mardi 16 mars 2010 - par Gaëtan Pelletier

Le 2012 slow motion

La catastrophe étalée
Pour ceux qui ont vu le film, la fin du monde est une catastrophe soudaine qui se déroule à une vitesse débridée. Tellement rapide que ce serait heureux que cela arrive ainsi… Il n’y aura jamais de fin du monde, il n’y aura que la fin d’un monde : celui d’une forme d’intelligence liée à la simplicité de la nature et à l’écoute de celle-ci.
Notre fin du monde, c’est justement l’illusion de transformer le monde en un monde perçu comme meilleur par une technologie appliquée à l’humain.
Satan est un technocrate qui dirige la pensée d’un politicien – ces êtres pareils aux mannequins des vitrines de mode.
Nos qualités de vie se désagrègent molécules par molécules, sans que nous nous en rendions vraiment compte. C’est là le drame… L’Alzheimer insidieuse sans Histoire. Comme dans le film de Ridley Scott Blade Runner, ou les réplicants essaient de se former un passé pour échapper aux chasseurs :
  •  Les réplicants ne sont pas sensibles à la vie animale (à laquelle les humains sont très attachés, d’autant plus que les vrais animaux sont très, très rares) et ne ressentent rien lorsqu’un animal est mis à mort. Ainsi, un massacre dans une animalerie mettra sûrement le Blade Runner sur la piste de réplicants (c’est d’ailleurs la trame initiale du jeu vidéo Blade Runner).
  • Les réplicants n’ont a priori aucune forme d’empathie entre eux et envers les autres... Ainsi, ils ne feront rien pour aider l’un des leurs et deviennent souvent résignés quand un Blade Runner les attrape. C’est pourquoi les Blade Runners sont capables de détecter un réplicant en effectuant un test d’empathie Voight-Kampff, en décelant les réactions physiologiques involontaires du sujet face à une mise en situation donnée (attachement maternel, stress affectif ou moral).
  • Les réplicants ont une moelle osseuse différente de celle des humains, du fait que leur génome a été créé artificiellement, ce qui permet une vérification post-mortem.
Technopoliticoclone
Tout technocrate à l’œuvre – et la saga de la H1N1 a en fait une certaine démonstration – se livre à la recherche d’un lendemain bâti sur une certitude navrante de chiffres, de calculs, de possibilités nébuleuses. Les charlatans ont la couenne dure et un arsenal de gadgets fourni par les maîtres à faire, et non les maîtres à penser. Car la peur de perdre ce que l’on a, l’angoissante servitude de la crainte bien exploitée, fait des sociétés dites avancées les meilleurs esclaves : nous pensons avoir tout à perdre.
Des milliers d’années d’évolution auraient pu nous mener à une certaine aisance. On nous a appris toutefois que l’évolution passe par une technocratie obligée. La nature n’étant pas un cheval sauvage à dompter, il faut alors choisir une voie parallèle : en faire une autre. Et l’autre n’est pas nécessairement en accord avec elle, ni avec nos êtres.
Cette autre voie empoisonnante et esclavagiste.
 
La rigueur scientifique
Elle ressemble à un train qui pense que toutes les routes sont devant lui. Or, il est sur des rails. Il est vrai que l’on nous dépouille chaque jour comme on défile un manteau en tirant sur les tricots. Les dépouillés n’ont plus espoir. Les dépouillés ont peur. Et ils ont raison d’avoir peur.
On a froid si lentement que l’on s’habitue à cette pénétrante froideur. Les êtres distancés, comme les atomes, perdent toute capacité de former une structure active et vivante.
Nous sommes des morts qui avons survécus, transformés jour après jour en zombies.
La rigueur dite scientifique a beau s’étaler, tout en raideur, à travers ses orgueilleuses sommités, elle n’est hélas qu’un échec qui s’ignore. Car elle a omis d’intégrer le résultat final et continu à son « projet ». Le nôtre.
Leur projet n’est plus le nôtre. Ce n’est qu’une forme de tyrannie qui a créé un langage mais pas une discussion.
La vérité du mode dit scientifique est une vérité matérielle et fausse. Elle n’intègre rien. Elle désintègre tout.
Le rat obligé
Le texte suivant – publié en 2008 – en est un exemple. D’ici quelques mois, au plus quelques années, la « vérité plastique » aura remplacé – comme toujours – l’ouverture et la compréhension de l’univers auquel nous appartenons.
Et c’est là la grande erreur : essayer de posséder l’univers en petits dieux étalés.
Ce n’est qu’une action parmi tant d’autres dans la désintégration lente de l’écoute d’un savoir réel par la nature et celle des laboratoires.
Et là, tout lentement, on fait des citoyens, des humains, des artisans, des rats. On plastifie la nature humaine dans une insidieuse et malveillante manière de faire.
Chacune de ces « actions » est un atome invisible aux chaînes qui font de nous les esclaves et qui trahissent notre appartenance à la Terre.
Car, c’est elle, la vivante. Et c’est nous la vie.
Mais on a oublié la vie…
En même temps, on nous fait taire à la nôtre. Plus d’écoute à la Vie, plus d’écoute à nos besoins ni à une ouverture.
La science et la politique, de par leur liaison fatale, est devenue un cri qui enterre le beau et grand murmure de l’Univers.
 
