lundi 29 juin 2015 - par Bernard Dugué

Apprenez la physique et devenez Nobel

JPEG Vous avez des idées sur la nature et rêvez d’un Nobel de physique, alors il vous faudra en passer par les mathématiques et comprendre les bases élémentaires en usage dans cette discipline. Vous n’avez pas cette prétention mais vous voulez revenir en arrière car vous regrettez de ne pas avoir poursuivi des études de physique ou bien vous souhaitez savoir comment pensent les physiciens. Si vous êtes dans l’une de ces situations, alors un livre vous est destiné. Il s’intitule « Le minimum théorique » et a été conçu par Leonard Susskind et George Hrabovsky. Le premier est professeur de physique théorique à Stanford et le second président d’une association visant à soutenir la recherche et l’enseignement scientifique. Ce livre est basé sur les cours public donnés par Susskind à Stanford dans le cadre d’un programme d’études continues qui s’adresse à des habitants de la région n’ayant pas de lien académique avec l’université. C’est le principe du Collège de France mais à un niveau plus élémentaire. Une sorte de cours conçu pour une université populaire ouverte à tous et portant sur la physique. Le premier volet de ce cours explore la physique classique et vient d’être traduit aux Presses polytechniques et universitaires romandes. L’édition américaine a été un succès avec 40 000 exemplaires écoulés ce qui est considérable pour un ouvrage de cette facture.

Ce livre de physique s’adresse non seulement aux néophytes pourvu d’un minimum de connaissances mathématiques mais aussi à des étudiants de physique jusqu’au niveau du doctorat. La raison étant que ce manuel savant est d’une excellente technicité tout en présentant les notions de physique sous un angle inédit, sans se soumettre à un quelconque impératif universitaire, sans suivre aucun ordre académique. C’est la raison pour laquelle je recommande également ce livre à des philosophes intéressés par la pensée des physiciens ; un livre qui présente les règles générales permettant de mathématiser les choses sans suivre nécessairement les théories particulières. Le cours commence par présenter les notions classiques, temps, espace, vecteur, mouvement, ensuite les outils indispensables, calcul différentiel, dérivation, intégrale, dérivées partielles ; puis il explique comment une scène phénoménale est décrite et comment les choses qui jouent sur ce théâtre obéissent à un « scénario » inscrit dans la Nature. Une scène avec décrite avec temps et espace, puis des objets, des mouvements, des interactions, des systèmes isolés et les lois de la dynamique.

Comment se déroule le phénomène ? Comment écrire en quelques formules la feuille de route d’une masse qui se déplace dans un champ de potentiel, avance, tourne, oscille ? Le déplacement d’un objet matériel est décrit avec la donnée du lagrangien et comme le précise Susskind, un principe universel détermine la dynamique d’un système évoluant selon ses tendances naturelles. C’est le principe d’action stationnaire, improprement désigné comme principe de moindre action dans les manuels de physique. Mais avant de comprendre ce principe, il faut commencer par appréhender deux notions, déterminisme et réversibilité, fondamentales en physique classique. Ces notions sont introduites par Susskind avec l’explication de la loi réversible et déterministe caractérisant un système dont chaque état possède une seule flèche arrivant vers lui et une seule flèche qui en part. Ce qui signifie que si l’on sait où on se place, on sait aussi d’où on est parti et où l’on va. Cette règle des flèches entrantes et sortantes permet de formuler différemment le principe de la physique classique et même de l’élargir. C’est le principe de conservation de l’information.

Après cette présentation générale de la physique classique, les équations de Newton arrivent, avec la masse, la force et l’accélération. L’occasion de faire apparaître la spécificité de la physique classique qui est en fait moderne, comparée à celle de Aristote qui est antique (reprise par la scolastique médiévale) et dont la dynamique était mal comprise car Aristote ne connaissait pas le mouvement libre (sans frottement). S’il avait fait du patin à glace, il aurait su qu’il faut autant de force pour patiner que pour s’arrêter. La physique classique ne se réduit pas aux forces de Newton et à l’équation classique reliant l’accélération, la masse et la force, enseignée dans le secondaire. La formulation lagrangienne est plus universelle. Elle repose sur une quantité construite de manière étrange, avec l’intégrale d’une quantité égale à la différence entre énergies cinétique et potentielle, le tout étant calculé pour chaque point de la trajectoire. L’image donnée est parlante. Tout se passe comme si la « particule » était douée de « pouvoirs surnaturels », sentant et choisissant parmi toutes les trajectoires celles qui rend l’action stationnaire. Vous vous demandez peut-être d’où vient cette idée. En fait, les auteurs du manuel ont prévu un second ouvrage, consacré à la mécanique quantique. L’idée d’une particule classique qui « sent » les trajectoires est transposée à partir de la formulation lagrangienne de la théorie quantique des champs par Feynman (pour info, l’équation de Schrödinger est construite à partir de l’hamiltonien). En physique quantique, les particules semblent aussi « tester » des trajectoires mais ces trajectoires ne sont pas dans l’espace classiques ; elles sont dans un autre espace, abstrait, avec des amplitudes de transitions permettant de passer d’un instant à un autre.

