samedi 4 août 2018 - par Monolecte

Dernières de cordée

Nous devons absolument continuer d’être les pires chieuses de l’univers, parce que chaque fois que nous faisons mine de prendre des vacances, nous nous retrouvons immédiatement en fin de liste des combats sociétaux, quand nous n’en sommes pas tranquillement éjectées. Nous n’avons pas d’autres choix possibles que de remettre le couvert, jour après jour, sur la question de nos droits élémentaires si nous ne voulons pas être niées, invisibilisées, oubliées. On peut retourner le problème dans tous les sens, c’est toujours la même évidence qui s’impose à nous : il y a toujours mieux à faire, d’autres combats à mener, que de ce soucier de la simple question de l’égalité réelle pour (un peu moins de) la moitié de l’humanité.

Quand les femmes voulaient bruler leurs chaines, 1935

Comment comprendre cet acharnement à ne jamais nous prendre en compte, à toujours vouloir reporter à demain les accomplissements féministes, si ce n’est qu’en admettant que la domination (et grâce à elle, l’exploitation) des femmes est probablement la mère de toutes les dominations et exploitations de notre espèce, que c’est la pierre angulaire de toutes les injustices contre lesquelles la plupart prétend à aspirer à les combattre et pourtant renouvèle chaque jour les conditions nécessaires à leur perpétuation.

… l’éviction des femmes des corps de métier fournissait la base nécessaire à leur assignation au travail reproductif et leur emploi comme travailleurs à bas salaire dans l’industrie artisanale.

… une nouvelle division sexuelle du travail […] fut établie, définissant les femmes en des termes (mères, épouses, filles, veuves) qui dissimulaient leur statut de travailleuses, tout en donnant aux hommes libre accès au corps des femmes, à leur travail, au corps et au travail de leurs enfants. […]

… dans la nouvelle organisation du travail, chaque femme (à part celles qui étaient privatisées par les bourgeois) devenait un bien commun, dans la mesure où, dès lors que les activités des femmes étaient définies comme du non-travail, leur travail commençait à apparaitre comme une ressource naturelle, disponible à tous, tout comme l’air que l’on respire ou l’eau que l’on boit.

Ce fut pour les femmes une défaite historique. Avec leur expulsion des corporations et la dévalorisation du travail reproductif, la pauvreté se féminisa, et pour mettre en œuvre « l’appropriation primitive » du travail des femmes par les hommes, un nouvel ordre patriarcal fut instauré, soumettant les femmes à une double dépendance : vis-à-vis des patrons et des hommes.

Caliban et la sorcière, Silvia Federici, Entremonde, octobre 2017, pp 167-170

Ce qui est intéressant dans le travail de Silvia Federici sur la fin du Moyen-Âge, c’est qu’il met en évidence que l’aliénation brutale des femmes a permis l’essor irrépressible du capitalisme. Exproprier les masses paysannes, privatiser les communs était les préalables nécessaires pour priver l’essentiel de la population de tout accès à la subsistance et les contraindre ainsi à vendre leur force de travail, ce qui est la condition première de la phase d’accumulation primitive du capital. Mais cette spoliation immense (priver les gens des possibilités de subvenir eux-mêmes à leurs besoins vitaux) ne pouvait se réaliser sans qu’on leur offre une compensation, un lot de consolation un peu plus consistant qu’un salaire. Et ce lot de consolation fut les femmes. Les bordels se sont développés dans l’Europe de la fin du Moyen-Âge au même rythme que les paysans étaient privés de leurs terres et les femmes de tout moyen de subsistance.

Seule cette OPA sur les femmes a rendu le capitalisme possible, on peut même dire que la domination des femmes lui est consubstantielle. L’exploitation du travail des hommes ne pouvait se réaliser qu’en contraignant les femmes à faire gratuitement tout le travail très lourd (et couteux) de l’entretien et de la reproduction de la force de travail. Autrement dit, l’un des piliers concrets du capitalisme, c’est l’appropriation gratuite du travail de la moitié de la population.
De surcroit, en transformant le corps des femmes en communs à la place des espaces naturels autrefois partagés, on détruit tout esprit de communauté et d’entraide, toute la solidarité de la classe ouvrière émergente est dynamitée dans l’œuf. Les hommes finissent par accepter de se soumettre au salariat, parce qu’en échange, ils disposent eux-mêmes de la propriété pleine et entière de leur femme et de leurs enfants et de leurs productions : dominés à l’extérieur, mais tyran à la maison, avec la bénédiction de la société, de la loi et même de l’Église.

Kathrine Switzer, molestée parce qu’elle est une femme au marathon de Boston de 1967

Car la soumission des femmes jusque dans leur ventre ne s’est pas réalisée facilement et spontanément, il a fallu plusieurs générations d’un terrorisme d’État sans merci pour soumettre les femelles et leurs utérus aux besoins supérieurs du Marché. Après leur avoir interdit de travailler, puis de garder leur propre rémunération, puis même de décider de l’usage de leur propre corps, plusieurs siècles d’un féminicide d’une absolue cruauté ont été nécessaires pour enfin mettre le fameux sexe faible au pas et le convaincre de la nécessité de sa soumission pleine et entière.

Repriser les chaussettes de l’humanité

Les thèses de Silvia Federici mettent en perspective l’historicité de la domination masculine et ont l’avantage de rendre enfin compréhensible le fait que cette situation perdure dans le temps, malgré des décennies de luttes acharnées, de dénonciations et de prises de conscience de la nature parfaitement non naturelle des dominations auxquels sont toujours soumises les femmes, aujourd’hui, en 2018.

Comment comprendre autrement cette incroyable résistance à l’égalité salariale, à la juste répartition des tâches, à l’accès aux postes de pouvoir, à la maitrise de la fécondité (sans cesse menacée de régression) ou même à la très simple et évidente liberté de déambuler tranquillement dans l’espace public qui n’a pourtant jamais été aussi sûr que nos jours… excepté pour les femmes.

Là aussi, l’Histoire racontée par Silvia Federici vient au secours de notre incompréhension : les femmes ont été volontairement effacées, non seulement du droit à la subsistance, du droit à disposer d’elles-mêmes, mais carrément du droit à exister, y compris dans l’espace public.

La perte du pouvoir social des femmes s’exprimait aussi par une nouvelle différentiation de l’espace. Dans les pays méditerranéens les femmes furent évincées non seulement de nombreux emplois salariés, mais aussi des rues, où une femme seule risquait d’être le sujet de railleries ou d’agression sexuelles. En Angleterre aussi (« un paradis pour les femmes », aux yeux de certains visiteurs italiens) la présence des femmes dans l’espace public commençait à être mal vue. On déconseillait aux Anglaises de s’assoir devant chez elles ou de rester près des fenêtres.
Idem, p. 176

Rappelons que Silvia Federici décrit la situation européenne aux XVIe et XVIIe siècles, il y a donc plus de 500 ans.

Notre insécurité dans les rues, le métro, le bureau et même dans nos maisons n’est pas une fatalité, une malédiction, c’est un fait social construit par des siècles d’exclusion et de persécution contre la classe d’exploitation de base du capitalisme moderne : les femmes. Et les hommes continuent à participer activement à cette persécution, parce que c’est d’elle qu’en grande partie naissent leurs nombreuses prérogatives et privilèges, même chez les hommes les plus dominés parmi les hommes : le dernier des grouillots sait à quel point il est bon de pouvoir se défouler régulièrement sur plus dominé⋅e que soi. Et c’est de ce seul ruissèlement réellement efficace du système capitalisme (le ruissèlement de la domination), que naissent ces cavaliers de l’apocalypse humaine que sont les dominations discriminantes : racisme, sexisme, classisme, validisme, homophobie, grossophobie, etc. comme autant de comportements qui rassurent chacun sur sa place réelle et concrète dans la hiérarchie de fer du capitalisme, lequel se repait concrètement de toutes les inégalités.

Marie Laguerre, frappée en plein visage le 24 juillet 2018, pour avoir oser répondre à un homme qui la harcelait dans la rue.

La lutte des places, la compétition de tout le monde contre tout le monde et en permanence, ne confortent pas seulement les hiérarchies, mais interdisent toute prise de conscience, toute solidarité intersectionnelle qui nous permettrait enfin de sortir de cette unique loi de la jungle existante : celle qui a été créée de toutes pièces par les nantis pour nous maintenir méfiants, divisés et incapables de les renverser.

Et c’est grâce à cette perspective précise et particulière qu’est l’historicité de la domination des femmes qu’il devient enfin aisé de comprendre pour quelles raisons les luttes égalitaristes provoquent des résistances et des violences de plus en plus marquées et pourquoi chaque aspiration à une meilleure société, chaque tentative de faire advenir une civilisation plus évoluée et inclusive est aussi difficile et chaque progrès aussi dérisoire.
Voilà pourquoi la cause des femmes avance si peu : elle est la pierre angulaire du système qui nous domine pratiquement tous et qui est actuellement dans une telle phase d’accélération qu’il menace jusqu’à la biosphère dans son ensemble.

Voilà pourquoi, finalement, les femmes sont bien l’avenir de l’humain.



160 réactions


  • Clark Kent Clark Kent 4 août 2018 11:09

    « Nous devons absolument continuer d’être les pires chieuses de l’univers... »


    ne vous inquiétez pas, vous allez y arriver !

    • Paul Leleu 4 août 2018 20:01

      @Clark Kent


      oui... article délirant... tissu de misandrie... tant de haine... je me demande quelle idée l’auteure se fait des hommes... 

