs. En sortant, je dois reconnaître qu’elle allait très mal, j’étais inquiet... Mais après une période de deux à trois mois, après la sismothérapie, elle a totalement changé avec la disparition des symptômes et une restriction du traitement médical..." C’est clair, aprés un tel traitemenl, les malades font tout ce qui est en leur pouvoir pour ne pas y retourner..

    Les malades psychiatriques sont des personnes à qui l’on a soustrait la responsabilité d’elles même dès l’enfance. Ils restent des enfants soumis qui se rebellent sauf devant ceux qui leur veulent du bien. Mais à force de se contenir dans un rôle d’enfant, il leur arrive de craquer brutalement, d’où la camisole physique ou chimique.

    Bien sûr la Scientologie se mèle des troubles causés par la Société et ses tares. Mais la loi prévoit l " abus de faiblesse " et pourrait intervenir bien souvent contre les charlatans en tout genre. Le fait elle vraiment ? Les sectes s’engouffrent dans les failles creusées par le système social lui même, parfois aux mains d’Autorités dont on peut se demander si , par hasard, elles ne mériteraient pas quelqu’examens mentaux...

    D’ailleurs, dans les familles modestes, on envoie facilement les fautifs en prison, alors que dans les familles nobles, la justice demande à l’initiative des familles, la mise en examen psychiatrique afin de ne pas entacher casier judiciaire de l’interressé. Mais, nous même, ne nous dépèchons nous pas de taxer la pensée d’autrui comme relevant rapidement de trouble que l’on juge...folle !


    • Philou017 Philou017 26 juillet 2008 17:34

      "...Elle a demandé à aller en clinique et on lui a proposé deux séries de plusieurs chocs. En sortant, je dois reconnaître qu’elle allait très mal, j’étais inquiet... Mais après une période de deux à trois mois, après la sismothérapie, elle a totalement changé avec la disparition des symptômes et une restriction du traitement médical..." C’est clair, aprés un tel traitemenl, les malades font tout ce qui est en leur pouvoir pour ne pas y retourner..

      Vous citez un témoignage , le minimum est de donner la source svp. Des témoignages des dégats de l’electrochoc, je peux vous en donner et sourcés...

      Les malades psychiatriques sont des personnes à qui l’on a soustrait la responsabilité d’elles même dès l’enfance. Ils restent des enfants soumis qui se rebellent sauf devant ceux qui leur veulent du bien. Mais à force de se contenir dans un rôle d’enfant, il leur arrive de craquer brutalement, d’où la camisole physique ou chimique.

      Vision incroyablement restrictive et méprisante d’une personne atteint de troubles psychologiques ou mentaux. D’ailleurs la maladie psychologique peut frapper à tout age. Vision paternaliste ecoeurante . Vous n’avez visiblement aucune connaissanec des problemes psychologiques et de la facon de les prendre en charge. Désolant...
      Sandrine Bonnaire, pour ne parler d’elle, peut partler des ravages causés par les camisoles en tant que punition ou palliatif à des malades trop agités. C’est il est vrai une solution de facilité employée trop souvent par des équipes médicales débordées et tres mal formées.

      Bien sûr la Scientologie se mèle des troubles causés par la Société et ses tares. Mais la loi prévoit l " abus de faiblesse " et pourrait intervenir bien souvent contre les charlatans en tout genre. Le fait elle vraiment ? Les sectes s’engouffrent dans les failles creusées par le système social lui même, parfois aux mains d’Autorités dont on peut se demander si , par hasard, elles ne mériteraient pas quelqu’examens mentaux...

      L’utilisation de la faiblesse mentale est autre chose. On peut effectivement se poser la question pourquoi la scientologie s’intéresse tant à la maladie mentale. Les malades sont souvent des gens marginalisés qu’on peut récupérer assez facilement dans certains cas.

      D’ailleurs, dans les familles modestes, on envoie facilement les fautifs en prison, alors que dans les familles nobles, la justice demande à l’initiative des familles, la mise en examen psychiatrique afin de ne pas entacher casier judiciaire de l’interressé. Mais, nous même, ne nous dépèchons nous pas de taxer la pensée d’autrui comme relevant rapidement de trouble que l’on juge...folle !
      Vous avez des preuves de ce que vous avancez ?


    • Lisa SION 2 Lisa SION 27 juillet 2008 00:10

       

       

      "...Elle a demandé à aller en clinique et on lui a proposé deux séries de plusieurs chocs. En sortant, je dois reconnaître qu’elle allait très mal, j’étais inquiet... Mais après une période de deux à trois mois, après la sismothérapie, elle a totalement changé avec la disparition des symptômes et une restriction du traitement médical..." C’est clair, aprés un tel traitemenl, les malades font tout ce qui est en leur pouvoir pour ne pas y retourner..

      Vous citez un témoignage , le minimum est de donner la source svp. Des témoignages des dégats de l’electrochoc, je peux vous en donner et sourcés...

      apparemment, vous n’avez pas bien lu l’article dont j’ai extrait ce premier témoignage que j’ai commenté.

      Les malades psychiatriques sont des personnes à qui l’on a soustrait la responsabilité d’elles même dès l’enfance. Ils restent des enfants soumis qui se rebellent sauf devant ceux qui leur veulent du bien. Mais à force de se contenir dans un rôle d’enfant, il leur arrive de craquer brutalement, d’où la camisole physique ou chimique.

      Vision incroyablement restrictive et méprisante d’une personne atteint de troubles psychologiques ou mentaux. D’ailleurs la maladie psychologique peut frapper à tout age. Vision paternaliste ecoeurante . Vous n’avez visiblement aucune connaissanec des problemes psychologiques et de la facon de les prendre en charge. Désolant...
      Sandrine Bonnaire, pour ne parler d’elle, peut
      partler des ravages causés par les camisoles en tant que punition ou palliatif à des malades trop agités. C’est il est vrai une solution de facilité employée trop souvent par des équipes médicales débordées et tres mal formées.

      Je réduis, je résume, certes, mais cela ne mérite nullement les qualificatifs que vous utilisez à la pelle. Votre sensibilité est très affedtée et je ne souhaiterais à aucun malade mental de tomber entre vos mains, ni même la soeur de Sandrine Bonnaire.

      D’ailleurs, dans les familles modestes, on envoie facilement les fautifs en prison, alors que dans les familles nobles, la justice demande à l’initiative des familles, la mise en examen psychiatrique afin de ne pas entacher casier judiciaire de l’interressé. Mais, nous même, ne nous dépèchons nous pas de taxer la pensée d’autrui comme relevant rapidement de trouble que l’on juge...folle !
      Vous avez des preuves de ce que vous avancez

      Si vous aviez tant de témoignages sourcés, vous pourriez aisément faire vous même les statistiques d’usage...

      Bien à vous.

      Lisa SION.

         

  • Jean-Sylvestre Thépénier Jean-Sylvestre Thépénier 26 juillet 2008 15:03

    Bonjour à tous

     

    Je m’amuse beaucoup en lisant tout ce qu’il y a de marqué. Autant envers l’article que des commentaires.

    Je suis ancien psychiatrisé et Webmaster de 25 sites dénonçant les abus et les crimes de la psychiatrie et je ne peux qu’être d’accord avec cette association, CCDH qui dénonce la psychiatrie.

    D’abord il faut savoir que la psychiatrie n’est pas reconnue comme une science et que malgré tous leurs efforts pour que cela se fasse JAMAIS un scientifique ne l’à reconnu comme telle.

    Il faut savoir aussi que JAMAIS aucune statistique de réussite ou d’échec n’a été faite par un organisme indépendant et que les chiffres de réussite énoncées par la psychiatrie sont arbitraire. Vous pouvez voir dans mon site « La psychiatrie nous ment » à la rubrique « Réponse des politiques concernant la psychiatrie » que malgré les questions écrites demandant des statistiques à Madame la Ministre de la santé celle-ci n’a JAMAIS répondue sur ce point.

    La Ministre de la santé belge est plus directe. Dans la même rubrique vous verrez sa réponse qui est… Nous n’avons aucune statistique.

    Il faut savoir que la psychiatrie reçoit énormément d’argent de l’état et cela sans aucune possibilité de voir les résultats. Dans quel pays a-t-on vu cela ?

    Je suis devenu depuis plus de 30 ans on pourrait dire un spécialiste des problèmes que soulève la psychiatrie et les psychiatres et j’ai pu voir avec surprise et amusement que la définition de secte convenait très bien à ces gens. Regardez attentivement et vous verrez que je dis vrai.

    Maintenant j’entends dire que la Scientologie essaie de faire venir à elle des gens faibles comme ceux qui sont dans des hôpitaux psychiatriques ou qui on à faire aux psychiatres ? Devant tant de choses inexactes je ne peux parler que de mon expérience d’ancien psychiatrisé, je peux vous assurer que la Scientologie a certainement d’autre personne à voir que des gens qui on la tête à l’envers. Moi si j’étais à leur place c’est ce que je ferais. Vous êtes vous déjà occupé d’une personne psychiatrisée ? visiblement non car sinon vous sauriez que se style de personne vous pettes dans les doigts régulièrement et son source d’énormes problèmes ;

    Allez voir mon site http://www.mensongepsy.com/ et vous comprendrez un peu mieux le problème de la psychiatrie.

    Cordialement

     

    Jean-Sylvestre Thépénier 


    • sisyphe sisyphe 26 juillet 2008 15:14

      Houla !
      J’ai fait une rapide visite sur votre site....
      Les "monstres", le "psychiatre-assassin" : la "psychiatrie nous tue" ... : le moins que l’on puisse dire, c’est que vous ne vous embarrassez pas de nuance....
      Alors, que vous ayez ri en lisant ce sujet, je veux bien, mais moi, votre site ne me fait pas rire du tout ; d’autant que, d’après ce que j’ai compris, vous faites une accusation totale et inconditionnelle de la psychiatrie, mais vous dédouanez les sectes, et notamment la scientologie, de toute tentative d’influence mentale.
      En fait, vous tenez curieusement exactement le langage des scientologues : faut-il n’y voir qu’une coincidence ?
      Ou une collusion d’intérêts ?

      Qu’il y ait des critiques à faire à la psychiatrie, je le conçois tout à fait ; mais quand elles prennent la forme outrancière qui est la votre, je ne peux m’empêcher de me demander ce qui sous-tend votre démarche, et quels y sont vos intérêts...

      Peut-être pourrez vous nous éclairer...