Etablir le lagrangien revient donc à formuler pour chaque instant et chaque lieu ce qui se passe dans la dynamique, si bien que la trajectoire semble stroboscopique, représentée par des millions de points ; mais avec le principe du déterminisme, chaque point dépend du précédent et détermine le suivant. Le but du lagrangien est d’établir les lois de la dynamique. La physique classique repose le plus souvent sur des symétries et des conservations. La dépendance au temps est importante. La conservation de l’énergie d’un système est liée à une translation dans le temps. Le lagrangien dépend du temps non explicitement en quelque sorte, avec la vitesse et l’accélération. Il peut y aussi se produire une dépendance explicite, auquel cas, on doit ajouter dans la description un terme ∂L/∂t. L’affaire se complique mais une formulation nouvelle fut proposée avec l’introduction de l’hamiltonien H. Lequel est conservé dans le temps si le lagrangien n’a pas de dépendance explicite (dH/dt = - ∂L/∂t).

L’utilisation de l’hamiltonien apporte une clarté formelle supplémentaire. Mais il faut changer la représentation. Au lieu de l’espace N de configuration propre au lagrangien on utilise un espace des phases qui pour une particule contient 2N dimension. Car la particule est décrite avec la position q et l’impulsion p (égale à m.v, v pour vitesse et m pour masse). Prenez un ressort. Dans l’espace de configuration, les oscillations sont décrites sur un segment de droite. Dans un espace des phases, l’oscillation est décrite par un cercle car il y a deux dimensions, chaque instant du système étant spécifié par une position et une impulsion, q et p. La description hamiltonienne est équivalente à son homologue lagrangienne mais sa manipulation est différente. C’est un peu comme si on voulait démonter et remonter un système en choisissant deux outils différents. Le système ne change pas, les outils oui. Avec le lagrangien, le mouvement est déterminé par une équation du second ordre (deux dérivations) alors qu’avec l’hamiltonien, il faut deux équations mais du premier ordre.

Cette remarque illustre parfaitement le sens de ces deux outils. Le lagrangien commence par une intégration. C’est un peu comme si on remonte le ressort d’une horloge mécanique pour ensuite déclencher le mouvement et suivre ce qui s’y passe. Avec l’hamiltonien, on étudie directement l’horloge en mouvement. J’ai suggéré cette image qui vient à l’esprit grâce à la présentation de Susskind. Les implications philosophiques sont profondes mais pour l’instant elles restent énigmatiques. Je ne les évoquerai pas ici.

Ce voyage dans les outils mathématiques de la physique classique s’achève avec le théorème de Liouville, les crochets de Poisson et la description des champs électrique et magnétique. Ces présentations permettent de donner une vue rapide mais exhaustive sur les différents outils manipulés pour étudier la nature physique d’un point de vue classique. Passé cette frontière, vous entrez dans la physique non classique, c’est-à-dire quantique. Mais avant d’aborder ce domaine étrange, il faut parcourir hamiltonien, lagrangien et ces fameux crochets de Poisson qui permettent de simplifier élégamment les formalismes de la dynamique tout en livrant des propriétés formelles aboutissant vers les commutateurs de la physique quantique (l’un d’eux est à la base du principe d’Heisenberg). Grâce à ces crochets il est possible de formuler des liens « nomologiques » entre les différentes physiques, classique, quantique, relativiste. Dans un autre champ, l’examen des trajectoires paramétrées dans l’espace des phases ouvre vers des problématiques importantes en physique statistique avec le théorème de Gibbs-Liouville qui dit une chose importante : le volume occupé dans l’espace des phases est constant.

Enfin, la dernière partie consacré au potentiel vecteur du magnétisme nous amène vers un principe crucial pour toute la physique contemporaine, celui des jauges mathématiques et des invariances. Les champs de jauge sont indispensables pour décrire nombre de phénomènes physiques. Ils sont abstraits et intuitifs. On peut changer la jauge sans changer la description des choses physiques. Comme l’indique Susskind, cet état de fait est assez étrange. Les phénomènes objectifs sont invariants si l’on change la jauge incluse dans la description des lois auxquelles se conforment ces phénomènes. Les jauges sont nécessaires pour une description physique, mais elles n’ont pas de signification physique, du moins phénoménale.

En conclusion, on ne peut que recommander la lecture du « Minimum théorique » à tous ceux qui s’intéressent à la démarche des physiciens et l’on attend avec impatience le cours consacré à la physique quantique car c’est cette science qui contient la description la plus profonde des choses. Mais c’est plus aux philosophes que je conseillerai de lire ce livre car il donne un accès détaillé à la démarche scientifique moderne et contemporaine. Un penseur de l’envergure de Kant pourrait même faire usage de cette lecture pour fonder une nouvelle métaphysique. Que signifie le lagrangien et que représentent les jauges ? Certainement une clé pour accéder à l’énigme de la Nature.