      Quelques points à la volée. Les femmes ont toujours circulé dans l’espace public. Ce sont souvent les femmes et les enfants qui allaient garder les troupeaux dans les sociétés paysannes (y compris au 18ème siècle). Donc, par la force des choses, elles étaient dehors. Il suffit de voyager dans les pays du tiers-monde pour voir que les femmes ne sont pas cloitrées du tout chez elles. 

      A l’époque industrielle, les femmes ont continué de sortir dans les villes, pour aller travailler et sortir s’amuser le cas échéant (les « grisettes » c’est pas une histoire récente). D’ailleurs, toutes les photos anciennes (fin 19ème - début 20ème) montrent hommes et femmes dans les rues et sur le pas des portes. 

      Quant à l’insécurité dans les rues, franchement, elle n’est pas si différente pour les hommes. Quand ça devient sérieusement dangeureux pour une femme seule, c’est que ça le devient aussi un peu pour un homme seul. C’est un bon thermomètre. Et si la femme risque l’agression sexuelle ou le viol, l’homme risque le coup de poing ou le coup de couteau. C’est pas du beurre. 

      Je ne vois pas que les hommes aient eu « libre accès au corps des femmes », ni hier ni aujourd’hui... notamment dans les sociétés réac’ d’autrefois... faut être cohérent. 

      Le numéro sur la « prolifération des bordels » est un truc typique des femmes. Les femmes pensent « tous des salops », exactement comme les hommes pensent « toutes des salopes » en voyant les décoletés dans la rue. La réalité est bien-sûr différente. L’amour vénal n’est pas une panacée (ça se saurait). Par contre, la pute fait fantasmer beaucoup de femmes : plusieurs amantes m’ont demandé si « elle était assez belle pour faire pute »... j’hallucinais au début, car je n’y avais jamais réfléchi... J’ai fini par comprendre que « ça travaille » les femmes, même si ça ne veut pas dire qu’elles franchiront le pas (aucune de ces amies n’a franchi le pas, et certaines sont aujourd’hui mariées). 

      D’une manière générale, l’auteure a une vision paranoïaque des hommes, comme des obsédés lubriques omnipotents. C’est exactement l’équivalent des hommes qui pensent « toutes des salopes ». Je lui souhaite d’accéder à une vision plus nuancée des choses. 

  • Mal’ 4 août 2018 12:19

    Idéologie du risque zéro, quand tu nous tiens, tu t’infinitises totalitairement, ès méthode Coué - et pas que méthode Coué.


    • Mal’ 4 août 2018 12:23

      Enfin bref, vous mélangez tout, et tout n’est pas à jeter dans ce que vous dîtes, poil à gratter du web, poil au nez.


  • Alren Alren 4 août 2018 12:48

    Voilà pourquoi, finalement, les femmes sont bien l’avenir de l’humain.

    Louis Aragon, poète : « la femme est l’avenir de l’homme »

    Les deux expressions n’ont pas le même sens. Aragon dit que l’homme ne s’épanouit que si la femme s’épanouit aussi. L’auteur dit que les femmes auront un rôle majeur dans la société future au détriment des hommes ce qui est une forme de racisme revanchard.

    Ce point de vue n’est d’ailleurs pas partagé par l’immense majorité des femmes qui recherchent la protection attentionnée et amoureuse d’un homme.

    Tout ce qui éloigne de la lutte des classes, divise les exploités, que ce soit le sexe, l’ethnie ou la différence de régime emploi privé-emploi public, fait le jeu des exploiteurs.

    L’avenir de l’humanité c’est la fin du capitalisme qui tue la planète avec une croissance sans nécessité sinon pour ses profits, avec une égalité en droit (et en devoir) entre toutes les personnes.


    • Elric Menescire Elric Menescire 4 août 2018 13:20

      @Alren

      « Ce point de vue n’est d’ailleurs pas partagé par l’immense majorité des femmes qui recherchent la protection attentionnée et amoureuse d’un homme. » 


      Commentaire machiste qui prouve qu’il reste encore beaucoup de chemin à accomplir...

      Pourquoi les femmes ne pourraient elles pas s’émanciper de cette fameuse protectiont«  et se protéger elles mêmes ? En seraient elles incapables ? 

      Et puis, pourquoi »la majorité des femmes comme vous dites, recherche cette protection masculine« ne serait-ce pas parce qu’on ne leur a inculqué que cela : tu dois rester à ta place l’homme doit te protéger...
      Réveillez vous : les femmes ne sont pas ce que vos fantasmes plaquent sur elles, ce ne sont pas des êtres fragile, des princesses ou que sais je, qui ont besoin de la »protection" d’un homme. Ce sont des êtres humains qui ont le droit d’être aussi autonomes qu’un autre.

      Beaucoup beaucoup de chemin à faire... 

    • Macondo Macondo 4 août 2018 13:57
      @Elric Menescire ... « Pourquoi les femmes ne pourraient elles pas s’émanciper de cette fameuse protection et se protéger elles mêmes ? » Jusquauboutissons ensemble. Si elles arrêtaient de procréer - car après tout, ni le nuage primitif, ni le gondwana, ni même l’évolution cellulaire jusqu’à la sortie de l’eau, n’ont jamais demandé leur avis - ça pourrait aller plus vite encore que le réchauffement climatique. Ca pourrait même l’empêcher, par un effet inversé lié au grand refroidissement des relations humaines. Plus de Papa dans Maman, plus de Niño, plus de Niña. Sous-ère bénie de l’anthropocène, l’ère de la grande Ceinture ...

    • Paul Leleu 4 août 2018 20:31

      @Elric Menescire


      faut vous calmer... ça sert à quoi de vouloir vous priver de l’amour des hommes ? vous y gagnez quoi ?  un « partenaire » conceptuel et optimisé idéologiquement pour la société néolibérale ? Qu’est-ce que ça vous fait qu’un homme vous appelle « ma petite princesse » et ait envie de vous « protéger » ? C’est un instinct plutôt positif il me semble. Vous voulez quoi ? Un quetard lubrique qui se fout de votre gueule ? Tout ça pour ensuite accuser les hommes d’être des pervers obsédés et infidèles... Un giton soumis et lascif ? Tout ça pour accuser ensuite les hommes d’être des lavettes inconsistantes... 

      Vous regretterez un jour de ne plus être la petite princesse d’un homme charmant... et c’est bien humain... vous vous privez de choses merveilleuses et du suc de l’existance

      Vous n’avez donc aucun recul, aucun second degré ? aucun humour subtil ? Vous ne connaissez rien au langage amoureux avec votre idéologie ! vous dansez la valse au pas de l’oie ! ça vous fait rien de savoir qu’on trouve une petite princesse chez une petite pimbêche ???!!!   Ca s’appelle l’amour ma chérie ! 

      Vous ditez que l’homme plaque sur vous ses fantasmes et ses attentes... et que ça devient une prison qui vous oblige à correspondre à ces attentes... bon... mais les femmes n’en font-elles pas tout autant malgré leurs prétentions libérées ? 

    • Elric Menescire Elric Menescire 4 août 2018 22:13

      @Paul Leleu
      Le plus marrant dans tout ça c’est que vous m’ayez pris pour une femme... 


      Ça en dit long sur votre état d’esprit, vous êtes tout simplement incapable de concevoir qu’un homme puisse penser différemment de vous ! 

      Mon dieu... 

      C’est vous qui souffrez avec cette vision complètement romantique des relations homme femme, vision inculquée par la pub et une éducation judeo chretienne rétrograde et pleine de clichés. 

      Vous avez absolument le droit d’envisager les relations homme femme comme cela ceci dit... Vous trouverez (ou même avez sa’s doute trouvé et c’est tant mieux) chaussure à votre pied... Quelqu’un qui pense comme vous... 

      Mais de grâce, que cela ne vous empêche pas d’ouvrir les yeux : si le machisme et la domination masculine sont si fortes dans nos sociétés c’est bien qu’ une majorité d’hommes REFUSE, comme vous, jusqu’à la violence même, de voir la femme comme quelqu’un de potentiellement aussi indépendant que vous... Ça vous herisse le poil, il n’y a qu’à voir comment vous réagissez... Et l’auteur a bien vu juste dans son billet 

    • JC_Lavau JC_Lavau 4 août 2018 22:16

      @Elric Menescire. L’auteuse poursuit sa guerre sexiste.

      La routine.

    • kane85 kane85 4 août 2018 23:51

      @Elric Menescire

      Il y a une solution : savoir se battre !

      Entre 12 et 18 ans, j’ai eu la chance de tomber sur une personne qui m’a appris le combat de rue...

      Tous les coups sont permis et c’est vraiment violent... Mais si efficace !

      C’était extraordinaire parce qu’il avait un fond de philosophie dans sa façon de nous apprendre les règles du combat (il avait fait la remontée du Mé Kong avec l’armée Française mais surtout les combattant autochtones qui étaient en première ligne comme lui (issu des colonies africaines)...

      Il nous disait que c’était ce qui lui avait sauvé la vie parce que ces gens lui avait appris tout plein de trucs qui lui ont permis d’anticiper les attaques et de faire ce qu’il fallait pour en sortir vivant !

      C’est ce qu’il s’est empressé d’apprendre à notre petit groupe de 7 enfants qui aimaient se battre !

      Il nous avait dit que quand nous saurions nous battre vraiment, nous n’aurions plus envie de le faire parce nous aurions passé le cap de notre violence interne et pris en assurance de nous... Et c’est exactement ce qui m’est arrivé à l’âge de 18 ans !