    • sisyphe sisyphe 26 juillet 2008 15:31

      Je relève juste cet extrait d’uné pétition d’un de vos liens :

      "Nous demandons également que soit décidée la constitution d’une commission nationale pluridisciplinaire, au sein de laquelle seront appelés à siéger des acteurs particulièrement éclairés de la société civile : philosophes, représentants religieux, sociologues, historiens, responsables politiques, psychothérapeutes et médecins représentatifs de l’ensemble du corps médi al, en mesure de promouvoir une vision de l’homme et de la santé différente de celle trop souvent prônée par l’institution psychiatrique."

      Alors, si l’on peut, effectivement concevoir une commission rassemblant la plupart des corps de métier évoqués, on se pose quand même une ou deux questions :

      - que viennent faire, si vous n’accordez aucun crédit à la psychiatrie, des psychothérapeutes ?

      - des philosophes ?

      - et, surtout, des "représentants religieux"  ????  sachant que la religion a, de tous temps, considéré les malades mentaux comme des êtres possédés du démon, à exorciser, ou à brûler à l’occasion ?

      Merci de nous éclairer.


    • Ann O’Nymous 26 juillet 2008 15:47

      Vous auriez pu commencer votre commentaire par dire que vous êtes scientologue, puisque dans certains cas, vous ne vous en cachez pas :

      http://www.anti-scientologie.ch/tribune-libre-thepenier.htm


    • sisyphe sisyphe 26 juillet 2008 16:03

      Pour info : voici un lien pour anti-sectes où l’on apprend, entre autres, que le "Comité des citoyens pour les droits de l’homme" (auquel renvoie un lien du site de l’intervenant plus haut), est un faux-nez de l’Eglise de Scientologie..
       smiley


    • jamesdu75 jamesdu75 26 juillet 2008 18:29

      Trés comique quand même.

      Le criminel de guerre serbe Radovan Karadzic était un psychiatre chevronné, rompu aux techniques de guerre psychologique et de lavage de cerveau développées par l’Institut Tavistock, une des officines de la politique d’empire britannique.


      Sous pretexte qu’il étit psy, il était un ou boucher ou l’invers ?


    • jamesdu75 jamesdu75 26 juillet 2008 18:33

      Le pire c’est quand on vois vos blagues sur les psy.



      Pourquoi les aspirateurs ont-ils peur des psys ?

      Parce que les psys les confondent pour des luges équipées de téléphones mobiles.

      ---------------------------------------
      Une araignée tremblante arrive chez une consoeur. Celle-ci s’en étonne :
      - Tu as quitté ta toile ? En tout cas, tu as l’air bien déboussolée...
      - M’en parle pas, un psy s’est pris dans ma toile ! ---------------------------------------
      Un psy voit une femme qui donne le sein et s’approche :
      - Je peux souffler dans le ballon moi aussi ?


      Mais c’est clair que vous avez craqué et auto-utilisé l’electrochoc  a ce niveau. Vous avez vraiment besoin d’un jus de pruneau pour evacuer toute cette pression.

    • Yvance77 26 juillet 2008 21:18

      Du M. Thepenier je cite :"il faut savoir que la psychiatrie n’est pas reconnue comme une science"

      Comme je vous l’ai déjà signalé ce n’est jamais qu’une des spécialisations du cursus mèdecine !

      Mais ce qui vous déragne sans doute c’est que cette spécialité, et d’autres, sont à même de mettre parfaitement en lumière, les mécanismes conduisant à qui asservir les individus.

      Nul doute qu’en des temps plus anciens, ils auraient brulé sur des buchers ces scélérats.

      A peluche.


    • kabreras kabreras 27 juillet 2008 07:02

      Et la ou on rigole c’est en voyant cette photo :
      http://www.mensongepsy.com/fr/wp-content/uploads/2007/10/im008611.JPG

      Sur votre site ou on peu lire clairement le titre du DVD : psychiatrie la vérité sur ses abus
      DVD édité par ... TADAAAA le CCDH !! si si : ici

      Enfin, un petit coup de google avec votre nom nous montre ceci : http://www.anti-scientologie.ch/tribune-libre-thepenier.htm
      Scientologue depuis 20 ans...






    • lolet lolet 30 juillet 2008 12:54


      Yessss !
      cramé le scientologue !!!!
      Je cherchais les posts des sciento sur l’article : en fait , ils ont un pouvoir que l’on n’imagine pas ...ils on même leurs services secrets  !
      Et je sais qu’ils vont venir ici pour poster : c’est une de leur méthode : "ne vous défendez pas, mais attaquez, attaquez, et utilisez tous les moyens juridiques et autres pour fiare taire les suppressifs !"

      Denis Robert (la vrai affaire clearstream, pas celle de sarko ... qu ia reçu un acteur connu !) n’a jamais voulu affirmer que clearstream appartenait à la sciento ... mais il a donné beaucoup d’indices ...
      De toutes façon, il a jeté l’éponge ...



    • claude claude 30 juillet 2008 21:03

      @ Jean-Sylvestre Thépénier

      vous n’êtes pas médecin et n’avez visiblement aucune connaissance médicale ni en anatomie, ni en neurologie, ni en psychiatrie.

      vous ignorez les pathologies lourdes traitées par cette specialité : paranoïa, schizophrénie, les survivants de traumatismes de toutes sortes : tortures, incestes, de viols, guerres, violences conjugales ; dépressions bipolaires, anorexie, boulime, troubles obcessionels du comportement...

      vous ignorez l’importance de la psychiatrie dans la prise en charge de la douleur, des maladies chroniques ; sa place dans l’ensemble des soins paliatifs ...

      les sorciers et les chamans savent depuis des millénaires que l’esprit souffre autant que le corps et qu’il existe des substances qui peuvent régulariser l’humeur et le comportement.

      depuis que la psychiatrie est devenue une discipline médicale à part entière, on a sorti les malades mentaux des culs de bas de fosse dans lesquels ils étaient laissés jusqu’à leur mort.

      il y a certes encore de nombreux progrès à faire, mais au fur et à mesure des avancées en neuro-psychiatrie, on arrive à affiner les traitements proposés.

      vous n’aimez pas la psychiatrie car elle constitue un garde fou contre les sectes et les charlatants de votre genre, qui profitent du désespoir des malades .

      à voir ou à lire :

      fr.wikipedia.org/wiki/Portail:Psychop%C3%A9dia
      fr.wikipedia.org/wiki/Psychiatrie
      www.esculape.com/fmc-psychiatrie.html
      fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9dicament_psychotrope
      www.ifr49.org/rubrique.php3
      www.mens-sana.be/dossiers.htm
      fr.brainexplorer.org/brain_atlas/Brainatlas_index.shtml
      lecerveau.mcgill.ca/flash/d/d_05/d_05_cr/d_05_cr_her/d_05_cr_her.html
      www.linternaute.com/science/biologie/dossiers/06/0602-cerveau/7.shtml
      www.lanutrition.fr/Les-6-super-neurotransmetteurs-de-votre-cerveau-a-815-152.html
      www.linternaute.com/science/biologie/dossiers/06/0602-cerveau/7.shtml

      • LES PRINCIPAUX NEUROTRANSMETTEURS Dopamine Elle contrôle la stimulation de plusieurs zones du cerveau, et joue en particulier un rôle primordial dans la motivation physique.
        Une importante carence en dopamine (comme dans la maladie de Parkinson), peut rendre impossible certains mouvements. Inversement, un excès de dopamine déclencherait des hallucinations et un état schizophrène. C’est notamment le mécanisme impliqué avec la cocaïne, qui empêche la recapture de la dopamine et accentue donc son action. La nicotine aussi provoque aussi une augmentation de la transmission dopaminergique. Sérotonine "Molécule du bonheur", elle a un effet essentiel sur l’humeur et l’anxiété  : à concentration élevée, elle rend optimiste et serein. De nombreux anti-dépresseurs comme le célèbre Prozac renforcent donc son action. Elle aurait également des effets sur le sommeil, la douleur, l’appétit et la pression artérielle. L’Ecstasy et le LSD par exemple accroîssent fortement le taux de sérotonine. Acétylcholine C’est le premier neurotransmetteur qui a été découvert. Elle entre en jeu dans les aires du cerveau associées à la mémoire, l’attention, l’apprentissage. On note d’ailleurs une carence en acétylcholine chez les patients atteints de la maladie d’Alzheimer. Adrénaline Elle agit comme un stimulant physique et mental. Elle accélère la vitesse de la respiration, dilate les pupilles et accroît le rythme cardiaque. Mais en excès, elle rend nerveux et peut entraîner la paranoïa. Glutamate C’est le neurotransmetteur le plus courant (1/3 des transmissions synaptiques). Une carence en glutamate entraîne donc des difficultés d’apprentissage et de mémorisation à long terme. Endomorphine Elle atténue la douleur, diminue la nervosité et donne une sensation de bien-être. Mais elles ralentissent aussi certaines fonctions vitales comme la respiration et entraîne des dépendances. C’est notamment la substance stimulée par les drogues comme l’opium ou l’héroïne. Mais on a noté que le sucre ou les graisses libèrent aussi de l’endomorphine !


      www.scienceaction.asso.fr/Videos/Neurosciences-Cerveau—emotionnel----Neurotransmetteurs-et-depression—Le—120.htm





    • appoline appoline 6 août 2008 20:14

      Ne montez pas sur vos grands chevaux ; il y a du pour et du contre ; vous ne pouvez pas ignorer que tout n’est pas blanc dans la psychiatrie ; d’ailleurs dans le monde hospitalier en général, tous accepte difficilement la critique. Tous pratiquent une délimitation du territoire, tel le clébard qui fait pipi pour démarquer le sien. Le monde médical est redoutable, en plus il coûte un fric fou au contribuable ; sincèrement si il n’y a pas un bon coup de torchon dans le monde hospitalier, il y aura implosion ou explosion, tout dépend d’où viendra la force. Mais ce qui est sûr, c’est qu’il ne pourra perdurer ainsi encore bien longtemps. Ca c’est une réalité.


  • Marsupilami Marsupilami 26 juillet 2008 15:13

     Je trouve assez normal que l’église de Scientologie attaque la psychiatrie. En effet, l’omniprésident speedé et bourré de tics relève clairement de la psychiatrie, et il est copain avec Tom Cruise. Faut bien qu’il se défende, même par personnes et surtout églises interposées, notre pauvre hypertrophié de l’ego chanoine de Latran à talonnettes !


  • Ann O’Nymous 26 juillet 2008 15:44

    Pour la clarté de l’information, il aurait pû être mentionné que cet article a déjà été publié :

    http://www.lyoncapitale.fr/index.php?menu=01&article=6070.