34 réactions


  • howahkan Hotah 30 juin 2015 07:38

    Ainsi le monde futur sera rempli de mathématicien et de physicien qui feront de la physique et des mathématiques et rien d’autre...

    dans les maths l’erreur fondamentale que je sais ? par une vision étrange, bien que ne connaissant strictement rien à cela ,ayant volontairement rejeté cela bien que doué disaient les profs, est l’ajout du zéro et de l’infini,car ou matière il y a, zéro et infini, il n’y a pas.,il y a 1 et un chiffre inconnu énorme mais fini....le pré matière X est au delà de toute représentation et calcul...cette réflexion était là un matin , je ne sais rien de sa validité réelle...ni les plus doués là dedans non plus d’ailleurs. de meme que aucun physicien ne sait dire dans quoi l’univers serait en expansion.
    ...

    pendant que ces messieurs pensent, leurs esclaves seront aux champs, à la cuisine etc...

    la religion de la science s’est mise au meme niveau que les autres religions....

    et ce des le début....

    nous aurions du aimer les gens , la nature , etc et utiliser les outils dont la science ,mais nous adorons les outils dont la science et utilisons les gens...alors de sens naturel il n’y a plus pour l’humain..

    comme la politique, les religions, l’économie, la science ne contient pas la rédemption des humains..comment un outil le pourrait meme si par schizophrénie il se prends pour le sens...

    que ceci soit écrit et que ceci se réalise ..


    • L'enfoiré L’enfoiré 30 juin 2015 08:57

      @howahkan Hotah,

       Ben oui, il y a les sciences humaines et les sciences numériques qui contiennent la technologie comme levier pour accélérer la science.
       Un choix à faire dans vos études.
       Le numérique n’est pas basé sur le zéro ou l’infini, mais sur 0 ou 1, qu’on appelle « binaire ».
       To be or not to be, that’s the question.
       Même la nature peut être considéré comme binaire.
       Regardez les fractales et vous comprendrez le lien.
       Qu’est-ce qui pourrait contenir la rédemption des humains ?
       L’homme n’est qu’une étape dans l’évolution.
       Comme vous dites, "que ce soit écrit ou non, et que ceci se réalise...
       
       Une bonne lecture pour les vacances, ce livre ?
       Peut-être pas.
       Vulgarisateur ? Pas sûr de pouvoir l’attaquer de front.
       Bernard devrait pouvoir dire s’il l’a pris en vacances de l’esprit. 
       

    • amiaplacidus amiaplacidus 30 juin 2015 11:45

      @howahkan Hotah
      Je vais encore rajouter à votre perplexité. Imaginez qu’il peut y avoir un infini au carré (je simplifie énormément un concept abstrait), même un infini puissance infini (évidemment, nouvelle simplification).

      Les mathématiques sont un magnifique jeu : on se fixe quelques règles de base (axiomes), on joue ensuite et tant que l’on ne contredit pas, on a tout juste.

      Par exemple, Euclide a posé 5 axiomes et à partir de là, on a développé toute la géométrie plane. Cette géométrie correspondait avec ce que qui était perçu du monde physique, je n’irais pas jusqu’à dire que pour Euclide, cette adéquation était un pur hasard, ce n’est pas attenter à sa mémoire que d’imaginer qu’il envisageait des applications pratiques à son travail.
      Au 19em siècle, des mathématiciens (Lobatchevski, Riemann, Poincaré entre autres) sont partis d’axiomes différents et ont développé d’autre géométries (hyperbolique, elliptique,...).
      Et ces géométries, pur jeu de matheux au 19em, ont maintenant des applications tout à fait pratiques, en navigation aérienne, pour construire l’instrumentation de la physique des hautes énergies, en cosmologie, etc.

      Par exemple, posez-vous la question de savoir pourquoi passablement de Chinois, voyageant de Paris à Pékin, passent par Helsinki, pourquoi faire un « détour (apparent ») ?


    • Jean Keim Jean Keim 30 juin 2015 13:42

      @amiaplacidus
      Il y a des concepts « relativement » simples et accessibles comme le zéro dans le sens du rien et l’infini qui est sans limite et toujours beaucoup plus grand que le plus grand nombre imaginable comme par exemple le nombre total de particules élémentaires existant dans l’univers ... et il y aura toujours quelqu’un qui un jour imaginera des infinis comme l’infini à la puissance infini et qui proposera qu’il puisse y avoir des infinis plus grand que d’autres, cela a-t-il un sens, certains en ont perdus l’esprit ?


    • amiaplacidus amiaplacidus 30 juin 2015 16:10

      @Jean Keim
      Je vous réponds par une citation de Shakespeare :
      « Il y a plus de choses sur la terre et dans le ciel, Horatio, qu’il n’en est rêvé dans votre philosophie. »


    • soi même 1er juillet 2015 16:50

      @L’enfoiré, « Même la nature peut être considéré comme binaire.