      Je sais ce que je pourrais faire si j’étais agressée... Et cela ne m’est jamais arrivé !

      J’ai aujourd’hui 62 ans et mes réactions sont toujours aussi rapides et efficaces... mais je n’ai jamais eu à m’en servir ! Est-ce une question de regard assuré quand un malotru me casse les pieds ?

      J’étais une jolie fille et une jolie femme de la part de ceux qui m’ont connue (bon, aujourd’hui les années ont fait leur oeuvre smiley)).

      J’ai porté mini robes comme tout autres habits. Je n’ai jamais eu peur de me balader à toute heure et partout...Par contre, j’ai toujours mis en place les barrières qu’il fallait avec les nombreux amis masculins que j’ai eu (amis au vrais sens du terme, pas dragueurs ou amants !)... Et cela a toujours fine par des échanges de bonne qualité et particulièrement constructifs !

      Etre une femme n’est pas une malédiction ! Etre femme c’est aussi prendre la décision de savoir l’être en sachant aussi se défendre ! Savoir qu’on est pas la personne qui va subir, c’est une solution !

      J’ai appris à ma fille de ne pas se laisser faire et cela a fonctionné !*

      La femme n’est pas la personne vulnérable qu’on lui a fait croire ! La femme a beaucoup de force et devrait savoir s’en servir !

      A la place de cette femme frappée en pleine rue je pense que j’aurais réagi en envoyant mon agresseur à l’hôpital ! Il est évident que cela l’aurait calmé pendant un bon moment !

      On peut être femme, bien maquillée, bien habillée... Belle quoi ! Et être tout de même dangereuse en cas d’agression ! C’est une histoire d’éducation !

      Par contre un sifflement n’a toujours fait que me faire sourire ou être heureuse : n’était-ce pas une sorte de de reconnaissance de l’attraction que je représentait vis à vis de la gente masculine ? N’était-ce pas le résultat de ce pourquoi je m’étais particulièrement apprêtée ? Donc pourquoi m’en offusquer puisque c’était le but ?

    • placide21 5 août 2018 07:58

      @Alren
      « La femme est l’avenir de l’’homme »Même Aragon pouvait dire des conneries c’était un humain comme les autres ,pensez au « chance pour la france »ect.....Arrêtons la sidération ,car l’avenir si nous n’y prenons pas garde sera « un régime des salopes »(voyez Macron........)


    • gnozd gnozd 5 août 2018 11:33
      @kane85

      Bravo ! (sans ironie !)


    • Paul Leleu 5 août 2018 23:29

      @Elric Menescire


      je vois pas où est la domination masculine et le matchisme dans notre société. Sauf chez des gros connards, et chez le % de femmes qui aiment les gros connards en question. Pour le reste, je vois des gens biens qui s’aiment. Donc, ça sert à rien de débiter des tissus de haine misandre comme cet article. 

      Quel besoin avez vous de dévaloriser l’amour des autres (« vision romantique des relations homme- femme’ selon votre terminologie) au lieu de vous concentrer sur votre propre amour ? 

      Et puis je ne comprends pas . Vous préférez quoi ? une relation idéologique ? pornographique ? électronique ? psychologique ? 

      Pour ma part, je n’ai pas banni l’amour de mon coeur, et j’en suis bien content. Certainement je me laisse émouvoir par des »conneries romantiques et rétrogrades", comme les émotions du coeur. Ainsi que la personne qui partage ma vie en ce moment. Et on est bien contents ainsi. 

    • V_Parlier V_Parlier 6 août 2018 10:19

      @Elric Menescire
      C’est à croire que vous n’avez jamais vécu avec une femme dans votre vie ! Vous voulez faire bonne figure ici alors que femmes et hommes savent très bien que même si les femmes crient au et fort que c’est bien d’être indépendantes, les premières qualités banales qu’elles énoncent en décrivant l’homme idéal est : « doux mais fort et protecteur, avec qui on se sent rassurée ». Souvent même la description physique va avec (plus grand que la femme, gros cou masculin et j’en passe). Alors continuez votre cinéma mais c’est un peu ridicule. Ce n’est pas une bonne méthode de séduction en tout cas ! smiley


  • Macondo Macondo 4 août 2018 12:55

    Bonjour. Une difficulté pour lier le premier paragraphe et l’avant dernier. Parler d’abord à son camp de manière radicale avant de ratisser plus large dans des envolées universelles. Pour relier deux plaques tectoniques pareilles, il n’y a que Nimbus, peut-être Fanchon ...


  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 4 août 2018 12:57

    La domination commence hélas avec l’omni« potence » de la mère sur ses enfants. Le patriarcat est bien un reliquat de la domination des mères. Encore l’histoire de la poule et de l’oeuf. Mais la femme, de par sa « castration » originelle" sera toujours moins perverse que l’homme. Les plus mûres doivent montrer le chemin. Mais certainement pas les Femen et les féministes qui sont l’exemple type de l’abdication devant le PHALLUS. 


    • placide21 5 août 2018 08:04

      @Mélusine ou la Robe de Saphir.
      « La femme moins perverse que l’homme » c’est trop drôle,vous rencontrerez peut-être la réalité un jour (moi j’ai 35 ans de travail social avec tous les types de population). Je pense que vous ne savez pas repérer les comportements pervers.


    • Mallarme 6 août 2018 16:20

      @Mélusine ou la Robe de Saphir. Hélas, Mélusine, hélas. Voilà un moment que je n’ai pas réagi vraiment à l’un de vos commentaires. C’est que vous me laissiez perplexe, et je ne suis pas adepte du lynchage médiatique auquel d’aucuns s’adonnent contre vous, au point qu’on comprend bien que vous en jouissez masochiquement, à la longue, étant entendu que vous n’arrêtez pas de rester dans votre tour d’ivoire, ce qui est évidemment en sortir incessamment - au moins sous AgoraVox, pour ce que j’en sais. Mais on pourra toujours citer Jésus : vous êtes le sel de la terre, n’est-ce pas, etc. Seulement, à supposer que vous soyez aussi initiée que vous vous avancez, je crains que vos collègues n’apprécient guère pareil exotérisme internautique ; exotérisme qui, par ailleurs, confine à la jouissance sadique. Notez que je ne vous fais aucun reproche. Simplement, vous m’avez fait rire pour l’après-midi en déclarant que la femme est moins perverse que l’homme. Nous autres, hommes, sommes de bons gros naïfs à côté, avec nos évidentes brutalités ; ceci sans nier les perversités masculines. Mais il y a un fond pervers universel, j’espère que vous vous en souvenez. Imaginez cette femme qui, dans cette théorie (et, nous sommes d’accord, pas que cette théorie) se sent castrée et doit gérer cela devant les hommes qui, eux, craignent de l’être. Vous me suivez ? Le ressentiment, la rancune, l’esprit de vengeance, pointent le bout de leur nez, notoirement chez - non pas les féministes, qu’on s’entende bien, mais chez - les « ultraféministes » et autres « transmentaux » tentant d’imposer leurs essentialités à tout l’univers. Et donc, dans ce sentiment d’infériorité tournant, comme le petit lait, au complexe de supériorité (la volonté de puissance tout ce qu’elle a de moins nietszchéen, c’est-à-dire tout ce qu’elle a de plus veule ... ), les enfants, l’éducation, sont préposés à toutes les rétorsions devant les hommes. Ce qui est actuellement fort prégnant. Les femmes, comme elles engendrent, ne veulent pas savoir le pouvoir qu’elles ont sur le futur, ou plutôt elles ne le devinent que trop bien, mais c’est qu’il ne faut pas le reconnaître devant autrui, « c’est entendu ». Entente par trop cordiale, hélas, donc, Mélusine. Nous autres, petits hommes, sommes bien placés pour l’expérimenter, et vous autres, femmes, le savez mieux que nulle autre. A bonne ententrice.


    • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 6 août 2018 16:32

      @Mallarme


      La structure perverse type est du côté des hommes. Simplement, parce que le duo que le fils forme avec sa mère est « parfait ». Quelle tentation pour nombreux de vouloir maintenir cet Eden complice avec la mère en éjectant ce fouteur de mrd qu’est le père. Là, oui, la femme est perverse en ne retourant pas dans le lit du père et se complétant de manière illusoire avec son fils-phallus. Plus besoin de l’autre. Qui bien souvent ferme les yeux, plutôt que de re-conquérir la mère et introduire : la castration qui introduit le fils dans l’OEDIPE : maman ne m’appartient pas. IL Y A UN PEPÏN : le tiers ou grand autre.....Cette symbiose parfaite entre la mère et la fille est rare,....puisqu’il lui manque ce que la mère « envie ». RENE GIRARD.