    • sisyphe sisyphe 26 juillet 2008 16:07

      Décidément, on est en plein  carnaval masqué ! smiley


    • Philou017 Philou017 26 juillet 2008 17:19

      Un peu hors-sujet, mais l’auteur parle des lobbies sur les OGM par exemple :
      A DROITE, DES DEPUTES FONT FRONT :
      "J’ai été approché par MONSANTO, sa force de frappe est phénoménale." (dixit le sénateur Jean-François Le Grand)


      Ils ne dénoncent pas forcément les OGM, ni la future mise en place d’OGM dans nos champs. La Droite est souvent fustigée par les leaders de la Gauche, y compris sur le débat OGM. Pourtant, leurs considérations morales pour l’avenir de notre société, de notre culture et de notre indépendance économique méritent d’être mis en avant. Peut-être même plus que certains élus de Gauche choisissant un vote d’opposition, pour la médiatisation d’une existence politique de leur propre personne.

      Nicolas Dupont-Aignan : Le député est contre un texte qui autorise des OGM alors que les scientifiques manquent de données pour prouver l’absence de danger : "Il était irresponsable d’introduire des cultures OGM résistantes aux pesticides et aux antibiotiques qui pourraient se disséminer dans les champs. la quasi-totalité des recherches sont payées par les semenciers et les tests ne se sont effectués que sur une durée de trois mois ce qui est insuffisant. " (source blog http://www.blog.nicolasdupontaignan.fr/)

      François Grosdidier : Certainement le député qui s’est le plus fait remarquer dans son opposition au texte, dénonçant la pression des lobbies : " Certains voudraient tout faire pour mettre en place un système verrouillé et opaque, dans le but de diffuser rapidement et massivement les cultures OGM. Ce groupe d’élu est en complet décalage culturel et générationnel. Pour moi, le texte qu’ils voulaient faire passer constitue une faute morale. L’humanisme implique à mon avis de faire passer les questions sanitaires et environnementales au-dessus des autres considérations. Les lobbies travaillent très en amont, au niveau des départements, des circonscriptions. Ils passent par les syndicats agricoles pour menacer les parlementaires." (source http://www.fgrosdiddier.fr/site.php)

      Dans la même inspiration : le sénateur Jean-François Le Grand (en photo/ source FLICKR) inquiet du jeu des lobby sur le vote de ce texte : "La force de frappe de Monsanto et des autres semenciers est phénoménale, J’ai été approché par Monsanto, et j’ai refusé de leur parler. Je veux rester libre." (source http://www.lejdd.fr/cmc/politique/200814/ogm-des-elus-sous-pression_107714.html)
      colorelavie.oldiblog.com/

      Un petit effort pour imaginer que les lobbies sont aussi présents dans le monde de la médecine, le nombre de milliards en jeu étant encore plus conséquent....
      De l’audace, encore de l’audace....


  • barba_papa barba_papa 26 juillet 2008 15:55

    mauvais debat :
    que la scientologie soit une eglise et a ce titre aussi peu qualifiée que l’islam ou le christianisme pour evaluer les methodes de traitement psychiatriques certainement.
    pour autant de nombreux traitement psychiatriques ne sont pas évalués ou n’ont pas fait la preuve de leur efficacite ou de leur nocivite : c’est la cas pour la sismologie et egalement pour la psychanalyse freudienne et lacanienne  qui restent encore en vogue en france. Les these de sigmund freud  et de lacan sont pourtant aussi discutables -et discutées- que celle de ron hubbart !
    Bien employés les antidepresseurs et les neuroleptiques ont améliorés la vie de nombreux malades depressifs ou psychotiques.


    • Philou017 Philou017 26 juillet 2008 16:45

      " Bien employés les antidepresseurs et les neuroleptiques ont améliorés la vie de nombreux malades depressifs ou psychotiques."
      Evaluations ? etudes serieuses et vraiment indépendantes svp ?

      Je ne nie pas une action positive au niveau de certains médicaments, surtout lorsqu’ils sont employés de façon limitée et accompagnés d’une thérapie psychologique. Mais il faudrait parler des effets secondaires et des gens rendus encore plus malades par ces mêmes médicaments, qui peuvent devenir dans certains cas des drogues dangereuses.


    • barba_papa barba_papa 26 juillet 2008 17:37

      la Haute Autorité de la Santé..les Autorisation de Mise sur le Marché concluent a un bénéfice/risque favorable pour ces medications....evidemment ce sont des instances ’officielles’ suspecte de faire partie du grand complot mondial de l’industrie pharmaceutique...
      que considerez vous comme desz etudes independantes ?
      Ce n’est pas le cas pour les psycho therapies qui ells ne font l’objet d’aucune evaluation concluante
      j’ai bien ecrit "bien utilisé" :
      ne vouloir retenir que les effets secondaires et les ’gens rendu plus malades’ par ces medicaments’ ne me semble pas tres raisonnable.
      je n’ai pas cité l’alcool, le tabac, la coke ou le redbul smiley


    • Philou017 Philou017 26 juillet 2008 20:52

      Effectivement, les instances médiacles sont noyautés par les lobbies ou à tout le moins constituées par des gens guere enclins à remettre le systeme en cause. Leur objectivité est plus que discutable.
      Exemple pour le HCS :

      Il nous apparaissait donc important d’avoir l’avis de la nouvelle Haute Autorité de santé sur cette question, institution qui n’a de cesse de proclamer depuis son installation son souci de transparence, d’indépendance et de rigueur, seules garantes effectivement de l’autorité de ses avis.

      Lors de cette rencontre qui s’est déroulée dans un climat convivial, nous avons eu confirmation du projet de la HAS d’utiliser la « force de frappe » de la visite médicale de l’industrie pharmaceutique pour délivrer les recommandations médicales officielles de la HAS auprès des médecins.

      Comment ne pas exprimer sa stupéfaction et sa déception devant un tel projet !

      Durant cette rencontre, les membres de la HAS nous ont pourtant assuré à maintes reprises ne pas être naïfs et être bien conscients que la visite médicale des firmes n’était que publicité et marketing. S’il ne s’agit pas de naïveté, comment ne pas voir alors, derrière ce projet, autre chose que l’influence du lobby des firmes, la difficulté de la HAS à résister à ces pressions et le risque de renoncement à une indépendance pourtant proclamée ?

      Ainsi, à peine installée, la HAS prendrait-elle le risque de se discréditer auprès des professionnels de santé les plus soucieux d’indépendance pour la qualité des soins dans l’intérêt des patients. A peine installée la HAS, qui contribuerait ainsi à « blanchir » la publicité des firmes, prendrait-elle le risque d’être à l’origine de nouveaux dérapages sanitaires en matière de médicaments.

      Le Formindep, lors de cette rencontre, a remis à la HAS quelques éléments de documentation scientifique internationale, démontrant l’inanité et les risques d’un tel mélange des genres. Le Formindep a également remis aux membres de la HAS l’hallucinant témoignage, rédigé pour la circonstance, de cet ancien visiteur médical décrivant la réalité de la visite médicale des firmes pharmaceutiques : dérives, mensonges, manipulations, corruption, etc. Suite à cette rencontre le Formindep a rappelé dans un courrier à la HAS les risques majeurs qu’elle prendrait en développant une telle initiative.

      Nous invitons chacun, soignants et patients, à prendre connaissance de ce témoignage sur la visite médicale, à le lire, à le méditer et à le diffuser. Puis, une fois lu, à se poser les questions suivantes :
      Médecins, êtes-vous prêts en conscience à recevoir votre information scientifique et médicale par ce canal ?
      Patients, acceptez-vous que le médecin à qui vous allez confier votre santé, se forme par cet intermédiaire ?
      www.formindep.org/spip.php

      On voit que l’indépendance de ces organismes vis à vis du complexe pharmaceutique est quasi-nul.

      D’autre part :

      Santé : désinformation médicale, industrie chimico-pharmaceutique = santé publique vendue aux lobby !

      Suite à l’information enfin donnée concernant le traitement de la ménaupose par THS et le cancer du sein hier au JT, petit article concernant la manière dont fonctionne le système de médicalisation à outrance ou comment rendre malade ceux qui sont bien portants !

      Les études sont mensongères :

      • les effets secondaires (doux euphémisme vu les maladies invalidantes, cancers et morts éventuelles qui n’auraient pas attrapés les personnes médicalisées à titre préventif alors qu’elles n’étaient nullement malades !) sont minimisés ou passés sous silence.
      • La plupart des études menées n’ont aucune valeur, la durée n’étant pas suffisante, faites sur des populations réellement à risque ou malades, ce qui biaisent les résultats et non sur la prescription de masse à des personnes en parfaite santé de substances chimiques, hormonales, etc
      Les médias bien entendu relaie l’information du puissant lobby de l’industrie pharmaco-chimique,

      Les visiteurs médicaux ne sont que des commerciaux faisant du marketing publicitaires sans aucune information véritable et n’ayant aucune connaissance à ce sujet ...

      La plupart des médecins ne sont informés que part les labos et la presse gratuite et pour la plupart ne savent donc pas réellement ce qu’ils prescrivent ...

      Les agences gouvernementales censées veiller à la santé publique sont complétement noyautées par les labos, quand aux politiques, ce n’est même pas la peine d’en parler, ce sont eux qui le permettent !

      Pour comprendre comment ça marche au niveau de la désinformation et du mensonge, quelques informations ci-dessous.
      bgabrielli.over-blog.com/article-16856897.html

      Un autre point de vue :
      D’abord, la verroterie clinquante : la Haute autorité de santé, pour faire strass. Des compétences et des missions très larges vont lui être conférées, dont seulement 8 hauts personnages de l’Etat seront dépositaires. Mais ne pas s’y tromper : cette « machine à dérembourser » aux compétences éléphantesques touchant tous les domaines d’activité de la santé ne livrera en réalité que des propositions. Les règles et les décisions relatives à l’inscription au remboursement par l’Assurance maladie seront prises par le Ministre, et lui seul, la Haute autorité servant à légitimer par ses avis les décisions les plus arbitraires. On aurait espéré une certaine indépendance : il faudra là aussi déchanter. Sur les 8 hautEs membres, 2 seront nomméEs par le Président de la République, 2 par celui du Sénat, 2 par celui de l’Assemblée nationale, 2 par le Conseil économique et social. La Haute autorité de santé ressemblera à un club VIP très select qui servira de paravent aux décisions du gouvernement.
      www.actupparis.org/article2132.html

      Les pontes nommés à la HAS sont des lobbyistes du médicament, comment penser autrement ? ce sont des gens du systeme, imbriqués dans le systeme. Avec un certain esprit critique si on a de la chance, rien de plus.


