mercredi 11 octobre 2017 - par C’est Nabum

La gratification fictive

L’annonce devra suffire.

Les principes de gestion des employés ne sont plus à une pirouette près. Un manager, homme important, bardé de son pouvoir tout autant que de son statut a voulu encourager une subalterne, femme dévouée et courageuse, performante malgré le peu de reconnaissance financière que lui octroie cette belle entreprise. Il l’a faite venir dans son bureau pour lui annoncer grande et belle nouvelle. La dame, dans un contexte délicat au sein de son équipe menacée de dispersion, se rend à l’injonction le cœur battant.

Elle est épiée par ses collègues. Elle travail dans un espace ouvert, ce concept effrayant qui vous place toujours sous le regard de tous les autres, vous mettant ainsi sous surveillance sans le moindre espace d’intimité. Se curer les dents ou bien se gratter le nez devient dans ce bocal malfaisant la source de moqueries ou bien d'humiliation. Le confort des employés n’étant qu’une variable d’ajustement qui est passée à la trappe dans ce groupe.

On chuchote à son passage. Des sourires narquois, inévitables sous-entendus graveleux, des regards en biais, des vacheries à n’en plus finir ; il faut bien admettre que dans un tel endroit, les pauvres travailleurs pris au piège d’une visibilité permanente et sans intimité, finissent rapidement par se détester cordialement. Comme c’est le but recherché, tout est bien dans le meilleur des mondes économiques.

Elle se moque de tout ça. Elle a depuis bien longtemps renoncé à se faire apprécier de ses voisines. Elle fait son travail du mieux qu’elle peut, quand les soucis familiaux, la vie de dingue qu’elle mène, la course permanente après le temps lui en donnent encore la force. Elle est tout en bas de l’échelle salariale, sans espoir de progresser et sans perspective réelle pour l’avenir. Elle a dû oublier son passé plus glorieux, ses rêves d’alors et sa formidable capacité à communiquer. Ici, elle est une exécutante basique qui n’a rien à espérer en dépit de ses initiatives toujours pertinentes.

Son salaire lui permet tout juste de survivre, de tenir ses obligations, de donner à ses enfants le maximum qu’elle peut leur offrir. Le mari parti comme bien souvent n’a plus le souci du confort de sa progéniture, moins il en donne, mieux il se porte et c’est elle qui se prive du superflu et parfois même de l’indispensable pour rester dans les clous. Elle fait partie de cette immense cohorte des petits salaires, des gens de peu qu’on considère si mal.

Pourtant là, elle va recevoir éloges et félicitations. Le manager, un n+ quelque chose dans cette structure si hiérarchisée, l’a fait venir pour lui signifier tout le bien que les cadres de la maison pensent d’elle et tout particulièrement des charges de travail qu’elle a acceptées de tenir en plus de sa fonction initiale et basique.

Elle est heureuse de cette reconnaissance qui n’est pourtant pas évidente puisqu’on lui dénie un grade pour ces statistiques qu’elle gère à merveille. Elle attend la suite, elle s’interroge sur l’issue d’une telle envolée de fleurs. Elle va vite retomber sur terre, dans son marasme personnel, son quotidien étriqué à défaut d’être sordide quand il s’agit de son univers professionnel.

L’homme lui affirme sans ambages que ses efforts auraient mérité une rétribution subséquente, en rapport avec les progrès qu’elle a permis de réaliser dans l’analyse statistique des traitements des dossiers. Le manager, généreusement a proposé une prime, une bouffée d’oxygène quand on se prive au quotidien. Elle a même été approuvée au niveau supérieur tant cette gratification semblait justifiée.

La dame se pince, elle n’en croit pas ses oreilles. Un petit quelque chose, c’est toujours bon à prendre dans son cas. Elle sourit, se détend un peu, elle qui venait pour s’entendre dire qu’elle ferait partie de la charrette. Quelle belle journée soudainement. La malheureuse s’est bien trop vite réjouie. L’homme important continue et lui sert le couplet habituel de la conjoncture, des difficultés économiques, des aléas de la vie du groupe pour finir par lui avouer qu’elle ne touchera rien mais que sans tous ces éléments indépendants de sa volonté, sa prime eut été belle.

Elle s’en retourne, gardant sa dignité et la rage au fond du cœur. Elle tient à faire bonne figure devant toutes les autres qui lèvent à nouveau le nez de leur écran. Elle s'assied et reprend son travail. Le beau parleur lui a joué du violon pour la laisser choir en fin de tirade. Quelle belle vilenie ! Ce monde de l’encadrement est une effroyable saloperie sans aucune humanité en dépit du nom de la boîte.