    • Mallarme 6 août 2018 20:35

      @Mélusine ou la Robe de Saphir. Non mais, vous répétez Freud, OK, mais il y a madame la mère, et c’était précisément ce que je disais, en disant que « nous autres, hommes », sommes préposés à expérimenter ce phénomène de la féminité perverse sur sa progéniture. Et si le couple mère-fils est « parfait », je découvre bien des « perfections » chez mes contemporaines, lesbiennes dans l’âme. Ceci dit non envers les lesbiennes, mais envers le « lesbianisme subilminal » qui règne, au point d’hystériser même les hommes, désormais, pour un tas de raisons. La paranoïa - ou, à tout le moins, la paranoïdie - que vous trouvez au monde, elle ne vient pas d’autre chose, puisque dans l’hystérisation il y a « gayisme subliminal » de même que le « lesbianisme subliminal ». C’est une machine sociale, enrôlant le désir. Et, là, voilà le « complexe de Jocaste », je suis convaincu que vous en avez déjà entendu parler. Si vous ne l’expérimentez pas comme pervers, c’est que vous pouvez mieux vous y entendre avec votre sexe, voilà tout, de même que je m’y entends mieux avec le mien. Et, au fond, il se pourrait qu’il n’y ait pas plus de perversité ici que là, nous rejouerions (à vous l’honneur) la guerre des sexes - mais c’est un autre débat. Au final, je me souviens toujours de Françoise Dolto - pour laquelle je ne donnerai pas le Bon Dieu sans confession, comme à personne - qui dans Sexualité féminine évoque ce fait des névroses familiales, où les aïeules sont pires que les aïeux, en termes d’enrôlement névrotique. Si en plus c’est une femme qui a l’intrépidité de le dire ^^ Hommes et femmes sont également doués pour la mauvaise foi, autrement, sauf à s’hystériser chacun (« lesbianisme-gayisme subliminal » dans la machine sociale). Bref, vous charriez, par solidarité féminine. C’est humain.


  • Elric Menescire Elric Menescire 4 août 2018 13:15

    Bonjour Monolecte. Toujours aussi bon de vous lire : vous voyez, hélas j’ai envie de dire, très juste une fois de plus. 


    Trop d’asservissement de la femme dû à une éducation patriarcale qui commence dès la maternelle : on félicite les petits garçons qui ont « une amoureuse » dès qu’ils osent aller l’embrasser sur la bouche.. Sans leur demander la permission Parce que oui, ça commence là... 

    Trop de préjugés inculqués dès l’enfance, où on vend des fusils aux petits garçons, et des tinettes aux petites filles. Bleu pour les uns, rose pour les autres .. Trop de pubs farcies de préjugés sexistes et judeo chrétiens, qui entretiennent la discrimination et les pires idées reçues .. 

    Je sais je sais, les gamins sont innocents mais justement, quand vous faites entrer, année après année ce genre de comportements dans les mœurs et les têtes, vous obtenez la situation actuelle : des filles qui se font traiter comme des objets, et qui se font frapper quand elles osent se défendre. Et des frustrés de la pire espèce qui trouvent ça normal. . Rajoutez par dessus ça des arrivistes et des politiques ignorant(e)s comme cette Schiappa, et vous avez le tiercé gagnant dans l’ordre... 

    • Paul Leleu 4 août 2018 20:47

      @Elric Menescire

      moi j’ai eu ma première amie au bac à sable... c’est grave ? J’aurais du demander un certificat notarié ? 

      Heureusement qu’on prend l’initiative d’embrasser sur la bouche sans trop demander... parce-que faut bien que quelqu’un prenne l’initiative ma chère... c’est avec des « baisers volés » que commencent bien des histoires... faut arrêter de voir des violeurs partout... et peut-être changer vos fréquentations... 

      à force d’interdire les hommes de vous appeler ma petite princesse, et de les culpabiliser, vous fabriquez des pervers, qui s’adressent à vous comme à des machines... faudrait peut-être accéder à un minimum de subtilité, parce-que l’essentiel du langage amoureux est fait de subtilité, de jeu, de non-dit et d’humour invisible. Parce-qu’après on voit des femmes qui ont besoin de s’alcooliser pour oser avoir un contact charnel « idéologiquement correct » tellement elles refoulent les émotions... 

      Dans la vraie vie les femmes sont bien contentes qu’on ait un peu d’initiative ... même si certaines d’entre-elles savent se montrer entreprenantes... mais voyez vous, les gens ont de l’émotion dans ces moments là, et c’est pas toujours facile... 

      On a parfois l’impression que votre connaissance des hommes se limite à la lecture des faits-divers sordides dans la presse régionale... Les hommes ne sont pas des pervers déformés et malveillants au service du patriarcat...


    • Elric Menescire Elric Menescire 4 août 2018 22:16

      @Paul Leleu

      Vous délirez complètement : regardez ma réponse à votre premier post : JE PORTE LA BARBE ET JE SUIS POILU. JE SUIS UN HOMME COMME VOUS.

      Physiquement du moins, parce que nous n’avons aucun neurone commun, ça non. AUCUN. 

    • gnozd gnozd 4 août 2018 23:35
      @Elric Menescire

      « Trop de pubs farcies de préjugés sexistes et judeo chrétiens, qui entretiennent la discrimination et les pires idées reçues .. »

      Ouaaaaais ! Horrible civilisation judéo-chrétienne. Mais t’inquiète, c’est en train de changer. La civilisation islamique va tout réorganiser et je pense qu’ELLES vont bien rigoler.

    • V_Parlier V_Parlier 6 août 2018 10:26

      @Elric Menescire

      Je lis : « Trop de pubs farcies de préjugés sexistes et judeo chrétiens »
      Non non, la pub c’est ceux de votre camp, les post-soixante huitards libidineux qui montrent la papatte aux féministes pour les embobiner et tremper un coup le biscuit. Votre haine des traditions c’est votre affaire, mais mettez votre propre nez dans votre caca, pas le nez des autres.


    • JC_Lavau JC_Lavau 6 août 2018 11:23

      @Elric Menescire. Sûr que si tu as ta môman entre les deux oreilles...


  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 4 août 2018 13:23

    Si la femme est supérieure à l’homme sur le plan éthique, c’est que justement, il n’y a pas d’égalité. PARADOXE.


    • Ben Schott 4 août 2018 13:39

      @Mélusine ou la Robe de Saphir.
       

      « Si la femme est supérieure à l’homme sur le plan éthique »
       
      Je n’ai, personnellement, jamais constaté une supériorité de la femme sur l’homme « sur le plan éthique ». Mais si vous avez des données scientifiques incontestables à ce sujet, soyez gentille de nous en faire part...
       


    • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 4 août 2018 14:07

      @Ben Schott

      La femme est aussi potentiellement une mère et gardienne de la perpétuation de l’humanité. Lire : La sexualité féminine de Janine Chasseguet-Smirgel. et Grunberger. Le problème de l’éthique féminine est complexe. Pour Freud, la femme, proche de la nature, donc sauvage et instinctive n’avait pas de conscience morale (dirigées par leurs hormones,...). Par contre la femme, plus fondamentalement masochiste et confrontée dès sa jeunesse à l’expérience de l’attente et donc de la douleur est aussi plus empathique (elle n’est pas la préférée, en général de la mère, n’étant QUE une fille, ni valorisée par la société, plus fondamentalement patriarcale). Toutes les femmes ne sont pas Michelle Martin,.....Les hommes ont plutôt tendance à se méfier du « sentimentalisme » qu’ils assimilent à une faiblesse. Le déni de la souffrance d’autrui leur est par conséquent plus confortable. C’est bien là le paradoxe. La femme « éthique » représentante la LOI du père (ATHENA) que l’homme répugne généralement à incarner. Dit autrement : la femme est la mieux placée pour incarner l’éthique. Elle les grandes figures de l’éthique restent de Femmes : Minerve, Athéna, Le MAAT, ISIS. la GRANDE MERE UNIVERSELLE qui régit le cosmos. D’ailleurs LA LOI est féminine. C’est souvent le cas dans les famille juive, raison pour laquelle la transmission se fait par la mère. L’auteur a tort quand elle en fait une généralité, mais a raison sur un plan symbolique ;

    • Ben Schott 4 août 2018 14:14

      @Mélusine ou la Robe de Saphir.
       

      Gloubi-boulga. C’est quoi la supériorité de la femme sur le plan éthique ?
       


    • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 4 août 2018 14:20

      @Ben Schott


      L’éthique, c’est pas très compliqué. C’est la balance, l’équilibre. Un menuisier qui construit une escalier sait s’il a bien ou mal fait son boulot. Mais je pense que vous n’êtes pas encore capable d’intégrer cette vision plus complexe,... A plus.

    • JC_Lavau JC_Lavau 4 août 2018 14:32

      @Mélusine etc. Ethique ?

      Vous avez dit « éthique » ?

      Voir de quoi se vante le gang des tueuses conjurées.

      http://deonto-famille.info/index.php?topic=253.0

      Publiquement.
       
      Quant à l’état réel de mon fils, épave droguée selon elles, je n’en sais rien et toi non plus : jamais le gang des tueuses conjurées n’a dit la vérité sur quoi que ce soit.
       
      Ce qui est pourtant certain et public, c’est quel est leur « sens éthique », à elles.
       
      Qui serait malveillant pour leur attribuer cela ? Mais maintenant qu’elles en exhibé publiquement la preuve...

    • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 4 août 2018 14:40

      @JC_Lavau

      Bloquée sur votre site, je ne vois pas pourquoi nous échangerions. Bon, soit la rancune est bien le dernier de mes défaut. En astrologie, le signe de la loi et de l’éthique est bien celui de la BALANCE (la justice aux yeux bandé représenté par un femme,..dit en passant). L’éthique, c’est quand je me regarde dans un miroir (imaginaire) et que je peux me dire : J’AI FAIT DU BON BOULOT (quel qu’en soit le critère moral, c’est le mien qui compte). POINT. C’est assez simple en fait. Lavau, j’ai bien compris que votre vie est un foutoir. Lisez KABALEB. UN homme qui a passé un moment difficile dans sa vie, mais a réussi à rattraper la sauce. 

    • Ben Schott 4 août 2018 14:41

      @Mélusine ou la Robe de Saphir.
       