    • Philou017 Philou017 26 juillet 2008 21:03

      "que considerez vous comme des etudes indépendantes ?
      Ce n’est pas le cas pour les psycho therapies qui ells ne font l’objet d’aucune evaluation concluante
      j’ai bien ecrit "bien utilisé" :
      ne vouloir retenir que les effets secondaires et les ’gens rendu plus malades’ par ces medicaments’ ne me semble pas tres raisonnable.""
      Etudes indépendantes ? Des etudes faites par des gens qualifiés totalement indépendants et étant capable d’une grande objectivité. Une denrée rare dans le monde médical.
      Si les études sur les effets des psychothérapies ne sont pas nombreuses, cela tient sans doute à la non-rentabilité de telles études pour l’industries.
      Néanmoins, des psychothérapeutes ont fait des évaluations sur leurs pratiques, en général bien plus honnêtes que les études médicales.
      Les effets secondaires,certains catastrophiques, ne sont certainement pas négligeables par rapport au profit en réalité souvent tres surévalué.

      Une analyse de la puissance des lobbies :

      « L’art de faire passer la pilule » : Un dossier bien fait sur l’influence de l’industrie pharmaceutique, son marketing, ses méthodes... Un dossier de 8 pages paru en avril dans Le journal du SIDA, édité par ARCAT : L’art de faire passer la pilule.

      Il y est question du façonnage de maladies, de la visite médicale et autres méthodes de publicité auprès des médecins, de la bataille européenne autour de la publicité directe aux patients, des rapports de l’IGAS, des études de l’UFC Que choisir, des programmes d’accompagnement/ d’observance, des conflits d’intérêts, des cobayes humains dans les pays pauvres... Ainsi que de l’alliance objective entre autorités sanitaires et firmes quant aux effets secondaires et à l’information donnée au public, autrement dit, dans les dimensions essentielles... Agences du médicament et autres "autorités" font système avec les firmes : un "système où la balance des pouvoirs penche en faveur des laboratoires pharmaceutiques au détriment de la santé publique."

      La désinformation organisée commence lors de la conception et du financement des essais cliniques, qui devraient évaluer aussi les risques. "[C]ette évaluation, essentielle pour le bien commun, est soumise à un fort conflit d’intérêt. Comment peut-on évaluer objectivement un produit de santé si l’on est en même temps chargé de le vendre et qu’on en espère des bénéfices ? (...) Or, face au contexte défavorable actuel, la pression des laboratoires pharmaceutiques se fait de plus en plus forte pour étendre leur emprise sur le système de surveillance. Ils ont d’abord tenté, au niveau européen, de réduire le temps imparti aux agences pour évaluer une demande d’AMM [autorisation de mise sur le marché]. Cette demande est, pour l’instant, rejetée. Ils essayent désormais de faire basculer une partie de l’évaluation du bénéfice/risque après l’obtention de l’AMM. « C’est tout à fait logique, du point de vue des firmes, puisqu’avant AMM, le médicament ne rapporte rien et qu’il rapporte, en revanche, après AMM, analyse Bruno Toussaint. C’est un pari : celui que le médicament est bon. Mais dans ce système qui paye les pots cassés ? Les patients »."

      C’est ce que nous disait Shahram Ahari, qui a vendu du Zyprexa° pour Eli Lilly : le cynisme de firmes qui espèrent vendre un maximum avant que tel médicament qu’elles savent problématique ne soit retiré du marché. Si jamais quelqu’un réussit à prouver le lien de causalité... Ce qui est loin d’être facile, surtout pour des victimes qui n’ont aucune voix au chapitre et aucune défense juridique. Et dans un pays qui manque complètement de cadre législatif et juridique qui rendrait possible la répression des dérapages des firmes pharmaceutiques et ceux des médecins inféodés. Dommage que le dossier n’en parle pas et n’explore pas les causes... Et qu’il atténue certaines affirmations critiques. On pourrait penser que donner systématiquement la parole aux représentants des firmes pour qu’ils répondent à ces critiques est un gage d’"objectivité". Mais il n’est pas sûr qu’on puisse justifier moralement une telle prétention à la neutralité... Parce que le combat ne se fait pas à armes égales et que le souci moral et éthique doit être justement d’essayer de compenser un peu ce déséquilibre. L’industrie pharmaceutique a des tas de journaux pour s’exprimer. Et il ne me semble pas qu’ils donnent la parole aux critiques...
      pharmacritique.20minutes-blogs.fr/desinformation_medicale/

      ***********
      Je m’excuse pour la longueur des posts, mais certaines argumentations nécéssitent de la place.


    • appoline appoline 6 août 2008 20:18

      Tiens, ça me rappelle la certitude des grands pontes pour la talidomide, non le contorgan enfin bref cela sortait des chaîneries Grudentalh. On voit ce que ça a donné, mais pour qu’ils fassent profil bas, il en a fallu des années.


  • Philou017 Philou017 26 juillet 2008 16:04

    Je regrette que cette association pose de tres bonnes questions en étant associée à une secte. C’est une tactique : poser des bonnes questions, s’intéresser à de vrais problemes pour faire adhérer les gens à une idéologie à laquelle ils n’ont pas envie de s’intéresser. Un principe de marketing mis en avant par bien des sectes et pas qu’elles d’ailleurs. Un principe de manipulation, en fait.

    Sur les questions posées :

    L’electrochoc :
    C’est une vraie saloperie. Je connais une personne qui a fréquenté une clinique ou on la pratique, et les résultats sont calamiteux. Les personnes qui étaient là avaient subi dix, quinze, vingt électrochocs et avaient toujours les mêmes problemes. C’est une pratique barbare qui comporte de nombreux risques.
    Elle a été remise dans le circuit parce qu’elle est remboursée par la sécurité sociale et que la psychiatrie a pris des options de plus en plus techniciennes où on privilégie les médicaments et les traitements comme l’électrochoc. Pourtant les résultats sont calamiteux et les effets secondaires souvent désastreux.

    Extrait d’un site Québéquois :

    Les électrochocs détruisent la vie des patients

    Les psychiatres justifient l’utilisation des électrochocs en disant qu’ils permettent d’éviter les suicides. Les statistiques et les faits disent pourtant le contraire. Par exemple, entre 1975 et 1980, les électrochocs ont diminué de 46% aux États-Unis. Si les psychiatres avaient dit vrai, on aurait alors dû constater une hausse du nombre de suicides mais le contraire fut observé. Le nombre de suicides diminua également. De plus, alors qu’il est connu que davantage d’hommes que de femmes se suicident, les psychiatres administrent deux fois plus d’électrochocs aux femmes qu’aux hommes.

    Les psychiatres constituent également la profession où l’on retrouve un des plus hauts taux de suicide, de 3 à 5 fois supérieur au taux de suicide moyen de la population en général. Pourtant, malgré des recherches exhaustives, il n’a jamais été découvert un seul psychiatre ayant accepté de recevoir des électrochocs.

    Au mois d’avril 2007, une étude américaine détaillée de 347 patients à qui on avait fait subir diverses formes d’électrochocs a été rendue publique et a, une nouvelle fois, montré que les électrochocs créent des dommages et des dysfonctions permanentes au cerveau. Ils détruisent la mémoire et les fonctions cognitives des patients.

    Selon le Dr. Peter Breggin, un psychiatre farouchement opposé aux traitements barbares encore utilisées en psychiatrie, "L’électrochoc est au mieux un très mauvais échange - des dommages et des dysfonctions mentales potentiellement irréversibles contre de la docilité et des émotions temporairement engourdies ou de l’euphorie qui résultent du dommage [causé au cerveau]."

    L’électrochoc : un traitement inhumain et sadique

    Lorsqu’on comprend ce qu’est un électrochoc et ce qu’il cause il devient très facile de comprendre pourquoi les psychiatres qui en prescrivent à d’autres refusent totalement d’en recevoir eux-mêmes.

    1. On injecte au patient un anesthésique pour éviter la douleur et un myorelaxant pour empêcher les contractions musculaires et éviter les fractures de la colonne.

    2. Des électrodes sont placées sur les tempes bilatéralement (d’un côté du cerveau à l’autre) ou unilatéralement (d’avant en arrière de la tête sur un seul côté du cerveau).

    3. Un baillon en caoutchouc est mis dans la bouche du patient pour éviter que les dents se cassent ou qu’il se morde la langue.

    4. Un courant électrique de 180 à 480 volts est envoyé directement à travers le cerveau.

    5. Pour répondre à la demande en oxygène du cerveau, le flux sanguin peut augmenter jusqu’à 400%. La pression sanguine peut augmenter de 200%. Dans des conditions normales, une barrière sang-cerveau préserve les tissus du cerveau des toxines dangereuses et des substances étrangères. Lors d’électrochocs, les substances nocives "coulent" des vaisseaux sanguins vers les tissus du cerveau, provoquant des congestions. Des cellules nerveuses meurent. L’activité cellulaire est modifiée. La physiologie du cerveau est altérée.

    6. Il en résulte des pertes de mémoire, de la confusion, une perte de l’orientation dans le temps et l’espace et même la mort.

    7. La plupart des patients reçoivent un total de 6 à 12 électrochocs, à raison d’un par jour, trois fois par semaine.

    La Commission des Citoyens pour les Droits de l’Homme a été établi en 1969 afin d’enquêter et dévoiler les violations psychiatriques des droits humains. Si vous avez subi des dommages à cause de "traitements" psychiatriques, veuillez appeler la Commission des Citoyens pour les droits de l’Homme au (418) 529-2267. Pour en savoir plus sur le traitement barbare que constitue l’électrochoc, lisez la publication officielle de la CCDH sur le sujet : http://www.droitshumains.ca/brutalite.htm

    tiré de : www.cpmdq.com/drveniez/conditions_sante.html

    Est-ce qu’on peut vraiment imaginer que l’on guérit des patients atteint de troubles psychologiques en leur envoyant des décharges électriques dans le cerveau ?
    Ecoeurant.

     



    • sisyphe sisyphe 26 juillet 2008 16:11

      Que l’électrochoc soit une technique  assez barbare, et employée à tort, soit.

      Mais il faut savoir, comme mentionné plus haut, que
      La Commission des Citoyens pour les Droits de l’Homme a été établi en 1969 afin d’enquêter et dévoiler les violations psychiatriques des droits humains

      est une création de l’Eglise de Scientologie : ce qui relativise considérablement ses assertions...
       smiley


    • Philou017 Philou017 26 juillet 2008 16:32

      Les médicaments sont aussi une belle tromperie. Ce sont des palliatifs, qui ne guérissent en aucun cas le probleme sur le fond. Même en das de rémission des symptomes, le patient doit continuer à ingurgiter des pilules chimiques. Et les effets secondaires sont pénibles et assez souvent destructeurs. Se souvenir du cas de la soeur de Sandrine Bonnaire : www.agoravox.fr/article.php3

      Voici un copier coller d’un forum qui correspond a peu pres à ce que je pense :

      Faut-il jeter les antidépresseurs ?