Le projet de loi canadien C-51 interdira la vente de 60% des produits de santé naturels
Ne laissez pas l’industrie pharmaceutique faire une chose pareille au Canada
 
Au Canada, un projet de loi mis de l’avant par l’industrie pharmaceutique vise à proscrire jusqu’à 60 % des produits de santé naturels actuellement vendus au pays, allant même jusqu’à criminaliser les parents qui donnent des plantes médicinales ou des suppléments à leurs enfants. Le projet de loi, connu sous le nom de Bill C-51 et présenté par le ministre canadien de la santé le 8 avril 2008, propose des changements radicaux à la Loi canadienne sur les aliments et drogues et qui pourraient avoir des conséquences dévastatrices sur l’industrie des produits de santé naturels.

Parmi les modifications proposées par le projet de loi on retrouve des modifications radicales aux définitions dont, entre autre, le remplacement dans le texte de loi du mot « drogue » par « produit thérapeutique, » donnant ainsi de plus grands pouvoirs au gouvernement canadien afin qu’il puisse réglementer la vente de toutes les plantes médicinales, les vitamines, les suppléments et autres produits semblables. Par cette simple modification linguistique, tout ce qui est « thérapeutique » devient automatiquement régi par la Loi sur les aliments et drogues. Ça pourrait même inclure l’eau embouteillée, les bleuets, les feuilles de pissenlit et la quasi-totalité des substances dérivées de plantes.

La loi modifie également la définition du mot « vendre » afin d’inclure à cette définition toute personne qui donne de tels produits thérapeutiques à quelqu’un d’autre. Ainsi, une mère qui donne des plantes médicinales à son enfant pourrait, en vertu des nouvelles définitions proposées, être arrêtée pour avoir fait la « vente » non permise et non autorisée de « substances thérapeutiques. » Vous pouvez en apprendre davantage au sujet de ces modifications proposées visant à restreindre les libertés sur le site anglais « Stopc51.com » : http://www.stopc51.com

De nouveaux pouvoirs d’exécution donnés au gouvernement canadien permettront de saisir votre maison ou votre entreprise

Par la même occasion, ce projet de loi C-51 qui rend illégal les plantes médicinales, les vitamines et les suppléments, accordera de nouveaux pouvoirs « d’exécution » alarmants aux délateurs des forces de l’ordre qui prétendent « protéger » le public contre les effets néfastes et non autorisés des « produits thérapeutiques » tels que, par exemple, les feuilles de pissenlit. Tel qu’il est expliqué sur le site anglais http://www.Educate-Yourself.orgwebsite ((http://educate-yourself.org/cn/canadian ...), le projet de loi C-51 permettra aux délateurs des forces de l’ordre du gouvernement canadien :

• de perquisitionner votre maison ou votre entreprise sans mandat ;

• de saisir vos comptes bancaires ;

• d’imposer des amendes allant jusqu’à 5 millions de dollars et une période d’emprisonnement allant jusqu’à 2 ans et ce, simplement pour avoir vendu des plantes médicinales ;

• de confisquer votre propriété et de vous facturer les frais d’entreposage encourus pour stocker les produits qu’ils vous auront volés.