      « L’éthique, c’est pas très compliqué [...] Mais je pense que vous n’êtes pas encore capable d’intégrer cette vision plus complexe »
       
      Voilà. Si vous n’arrivez pas à prouver votre assertion, vous démontrez en tous cas que si c’était vrai, vous seriez l’exception qui confirme la règle.
       


    • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 4 août 2018 14:50

      @Ben Schott


      j’avoue avoir plus d’amis hommes que femme,...Cette loi qu’il aimerait pouvoir appliquer, il l’a reconnaisse en moi. L’homme est plus transgressif. En incarnant la loi, il doit se soumettre à son père (ou mère) qui l’incarne, alors qu’il est suis plus incité à vouloir l’évincer (TUER LE PERE). PARADOXE. D’où le nombre plus élevé de psychopathes hommes en prison. La femme ne cherche pas à tuer le père mais à le garder,...

    • velosolex velosolex 4 août 2018 17:00

      @Mélusine ou la Robe de Saphir.
      On a souvent reproché aux femmes d’être dominé par leurs hormones, sur fond de sentimentalisme exacerbé, tout en sacralisant celles des hommes. 

      Hors la testostérone , l’hormone des petites frappes, n’est pas vraiment la panacée, ni une bonne paire de lunettes pour appréhender le monde, mais plutôt pour les casser : Les lunettes , je veux dire. Les couilles aussi. Rien de plus rasoir qu’un combat de coqs. Ce sont ceux là qui mènent le monde depuis la nuit des temps, avec le résultat qu’on sait. 
      C’est à se demander si ceux qui ont fait avancer le monde, hommes et femmes, n’étaient pas du même sexe. Une chose pacifiée, un contrat aimable. L’avenir de l’humanité s’est construit trop sur la force, presque jamais sur la négociation et les lumières. Nous sommes parvenus à une époque où la force brute, qui fut l’avantage et l’argument des grands mâles dominants, des prédateurs le plus souvent, ne sont plus nécessaires au travail, grâce aux progrès de la technologie. Ne faisons pas que rêver à l’émergence de l’homme nouveau, sans genre, et sans obligation de service et de rerprésentation. 

    • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 4 août 2018 17:13

      @velosolex


      j’ai au moins eu cette rare d’échapper à ce jeu de dupes. Mes relations n’ayant jamais été basées sur la « compet », mais le partage.. Le revers de la médaille : cela m’a valu quelques ennemis.... Tu ne joues pas le jeu,....

    • JC_Lavau JC_Lavau 4 août 2018 20:04

      @Mélusine etc. : « Lisez KABALEB ».

      Vatferware !
      Tes verbes à l’impératif, tu peux te les foutre là ousque le dos change de nom.

  • raymond 2 4 août 2018 13:29
    J’ai mis la main au cul 2 femmes qui étaient très souriante. La 1ere a failli me faire un procès la seconde je l’ai tiré comme un chien.
    Les codes c’est compliqué.3 ou 4 vont m’expliquer, par avance je les remercie.
    Font chier les allumeuses de vrai Berbères.

  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 4 août 2018 13:38

    Remplacez le terme d’égalité qui est exécrable, niant la différence entre les individus par celui de juste. Est -il juste qu’une femme, parce qu’elle est est femme n’ait pas le droit de voter ou d’étudier ? La réponse est clairement non. Tout les êtres humains sensément sont égaux devant la LOI.


    • TARTOQUETSCHES TARTOQUETSCHES 4 août 2018 16:46

      @Mélusine ou la Robe de Saphir.
      Tout à fait.

      Donc il n’y a aucune inégalité en France entre homme et femme. Ce qui n’esf pas ce cas dans d’autres pays. Le reste, différence de salaire (5% et pas 20%, comme on l’entend souvent), la « domination » des hommes sur les femmes, ne sont que le reflet de nos différences bilologiques, et les nier comme le fond beaucoup de féministes c’est se tromper lourdement et générer une guerre de sexe qui est une impasse, favorable au système libéral (exit le social). Idem dans le l’onde animal, nous ne sommes que des mammifères parmis d’autres, gouvernés par nos gènes et nos hormones.
      Le mâle est effectivement plus dominateur, compétiteur et bagarreur, il tire mieux sont épingle du jeu dans le monde libéral qui promeut ces « valeurs », écrase l’autre, soit un wineur...l’esprit féminin est plus social (maternité), donc plus en adéquation avec des métiers tournés vers les autres et moins payés, car moins reconnu par le système. Ce sont des tendances évidement, vous trouverez des contre exemples, bien sûr. Le pb est donc de lutter contre le système libéral, faire en sorte que la sage femme gagne plus que le trader, et pas aborder le pb sous l’angle de la guerre des sexes, impasse absolue car d’origine biologique. Pour quUne société soit harmonieuse il faut qu’elle soit équilibrée, le libéralisme promeut le chacun pour soit masculin et la soumission au système de domination féminin alors qu’il faudrait inverser : promouvoir le partage /social et favoriser la rébellion à la domination du capital.

    • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 4 août 2018 17:16

      @TARTOQUETSCHES

      Décroissante encore ET toujours.

  • Albert123 4 août 2018 13:55

    La femelle, produit aliéné du féminisme, peut rester une chieuse si elle le souhaite, l’Homme lui n’a d’yeux que pour la Femme,


    Femme qui n’est que le fruit de l’émancipation de la femelle, au même titre que l’Homme est celui issu de l’émancipation du mâle,

    Le néo féminisme n’est que l’expression de femelles frustrées s’étonnant de pas trouver d’Homme alors que l’esprit femelle qu’elles cultivent ne leur permettra jamais que de succiter l’interet des mâles les plus primitifs, mâle primitif qui bien évidemment la renverra à sa femellité et donc à ses frustrations initiales dont elle pourra reporter désormais la responsabilité sur un patriarcat fantasmé.

    Ainsi la femelle, n’arrivant pas à satisfaire son hypergamie hypertrophiée, conspue l’Homme mais n’a jamais finalement cotoyé que des mâles.

    On passera donc sur les écrits délirants des néo féministes spécialisées dans la réécriture fantasque de l’Histoire dont l’unique fonction est d’asseoir la posture victimaire et l’inconséquence nuisible à toute émancipation réelle, 

    pleurnicher ou écarter les cuisses sont 2 comportements ayant la même finalité, réclamer sans effort réelle des gratifications qu’on ne mérite pas. En résumé faire la pute sans l’assumer. 

    La femelle (et donc le féminisme) n’est pas l’avenir de l’humanité et encore moins celle de la Femme mais son crépuscule.






    • Ben Schott 4 août 2018 14:00

      @Albert123

       
      C’est un peu rude mais c’est pas faux...
       

    • Macondo Macondo 4 août 2018 14:41

      @Albert123 ... Belle synthèse, du dernier demi-siècle. Mes grands-parents étaient heureux et du soir au matin ça éclairait toutes les pièces. Que les révolutionnaires aillent voir du côté de la Tune omniprésente devenue indispensable, vecteur d’émancipation promis aux habitantes de Vénus, devant faire face à une bande d’ivrognes dépravés. Bingo c ! On a doublé le nombre de courses en Hyper, on peut activer le chômage en mode Damoclès, les gosses élevés dans des couloirs vont faire exploser les ventes, les vieux iront se faire saigner. Yeeesss ...


    • Albert123 4 août 2018 15:37

      @Ben Schott

      NB ceci ne vous est pas spécifiquement adressé et ne fait que rebondir sur la notion d’un discours caractérisé actuellement au sein de notre société comme étant « rude »

      La flatterie comme le culte de la consensualité ou encore le relativisme moral affaissent l’esprit tout en nourrissant la psychopathie, 

      Le rejet d’un discours radical et critique auquel on oppose aucun contre argumentaire structuré et qui de surcroit, est caractérisé socialement comme d’une insoutenable rudesse pour justifier une absence de réponse est juste un marqueur de l’état de notre société, 

      Et ce d’autant plus quand tout ceci n’a pour objectif que de faire oublier que ce même discours soit disant rude n’est qu’une contre argumentation structurée d’un discours préalablement issu d’une idéologie aussi violente qu’ostracisante, et dont les membres justifient leurs propos et leurs comportements délirants en raison des agissements d’un archétype qui n’existe que dans leur tête, 

      Une société saine et attachée au principe de réalité ne s’embarrasse pas de ces dérives, elle les ignore et elle progresse quand la notre en s’enfermant dans les délires idéologiques des uns et des autres ne fait que régresser sous couvert de « progressisme » (encore une autre idéologie en -isme par ailleurs),

      Le néo féminisme, comme toute idéologie, produit des comportements hyper narcissiques, histrioniques et paranoïdes donc nuisibles à l’idéal du vivre ensemble, le fait qu’il se « structure » derrière un paralogisme des plus nébuleux tout en évitant la remise en question par des comportements victimaires et des blocages inversifs, souligne juste si cela était encore nécessaire son caractère pathologique.

      Blocage inversif, inversion accusatoire, inversion des valeurs sous couvert de relativisme, amnésie sélective et réécriture de l’histoire, refus du principe de réalité, … pas la peine de chercher pourquoi le QI moyen s’affaissent en occident et pourquoi une claque de lucidité est considérée comme d’une insoutenable rudesse.

      quand on se laisse aller pendant si longtemps à la flatterie et à l’abetissement qui en est la conséquence, remonter la pente est extrémement douloureux et déplaisant, c’est pourtant la seule voie qui soit viable à long terme.




    • Ben Schott 4 août 2018 15:56

      @Albert123
       

      J’approuve également ces précisions.
       