      Tien un qui oublie la troisième dimensions.


  • Le p’tit Charles 30 juin 2015 08:27

    Il me semble..que Chantal Nobel à eu un prix...grâce à son physique.. ?

    humour !

  • Gasty Gasty 30 juin 2015 11:39

    Est-ce que ça parle des patates survolté jusqu’à 220V et qui délivre 600W de puissance ?


  • leypanou 30 juin 2015 17:19

    « alors il vous faudra en passer par les mathématiques et comprendre les bases élémentaires en usage dans cette discipline » : les mathématiques sont vastes et je ne crois pas que les physiciens puissent avoir besoin de beaucoup de théories mathématiques aussi abstraites que la théorie des ensembles ou la logique sauf à un niveau élémentaire.


  • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 30 juin 2015 21:27

    Bonsoir,

    Il est indéniable que l’outil mathématique ’’fonctionne’’ et qu’il est le plus approprié pour ’’dégrossir’’ les lois de l’Univers. Mais en toute logique – s’il en est ainsi – c’est qu’il permet d’atteindre ’’comme’’ une copie conforme de ce que nous dit d’elle la Nature, comme une transposition, une tentative de traduction, donc une trahison ... Et si ce langage mathématique ’’colle’’ au plus près à ce que nous expérimentons, c’est que l’Univers, la Nature, ses éléments, ses particules et l’énergie dont ce tout émerge, ce tout apparaît comme quantifié et que les parties observées peuvent ainsi être combinées en morceaux (du ♫... => ...) dans les langages inventés par l’humanité ... Mais, de même que ces langages humains sont incomplets et ne peuvent ainsi que dire vaguement CE QUI EN SOI EST (fondamentalement donc …), de même, sans les mots et les schémas ( sans le verbe, dessins … et l’esprit qui rime avec humour ...) les symboles utilisés par la mathématique n’auraient aucuns sens. En effet in fine cette symbolique ne permet de préciser ’’que’’ les mots des langages quotidiens et donc les définitions puis les descriptions d’expériences qu’ils permettent en les domaines où ’’mesurer’’ s’impose.


    Dans la quête de ses origines, c’est en espérant maintenant atteindre la source fondamentale de son Univers – puis du Cosmos – que l’humanité a inventé tous ces langages. Mais jusqu’ici elle n’a pu que ’’cerner’’ ( à Genève … et ailleurs) cette source qui s’annonce comme l’origine de tous nos repères (langagiers, spirituels, mathématiques – cf. cartésiens et autres – ), au seuil de cette source qui à priori ne pourrait plus être comparée à quoi que ce soit qui lui ’’ressemblerait’’ (donc serait à son image ...), et à fortiori aux symboles inventés par la pensée humaine, lesdits symboles n’ont plus aucun sens et par conséquent ne peuvent plus rien ’’exprimer’’.


    C’est dire que ce qui émergerait alors de cette source ne pourrait plus être appréhendé que par un « trink », par une THÉORIE PHÉNOMÉNOLOGIQUE VIRTUELLE VISUELLEment appréhendable qui permettrait de faire LA SYNTHÈSE de tous les points de vue humainement exprimés sur cette Terre, et exprimés nous le constatons par des langages fondamentalement incompréhensibles donc trompeurs. C’est qu’en ces langages et langues l’hanté dit lu vient encore et de plus en plus, l est indéniable que l’outil mathématique ’’fonctionne’’ et qu’il est le plus approprié pour ’’dégrossir’’ les lois de l’Univers. Mais en toute logique – s’il en est ainsi – c’est qu’il permet d’atteindre ’’comme’’ une copie conforme de ce que nous dit d’elle la Nature, comme une transposition, une tentative de traduction, donc une trahison ... Et si ce langage mathématique ’’colle’’ au plus près à ce que nous expérimentons, c’est que l’Univers, la Nature, ses éléments, ses particules et l’énergie dont ce tout émerge, ce tout apparaît comme quantifié et que les parties observées peuvent ainsi être combinées en morceaux (♫... => ...) dans les langages inventés par l’humanité ... Mais, de même que ces langages humains sont incomplets et ne peuvent ainsi que dire vaguement CE QUI EN SOI EST (fondamentalement donc …), de même, sans les mots et les schémas ( sans le verbe, dessins … et l’esprit qui rime avec humour ...) les symboles utilisés par la mathématique n’auraient aucuns sens. En effet in fine cette symbolique ne permet de préciser ’’que’’ les mots des langages quotidiens et donc les définitions puis les descriptions d’expériences qu’ils permettent en les domaines où ’’mesurer’’ s’impose.