Le projet de loi C-51 criminaliserait même les simples herbes séchées qui se retrouvent dans votre cuisine et qui seraient susceptibles d’être utilisées dans un produit ayant des propriétés médicinales. Ce sera désormais considérée une « activité contrôlée, » et toute personne qui se livrera à de telles « activités contrôlées » sera arrêtée, condamnée à une amende voire même emprisonnée. Les autres « activités contrôlées » comprennent l’étiquetage des bouteilles, la récolte des plantes sur une ferme, la cueillette des herbes dans votre cour arrière, ou même des essais sur vous-même de produits à valeur médicinale ! (Oui, pratiquement toutes les activités impliquant des plantes médicinales ou des suppléments seront criminalisées ...)

Mais il y a bien plus. Le projet de loi C-51 représente la « solution finales » du gouvernement canadien contre l’industrie des produits de santé naturels. C’est un effort désespéré qui vise à détruire cette industrie qui menace les bénéfices et la viabilité de la médecine conventionnelle.

La médecine naturelle fonctionne si bien parce qu’elle devient tellement utilisée, que les gouvernements canadien et américain ont décidé d’attaquer cette industrie en votant de nouvelles lois qui ont pour effet de criminaliser toute personne qui vend de tels produits. Ils ne peuvent tout simplement pas tolérer qu’il soit permis aux consommateurs d’avoir un accès simple et facile aux produits naturels. S’ils ne faisaient rien, cela représenterait finalement la destruction de l’exploitation criminelle de l’industrie pharmaceutique, son délabrement et la corruption qui l’entoure de même qu’à ceux qui exploitent de manière criminelle le gouvernement, afin qu’il tente de la protéger. Mike Adams, Mondialisation.ca
 


11 réactions


  • beneolentia beneolentia 17 mars 2010 05:13

    En france aussi, des lois absurdes et « contre nature » voient le jour...dignes des plus grands malades mentaux.

    Je suis étonné de l’absence de commentaires, et d’une majorité de votes négatifs a l’encontre de votre article.

    Bientôt on vous diras ce que vous devez manger chaque jour, et ça sera obligatoire, sous peine de prison.

    Ca commence comme ça :

    Lettre de Bernard Bertrand (co auteur de "purin d’orties et Cie") écrite suite à l’intervention de la répression des fraudes chez un conférencier et producteur de purins végétaux et autres produits à base de plantes pour soigner des plantes :

    La nouvelle avait perturbé les ondes

    Un chroniqueur horticole courageux s’insurgeait, sur France Inter, de la parution imminente d ’un décret (prenant effet en date du 01 juillet 2006), qui l’empêcherait dorénavant de donner à ses auditeurs des recettes leur permettant de traiter naturellement leurs jardins et balcons. Interdit de dire que l’eau chaude est un bon désherbant pour les allées. Interdit de dire que de simples feuilles de fougère éloignent les chenilles des choux. Interdit de donner la recette séculaire d’un extrait d’ortie, appelé purin ! L’information paraissait si énorme que personne n’y a cru ! L’interdiction de fournir, par quelque moyen que ce soit, les recettes pour confectionner des produits naturels non-homologués, le simple fait d’en parler, avait beau être assortie d’une peine 2 ans de prison et 75000 euros d’amende, elle faisait sourire !

    Et pourtant l’action menée vendredi dernier conjointement par les services de l’Inspection Nationale des Enquêtes de Concurrence, de Consommation et de Répression des Fraudes et le Service Régional de la Protection des Végétaux de l’Ain chez un promoteur de techniques agricoles alternatives marque un tournant nouveau dans ce que l’on appelle désormais la guerre de l’ortie ! L’intervention des services de l’état s’est conclue par la saisie de cours théoriques (quid de la liberté d’expression et d’enseignement ?), la profération de menaces non dissimulées et l’interdictions de pratiques aussi diverses et incongrues que celles d’aller récolter avec les stagiaires des plantes sauvages dans la nature !