Voilà, vous savez tout. Ainsi va la vie pour les gens de peu, ces privilégiés selon notre bon président, ceux qui ont un emploi et qui espèrent disposer de quelques avantages naturellement indus du point de vue des dirigeants. La dame s’en est retournée chez elle, la rage au cœur et les larmes aux yeux. Il ne serait pas étonnant qu’elle retombe malade, l’esprit supporte difficilement de tels coups bas.

Honteusement leur.

http://www.cabinet-psy-paris.fr/accueil/la-souffrance-au-travail/



46 réactions


  • juluch juluch 11 octobre 2017 11:56

    Bizarre d’annoncer à son employé que sa prime prévue ne lui sera pas octroyé, dans ces cas là on dit rien ......


    • C'est Nabum C’est Nabum 11 octobre 2017 11:59

      @juluch

      Cela se passa ainsi
      et c’est minable


    • Inquiet 11 octobre 2017 12:15

      @juluch
      Non non, ce n’est pas bizarre, ça m’est arrivé 3 années de suite, et mes collègues sont coutumiers du fait.
      En fait, c’est la gestion du personnel « normale » de mon entreprise : on est tous des gens formidables, on aurait pu être augmentés, promus ... mais c’est ballot la conjoncture ne le permet pas.
      Cerise sur le gâteau : si ils pratiquent cette méthode, c’est parce qu’un psy à la noix leur a mis dans la tête qu’il faut, à défaut de contributions salariales, ne pas hésiter à complimenter les efforts.
      Le seul problème, c’est que ces gens n’ont de plus longtemps, l’habitude d’être sincères et non manipulateurs et ça se voit, d’ailleurs la manipulation était l’objectif CQFD, sauf qu’elle enterre de fait le résultat manipulatoire, puisque l’employé s’attendait à ne pas être manipulé pour être récompensé oO


    • C'est Nabum C’est Nabum 11 octobre 2017 12:20

      @Inquiet

      Je vous remercie pour votre témoignage


    • juluch juluch 11 octobre 2017 12:52

      @Inquiet


      ca ne marche qu’un temps ce type de processus, ensuite c’est syndicat et gréve histoire de secouer le cocotiers des facheux !!  smiley

    • C'est Nabum C’est Nabum 11 octobre 2017 14:10

      @juluch

      J’ai comme un doute
      L’actuel président a bien l’intention de supprimer les lois du travail
      La jungle ce sera !


    • Le421... Refuznik !! Le421 11 octobre 2017 18:14

      @juluch
      Et la seule augmentation obtenue sera au niveau du temps libre en prenant la porte...
      Y’en a dix qui attendent derrière.


    • juluch juluch 11 octobre 2017 23:51

      @Le421


      Quand on se lance dans le syndicalisme on prends pas la porte comme ça.....quand tu n’es pas le seul à avoir des problèmes tous le monde se syndique....suis passé par là !

    • Le421... Refuznik !! Le421 12 octobre 2017 08:27

      @juluch
      Bonjour juluch,
      Ne venez pas m’expliquer qu’en 2017, être syndicaliste est une sinécure.
      Avec les temps qui courent.
      C’est dur d’être rien, cynique, feignant, illettré, extrémiste et j’en passe.


    • juluch juluch 12 octobre 2017 13:19

      @Le421


      HELLO
      Mon expérience est de 5 ans ou je fut secrétaire CE et DP plus....organisateur de greves !! smiley

      J’ai rammassé grave mais ma Direction également !

  • pallas 11 octobre 2017 13:00

    C’est Nabum

    Ho mais il y a une autre forme de réponse, elle est simple, le rien en foutisme et en faire le moins possible, c’est chose bien et que j’approuve.

    Les managers et la technique de rabaissement du salarié ne fonctionne plus, ou du moins ne fait pratiquement plus d’effets, car la vaccination fait effet.

    Cela se nomme « La revanche du rameur », ou bien « la greve passive ».

    Sa commence à peser lourdement sur les entreprises en terme de chiffre d’affaire.

     smiley (rire)

    Salut


    • juluch juluch 11 octobre 2017 13:21

      @pallas

      Tout à fait !