    Dans la quête de ses origines, c’est en espérant maintenant atteindre la source fondamentale de son Univers – puis du Cosmos – que l’humanité a inventé tous ces langages. Mais jusqu’ici elle n’a pu que ’’cerner’’ ( à Genève … et ailleurs) cette source qui s’annonce comme l’origine de tous nos repères (langagiers, spirituels, mathématiques – cf. cartésiens et autres – ), au seuil de cette source qui à priori ne pourrait plus être comparée à quoi que ce soit qui lui ’’ressemblerait’’ (donc serait à son image ...), et à fortiori aux symboles inventés par la pensée humaine, lesdits symboles n’ont plus aucun sens et par conséquent ne peuvent plus rien ’’exprimer’’.


    C’est dire que ce qui émergerait alors de cette source ne pourrait plus être appréhendé que par un « trink », une THÉORIE PHÉNOMÉNOLOGIQUE VIRTUELLE VISUELLE qui ferait LA SYNTHÈSE de tous les points de vue humainement exprimés sur cette Terre par des langages fondamentalement incompréhensibles donc trompeurs, langages et langues où l’hanté dit lu vient faire qu’encore et de plus en plus semble-t-il, au fond des cours des habitations et constructions en forme de tour le bât bêle … 

    M-A J.


    • JC_Lavau JC_Lavau 1er juillet 2015 01:18

      @Marc-Antoine JEULLIAU.
      Tout, tout, tout ! Nous saurons tout sur les patates !
      La vraie, la fausse à la mode Cabanel au gué !
      ...


    • soi même 1er juillet 2015 17:32

      @Marc-Antoine JEULLIAU, « dégrossir’’ les lois de l’Univers » une fois qu’il a enfanté l’Univers , il y a eux les patatephysiciens qui se sont disputés de savoir l’Univers est une frite où une chips ?


  • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 1er juillet 2015 19:35

    @ JC Lavau.


    C’est qu’effectivement, né et ayant passé sa jeunesse dans la haute patate (70 …), l’auteur ici moqué – et sachant le faire de lui-même et mieux que quiconque – aurait beaucoup à dire sur ce sujet. Mais déjà, ce qui ci-dessus a inspiré le fond de son intervention c’est que ce qu’il est parvenu à mettre ’’en lumière’’ en ses petits PAS, les Photons-Anneaux-Solitons- a bien été ’’cerné’’ par les langages outils inventés par la pensée humaine, mais que ces langages ont mis l’humanité dans une PURÉE ni spirituellement, ni intellectuellement, ni matériellement comestible et que seule une visualisation virtuelle de CE QUI EST, virtualisation qui SEULE arrive à faire la synthèse de tous les langages l’ayant permise, donnerait aux esprits s’échauffant au moindre souffle les moyens de retrouver … la frite.

    Maintenant, imaginez que, amateur éclairé parce que sorti de sa caverne, vous ayez trouvé ’’ça’’ dont il est débattu ci-dessus et que vous ayez l’audace d’en parler pour tenter d’éclairer de sombres contemporains ... comment est-ce que vous vous y prendriez pour que votre façon de faire ne finisse pas par être jugée impertinente, prétentieuse et hors des rails.

    Si donc il y a parmi vous un(e) infographiste spécialiste de l’animation d’images de synthèse qui s’ennuie et soit prêt(e) à DONNER de son temps pour représenter en animation – et en vidéo – le phénomène que ce modèle du photon petit PAS permet de faire, cette offre ne pourrait qu’être la bienvenue en permettant, dans le seul mode d’expression compréhensible en ce monde et sans espérer décrocher la Lune, le grand pas espéré par la Terre entière vu que les mots – comme aussi les chiffres – finissent toujours par irriter les sens, tous les sens.

    @+, si vous le voulez bien ! M-A J.


  • JC_Lavau JC_Lavau 1er juillet 2015 19:44

    Un autre krank, du reste initialement bien plus qualifié que toi, s’est déjà épuisé à faire de l’infographie très décorative : Gabriel Lafrenière. Facile à trouver.


  • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 2 juillet 2015 01:43

    Ce n’est pas ce genre de basses critiques à la méchanceté gratuite à peine cachée que j’attends. Contacté voilà bien des mois, l’auteur du programme ayant servi à faire les illustrations de la théorie de G. Lafrenière m’avait donné l’adresse où pouvoir me procurer son outil sur le net. Mais ce programme n’est d’aucune utilité pour ce que j’ai à représenter et son auteur, d’un âge certain et probablement échaudé … n’a pas tenu à remettre ses lunettes pour le revoir à ma convenance.

    Il doit en effet être entendu que je ne cherche pas à faire des ronds dans l’eau qui se propageraient continûment, mais des ronds solitons en forme de ’’bouées’’ qui, dans l’eau, se propageraient ’’comme’’ les ronds de fumée le font dans l’atmosphère, de front mais en profondeur et sans se déformer. Ronds qui, et ce n’est pas compliqué à expérimenter, se comportent soit comme des ’’objets’’ ondulatoires, soit comme des objets ’’corpusculaires’’ . Et cela selon les conditions et la façon de se présenter de ’’l’objet’’ avec lequel ces solitons interagissent. Autrement dit, en les termes d’une MQ finalement mal fagotée et incomplète, selon l’appareil de mesure utilisé pour les observer.