    • eric 4 août 2018 19:51

      @Albert123

      Bravo ! Pas de pitié pour les prétentieuses qui s’imaginenet que toutes leurs grands mères étaient des idiotes jusqu’à la quinzième générations et leurs grands pères des salopards dans les siècles de siècles.
      Un bémol, le féminisme n’est pas une forme pure. L’intersectionalisme made in USA généralise ce nouvel horizon progressiste à tous les gens qui n’ont pas la flemme de se plaindre pour ne pas avoir à bosser.
      Ce sont des postures « progressistes », « révolutionnaires » et non pas spécifiquement « féministes », réservées aux femmes.


    • Sparker Sparker 7 août 2018 14:52

      @Albert123


      Bof bof, et blablabla, vous faite comme tous, vous êtes dans l’idéologie aussi, pas dans le réel ou votre principe de réalité comme vous le croyez , juste que c’est votre idéologie de réac et qu’il n’y a que vous pour croire le contraire comme tous les narcissiques intellectuels qui trainent sur les forums. Vous ne regardez que les femmes qui vous intéressent et comme ça il n’y a que « les femmes », bel idéologue que voilà...
      La rudesse, que j’approuve par ailleurs mais avec diplomatie, ne fait pas la vérité.
      Manier la provocation, sans nuire à la personne, n’est pas un sport pour petit fanfaron de forum.

      Les femmes ont à se battre comme bien d’autres face aux « idéologues » mais bon vous vous êtes un sauveur...
      En fait vous ne servez à rien.
      Bonne route... et cherchez bien la maman... qui vous manque...

    • Sparker Sparker 7 août 2018 14:55

      @eric


      « USA généralise ce nouvel horizon progressiste »

      Ben y serait temps, si on a que de vieilles chaussettes usées fumantes au prie-dieu comme vous on est pas sortie de l’auberge.
      Mais bon vous êtes en voie de disparition, ça rassure... mais que fait Hulot....

  • JC_Lavau JC_Lavau 4 août 2018 14:05

    Ça m’étonnait aussi, que le temps de deux ou trois messages, Monolecte se soit laissé distraire de sa guerre sexiste.

    Je vois que tout est redevenu normal : les Dalton sont toujours des bandits, Rantaplan est redevenu aussi idiot qu’avant, et Monolecte se consacre à nouveau à sa propagande misandre victimaire.

  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 4 août 2018 14:10

    LE MAAT ou équilibre universel : http://sithathor.free.fr/maat.htm


  • alinea alinea 4 août 2018 14:13

    La femme a-t-elle compris que se libérer d’un joug ce n’est pas le mettre au cou de l’autre ?

    Je ne crois pas.On va prendre la situation telle qu’elle est : seuls l’amour l’entraide la coopération en viendra à bout ; mais voyez-vous,- et je sais bien « qu’il ne s’agit pas des mêmes », la plupart des femmes ne revendiquent aucune liberté du tout, elles se sentent libres dans l’aliénation, et femmes en objets.Nous n’avons rien à revendiquer : nous sommes ; nous n’avons rien à demander : nous prenons, mais la liberté n’est pas chérie, elle est inconfortable, précaire, frugale ; c’est un combat de survie.
    Ah !! il faudrait aux femmes la liberté l’égalité, dans un cocon enveloppant, sécurisant, réconfortant ?
    C’est à elles de voir, on n’a jamais vu un exploiteur libérer ses esclaves, émanciper ses dévouées serviteurs.

    • Passante Passante 4 août 2018 14:22

      @alinea

      tiens tiens...
      la liberté, l’égalité,
      mais pas la fraternité...

      c’est le coeur du débat peut-être
      le sororal...

    • alinea alinea 4 août 2018 15:04

      @Passante

      Ça n’existe pas chez nous ! les soumises se jappent dessus, la sororité n’existe pas quand il n’y a pas de travail en commun, de lutte commune ; être femme c’est très intime, trop intime, familial, pour être une classe sociale. Je crois qu’on devrait bien y réfléchir car il me semble que c’est ce qu’ont voulu certaines.
      C’est clair qu’une désobéissante soutenue par ses « sœurs », ça peut mener loin... mais on n’a pas vu souvent !

    • Passante Passante 4 août 2018 15:27

      @alinea


      c’est étrange qu’avant le clair-obscur du moyen-âge 
      l’histoire foisonne de désobéissantes soutenues par leurs soeurs 
      (sans guillemets)
      la grèce et rome suffisent à tout

      après, hélas, au 17e-18e, ça passe par le salon
      trois fois hélas, ce salon...





    • gaijin gaijin 4 août 2018 15:55

      @alinea

      « Ça n’existe pas chez nous ! les soumises se jappent dessus, »
      salut alinéa
      tout a fait et c’est un point qui mérite d’être souligné : la femme est aussi conne que l’homme 
      c’est notre héritage biologique : la compétition pour la survie des gènes avec des impératifs différents entre les hommes et les femmes : l’homme doit assurer la plus grande diffusion possible et la femme avoir un reproducteur de la meilleur qualité possible
      voilà le fondement de la compétition entre les femmes compétition qui est bien plus féroce que celle entre les hommes. on a laissé de coté le rôle des femmes dans la société mais qui est le moteur de l’ambition des hommes a part les femmes ? en premier les mères qui veulent le « meilleur » pour leur progéniture en second les épouses et maitresses . Pourquoi un type veut il une grosse voiture ? pour tirer des gonzesses !
      vérité élémentaire qui pointe le coté primaire du type mais aussi le fait que ce sont les femmes qui préfèrent un type avec une grosse voiture. 
      l’avenir de l’humanité c’est l’humain
      mais l’humain n’existe pas encore , nous sommes le chainon manquant entre l’animal et l’homme. une étrange espèce qui devrait s’appeler singes-sapiens

    • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 4 août 2018 16:00

      @gaijin


      Merci de parfaitement illustrer mes propos. Mais rassurez-vous, il reste des femmes qui n’entrent pas du tout dans ce schéma.. 

    • alinea alinea 4 août 2018 17:02
      Je ne suis pas sûre qu’il y ait quelque chose de naturel gaijin ; regarde dans le monde musulman, justement, là où la femme est si méprisée ( ok, on regardera ça de plus près avant de sortir les énormités à la mode), les femmes sont sœurs ; ce qui n’exclut pas quelques haines bien senties mais jamais on ne pourra exclure ça !
      Notre civilisation, appuyée sur notre religion, offre bien des symptômes pathologiques ; d’autres ailleurs font autrement et ont d’autres pathologies, aussi je crois que c’est bien l’espèce humaine qui est complétement immature et, plutôt que chercher la maturité, elle a recherché le pouvoir de la maîtrise du monde.
      Beaucoup de chemin à faire, mais si on ne détruit pas tout, peut-être aurons-nous le temps de grandir ?
      Si l’adulte gardait la curiosité et l’intelligence de l’enfance,nous n’en serions pas là !!

    • alinea alinea 4 août 2018 17:08

      @Passante

      On dit bien que le Moyen-âge est l’époque de la femme libre ; et si la femme est libre, l’homme l’est aussi !
      L’exploiteur est aussi aliéné que l’exploité, sauf qu’il a plus de dorures dans sa maison. Et puis, pour que ça vaille le coup d’être un exploiteur, il fallait bien donner des valeurs à plein de conneries comme le pouvoir le fric l’image,etc ; si tout le monde avait les mêmes valeurs que moi, ça n’aurait aucun intérêt d’être exploiteur, et il serait impossible d’être exploité !

    • Clocel Clocel 4 août 2018 17:16
      @alinea

      « les femmes sont sœurs »

      J’ai comme un doute ma bonne Alinéa...

      Il y en a quand même un paquet qui rêvent d’avoir des couilles et les attributs qui vont avec, à savoir pouvoir chier sur tout ce qui est en dessous de leur condition.






    • alinea alinea 4 août 2018 17:56

      @Clocel

      Je ne connais pas assez le monde féminin chez les musulmans ; mais tous les échos que j’ai d’amies voyageuses montrent cette grande proximité, cette vie ensemble ; je sais bien que partout il y a des rivalités, des jalousies, de quoi pour qui ? mais cette vie ensemble, cette proximité, nous ne l’avons plus depuis longtemps en occident.
      Alors « sœurs », ça ne veut pas dire comme les doigts de la main, puisque les premières chamailleries se font bien entre sœurs !

    • Clocel Clocel 4 août 2018 18:26
      @alinea

      Les femmes musulmanes sont comme les autres, je suppose, elles vivent la pression d’une société qui n’a pas été faite pour leur émancipation, fondamentalement elles ne sont pas très différentes des occidentales, l’islam c’est 1400 ans d’Histoire, pas plus. Elles se sont bricolées des espaces, (des vacuoles aurait dit Deleuze) de « liberté » dans l’espace qui leur est été attribué.

      Mais, les exemples ne manquent pas, de saoudiennes qui se comportent comme les dernières des garces lorsqu’elles sont dans les palaces étrangers.


      Au Moyen-Age, les femmes de l’occident avaient les mêmes droits et devoirs que les hommes, elles héritaient et transmettaient des charges mais en l’absence du mari exclusivement.

      Voir les bouquins de Régine Pernoud qui a passé sa vie à dédiaboliser cette période, très agréable à lire !

      La Renaissance avait besoin d’une période antérieure trouble pour resplendir, les Lumières aussi, mais le Moyen-Age semble bien avoir été l’age d’or de nos sociétés.