      Les médicaments du bonheur sont-ils vraiment miraculeux ? Près de vingt ans après leur lancement en France, les antidépresseurs de la dernière génération font à nouveau parler d’eux. Effets secondaires, dépendance... : le point sur les risques et les bénéfices.

      Ca y est ! On a enfin trouvé la pilule du bonheur ! C’est ainsi que les médias parlent du Prozac lorsqu’il est lancé par le laboratoire américain Lilly au milieu des années 1980.
      Une vingtaine d’années plus tard, l’usage des antidépresseurs sérotoninergiques, ainsi nommés parce qu’ils augmentent la concentration dans le cerveau de la sérotonine – une substance responsable de nos humeurs –, est presque devenu banal. Le Prozac et ses cousins (Deroxat, Zoloft, etc.) ont leur place dans l’armoire à pharmacie de près de cinq millions de Français (source : Caisse nationale d’assurance maladie - Cnam - 2004, selon une étude menée de 1999 à 2003) et sont à ce jour les médicaments les plus vendus après les antidouleurs tels que l’aspirine et le paracétamol.


      Mais aujourd’hui, réveil brutal : ces molécules tenues hier pour miraculeuses deviennent l’objet de tous les soupçons. Aux Etats-Unis, au Canada, en Grande-Bretagne (où les autorités sanitaires ont formulé début décembre de nouvelles recommandations aux médecins, visant à éviter l’usage abusif des antidépresseurs et les prescriptions trop systématiques), leur utilisation est remise en cause pour les enfants et les adolescents, après que plusieurs études ont prouvé qu’elles entraînent chez eux une augmentation du risque suicidaire. Mêmes inquiétudes en France. Le ministre de la Santé, Philippe Douste-Blazy, s’est déclaré, le 12 décembre dernier, opposé à la prescription d’antidépresseurs chez les moins de 18 ans

      Et dans un livre récent, Antidépresseurs, la grande intoxication, Guy Hugnet, journaliste et ancien cadre de l’industrie pharmaceutique, exhume des documents établissant qu’ils provoquent des effets secondaires tendant à créer une dépendance chez certains utilisateurs – contrairement à ce qui avait été indiqué lors de leur commercialisation. Surtout, le plus célèbre d’entre eux – le Prozac – s’est révélé incroyablement peu performant, et ce dès les tests préalables à sa commercialisation.

      Faut-il pour autant jeter ces antidépresseurs au feu ? Sont-ils inefficaces et dangereux ? Les psychiatres et les généralistes que nous avons interrogés estiment qu’ils sont performants dans environ 60 % des prescriptions : un résultat honorable. « Si le médicament donne des résultats, nous concluons qu’il s’agissait d’un problème lié à la sérotonine, admet Bertrand T., médecin généraliste. Tout simplement. En réalité, nous n’avons aucune preuve scientifique. »

      Pourtant, côté patients, l’explication des symptômes par un déficit de sérotonine a d’emblée un effet pacifiant. « Savoir que mon incapacité à agir, que mes insomnies venaient de cette substance chimique m’a rassurée », confie Edwige, 38 ans, qui a utilisé un antidépresseur pendant six mois. Des mots mis sur une souffrance qui nous échappe provoquent un apaisement immédiat : le mal est étiqueté.Lorsque les antidépresseurs sérotoninergiques ont été mis sur le marché, les laboratoires concepteurs n’ont-ils pas vanté un peu trop bruyamment leur absence d’effets secondaires ?
      Comment imaginer que des substances psychotropes agissant sur le cerveau puissent être sans répercussion sur le psychisme et sur le corps ? Bien sûr, ils en ont ! Mais moins systématiquement que leurs ancêtres de la classe des imao et des tricycliques, qui entraînaient souvent des maladies graves, parfois mortelles (hypertension, problèmes cardiaques), et exigeaient donc des précautions d’utilisation et un régime alimentaire (sans fromage, ni charcuterie, ni sel...) particulièrement contraignants.


      Des prescriptions inadaptées

      « Au début, comme beaucoup de mes confrères, j’ai prescrit des antidépresseurs sérotoninergiques sans méfiance excessive, se souvient Christophe André (auteur notamment de "Petits Complexes et Grosses Déprimes" Seuil, 2004 - dernier ouvrage paru : "Psychologie de la peur" Odile Jacob, 2004), psychiatre et psychothérapeute à l’hôpital Sainte-Anne, à Paris. Mais le réel m’a rapidement rappelé à l’ordre : des patients se plaignaient de phénomènes gênants – céphalées, diarrhées, nausées, tremblements, comportements inhabituels... Désormais, nous savons que ces produits ont aussi souvent des répercussions sur la libido et le désir sexuel. Les psychiatres se tiennent informés et préviennent leurs patients des risques éventuels (note perso:le faite que les medecin previenne n’est pas forcement vrai) : nous avons des congrès, des contacts avec des collègues étrangers. »

      Reste que dans bien des cas, les effets secondaires du traitement découlent d’une prescription inadaptée. Nombre de généralistes sont insuffisamment formés pour distinguer une profonde tristesse d’une vraie dépression. Sans compter ceux qui prescrivent ces médicaments pour se "débarrasser" de patients en plein désarroi, parce qu’ils sont trop surchargés pour les écouter. Ces patients auraient pourtant davantage besoin d’être entendus que médicalisés... à condition d’avoir accès à une offre psychothérapeutique satisfaisante. Or, « du fait de la faiblesse de celle-ci dans notre pays, le recours aux antidépresseurs tend à se systématiser  », déplore Gérard Louvain, psychothérapeute.

      Mais comment expliquer les cas d’individus qui auraient tué – ou se seraient suicidés – sous l’emprise du Prozac ? « Ils restent des exceptions, répond Christophe André. Toutefois, le risque de passage à l’acte violent est réel. Bien que les antidépresseurs soient des régulateurs des émotions, ils peuvent, dans un premier temps, les dérégler davantage. C’est pourquoi je m’abstiens d’en prescrire aux patients trop impulsifs. Il me semble tout aussi dangereux de les donner aux enfants et aux adolescents, dont le système nerveux est encore en construction. Sauf dans le cadre d’une consultation hospitalière spécialisée ou sous surveillance. »

      Dans son essai alarmiste, Guy Hugnet rappelle un autre inconvénient de taille : la consommation d’antidépresseurs provoquerait des dégâts dans nos cellules cérébrales. « C’est vrai, admet Pierre K., médecin généraliste. Mais la dépression également, qui induit une atrophie d’une partie du cerveau, l’hippocampe. »

      Voila j’ai mis une parti d’un artcile le reste etant assez repeté,ou celon moi faussé.Si vous voulza voir tout l’article je l’ai trouvé ici => http://femmes.fr.msn.com/bien-etre [...] id=3772564

      Alors personne de toute age reveillez vous : Il n’est pas necessaire d’etre persuadé que ses pillule regleront la majorité des soucie,je parle specialement de ceux qui oblige leur ado a prendre ses cachet en croyant que tout vas allez pour le mieux,la realité est que ces cache misere vause beaucoup plus d’effets nefaste au cerveau que la depression elle meme !!!

      forum.doctissimo.fr/psychologie/depression-deprime-stress/anti-depresseur-psychatrie-sujet_174928_1.htm

      @L’auteur : Quand on se targue de rechercher une information indépendante, il est utile de ne pas se limiter aux réponses de la médecine officielle. La médecine actuelle, et spécialement la psychiatrie, est sous l’emprise des industries pharmaceutiques et de leurs intérêts. Même des médecins serieux et dévoués ne font qu’annoner ce qu’on leur a appris à la faculté et que distillent des revues "scientifiques" subventionnées par ces mêmes indiustries. C’est pas cela que j’appelle de l’objectivité.
      Evidemment, cela permet de se rassurer à bon compte.
      Mais des psychiatres et des psychotérapeutes critiquent ces traitements aussi. Sauf qu’eux, ils ne sont pas chargés de répondre aux médias, et qu’ils ont même souvent des ennuis avec l’ordre des mdecins, gardien de l’orthodoxie.


    • Philou017 Philou017 26 juillet 2008 17:00
       
      "Sysiphe : Que l’électrochoc soit une technique assez barbare, et employée à tort, soit.
      Mais il faut savoir, comme mentionné plus haut, que
      La Commission des Citoyens pour les Droits de l’Homme a été établi en 1969 afin d’enquêter et dévoiler les violations psychiatriques des droits humains
      est une création de l’Eglise de Scientologie : ce qui relativise considérablement ses assertions.."

      Soit. Je m’en suis aperçu apres avoir posté. Ca n’empêche pas la justesse des arguments sur ce sujet précis. Il y d’autres sites :

      Electrochocs ou sismothérapie ou encore électro-convulsothérapie
      alexdesilesie.oldiblog.com/

      LE TRAITEMENT DE CHOC ELECTROCONVULSIF EN PSYCHIATRIE :
      Un crime contre l’humanité
      www.antipsychiatry.org/fr-ect.htm

      Une autre page sur les médicaments
      (début) :

      LES MÉDICAMENTS PSYCHIATRIQUES :
      traitement ou charlatanisme ?

      par Lawrence Stevens, J.D.

      Les médicaments psychiatriques ne valent rien, et la plupart sont dangereux. Plusieurs causent des dommages permanents au cerveau, aux doses habituellement utilisées. Ces médicaments ainsi que la profession qui défend leur utilisation sont dangereux pour votre santé.


      LES ANTIDÉPRESSEURS
      Le manuel : “The Comprehensive Textbook of Psychiatry/IV”, publié en 1985, dit “Les médicaments de la famille des tri-cycliques sont les antidépresseurs les plus efficaces” (Williams & Wilkins, p. 1520). Mais dans son livre : Overcoming Depression (Vaincre la dépression), publié en 1981, le Dr. Andrew Stanway, un médecin britannique, dit “Si les antidépresseurs étaient réellement aussi efficaces qu’on nous le fait croire, les taux d’admission dans les hôpitaux pour dépression auraient sûrement diminué depuis les vingt ans qu’ils sont disponibles. Hélas cela n’est pas arrivé. … Plusieurs études ont trouvés que les tri-cycliques sont à peine plus efficaces que des placebos et certaines ont même trouvé qu’ils n’étaient pas aussi efficaces que des comprimés bidons” .
      ......
      www.antipsychiatry.org/fr-drugs.htm


    • Antoine Diederick 26 juillet 2008 19:33

      a Philou machin

      il y a des maladies mentales in-guérissables, dés lors seuls des "camisoles" chimiques permettent de calmer.