    Mais bon ! « cría cuervos y te sacarán los ojos ... »

    M-A J.


    • JC_Lavau JC_Lavau 3 juillet 2015 02:54

      @Marc-Antoine JEULLIAU.
      Ta p’tite tête de piaf échoue à assimiler que depuis Thomas Young, il a été accumulé un énorme corpus expérimental, définitivement incompatible avec toute réification du photon, que ce soit en ronds de fumée ou autres.
      Ta p’tite tête de piaf échoue à démontrer pourquoi il faut de si grandes antennes de radiotélescopes, pour capter tes petits ronds de fumée.
      Ta p’tite tête de piaf échoue à se rendre compatible avec les énormes services rendus par la radiocristallographie depuis le début des années trente.
      Etc.


  • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 3 juillet 2015 13:42

    Du Photon-Anneau-Soliton.


    Au 19ième siècle, dans les expériences fondatrices de Faraday et d’Œrsted il avait été observé l’orientation particulière que prend l’aiguille aimantée d’une boussole lorsqu’elle est approchée d’un fil métallique conducteur dans lequel circule un courant électrique.


    Ainsi, dans le repère terrestre, si l’on maintient horizontalement une feuille cartonnée saupoudrée de limaille de fer et traversée en son centre par un fil conducteur dans lequel circule un courant électrique intense, cette limaille s’organise en ronds concentriques qui de ce fait matérialisent des lignes perçues comme émergeant de l’espace.


    Faraday avait interprété ces ronds concentriques comme étant des lignes rendant observable un champ qu’il qualifia de magnétique et qui devait emplir tout l’espace, autrement dit comme les manifestations ridées d’un substratum spatial préexistant qui ne se manifeste ainsi que lorsqu’une charge électrique se déplace en lui.


    Au 19ième siècle, les courants électriques avaient encore des aspects inconnus et n’étaient produits et observés que dans des fils conducteurs servant de ’’guides’’ autour desquels les lignes magnétiques étaient observables.


    Faraday ne l’étant pas ( à l’instar de l’auteur de ces lignes …) ce fut le mathématicien J.C Maxwell qui trouva le modèle permettant de formaliser le phénomène observé. Un modèle dit synthétique unifiant magnétisme et électricité et qui, depuis, a reçu le nom de théorie de l’électromagnétisme. Modèle éminemment concis il est vrai, parce que établi dans un langage utilisant des symboles n’admettant ni les synonymes, ni les jeux de mots, ni l’esprit véhiculé par l’humour. Mais modèle qui, nous le verrons, avait ses limites. Très loin de décrire la réalité qui se fait jour, ce modèle mathématique idéale … et qui marche … est à la physique ce que le contenu d’un livre peut être au livre, avec ou sans majuscule : un cul de sac invraisemblable.


    Aujourd’hui nous pouvons enfiler des scaphandres de spationautes et nous projeter idéalement très loin, hors de tout champ de force. Là nous allons construire un accélérateur d’électrons à moindre prix, celui de l’imagination souvent reconnue comme ... n’ayant pas de prix. Le canon à électrons de cet accélérateur pointe hors du vaisseau spatial. Il se trouve à l’extrémité d’une ligne de lumière matérialisée dans l’espace par un rayon laser émis de l’astronef. À quelques encablures de ce vaisseau une anode accélératrice est alignée sur le canon à l’aide du rayon laser. Comme dans tout type de semblable montage la vitesse des électrons sera fonction de la tension électrique produite à discrétion entre le canon cathodique et la cible anode accélératrice qui elle servira aussi de cible au flux d’électrons.


    Expérience(s) 1 : La charge positive de l’anode est au maximum de ce qui peut être obtenu du dispositif. Un flux d’électrons de très grande intensité et hyper-focalisé est produit. Ce flux d’électrons est un courant électrique circulant dans le vide. Sur son trajet pour atteindre la cible, ce flux traverse un nuage de limaille de fer. Tout du long du flux électronique, de même qu’il le ferait le long d’un fil conducteur, le nuage de limaille se structure instantanément en les anneaux dits de champ ’’magnétique’’, donc en boucles ’’magnétiques’’ concentriques.


    Observation faite et photos calibrées prises, l’expérience est reproduite à l’identique, en baissant toutefois la tension accélératrice. L’observation physique et les photos calibrées peuvent témoigner que les anneaux ’’magnétiques’’ matérialisés par la limaille sont de moindre ’’grosseur’’ que lors de la première expérience. Des expériences renouvelées en utilisant des tensions accélératrices de plus en plus faibles confirment bien que les anneaux observés diminuent de ’’volume’’ en fonctions de la baisse de la tension accélératrice. Ce que pouvait d’ailleurs parfaitement prédire la théorie électromagnétique académique. Mais bon !