    • C'est Nabum C’est Nabum 11 octobre 2017 14:11

      @pallas

      C’est ce qu’elle s’emploie à faire désormais pour son emploi


    • gaijin gaijin 12 octobre 2017 09:18

      @pallas
      «  le rien en foutisme »
      ça porte un nom ça s’appelle le présentéisme ......mais ça n’est pas si simple, peu de gens peuvent en fait sans finir en dépression supporter d’être des salariés fictifs ne servant a rien dans le système absurde du monde dilbert
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Dilbert
      nous avons atteint le stade de l’obsolescence de l’humain et face la seule perspective de consacrer sa vie a transformer le maximum de machins burgers en merde le suicide collectif est l’unique option


  • pipiou 11 octobre 2017 13:08

    Le gars nous parle de l’entreprise, un univers qu’il ne connait même pas, pour mieux la dénigrer et projeter ses fantasmes.


  • zygzornifle zygzornifle 11 octobre 2017 15:58


    hahahaha.... Le même style de discours que les gradés servaient a leur ouvriers bidasses en les envoyant au casse pipe se faire étriper par des autres ouvriers bidasse .....


  • Le421... Refuznik !! Le421 11 octobre 2017 18:18

    L’entreprise avec le bon patron qui récompense, quand on en tient un, il passe à la télé !!
    L’exception qui confirme la règle. Des enfoirés.
    Pas étonnant si la productivité se casse la gueule ainsi que la qualité des produits.

    A une époque, les ouvriers sabotaient le travail. De façon intelligente, pour que ça ne se voit pas.
    Et plus on est compétent, plus on sait bien le faire.
    Rare le patron qui connaît toutes les ficelles du métier de ceux qu’il emploie.


  • pallas 11 octobre 2017 18:52
    C’est Nabum

    J’oubliai il y aussi les fouilles merdes, les lèches culs, ce pensant espion et faisant un rapport a son chef.

    La méthode est simple, le dire ouvertement, de plus faire comprendre la colère physique, et le coté ironique le rien en foutisme.

    Les managers d’aujourd’hui ne sont que des faibles qui ont appris leurs cours lors de leurs formations, il n’en reste pas moins humain, de la vulgaire vermine.

    Le management d’aujourd’hui est un echec total, car quand ont cherche la merde on la trouve.

    Je crains fort que dans le monde de l’entreprise, les managers ont beaucoup à perdre, ils ne sont que des valets, n’ayant comme compagnon la solitude et le mépris.

    Mise à part la fonction public, dans le monde du privée il n’y a pas besoin de syndicat, c’est du mano à mano.

    Personnelement que La France s’écroule, devienne une ruine je m’en tamponne, ce pays ne mérite absolument rien, pas une once de respect.

    Les regles ont changés dans l’implicite, et si le gouvernement détruit le CDI, alors la réponse sera immédiate, plus personne ne bossera, envoyer valser n’importe qui.

    D’ailleurs cela à deja commencer.

    Résultat immédiat : mal façon, défaillances des produits, chiffre en berne, les commerciaux glandent.

    Au final le Manager et les ingénieurs se retrouvent tout seul, avec une horde de lettre recommandée et de proces sur le dos.

    C’est la réalité d’aujourd’hui, et d’où la défaillance de plus en plus nombreuses de grosses PME et PMI.

    Salut


  • Spartacus Lequidam Spartacus 12 octobre 2017 00:44

     smiley  smiley  smiley


    Faut il rire ou pleurer de la montagne de clichés sur l’entreprise dans laquelle ceux qui n’y ont jamais mis les pied se créent et racontent un monde fictif à la Zola... 

    Quand à l’open-space, c’est l’inverse du cliché absurde décrit par l’auteur.

    Les individus ne sont pas isolés et il n’y a moins de discriminés et c’est convivial.
    Les liens hiérarchiques sont plus agréables et les flux d’échanges raccourcis, la majorité disposent tous d’espaces détente ou les employés s’y retrouvent détendus, pour discuter pour boire un thé ou un café entre collègues.

    • C'est Nabum C’est Nabum 12 octobre 2017 06:01

      @Spartacus

      Riez
      et je me charge de pleurer


    • Le421... Refuznik !! Le421 12 octobre 2017 08:31

      @Spartacus

      Les individus ne sont pas isolés et il n’y a moins de discriminés et c’est convivial.
      Les liens hiérarchiques sont plus agréables et les flux d’échanges raccourcis, la majorité disposent tous d’espaces détente ou les employés s’y retrouvent détendus, pour discuter pour boire un thé ou un café entre collègues.

      Et dire que les gauchistes imaginent un monde de « bisounours » !!
      Elle est bien bonne celle-là !!
      Même les carrossiers du garage du coin travaillent en « open space » !!  smiley


    • francois 12 octobre 2017 10:59

      @Spartacus
      Pense à faire provisions de nourritures et de cartouche.