    Qu’on se le dise, il est donc bien désormais interdit de faire référence et de transmettre des savoirs et traditions populaires séculaires qui sont pourtant un inaliénable bien commun ! Voilà pourquoi l’Association des Amis de l’ortie souhaite interpeller les pouvoirs publics et sollicite pour cela le soutien des médias concerné par une telle confiscation de nos libertés fondamentales. Comment un décret pourrait-il amputer les citoyens d’un pays de leur mémoire collective ? En vertu de quel principe un décret prive-t-il le citoyen de ses droits démocratiques les plus élémentaires, à savoir celui d’expression, gravement menacé ici, mais aussi celui du choix de cultiver son jardin comme il l’entend ? C’est Voltaire qui doit se retourner dans sa tombe ? Qui a pu initier une telle ineptie législative qui prétend confisquer le savoir des anciens et prône l’inquisition contre les techniques alternatives et naturelles de production, qui jusqu’à preuve du contraire ne sont que bénéfique pour la santé publique ?

    Voilà quelques-unes des interrogations soulevées par l’intervention des pouvoirs publics jeudi dernier, qui a n’en pas douter sera la première d’une longue série, si une mobilisation rapide ne vient pas mettre un frein à cette nouvelle vague répressive.

    source : http://www.tela-botanica.org/actu/article1142.html


    CE QUI EST EN DANGER, C’EST LE PEUX QU’IL VOUS RESTE DE LIBERTÉ



  • Gaëtan Pelletier Gaëtan Pelletier 17 mars 2010 06:02

    beneolentia,

    Bonjour,
    Peu de commentaires, en effet.
    Ce qui ne me dérange pas trop. Dans le sens nombril. Sauf que je constate que nous oublions trop et que nos libertés foutent le camp sans que nous nous en rendions compte.
    Le contrôle de l’État a compris qu’il n’est pas nécessaire d’avoir de grandes idées.... Comme les rats, il faut ronger peu à peu le « pouvoir » du citoyen.

    Un chroniqueur horticole courageux s’insurgeait, sur France Inter, de la parution imminente d ’un décret (prenant effet en date du 01 juillet 2006), qui l’empêcherait dorénavant de donner à ses auditeurs des recettes leur permettant de traiter naturellement leurs jardins et balcons. Interdit de dire que l’eau chaude est un bon désherbant pour les allées. Interdit de dire que de simples feuilles de fougère éloignent les chenilles des choux. Interdit de donner la recette séculaire d’un extrait d’ortie, appelé purin ! L’information paraissait si énorme que personne n’y a cru ! L’interdiction de fournir, par quelque moyen que ce soit, les recettes pour confectionner des produits naturels non-homologués, le simple fait d’en parler, avait beau être assortie d’une peine 2 ans de prison et 75000 euros d’amende, elle faisait sourire !

    Partout pareil... Même stupides lois... Ou pas de lois...
    La France pleure Ferrat. Mais a-t-elle oublié que Ferrat chantait justement ce droit de liberté, des terres, de l’appartenance ?
    Français, Québécois, et le reste... sont en train de perdre le « bon sens » par une grille de savoirs et de lois dictée et prolongée par des avocats véreux, des politiciens de Jell-0.
    Tous mous...
    Le coeur ? Où est le coeur de nos gens ?
    C’est bien de jouer aux intellectuels, mais on voit bien que l’âme est en train de se perdre .
    Je pense qu’on a pas compris, ici, que le jeu se joue sur une période de temps presque calculée par nos dirigeants.
    Et nos libertés, comme vous dites ?
    Bien, justement, elles se perdent à cause de gens qui ne voient pas ce qui se passe.
    Merci !
    Bonne journée !


  • Lisa SION 2 Lisa SION 2 17 mars 2010 07:32

    Bonjour GP,

    nos dominants sont complètement sous l’influence des créasionnistes http://fr.wrs.yahoo.com/_ylt=A03uv8O7dKBLpeUArTFjAQx. ;_ylu=X3oDMTByNGxmazk4BHNlYwNzcgRwb3MDMQRjb2xvA2lyZAR2dGlkAw—/SIG=127fg9aa9/EXP=1268893243/**http%3a//fr.wikipedia.org/wiki/Cr%25C3%25A9ationnisme : et des sorciers : http://www.priceminister.com/offer/buy/1150837/Jumel-Sylvie-La-Sorcellerie-Au-Coeur-De-La-Republique-Livre.html#info . Dès qu’ils ont compris l’ordre naturel de la vie, végétal tributaire du minéral, animal tributaire du végétal, ils espèrent prendre le pouvoir sur l’humain, cette nouvelle race de bons ariens, et le couper de ses racines naturelles. Tuer tous les insectes qui piquent, tous les microbes qui tuent, et tous les végétaux nuisibles qu’ils n’ont pas planté eux même. Soumettre les races animales élevées dans les parcs de 20.000.000.000 de places à une shoah quotidienne, plus quelques céréales transformées par mutations génétiques brévetées, et hop ! L’humanité c’est Moa, un poing, tzétoung  !