    • Philou017 Philou017 26 juillet 2008 21:12

      Machin Diederick :
      Le terme inguérissable est tres vague dans ce cas. Il est sur que la science psychologique connait des limites dans bien des domaines.
      Néanmoins, une pratique de soins psychologiques intelligente et adaptée permet bien souvent une amélioration notable de l’état des malades sur le long terme. Le probleme est que, à cause l’augmentation du nombre de malades, de la baisse des moyens de l’hôpital psychiatrique et d’un virage "technocratique" visant à privilégier le traitement médicamenteux, on préfere appliquer une camisole chimique plutôt que de soigner réellement les gens. On obtient des résultats à court terme (le patient se calme), on évite d’investir des moyens(hospitalisation courte), mais à long terme le résultat est désastreux.


    • MKT 26 juillet 2008 23:48

       M. Philou017

      J’ai lu avec beaucoup d’intérêt votre argumentation et ai suivi les liens que vous proposez.

      J’ai pu noter que ces liens présentaient des articles passionés, chargés d’affect et qui pointaient eux-mêmes sur des références CCDH.

      Comment ne pas être troublé par ces coïncidences ?


    • Philou017 Philou017 27 juillet 2008 18:02

      " Philou017

      J’ai lu avec beaucoup d’intérêt votre argumentation et ai suivi les liens que vous proposez.
      J’ai pu noter que ces liens présentaient des articles passionés, chargés d’affect et qui pointaient eux-mêmes sur des références CCDH.
      Comment ne pas être troublé par ces coïncidences ?"
      MTK
      J’ai cité un lien avec une référence sur le CCDH, merci de me signaler les autres.
      Des articles chargés d’affect ? et alors, ca ne prouve rien dans un sens ou dans l’autre.

      je suis le premier consterné de voir des associations scientologues s’emparer du sujet de la psychiatrie, au risque de décridibiliser les vrais questions qu’il y a à se poser. Je pense que la scientologie s’empare de vrais problemes afin de susciter la sympathie et de recruter de nouveaux adhérents, notamment en parlant de problemes dont peu de gens s’occupent.
      Aux EU ou au Canada, l’Eglise de scientologie n’a pas la même image dégradée qu’ici. J’ai trouvé par exemple un site de médecines douces au Canada qui cite le CCDH.

      Je regrette que les citoyens s’intéressent si peu aux problemes psychiatriques, ce qui permet à des sectes de s’engouffrer dans ce vide et de se servir de ces problemes à des fins de prosélitisme.
      Voilà ce que j’en pense.

      Mais il y a d’autres sites qui parlent de ces problemes.
      groupeinfoasiles.org/
      www.moratoirepsy.com/
      afcap.free.fr/objectifs%20ump.php
      pagesperso-orange.fr/psycause/020_21/risques_ethiques_en_psychiatrie_.htm




    • Folkhel 28 juillet 2008 12:01

      Bonjourà tous,
      Je me permets d’intervenir car je me sens concerné par ce qui est dit. En effet, je suis psychiatre et il me semble qu’une grande part de de qui est avancé ne repose pas sur des preuves scientifiques, comme beaucoup le réclame.

      Je ne ferais pas l’avocat de la psychiatrie, mais je suggère à chacun d’entre vous de se rendre sur des sites tels que Pubmed (http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/) où la majeure partie des publications de la littérature scientifique de qualité sont mises en ligne.

      Les études que vos réclamez concernant la sismothérapie ou les psychotropes existent bel et bien. Elles sont plus ou moins pertinentes mais on le mérite d’être "indépendantes" et "objectives"

      La psychiatrie a ses mérites et ses dérives mais beaucoup de personnes peuvent en bébéficier quand elle est bien pratiqué, ce qui arrive plus souvent que le grand publique peut le penser ;)



    • appoline appoline 6 août 2008 20:35

      Je ne crois pas qu’il faille être aussi formel ; j’ai vu des types qui faisaient 2 fois ma taille et mon poids grimper au mur, littéralement, je peux vous assurer que dans certains cas ; il faut ces camisoles chimiques même si je suis la première à dire que certains psy confondent volontiers leur trou de balle avec un trou à rat (à force de se plonger dans leur nombril) ; certains malades psy sont réellement dangereux. Folie serait de les remettre dehors.


  • LilianeBourdin 26 juillet 2008 18:05

    Autant je trouve important de parler de la psychiatrie, de ses effets, ses dérives, ses dangers, son utilité, ses limites, etc... Autant je trouve que l’aborder sous l’angle de la critique faite par cette association revient à faire de la publicité pour l’association en questoin, donc pour la scientologie.
    Dans ce domaine très humain, la psychiatrie, et qui touche affectivement les personnes concernées ou leurs proches, on est vite dans le passionnel. Or il est important de tenter d’avoir des informations fiables, en sachant que c’est une question très complexe, et que les raisonnements binaires ne conviennent pas au sujet.


    • Philou017 Philou017 26 juillet 2008 21:18

      D’accord avec vous. La coloration sectaire de cette association nuit gravement aux vrais question qu’elle pose.


  • cathy30 cathy30 26 juillet 2008 18:25

    effectivement liliane bourdin et c’est le deuxième article cette semaine sur la psychiatrie liée avec une histoire de secte, je me demande ce qu’il se passe ?


  • Guy Liguili Guy Liguili 26 juillet 2008 18:33

    La psychiatrie a, certes, bien des défauts ; elle tente cependant, tant bien que mal, à aider l’individu à s’adapter à une société fortement pathogène.


  • Antoine Diederick 26 juillet 2008 19:01

    cela m’étonne pas que les scientologues s’attaquent à la psychaitrie, ils sont eux-mêmes tellement givrés et le couvercle de leur soupière clapote tellement qu’ils espèrent que les ébulitions de leur cerveau soient l’occasion enfin d’une étude scientifique afin de démontrer à tous qu’ils sont de vrais malades et que cette addiction devrait être remboursée par la sécurité sociale....

    qu’ils se dépéchent car au rythme ou cela va yaura plus d’argent ds les caisses pour les soigner gratis prodéo !


    • Antoine Diederick 26 juillet 2008 19:08

      ce qui est pénible avec ces tarés de secte c’est qu’ils abordent un problème grave de santé publique qui est de l’intérêt de tous et toutes et qu’ils se permettent de foutre le bordel.

      a la poubelle ces enculés ces fouteurs de merde....

      car ils tendent à affirmer l’incompétence de gens dévoués et courageux dans des institutions qui s’occupent de personnes qui malheureusement sont dans la détresse de la maladie mentale.....

      Honte à ces tordus, honte aussi à ceux qui ne sanctionnent pas pas les dérives d’huluberlus tels que ces scientologues qui mènent leurs semblables à des dérives comportementales qui les conduiront peut - être en psychiatrie un jour.





    • Eric Roux Eric Roux 26 juillet 2008 20:37

      Ouf... Ca c’est du commentaire.


    • Antoine Diederick 26 juillet 2008 22:11

      Je vous le fait pas écrire Monsieur Roux....

      abrupte en effet...l


    • MKT 27 juillet 2008 01:46

      Je comprends votre réaction, je suis allé voir votre blog...
      Etes vous aussi utilisateur wikipédia ou bien s’agit-il d’une coïncidence ?
      http://fr.wikipedia.org/wiki/Utilisateur:Ricoroux


  • MKT 26 juillet 2008 20:07

    Les "électrochocs" à la mode "Vol au dessus d’un nid de coucou" ne sont plus de mise dans les hôpitaux français.

    Le choc correspond à une tétanisation de type convulsif occasionnée par le passage du courant en trans-cérébral.
    Hélas comme pour la douleur chez les enfants, on pensait que cela n’avait pas d’importance.

    Le courant est de l’ordre du micro-ampère.

    Aujourd’hui le patient est curarisé (comme pour une intervention chirurgicale) ce qui explique qu’il faut un anesthésiste et un infirmier pour ventiler le patient puisque ses muscles respiratoires sont momentanément (de l’ordre d’une minute) paralysés.

    Pour avoir assisté à ce traitement et aux résultats obtenus à terme, je témoigne que si je devais, un jour, être victime  d’une dépression mélancolique sévère, je n’hésiterai pas un seul instant à y recourir compte tenu de l’efficacité et du rapport bénéfice/risque.

    Ce rapport bénéfice/risque (surtout pour le portefeuille) est loin d’être à l’avantage du lavage de cerveau par les adeptes de Ron Hubbart.



    • Eric Roux Eric Roux 26 juillet 2008 20:36

      Eh bien, allez-y... La seule différence avec "Vol au dessus d’un nid de coucou", c’est l’anesthésie. L’ordre du micro ampère ? Beau dédouannement quand on sait le nombre de tissus brulés par ce courant électrique.
      L’effet "légume", les douleurs qui surviennent par la suite et la baisse de réactivité... Peut-être avez-vous raison, ça vous ferait du bien. Soit dit en pasant, si vous trouvez un psychiatre capable de vous dire comment la sismothérapie "soigne", dites-le. Autrement qu’en disant "on pense que..." "les connexions neuronales bougeraient lorsqu’il y a un choc..."etc. Et on appelle ça de la science. 11 ans d’études pour apprendre à appuyer sur un interrupteur, c’est grave.


    • MKT 26 juillet 2008 21:42

      Je vous remercie pour votre grande sollicitude.
      Mais là n’est pas la question.

      Il est probable que les explications des effets de l’ECT viendront plus de la neurologie que de la psychiatrie. Les travaux d’Antonio Damasio ("L’erreur de Descartes") montrent que organisation neurologique et comportement sont fortement intriqués.

      Quant à en savoir plus et pour ne pas rester à la surface des choses je propose ces deux liens (adresses ?) :
      http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article79
      http://www.sfar.org/ectrecomm.html

      Les lecteurs d’Agoravox pourront se faire une idée par eux-même.


    • foufouille foufouille 27 juillet 2008 21:33

      en kinesitherapie on utilise aussi des trucs electriques. et moi J AI TESTE. contraiment a tous ceux qui parlent de trucs qui ne connaissent pas
      faites vous faire un electromyogramme par un debile : 200-300 1ua ca secout grave

      alors ds le cerveau


    • Olga Olga 27 juillet 2008 21:45

      Bonsoir

      C’est sensé faire quoi un electromyogramme ?