    • Armelle Armelle 12 octobre 2017 11:43

      @francois
      Vous êtes risible fanfois le fanfaron !!!
      Vos inquiétudes se lisent à travers vos propos, vous n’avez de cesse de prêter aux autres vos propres peurs, ça vous rassure sans doute !
      Vous devez être de cette trempe de courageux, qui souhaite que tout s’écroule parce que vous n’avez rien su faire de votre vie, c’est bien connu !!!
      Sauf que vous n’aurez pas ce plaisir, rien ne s’écroulera, les solutions « pansement »seront tjrs là et vous, bah vous serez tjrs sur le bord de la route sur lequel finalement vous vous complaisez....
      Vous aurez tjrs les pissenlits, votre salive dédaigneuse mélangée avec votre vaseline fera une bonne vinaigrette...
      Bonne journée mon gros lapin


    • C'est Nabum C’est Nabum 12 octobre 2017 12:30

      @Le421

      Utilisé un terme français et vous verrez combien ce concept est ridicule


  • Armelle Armelle 12 octobre 2017 10:43

    Ho là !!!, je plains tous ces gens qui s’évertuent à rester dans un modèle qu’ils n’ont de cesse de critiquer !!!
    A en croire leur discours, il semble plus difficile de devenir un mauvais patron qu’un bon salarié pour avoir si peu envie de le devenir et si d’après eux il y aurait 1.3 Millions de « salauds de patrons »

    Le 421,
    Je vais vous dire ce qu’il risque de se passer ;
    Vous connaissez comme tout le monde les CDS, et bien à voir la jolie bulle qui se prépare sur les prêts étudiants (renseignez-vous, vous constaterez l’étendue des dégâts car le boulot qui remboursera ces prêts n’est encore pas né), les banques créeront un CDS, dans lequel il y aura certes des produits bien notés mais il y aura aussi les fameux prêts pourris étudiants, et ces CDS seront rachetés par les entreprises qui auront ensuite la main 100% sur l’emploi, où ils diront au salarié « je détiens votre dette », vous ferez ce que je vous dis de faire et au prix que j’aurai décidé !!! ...plus de smic, plus de protection, le front populaire ne sera qu’une légende.
    Alors sincèrement, si vous ne voyez pas que le statut de salarié n’est plus adapté et qu’il est temps que chacun « fabrique son autonomie » pour ne pas se faire bouffer,
    Je ne sais quel âge vous avez mais si vous êtes jeune je crains que vos espoirs ou revendications soient un chouilla présomptueux et votre salaire, donc votre taf soit concurrencé à un point que vous n’imaginez même pas !!! ...Et comme on dit « personne n’est indispensable »
    Et comme je suis convaincue que tout le monde, chacun d’entre nous est capable de valoriser un ou des savoir faire, il est alors possible de le vendre pour son profit et sa recherche d’autonomie...et pour ça il y a aujourd’hui des tas de solutions, en revanche si vous me dites que j’ai tort c’est que votre situation vous convient parfaitement
    ...La nécessité de voir la réalité est préférable pour faire les bons choix
    Enfin tout cela n’est que mon avis...Chacun fait comme il veut
    Dites-moi pourquoi, moi il y a 20 ans je pensais comme vous et que maintenant, je m’éclate au boulot. Je suis maître de mes choix, maître de mon temps, et même si ça été parfois « super dur » plus jamais je ne revivrai ce statut à la con, à travers lequel je ne vois d’ailleurs pas le problème du salaire mais plutôt celui de la soumission...
     


    • francois 12 octobre 2017 10:57

      @Armelle
      « Je suis maître de mes choix » : une femme perdue.

      Encore une qui n’a pas compris que le monde est un faisceau de relation et que tout le monde dépend de tout le monde.
      Ca s’appelle un écosystéme 
      Dans le monde capitaliste où la croissance est infinie - il suffit de trouver de nouveau marché et la destruction créatrice - la fin sera bientôt proche puisque le pillage sans fin aura une fin faute de combattant.
      Armelle finira avec des bons alimentaires dans la rue ou dans une milice d’un petit prince d’un suburb.

      Quant à la soummition, ne jamais se séparer de son pot de vaseline.

    • Armelle Armelle 12 octobre 2017 11:20

      @francois
      « Encore une qui n’a pas compris que le monde.... »
      J’ai en tous cas compris le minimum me permettant de vivre mieux que les bulots de basses mer qui pleurnichent à longueur de journée ici !
      Qu’il est drôle !!!
      « Encore une qui n’a pas compris que le monde est un faisceau de relation et que tout le monde dépend de tout le monde »
      Quesquidit le gars ? fanfois découvre le monde !!! Et ce que je dis est incompatible ? l’écosystème fonctionne de la même manière dans ce que je prétends !!!