    Un bon conseil, vite retourner son gazon pendant qu’il fait beau et y faire pousser sa seule chance de survie, a+, L.S. 


  • BisonHeureux BisonHeureux 17 mars 2010 10:48

    Bonjour,excellent article très instructif sur la tentative d’interdiction des plantes et produits naturels !
    L’exemple français et canadion sont explicites et correspondent à la volonté du Codex Alimentarius !
    Organisation para-fasciste qui a décidé de limiter la population mondiale a trois milliards de personnes !
    à voir cette vidéo édifiante :

    http://www.dailymotion.com/video/x6hmtt_le-codex-alimentarius-attention-dan_news

    Les forces du mal sont en train de se dévoiler,Hillary Clinton soutient le Codex ainsi qu’un grand nombre des dirigeants de la planète !!!!


  • goc goc 17 mars 2010 11:55

    Le pire de toute cette histoire, c’est qu’il existe un point commun à tout ce délire de l’artificiel face au naturel, c’est que le monde qu’on veut nous imposer ne repose que sur un postulat, celui de la fourniture d’énergie (surtout fossile) en continue et sans fin.

    Si après cela, on n’a pas compris toute la stratégie actuelle de l’occident pour prendre le contrôle total des champs pétroliers, c’est qu’on est d’une naïveté et/ou d’un endoctrinement profond. Il est clair qu’ils ne reculeront devant rien pour s’assurer le pétrole, même pas une guerre suicidaire comme celle qui se prépare en Iran

    Alors la fin du monde n’est pas pour demain, mais il est clair qu’en cas de blocage des approvisionnements, 2012 pourrait bien etre la fin de notre monde, celui du capitalisme sauvage et arrogant.


  • David Meyers 17 mars 2010 12:29

    Je vais vous expliquer...

    Vendre des produits alimentaires ( ou apparentés) c’est un marché mondial de plusieurs milliards de dollars par an, un marché ou le client est obligé d’acheter et de se réapprovisionner en gros à chaque saison ou chaque année.

    Alors, les purinistes et les ortistes, pas touche...

    A oui, là c’est plus clair


  • isotope 17 mars 2010 12:45

    la résignation semble être dans les villes

    la résistance semble être dans les champs ... le maquis

    les humains des villes ont intégrés les lois liberticides , ils n’ont cure des préoccupations générale des humains des champs ...

    l’essentiel de l’humanité réside dans des villes , il est toujours plus simple de la contrôler .

    revoir « soleil vert » et espérer ...


  • olivier cabanel olivier cabanel 17 mars 2010 16:26

    @ l’auteur,
    j’ai apprécié votre article,
    même si il est très marginal par rapport à « 2012 »,
    peut etre qu’un autre titre aurait attiré plus de lecteurs,
    j’en prépare justement un sur 2012 qui ne parlera que de çà,
    mais bravo pour votre texte courageux.


  • Gaëtan Pelletier Gaëtan Pelletier 17 mars 2010 18:05

    Bonjour Olivier,
    J’ai hâte de voir votre 2012...
    Dites-moi que les USA vont piquer du nez...
     smiley
     
    Parlant de l’article. Connaissez-vous bien des victimes des médecines « naturelles » ?
    La chimie de Big Pharma en fait chaque année des centaines de milliers.
    Bonne journée !


  • thomthom 18 mars 2010 13:59

    Dans le même ordre d’idées, on a les attaques ignobles et inadmissibles envers les activité de l’association kokopelli
    http://www.kokopelli.asso.fr/


  • Gaëtan Pelletier Gaëtan Pelletier 18 mars 2010 18:01

    Thomthom,

    Intéressant vote lien de kokopelli. J’en prends note...
    C’est dans le même ordre d’idées, en effet.
    Bonne journée !


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