    • foufouille foufouille 28 juillet 2008 12:40

      quand tu as un probleme de nerf physique, une neuropathie ou une paralysie, on te fait un "test" de tes nerfs
      le medecin, souvent sadique, t’enfonce des aiguilles ds les nerfs pour tester la conductivite de tes nerfs. env 300v a 1uA. l’endroit test est secoue de spasme. si tes nerfs fonctionnent un peu, tu ressent des douleurs violentes. au mieux tu as des crampes et tremblement plusieurs jours

      imagine ca ds le cerveau


    • sisyphe sisyphe 28 juillet 2008 12:56

      @ Eric Roux

      Vous n’avez pas répondu à la question : êtes vous le Ricoroux de Wikipedia, et, dans c e cas, vous êtes, comme vous le dites vous-même, scientologue de puis 15 ans !
      Autant abattre clairement les cartes. smiley


    • foufouille foufouille 28 juillet 2008 13:46

      on est sur internet, il peut dire ce qu’il veut

      si le pape est mal place pour parler de pauvrete, l’abbee pierre ou soeur theresa etaient bien place
      soit les psys sont des surhommes/dieu parfait, soit il y a bcp de fumier comme partout
      il aurait du mal a contaminer bcp de monde avec un texte.
      en plus, LA, il ne fait pas de proselytisme


    • sisyphe sisyphe 29 juillet 2008 11:36

      Il peut dire ce qu’il veut ; je lui demande seulement de dire d’où il parle, sans faux nez., qu’on sache à qui on a affaire.
      Il est quand même significatif de noter que, parmi tous les gens "normaux" qui s’expriment, beaucoup ont des avis différents ; alors que, quand ce sont des scientologues , ils disent tous exactement la même chose ;  les échos de la voix de leur maître : la confirmation du formatage d’esprit d’une secte.


    • foufouille foufouille 29 juillet 2008 17:35

      pareil pour les partis politiques. les haut fonctionnaires, etc.........


  • Grasyop 26 juillet 2008 23:17

    Il ne suffit malheureusement pas d’avoir les Scientologues sur le dos pour avoir raison.

    Max Lafont nous dit : « Les antidépresseurs et la neuroclinique, comme avec le lithium, sont efficaces. »

    Ce n’est pas vraiment ce que dit la dernière méta-analyse publiée en février dernier (Plos Medicine (en), Libération) :

    « These findings suggest that, compared with placebo, the new-generation antidepressants do not produce clinically significant improvements in depression in patients who initially have moderate or even very severe depression, but show significant effects only in the most severely depressed patients. » (Plos)
     
    Ce que Libération traduit et résume par : « les ISRS n’ont pas plus d’effet que des placebos pour les personnes souffrant d’une dépression légère et pour la plupart de celles souffrant de grave dépression. »

    Mais heureusement pour les psys, Max Lafont a l’art de tourner un échec en succès : « Généralement, on a affaire à des maladies à vie que l’on arrive tout de même à stabiliser.  »


    • Philou017 Philou017 27 juillet 2008 00:43

      "Dans son manuel Electroconvulsive Therapy ( La thérapie par électrochocs ), Richard Abrams, M.D., Professeur de psychiatrie à l’École de médecine de Chicago, explique la raison pour la réédition en 1988, de son livre publié 6 ans auparavant : “Durant ces 6 années l’intérêt pour les électrochocs s’est grandement accru”. ... Qu’est-ce qui est responsable pour cette volte-face dans la psychiatrie Américaine ? Peut-être une désillusion avec les antidépresseurs. Aucun ne fut trouvé d’une efficacité thérapeutique supérieure à l’imipramine [ un tri-cyclique], agé maintenant de 30 ans, et les substances introduites plus récemment sont souvent soit moins efficaces ou bien plus toxiques, ou les deux, que les médicaments plus vieux (Presses de l’Univ. Oxford, p. xi). Dans son livre, le Dr. Abrams dit “Malgré les affirmations des manufacturiers, il n’y a eu aucun progrès significatif dans le traitement pharmacologique de la dépression depuis l’introduction de l’imipramine en 1958. ” (p. 7). Dans la préface de ce livre, Max Fink, M.D., un professeur de psychiatrie de l’Université de l’état de New-York à Stony Brook, dit que la raison pour l’usage accru des électrochocs (aussi appelée “thérapie” électroconvulsive ou TEC) comme traitement de la dépression est ce qu’il appelle “Le désappointement au sujet de l’efficacité des médicaments psychotropes” (p. vii)"
      http://www.antipsychiatry.org/fr-drugs.htm


    • Grasyop 27 juillet 2008 01:25

      Et encore avant les électrochocs, il y avait la lobotomie au pic à glace. Cinquante mille personnes rien qu’aux États-unis ! Et pour des troubles aussi bien définis que : dépression, anxiété, maux de têtes, retard mental...

      Après ça, on pourrait s’attendre à ce que la communauté psy fasse un peu preuve d’humilité...


    • MKT 27 juillet 2008 01:58

      Assez effrayant à vrai dire.
      Où que se soit, Il n’a jamais fait bon être "pas tout à fait dans la norme".

      Toutefois les techniques de lobotomies ont beaucoup évolué.
      Indolore, à distance, et quasi gratuite, il faut juste accepter de regarder les pubs.

      En effet, je connais des personnes qui lavent leur cerveau quotidiennement avec une chaîne de télévision qui n’a même pas besoin d’être citée, elle est spécialisée en temps de cerveau disponible (dixit un de ses manager).
      Apparemment elles semblent satisfaites.
      Alors....


    • Echo Echo 27 juillet 2008 08:11

      MKT,

      Excellent !!!

      Car, tellement vrai.

       smiley


  • Allain Jules Allain Jules 26 juillet 2008 23:45

    Pauvre France qui s’américanise jour après jour ! Comment faire pour interdire cette secte ?

    http://allainjulesblog.blogspot.com/


    • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 27 juillet 2008 01:01

       Il n’y a pas a interdire les sectes ; seulement à améliorer l’éducation et l’information. Autrement, il faudrait commencer par interdire toutes les religions , lesquelles ne se distinguent des sectes  que par l’âge vénérable des absurdités qu’elles racontent et les dommages incommensurablement plus sérieux qu’elles ont causés 

      Pierre JC Allard

      http://nouvellesociete.wordpress.com


    • sisyphe sisyphe 29 juillet 2008 23:12

      par Pierre JC Allard (IP:xxx.x7.16.36) le 27 juillet 2008 à 01H01

       
       Il n’y a pas a interdire les sectes ; seulement à améliorer l’éducation et l’information.

      Monsieur Allard,

      Je trouve votre position sur ce sujet étrangement laxiste...
      Ne pas interdire les sectes, n’est-ce pas ....
      Donc, les laisser opérer leur travail de nettoyage de cerveau, d’embrigadement, les laisser aller, par exemple, jusqu’au "suicide collectif organisé" ou au gaz sarin dans le métro...

      Pourriez vous justifier cet étrange laxisme ?
      Merci.

    • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 27 juillet 2008 20:04

       Si on ne parle que des abus, la secte n’est qu’une association de malfaiteurs comme les autres. Je suis d’accord avec votre premier paragraphe.

      Le deuxième paragraphe n’est pas pertinent, car le premier suffit.   Je demande donc que le second soit rayé du dossier...

      J’ignore le troisième.  Hubbard, pour moi, est un auteur moins créatif et prolifique qu’Asimov, moins  visionnaire que Clarke, moins intelligent que  Brunner... Alors il a  créée une religion.  Qui sait ce qu’auraient produit les autres créateurs de religions s’ils avaient eu du talent ... 

      Pierre JC Allard

      http://nouvellesociete, wordpress. com


    • sisyphe sisyphe 29 juillet 2008 23:14

      par Pierre JC Allard (IP:xxx.x7.16.36) le 27 juillet 2008 à 20H04

       

      Le deuxième paragraphe n’est pas pertinent, car le premier suffit.   Je demande donc que le second soit rayé du dossier...

      Tiens, tiens !
      Décidément, vous semblez très attaché à ce qu’on ne touche pas à l’Eglise de Scientologie !
      Une explication ?

  • ARCHER 27 juillet 2008 03:05

    Aucun commentaire sur la psychiatrie, qui a en effet énormément de limites, mais une remarque : observez que dans la première partie, l’interviewé parle face à la caméra. Dès qu’on l’interroge sur les liens avec la Sciento, il baisse la tête. 

     


  • mcpn 27 juillet 2008 03:19

    Halte à ce désastre.
    Relation schizophrénie/croyances, sectes...
    Extrait du livre de Antoine Lesur, psychiatre sur la schizophrénie.
    « La désorganisation que cause la maladie s’accompagne d’interrogations incessantes sur sa propre identité, sur les valeurs morales (le bien et le mal, Dieu et le Diable), sur la sexualité etc... Perdus sans repères, ils peuvent êtres attirés par l’ésotérisme, la magie, voire les sectes à la recherche d’un absolu en fait inaccessible. »
    La maladie se nourrit d’irréalité, un besoin fonctionnel du psychotique : le fond de commerce des sectes.
    La manipulation mentale n’est pas une doctrine que l’on subit, elle est une demande personnelle, un besoin irrationnel intériorisé, que l’on défend bec et ongle, sans aucune réserve et se nomme « spiritualité ». 
    La schizophrénie est cette maladie que l’on vous a appris à ne pas comprendre.
    Maurice Champion : http://monsite.orange.fr/champion20
     


  • chmoll chmoll 27 juillet 2008 09:02

    la psychiatrie, s’ke elle soigne ou elle guérie ?


  • TALL 27 juillet 2008 09:05

    On devrait en tout cas ne plus mêler la psychiatrie à la justice, car la psychiatrie a actuellement une fiablité très faible tout-à-fait incompatible avec la déontologie judiciaire.
    Un tueur pédophile peut être déclaré sain d’esprit, comme un mec qui a tué l’amant de sa femme sur un coup de colère peut être déclaré "psychopathe".
    C’est du grand n’importe quoi...


    • claude claude 27 juillet 2008 22:00

      bonsoir,

      il faut savoir que :

      1. les psychiatres, sont des médecins, qui ont validé leur cursus par un doctorat, suivi par 3 ou 4 années de spécialisation
      2. que le psychiatrie n’est pas une science éthérée sur la base du ressenti des patient,s mais bien une science à part entière s’appuyant sur les les fonctionnement biochimioques du cerveau, d’où le recours aux anti-depresseurs pour esayer de rétablir l’équilibre neuro-chimique cérébral
      3. enfin, même si l’on commet des actes répréhensibles par la loi, cela n’empêche pas que celui qui les a commis fasse la différence entre le bien et le mal.
      4. le psychiatre est là pour démonter l’enchainement des éléments qui ont conduit les criminels au passage à l’acte. ils ne font que poser un diagnostic.
      la scientologie et autres sectes, détestent la psychatrie, parce que c’est un outil de déprogrammation !

      et la psychiatrie est diabolisée, parce que la grande majorité des gens la réservent "aux fous".ou aux "criminels"..

      la psychiatrie est un élément important de la médecine morderne, car elle entre dans la prise en charge pluridisciplinaire des maladies chroniques, notamment les maladies de la douleur, les cancers, les diabètes et les grands accidentés de la vie.

      il serait temps que la psychiatrie prennet sa place sans préjugés, comme une spécialité "normale" , au même titre que la dermatologie ou la sromatologie ou les maladies infectieuse.