    Expérience(s) 2 : Même schéma, même scénario. Cette fois nous n’allons plus diminuer la tension accélératrice à chaque réitération de l’expérience, mais faire varier l’intensité du courant électrique, autrement dit diminuer le nombre d’électrons que le canon émet dans le flux et qui sont toujours accélérés sous la tension maximum permise par le dispositif, c’est à dire toujours à la même vitesse. De même que précédemment nous avions pu voir diminuer la grosseur des anneaux matérialisés par la limaille de fer à mesure que la vitesse des électrons diminuait elle aussi, de même nous observerons que la grosseur de ces anneaux diminue ici en fonction de l’intensité du flux, donc du nombre d’électrons en mouvement dans ce flux.


    Et quand il n’en restera qu’un … il pourra être suivi tout du long de son trajet et son observation pourra être soutenue par une logique irréprochable, non probabiliste et assise sur un calcul mathématique des plus simples : une soustraction. Cet électron solitaire devra en effet être accompagné d’une boucle magnétique individuelle initialement contenue dans la boucle magnétique totalisante observée lorsqu’il se déplace en groupe parmi les milliers d’autres électrons d’un courant électrique et qui boucle (dit la théorie contemporaine des champs) comme ’’émerge’’ d’un champ mis ainsi en évidence, champ dit magnétique et qui emplirait tout l’espace.


    Maintenant, si cet électron solitaire change de direction ou est stoppé localement avant que d’atteindre l’anode accélératrice, alors cette anode sera observée recevant un photon quasi pointilliste émis par l’électron tangentiellement à sa trajectoire et qui peut être observé sous une nature ondulatoire ou corpusculaire parce que anneau-soliton quasi pointilliste. Anneau-soliton se propageant transversalement en ayant un spin droit ou gauche donné par l’électron émetteur, spin qui ici est l’équivalent de la polarisation dite de la lumière. Ainsi, en permettant l’unification (texte à venir) de tout CE QUI EST, en toute logique le modèle de ce Photon-Anneau-Soliton ne peut être que ce qui a été observé tout du long du trajet de l’électron sous l’aspect d’une boucle dite magnétique. Et cette boucle elle-même ne peut être, comme c’est le cas pour un sous-marin en déplacement dans les profondeurs d’un océan, que la ’’vague d’étrave’’ en forme d’anneau-soliton produite par l’électron en mouvement dans un substrat emplissant tout l’espace, substrat quantifié analogue à un liquide et qui peut expérimentalement être admis comme étant le repère absolu rejeté par la relativité.


    Il va aussi sans dire qu’ainsi modélisé le Photon-Anneau-Soliton se propage comme une vague solitaire se propage dans l’eau, et que de ce fait il ne peut plus obéir au modèle de Maxwell : sa propagation solitaire ne se fait pas dans un champ dit magnétique et ne produit pas une onde sinusoïdale se propageant transversalement à lui dans un autre champ dit électrique. Autrement dit, ce modèle du PAS montre que toute la physique idéalisée en l’interprétation mathématique est à revoir à l’aune d’une réalité unificatrice. Enfin ? Enfin.

    @ + ; M-A J.







    • JC_Lavau JC_Lavau 3 juillet 2015 19:44

      @Marc-Antoine JEULLIAU.
      Un traducteur chinois pourrait t’aider à résumer compendieusement tes nobles travaux :

      C’était au temps où toute l’Europe de l’Est était colonie de l’URSS, derrière un Rideau de Fer.

      Un communiste tchèque doit faire un voyage politique très important en Chine. Il est poliment reçu à l’aéroport par une délégation de communistes chinois, au visage impassible sur leur costume Mao.

      En bon communiste tchèque, dès qu’il est en face des chinois, il prend la parole et la garde, leur fait un long et solide discours, en tchèque. Au bout de trente-cinq minutes, un taon le pique, et il doit s’interrompre pour se donner une claque. L’interprète en profite pour traduire : « Ping ! ».

      Le communiste tchèque reprend le fil de son discours, et tient comme cela encore trente minutes. Il doit reprendre son souffle, et l’interprète en profite pour traduire : « Ping Hong ! ».

      Le communiste tchèque reprend son discours et s’arrête brusquement vingt-trois minutes plus tard. L’interprète traduit alors : « Ping Hong Chun ! », et les communistes chinois applaudissent avec enthousiasme.

      Dans la grosse Zis qui le conduit avec son interprète vers l’étape mondaine et politique suivante, le communiste tchèque en profite pour demander à l’interprète comment il a fait pour traduire aussi vite et aussi bien, en sorte que les chinois aient visiblement compris toute la géniale dialectique du discours tchèque.

      « C’est très simple, répond-il, la première fois, j’ai traduit par « Ping », ce qui veut dire « sottise ». La seconde fois, j’ai traduit par « Ping Hong », ce qui veut dire « Toujours sottise ». La troisième fois, j’ai traduit par « Ping Hong Chun », ce qui veut dire « Sottise terminée maintenant ». C’est ce qui leur a fait tant plaisir. »

      Ping Hong !


    • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 3 juillet 2015 22:18

      @JC_Lavau

      Il me semble que nous ne sommes pas ici dans une grande école en train d’assister à un cours de physique-mathématique ... !