      « Quant à la »soummition«  ne jamais se séparer de son pot de vaseline »
      Il semble que vous ayez alors opté pour une consommation importante !!!

      Et pour ce qui est des bons alimentaires... Imaginer pour les autres ce dont vous avez peur qu’il vous arrive, on le sait ça rassure mais la peur n’évite pas le danger mon gros nounours !!!

      Pôv fanfois


    • Armelle Armelle 12 octobre 2017 11:29

      @francois
      « Quant à la soummition »
      Belle expression Françoise !!! Faites gaffe quand même la vaseline ne s’avale pas !!! On voit les lourdes séquelles...


    • francois 12 octobre 2017 11:30

      @Armelle
      Vous vivez en autarcie tel le bulot ?. Comme nous tous vous êtes l’esclave d’une banque ou une SDF.


    • francois 12 octobre 2017 11:33

      @Armelle
      L’abus de testostérone !


    • francois 12 octobre 2017 11:40

      @Schlouwaschmeister
      le pays de la moule


    • Armelle Armelle 12 octobre 2017 12:05

      @francois
      « Vous vivez en autarcie tel le bulot »
      Pas le moins du monde ma bonne pâte !!! Faut sortir le dimanche fanfois, vous connaissez les liens interentreprises ? Non pas trop je vois, votre ouverture d’esprit vous aura sans doute laissé dans un modèle étriqué du monde du travail. Le patron, le salarié ! point à la ligne...
      Et puis grand benêt, tu es esclave de ta banque quand comme toi, tu n’as pas un rond sur ton compte !!! ce qui était mon cas quand j’étais salarié, tu connais la chanson de Bashung ? Pas de souci de se côté là
      Décidément tu n’as pas tout compris au film hein mon gars ? donc ça rassure sans doute d’être ici entre pote de même trempe, on se sent moins seul
      Allez salut, pour la vaseline, je peux sans doute te dégotter de bons prix, j’achète bcp en chine et quoi qu’on en dise la qualité là bas est aussi bonne qu’en France aujourd’hui ! Eux avancent, donc il faut bien que d’autres reculent ! n’est-ce pas Fanfois le fanfaron ?
      Je te laisse à tes divagations, j’ai un déjeuner avec une cliente sympa...


    • francois 12 octobre 2017 15:09

      @Armelle
      j’avais oublier l’autoportrait « J’ai en tous cas compris le minimum me permettant de vivre mieux que les bulots de basses mer qui pleurnichent à longueur de journée ici ! »


    • foufouille foufouille 12 octobre 2017 15:23

      @francois
      normal que ce soit plus facile pour elle vu qu’elle utilise un paradis fiscal pour planquer ses revenus en partie.


  • francois 12 octobre 2017 14:13

    on admire le ton prescripteur testostéronné de la tartarinne Tarasconnaises accro à l’argent donc esclave d’une banque.


    « j’achète bcp en chine » : va-t-on avoir la taille du vagin et la longueur du clitoris ?

    • Armelle Armelle 12 octobre 2017 15:39

      @francois

      Vous êtes à moitié con, mais c’est dommage ce n’est pas la bonne moitié qu’il vous reste !!!

      « va-t-on avoir la taille du vagin et la longueur du clitoris » Belle démonstration d’imbécilité, et de manque d’argument, qui image bien ce qui précède. vos parents n’ont pas pris l’option « synapses » manifestement. Vos deux neurones n’ont donc même pas d’utilité !!!
      Fanfois fait dans le gras, fait dans le genre gros bourrin, alors vas-y mon gros amuse-toi, ça m’amuse aussi...


       


    • francois 12 octobre 2017 16:25

      @Armelle
      Voilà les insultes. madame joue les matamores et se prend une mornifle qui lui pétarade le sphincter.

      Alors on ne sait pas jouer ? 

    • foufouille foufouille 12 octobre 2017 17:14

      @francois
      j’achète aussi tout ce qui est possible en cine car je ne vois pas pourquoi j’engraisserais une feignasse d’importateur.


    • C'est Nabum C’est Nabum 12 octobre 2017 17:59

      @francois

      Je pense qu’il a confusion


  • francois 12 octobre 2017 16:27

    la vulgarité c’est pas dans les HLM mais dans le beau quartier où l’adipeuse sévit.


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