    • TALL 27 juillet 2008 22:14

      Ce que la psychiatrie actuelle connaît du cerveau est dérisoire
      Il n’y a aucune corrélation entre neurologie et notions morales de bien/mal
      Le concept de "psychopathie" n’a aucune base biologique, c’est une liste de caractéristiques comportementales assemblées de manière arbitraire
      Une escroquerie scientifique pure et simple.
      Et comme par hasard, on n’interne plus les psychopathes en Belgique, ils vont en prison pour leurs délits comme les autres délinquants. Motif officiel : ils sont "incurables"....ha ha ha !
      Forcément, puisque cette "maladie" est une invention

       


    • TALL 27 juillet 2008 22:15

      Et la scientologie est encore bien pire à mes yeux d’athée anti-clérical


  • K K 27 juillet 2008 09:44

    J’ai connu quelques personnes qui ont eu recours à la psychiatrie, souvent à la demande d’un médecin traitant ou de leur famille. Dans les cas que je connais (tous des dépressions parfois profondes), la psychiatrie s’est montrée efficace.
    Je pense que comme dans tout domaine, il y a encore beaucoup à découvrir et que certaines maladies sont peut être de nos jours traitées de façon incorrecte voire inéfficace.

    Mais une chose est certaine, on ne doit laisser aucune religion interférer avec la médecine. Du refus de traitement par un psychiatre au refus de transfusion ou de greffe, les religions provoquent bien trop de dégats sanitaires lorsqu’elles veulent imposer les manières de soigner. Qu’elles s’occupent des âmes et des portefeuilles de leurs ouailles, cela devrait leur suffire.


  • barbouse, KECK Mickaël barbouse 27 juillet 2008 09:55

    bonjour,

    quel est l’info dans cet article ? les scientologues font du prosélytisme rampant ? on s’en doutait.
    La psychatrie a des résultats contestable, on le savait.

    les electro chocs sont bon pour soigner "l’humeur" on s’en doutait, pour la "nausée" c’est moins sur...
    les lacaniens, freudiens, analystes des rêves, jung, etc... sont des charlatans, on le savait.

    il n’y a que la thérapie cognitive qui donne des résultats probants, En 2 séances tu arrètes les TOC, et tu n’as plus besoin d’y retourner, va chez un "psy" et dans 20 ans tu y retourne encore pour raconter ta vie devant "papa" ou "maman" "autorité médicale".

    ils escroquent les gens juste ce qu’il faut pour tondre les moutons régulièrement, c’est confirmer merci :

    "Certains patient atteints de troubles viennent me voir une à deux fois par an et sont "biens" depuis vingt ans."

    Quiconque a de pret ou de loin constater les effets d’une camisole chimique sur quelqu’un sait que ça ne soigne pas, et il suffit d’etre un homme pour se faire shooter dés son entrée en CPN, pour que le personnel féminin se "sécurise", et aprés on discute de votre "cas".

    l’ampleur de l’escroquerie "psychiatrique" est tel que c’est une honte qu’on les confonde encore avec une éthique médicale, plutôt avec les dérives du docteur knock.

    amicalement, barbouse.



  • Nathan Nathan 27 juillet 2008 10:16

     Bonjour (?),

    Je suis contre la scientologie et contre la psychiatrie (traitement médical) ; mais pas contre la psychologie.

    Définitions psychiatrie, psychologie, etc. :

    http://www.psychologue.fr/therapie.php


  • roger gonnet 27 juillet 2008 10:45

    J’ai fondé voici plus de trente ans l’ancètre du CCDH à Lyon : ça s’appelait la "Ligue Pour Une Justice Honnète" ; tout comme le CCDH, le but consistait à taper sur la société (justice, psychiatrie, médecine) afin de conquérir la planète au moyen des "techniques" du gourou Hubbard.
    La réalité derrière tout ça est particulièrement sinistre, puisque la scientologie n’a cessé de démontrer depuis ses débuts qu’elle se fichait éperdüment des résultats de ses activités, aussi longtemps que l’argent rentre. J’en sais quelque chose, pour avoir aussi été le fondateur de l’organisation à Lyon (d’abord à Sarcey, puis à Neuville, où nous occupions un bâtiment de 1100 m2 en 1980-1983).


  • magaliesimon 27 juillet 2008 11:58

    Il y a en effet des gens qu’on enferme dans des hôpitaux psychiatriques alors qu’ils ne sont pas fous.
    J’en veux pour preuve Sarah Connor dans Terminator 2. Arf !
    http://www.jesuisencolere.com


  • JPB 27 juillet 2008 13:16

    Je suis le président de la CCDH de Lyon, et je me permets de faire remarquer que les propos qu’on me fait tenir dans le début de ce forum sont faux. La personne qui me les attribue ne les a même pas signés, et je suppose que c’est la personne avec les cheveux blancs qui apparait sur le vidéo et qui s’est faite passer pour un journaliste du Progrès.
    Je suggère que les responsables de ce médias rectifie ce poit en m’interwiewant avec des moyens modernes et fiables, comme l’ a fait le jpournaliste de Lyon Capitale.
    Aussi pour vous exprimer sur notre association il faut au moins aller sur le site de Lyon Capitale : www.lyoncapitale.fr
    où tout ce qui est fimé et enregistré reflète honnêtement notre rencontre avec le journaliste.
    Jean-Paul Blanc, président de la CCDH de Lyon


    • JPB 27 juillet 2008 13:37

      Je tiens à féliciter ma collègue de notre association parisienne, Patricia Forestier, qui a débusqué et traqué le psychiatre génocide Karadzic dès le début des années 90. Dernièrement notre association a envoyé un courrier concernant Karadzic à la Cour Pénale Internationale . 
      A noter que le manque de sanité mentale et le manque de raisonnement scientifique des psychiatres en général permet à des criminels d’entrer dans ce corps de la médecine et d’y provoquer des horreurs.
      Noter aussi qu’il n’y a aucune sanction morale ou éthique de la part de la psychiatrie à l’égard de ses praticiens sanctionnés par les tribunaux, et c’est pour cela que notre association enquète sur cette profession et reste très générale sur la criminalité de ses membres : ils se moquent complètement des droits de l’homme, et cachent leurs crimes sous des pseudo théories scientifiques, ou bien laissent faire leurs collègues criminels.
      Les gouvernements de toute la planète apprécient de mieux en mieux notre travail d’enquêteurs , et n’hésitent plus à travailler d’après nos informations.
      Le président de la CCDH de Lyon
      Jean-Paul Blanc


    • Philou017 Philou017 27 juillet 2008 17:34

      Merci de votre intervention.

      Mais j’aimerais que vous parliez de vos liens avec l’église de scientologie qui ont été évoquées dans ce fil de commentaires. Ce point nécéssite des éclaicissements.


    • Radix Radix 27 juillet 2008 19:36

      Bonjour JPB

      La scientologie qui contribue à l’arrestation de Karadzic, il fallait oser !

      Au fait JPB celà veut dire : je vous prends pour des burnes !

      Radix


    • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 27 juillet 2008 20:07

       Il y a beaucoup à dire sur la médecine en général... mais ce serait beaucoup trop long

      PJCA


    • Halman Halman 28 juillet 2008 11:52

      Et oui, c’est toujours pareil.

      A chaque libération d’otage ou arrestation de grand criminel il y a toujours des petits obscurs pour raconter que ce sont eux qui ont libéré les otages et pas le gouvernement ni l’armée.

      Je connais de simples agents de sécurités de musées qui racontent que la libération des journalistes otages du Liban c’est eux et pas les services secrets ni l’armée.

      On les croit vachement.

      Ca a failli être drôle.


  • kedire5 27 juillet 2008 13:44

    La scientologie, c’est payer 100.000 euros pour que des gens vous disent que vous êtes le meilleur, en tout.
    La psychiatrie c’est le meilleur moyen de blanchir les crimes. A la fois pour l’accusé qui tente de se faire passer pour fou, et le criminel qui fait passer sa victime pour dingue. Les mèdecins le savent bien, dès qu’ils ont un problème avec quelqu’un, qu’ils ont escroqué ou autre (confère sans aucun doute, par exemple), l’une des premières réponses, c’est, mais vous ètes malade, il faut vous faire soigner. Venant d’un mèdecin, ce sont des mots qui ont un impact, il ne faut pas être fragile pour s’en défendre.


  • vieuxconCGT vieuxconCGT 27 juillet 2008 20:07

    Encore une fois, on lit de tout et finalement de rien sur ce site.
    La psychiatrie en est encore à ses balbutiements en tant que spécialité médicale. Pour mémoire :
    en 1880, pour la France entière, on ne compte que 120 aliénistes pour 37 millions d’habitants, tous en hôpital ou en maison de santé), et la psycho-analyse ou analyse freudienne ne connaît son développement qu’à partir de 1895.
    La purge fut l’un des plus anciens traitements de la folie. Dans cette indication, elle n’est en France totalement abandonnée que dans la première moitié du XIXème siècle.
    La notion (et le vocable) de schizophrénie largement évoquée ci-dessus, inventé par le Suisse Eugène Bleuler date de 1926
    les electrochocs datent de 1938 et se pratiquent toujours mais sous anesthésie générale...
    Pendant la seconde guerre mondiale, les privations (famine, froid,...) sont directement ou indirectement responsables de la mort d’environ 40.000 malades mentaux dans les hôpitaux français.
    Les 1ers neuroleptiques sont découverts en 1952...
    Les droits civiques des malades mentaux sont régis par le code napoléonien et n’ont guère évolués.
    Pourquoi cette partie de la médecine connait-elle un tel retard ?
    Cette population non productive et non votante ne peut pas se plaindre directement. Elle n’interesse pas les "grands" de ce monde et les crédits accordés à la psychiatrie sont dérisoires comparés à ceux en faveur de l’armement ou du flicage de la population.

    Autant dire que l’on discute ici avec des connaissances malheureusement proches du vide absolu ... Et c’est bien là que réside le scandale !


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