      C’est du moins le point de vue de ceux qui n’ont pas appris l’Histoire dans les manuels, je suis convaincu que nous gagnerions à le mieux connaître.

      S’il nous est à ce point occulter, c’est bien qu’il recèle des vérités qui ne sont plus bonnes à entendre.

    • Clocel Clocel 4 août 2018 18:30
      @Clocel

      Lire « qui leur a été attribué », désolé...

    • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 4 août 2018 18:42

      @Clocel

      Pour le moyen -âge pas oublier Le Goff.


    • Passante Passante 4 août 2018 20:16

      dernières photos du harem...



      (noter les dizaines de millions de vues) :
      une génération arabe entière se lève 
      dont ne se doute pas l’occident ..
      réfugié derrière ses caricatures locales
      et ses estampes d’orientaliste ...

      la moindre de ces starlettes joue à modeler des dizaines de millions
      des Frances entières... à dubai en arabie en algérie....




    • alinea alinea 4 août 2018 21:44

      @Mekissê

      pas du tout ; des récits de voyages, d’accueil dans les oasis algériennes où Gaël, ou Lena, vivait dans la maison des femmes ; une grande liberté régnait, une grande joie, beaucoup de sensualité, au sens dénué de sexe...
      Les femmes musulmanes, comme les Chinoises ou les Indiennes ont été perverties par l’occident ; elles partagent cet honneur avec les hommes bien sûr !
      parce que l’on aurait pu se libérer du joug des traditions sans passer par la case capitaliste et reniement des coutumes !

    • alinea alinea 4 août 2018 21:54
      Ils sont pour moi la quintessence de la masculinité et de la féminité ; avec Concha Buika aussi ou peut-être surtout !

    • gnozd gnozd 5 août 2018 00:08
      @gaijin


      ’Pourquoi un type veut il une grosse voiture ? pour tirer des gonzesses !’ Même avec une petite bagnole, ça marche aussi ... !

    • gnozd gnozd 5 août 2018 00:12
      @alinea

      C’est clair qu’à partir de l’adolescence on devient con et c’est définitif !


    • gaijin gaijin 5 août 2018 09:30

      @alinea
      « Je ne suis pas sûre qu’il y ait quelque chose de naturel »

      si mais bien sur ça ne s’exprime pas partout de la même façon ça dépend en effet des cultures mais les pulsions biologiques sont le fondement et quand il n’ y a pas de vraie culture ( cad une élévation vers l’humain ) c’est le biologique qui s’exprime ....c’est aujourd’hui l’ éthologie qui nous en apprend le plus sur ce que nous sommes mais déjà ikkyu disait :
      « l’agitation des forces biologiques dans la maison du vide ..... »
      « je crois que c’est bien l’espèce humaine qui est complétement immature »
      oui tout a fait c’est pourquoi je dit que l’espèce humaine n’existe pas , pas encore ......

    • gaijin gaijin 5 août 2018 09:33

      @Mélusine ou la Robe de Saphir.

      «  rassurez-vous, il reste des femmes qui n’entrent pas du tout dans ce schéma.. »
      des hommes aussi smiley mais pas assez, pas assez .....


    • gaijin gaijin 5 août 2018 09:37

      @Jeekes
      « Faut bien reconnaitre que ça marche assez souvent. »

      bien sur que ça marche, la grosse voiture, la position de pouvoir ou de leardeship , les fringues de marque .....
      « Alors qui est le plus cons (ou le plus minable des deux) dans ce cas ? »
      égalité .....
      a noter que c’est toujours vers le bas que l’on atteint l’égalité : le plus petit dénominateur commun

    • gaijin gaijin 5 août 2018 09:58

      @arthes
      « Alors de quel humain voulez vous parler ? »
      merci c’est bien là la question

      «  Moi je trouve qu’il existe, cet être pensant et en perpétuelle évolution/révolution »
      je suis d’accord avec ça si on observe le chemin de ce que par commodité je continue a appeler l’humanité dans sa globalité ( au stade des connaissances actuelles ) il faut observer que le ce qui a été appelé le propre de l’homme n’existe pas. rire , outil , conscience de soi , pensée ; évolution ,culture, politique ....tout cela existe chez les animaux 
      et la question je me la suis posée : y a t’il une spécificité dans notre espèce des singes sapiens et laquelle ? la réponse que j’ai trouvé c’est l’être humain est un potentiel : il est le seul capable de s’adapter a tous les milieux . on peut observer que toutes nos structures politiques existent chez les différentes espèces de simiens mais notre espèce est la seule a manifester différentes structures politiques , sociales ......
      ( bien entendu je résume a l’ extrême )
      la conclusion ? l’être humain est un potentiel ,un « aller vers »
      mais un « aller vers » quoi ?
      en fait ça dépend ......a partir de là il y a trois questions
      vers où allons nous ?
      vers où pourrions nous aller ?
      vers où voulons nous aller ?

      si vous me suivez jusque là je poursuis ......

  • Passante Passante 4 août 2018 14:19
    les blacks fraîchement débarquées, les philippines surcatholicisées,
    les malaysiennes égarées, les azéries étonnées...
    anything will do !

    mais une française ? tu es fou ? .. une occidentale ? tu veux mourir ?


  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 4 août 2018 14:42

    je ne dit pas que la femme est fondamentalement supérieure sur le plan éthique. Mais que l’homme a des difficultés liée à son Oedipe pour incarner la LOI. 


    • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 4 août 2018 15:10

      @Jao Aliber


      C’est la base même de la formation et de la continuité d’un couple : la même weltanschauung . 

    • jjwaDal jjwaDal 5 août 2018 19:35

      @Mélusine ou la Robe de Saphir.
      Il n’y a pas d’Oedipe très probablement. Mais quand bien même il y aurait, imaginer que l’homme (adulte) aurait des difficultés à incarner la « LOI » parce qu’enfant il désirait (d’une façon trouble pour ce vieux pervers) sa maman, me semble relever du conte de fée.
      L’homme peut incarner la LOI parce que la violence de ses pulsions doit l’amener à développer une violence au moins aussi grande pour en devenir maître. C’est cette capacité de changer le monde, de le plier à sa volonté (que ma volonté soit faite) qui lui donne sinon ce droit, du moins ce pouvoir.
      Et il a du mal, parce qu’il est difficile d’avoir les idées claires quand on a la moitié du cerveau entre les jambes. Il n’y avait pas seulement « Tu adoreras l’homme, ton seigneur et maître » dans l’Ancien testament, mais l’attribution du privilège exclusif de régenter la Nature et toutes les autres espèces. Mon meilleur ami (je ne suis pas cohérent...) est une femme qui ne se gratte pas de manger de la viande, de prendre l’avion pour l’autre bout du monde et d’aimer la Nature vue d’hélicoptère façon Mulot.

      C’est un homme dans toute sa splendeur et sa médiocrité. Minsky (marvin) disait que les émotions sont juste un sous langage pour appréhender le monde, bien plus ancien que la pensée conceptuelle. Vu le recours massif que font les femmes à cet archaïsme (pas péjoratif), il est douteux que leur vision du monde soit a priori meilleure que celle des hommes.
      No offense.

    • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 5 août 2018 19:45

      @jjwaDal


      Vous avez mal saisi mes propos. Je dis simplement que la LOI MOSAIQUE (puisqu’il s’agit de cela), ne peut-être transmise que par la mère (en miroir comme le soleil qui se réverbère sur la lune). L’homme ne peut à la fois incarner la loi (cosmique ou MAAT) et tuer la loi pour prendre la place du père,....

    • jjwaDal jjwaDal 5 août 2018 20:18

      @Mélusine ou la Robe de Saphir.
      C’est ma faute (bis), c’est ma très grande faute.


  • Attilax Attilax 4 août 2018 14:58
    Bonjour Monolecte,

    Globalement d’accord avec votre analyse, à quelques réserves près :

    « il y a toujours mieux à faire, d’autres combats à mener, que de ce soucier de la simple question de l’égalité réelle pour (un peu moins de) la moitié de l’humanité. »

    L’égalité des DROITS, d’accord, l’égalité tout court ça ne veut rien dire. Nous ne sommes pas égaux, et ce dès la naissance, ni entre hommes ni entre femmes ni entre hommes et femmes, et c’est tant mieux.

    Cette lutte pour les droits des femmes devient hélas très souvent une pure haine du mâle en général, et à mon avis c’est une connerie qui dessert le combat initial. Cette guerre se gagnera AVEC les hommes et pas contre eux. Nous sommes complémentaires, l’homme a besoin de la femme et la femme a besoin de l’homme, nous ne remplissons pas les mêmes fonctions, et là je parle de biologie. Ensemble nous devons avancer et nous soutenir, seuls nous sommes incomplets. Et malheureux smiley

  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 4 août 2018 15:08

    La seule relation équilibrée entre un homme et une femme : La complémentarité. Cela vaut dans tous les domaines. Dès qu’il y a rapport de force, la mayonnaise ne prend pas. Un couple, c’est un contrat dont chacun doit respecter les données. Souvent à ré-évaluer en chemin : clauses et ouvertures permettant d’inclure les évolutions. 


  • Areole Areole 4 août 2018 15:48

    « Nous n’avons pas d’autres choix possibles que de remettre le couvert, jour après jour, sur la question de nos droits élémentaires si nous ne voulons pas être niées »

    d’accord d’accord...remettons tout à égalité, les femmes  :
    - sont moins atteintes de maladies graves mais consultent plus le médecin,
    - elles prennent plus d’arrêts maladie que les hommes,
    - sont 3 fois moins UBERsisé que les hommes, et nettement moins efficaces quand elles le sont.
    - elles se suicident 3 fois moins mais font plus souvent semblant de....
    - 90 % des bénéficiaires des pensions de reversion sont des femmes,
    - 98 % des allocataires de l’allocation parent isolé sont des femmes,
    - Il est estimé que les 2/3 des aides sociales sont destinées en priorité aux femmes (à minima),
    - elles obtiennent plus facilement des diplômes à l’école et à l’université, mais s’engagent moins que les hommes dans les métiers à risques et le bénévolat associatif,
    - elles obtiennent prioritairement la garde des enfants en cas de divorces (71%),
    - leur espérance de vie est de 6 ans supérieure à celle des hommes,
    Pourvu que cela dure...


     


  • MaitrePims MaitrePims 4 août 2018 16:03
    Bonjour,

    Je reconnaitrais toujours comme un ennemi de l’égalité de droit quiconque milite pour soutenir tel ou tel sous-sous-sous groupe, revendiquant pour lui des droit spéciaux, des privilèges, des passe-droit, des quotas, sensé rétablir une injustice de la nature. Lutter contre les lois de la physique est insensé.

    Considérant une république dont les cadre sont tirés de la population selon leurs « vertus et talents » l’accès gratuit a la santé et a l’éducation est garanti ; Non-esclavagiste, disposant d’un système de dotation, ou d’un système social quelconque, qui ne tue ni ne laisse mourir gréviste et chômeurs. Souveraine, qui dispose légitimement de la violence légale, sans ZEP ni ZAD, ni DDS.

    Dans ces conditions, ce qui prendra déja une dizaine d’années de réformes intensives....

    La lute pour l’égalité dois commencer avec les écart de richesse, qui rendre la vie au sein du marché, de la société économique, 60% de notre, vie considérablement inégale ; Se poursuivre avec les écart de droit et de traitement, dans l’administration et la justice 30% ... Et finir par l’abolitions ou la généralisation a touts des privilèges de police, de justice, de diplomatie, d’exécutif, toutes les législations spécifique ou spéciales a une section de la nation.... 10%

    Quant on sera égal en richesse et en droit, on chipoter sur une éventuelle couvertures sociales supplémentaire des moches, des cons, des crétins, des je-refuse-de-parler-aux-mécréant, des exclus par la tradition, les usages, les meurs, les règlements intérieurs, mais pas par la Loi, identique pour tous.

    ++

  • berry 4 août 2018 16:50
    « Comment comprendre autrement cette incroyable résistance à l’égalité salariale, à la juste répartition des tâches »

    A cause d’une certaine paresse féminine peut-être, qui les empêche d’aller travailler sur les chantiers et dans les ateliers ?

    Le fait est que les femmes pourraient être beaucoup plus nombreuses à exercer des métiers dans l’industrie et l’agriculture. Ingénieur, garagiste, peintre, menuisier, plombier, etc...
    Voilà un chantier à ouvrir pour faire respecter l’égalité entre les hommes et les femmes.

    • TARTOQUETSCHES TARTOQUETSCHES 4 août 2018 17:13

      @berry
      Les métiers techniques sont effectivement plus exercés par les hommes, et ils sont plus rémunérés que les métiers du social, plus exercés par les femmes. Et personne n’oblige homme et femmes à choisir, les métiers du social étant d’ailleurs dénigrés par le libéralisme, mais malgré ça les femmes continuent a se sentir plus à l’aise dans cette voie la. Les féministes se trompent donc de combat car elle se battent contre des différences biologiques. Il vaudrait mieux qu’elles militent pour que la sage femme gagne plus que la tradeur, et l’infirmiere autant que l’électricien. Il est là le vrai sujet, social évidement, vertu féminine s’il est est.


  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 4 août 2018 17:12
    Bel article.

    C’est le côté obscur du système que les anti-systèmes eux-mêmes ont du mal à intégrer.

    Dans les années soixante-dix encore, l’homme préparait la révolution et sa femme le dîner !

    Et le travail des femmes n’a pas, au contraire, permis une amélioration notable. C’est probablement ancré au niveau très archaïque, type cerveau reptilien, et bien entendu les églises ont été longtemps les vecteurs de l’aliénation des femmes, au bénéfice des pouvoirs masculins.

    J’ajouterais pour ma part que le besoins en production, jusqu’aux années quatre-vingt, ont nécessité beaucoup de main d’œuvre, et donc ont destiné les femmes à la reproduction, du système et de la main d’œuvre. Leur aliénation était donc fondamentale.

    Aujourd’hui, avec la plus-value sans main d’œuvre massive (à l’exemple des Gafas), le capitalisme a moins besoin de la reproduction des travailleurs, donc l’aliénation des femmes est moins fondamentale, de la même façon que l’homosexualité ne lui pose plus problème. Son souci serait plutôt de savoir que faire de la masse des surnuméraires (au sens de la création de plus-value).

    Nous sommes donc dans une sorte de fenêtre d’ouverture, entre l’aliénation nécessaire jusqu’aux années quatre-vingt, et le besoin de destruction massive du totalitarisme à venir.

    Je pense que si cette fenêtre s’ouvre, la libération des femmes permettrait également celle des hommes vis-à-vis du système, et celle de l’humanité entière.

    Votre conclusion est alors dans ce sens tout-à-fait pertinente.





  • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 4 août 2018 17:14

    Vouais...Mais avec tout ça je sais toujours pas pourquoi aux caisses de supermarchés les gonzesses vident puis remplissent leurs caddies que d’une seule main , alors qu’il suffirait de poser ce qu’elles ont dans l’autre pour activer un peu ...


  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 4 août 2018 17:32

    j’ai vécu entourée de femmes dites au foyer et qui ne s’en sont jamais plaintes. Bien au contraire,....Trouvant le temps de se consacrer à d’autres activités dans lesquelles elles s’épanouissaient tout autant (maîtresses chez elle). Mais bon ! c’était une autre époque et la venue d’un enfant était vécue comme le plus beau des cadeaux. Je dois être en total décalage. C’étaient plutôt les hommes qui étaient à plaindre. Obligés d’aller à la guerre. D’être confrontés au dur combat de la vie. Je suis féministe, certes, dans l’esprit le plus ancestral. Proche des petits bonheurs quotidiens. regardant de loin les entreprises paranoïaques de l’homme dévoyé. 


  • Jean Keim Jean Keim 4 août 2018 19:09

    Je crains que la femme aspire à devenir un homme comme les autres.


    Une femme avec un pouvoir en usera probablement à l’instar des hommes, un être humain sain d’esprit, femme ou homme peut importe, ne peut pas désirer le pouvoir.

    Le même démon habite l’esprit de l’homme et celui de la femme, c’est lui qui a créé la femme vs l’homme.

    J’ai parfois l’impression que l’homme et la femme sont deux espèces différentes et que chacune doit vivre sa vie en s’émancipant de l’autre, notamment la femme ne peut s’épanouir qu’en réaction aux heurts avec les hommes, c’est dans issue, c’est conforme à ce qui se passe partout sur toute la planète.

    Il n’y a pas des hommes et des femmes, il y a des êtres humains (en devenir).

  • jjwaDal jjwaDal 4 août 2018 19:42

    Très discutable votre histoire. « Tu adoreras l’homme, ton seigneur et maître », rappelez-moi quel grand théoricien du capitalisme a forgé cette phrase ? Cela me paraît plus ancien que le moyen-âge. Oui, le capitalisme a exploité les femmes, mais pas seulement. Il a exploité (pillé est le mot) les ressources naturelles sans songer aux besoins des générations à venir, ou de développement des peuples plus agraires, exploité les enfants, exploité les machines pour mettre sur la touche un maximum de gens et concentrer la richesse dans les mains du possesseur de capital, exploité les hommes qui allait au massacre en usine dans des conditions très attentatoires à leur espérance de vie et allait à la guerre pour conquérir d’autres richesses à consumer, exploité une armée sans genre particulier dans les pays asiatiques pour majorer sa marge bénéficiaire en payant au lance-pierres les uns, pour vendre à plus fortunés qu’eux, exploité le pouvoir qui lui est laissé de corrompre ou subjuguer la classe politique.
    Vous faites du capitalisme un mysogine, pour alimenter une thèse. Donc les femmes dispensées d’aller à la guerre et en usine se faire crever la peau étaient exploitées en s’occupant des tâches domestiques, dont l’éducation des enfants. Un point qui se discute. Laisser nos enfants s’éduquer entre pairs, via google, facebook, le porno, la télé et les jeux massivement multijoueurs est-il un gain social ?
    Ce ne sont pas les femmes qui étaient dans le collimateur, mais le féminin et il a rarement été aussi mal en point. Des femmes égales (en droit) aux hommes, sûrement.
    Elles ne le seront jamais dans la réalité, à moins de leur supprimer les règles et la maternité, interdiction de raser les poils (par soucis d’égalité) et injections de testostérone (bah oui pour le travail physique, autant pas aligner un poid plume et un poid lourd sur le ring).
    Si les femmes telles qu’on peut les voir en 2018 sont notre avenir, nous nous préparons un avenir à la « Mad Max ». Je l’ai dis ailleurs, un homme hétérosexuel ne peut être attiré par son semblable.
    Ma dose de « poil à gratter ». Quand on peut faire plaisir... smiley)


    • gnozd gnozd 5 août 2018 00:47
      @jjwaDal

      « un homme hétérosexuel ne peut être attiré par son semblable »

      Tout est dit.

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