      Ce qui ci-dessus a été rappelé en début de mon intervention et ce qui a suivi de mon cru (et ce qui va suivre ...) n’aurait pas pu être traduit et donc ’’condensé’’ dans le langage mathématique puisque c’est cette façon d’exprimer, soutenir et simplifier la physique dite fondamentale – et à fortiori les modèles maxwellien – qui y est ici et en premier lieu remis en cause.

      La seule ’’simplification’’ possible à apporter à mon laïus serait de pouvoir assister visuellement à une manifestation du phénomène décrit, représentation soutenue par ce qui se sait aujourd’hui et est expérimentalement admis sur le sujet. Mais manifestation-représentation pouvant maintenant être faite sans qu’aucun mot, ni qu’aucune formule mathématique dite savante ne soient utilisés et que, malgré cela, quel que soit la langue dans laquelle il s’exprime (maternelle ou non) tout individu né sur notre Terre serait en mesure de comprendre.

      Et puisque le phénomène dont il est question se déroule dans des dimensions infinitésimales auxquelles nos sens n’ont pas accès, il ne reste que l’analogie permise par le virtuel, autrement dit par l’animation d’images de synthèse.

      En attendant qu’une âme charitable se présente, il ne vous reste qu’à prendre une feuille et un crayon et, si ça vous chante, à tenter le dessin en suivant mon explication phénoménologique : J. Gréa aurait pu confirmer le dit-on, un bon dessin vaut mieux qu’un long discours. Mais CE QUI EST n’étant qu’énergie-matière en propagation-mouvement l’invention de l’image animée a aujourd’hui dépassé le bon vieux dessin.

      Mais bon ! Ici et maintenant ce sera bien comme vous voudrez vu que j’aurai fait tout ce que me permettaient mes ’’art’’ et compétences … ./


  • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 4 juillet 2015 02:02

    Pour qui n’aurait pas suivi l’histoire du Photon-Anneau-Soliton

    Par la pensée se rendre dans l’espace, en apesanteur, avec un ballon de basket dans une main. Se dire que ce ballon est un électron au repos dans cet espace.

    Toujours par la pensée, faire tourner rapidement ce ballon comme une planète possédant un champ magnétique et le pousser pôle nord ou sud en avant à grande vitesse sur une trajectoire rectiligne.

    Dès lors imaginer qu’une bouée en anneau s’est matérialisée sur l’avant, autrement dit sur l’étrave du ballon et s’y maintient collée pendant tout son déplacement. Comprendre que de même que la vague d’étrave produite par un navire en mouvement sur une étendue d’eau ’’comme roule’’ sur cette étrave, de même notre bouée ’’comme roule’’ sur elle-même comme on le ferait d’un crayon entre ses doigts, et plus précisément comme une bague en caoutchouc mou que nous retirerions difficilement de notre doigt en la faisant tourner transversalement comme ladite vague, mais aussi et en même temps en la faisant tourner comme une chambre à air fixée à une roue tournant sur son axe. Le mouvement de ’’roulement transversal’’ de cette bouée fictive étant donné par le déplacement du ballon-électron dans le substrat emplissant tout l’espace, et sa giration de toupie lui étant donnée par celle du ballon illustrant le spin reconnu possédé par un électron.

    La bouée étant la matérialisation de la vague d’étrave que le ballon-électron produit dans l’espace lors de son déplacement, cette vague d’étrave se détachera et poursuivra son chemin en ligne droite lorsque le ballon sera brutalement stoppé (ou changera de direction).

    Dans la théorie non rendue publique que ce modèle introduit depuis plus de 40 ans, la bouée et ses deux ’’rotations’’ imbriquées modélisent ce que la physique contemporaine et l’optique ondulatoire appellent un PHOTON ou grain de lumière, quantum observé soit comme un ’’truc’’corpusculaire possédant un spin lui conférant une polarisation, soit comme une onde transversale. Ce qui est parfaitement rendu par le modèle réaliste proposé qui n’est probablement pas traduisible dans le langage mathématique, autrement dit formalisable.

    Et c’est en gros ce que le long texte ci-dessus tentait d’expliquer en essayant d’être le plus près possible du phénomène, donc le plus précis possible. Mais bon ! Si cela semble encore tiré par les … je veux, c’est qu’en … minimum vieillesse et minimum santé, ne pouvant faire plus que ce que je peux, il semblerait qu’ici aussi cela irrite un Bohr né.


    • JC_Lavau JC_Lavau 4 juillet 2015 12:42

      @Marc-Antoine JEULLIAU. Ping Hong !
      La lumière polarisée plane existe. Les ondes radio bien polarisées à l’émission existent. ==> Les délires corpuscularistes n’auront jamais la moindre validité physique.
      S’en tenir aux équations de Maxwell, 1873.


  • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 4 juillet 2015 21:53

    Les équations de Maxwell font partie d’une ’’recette’’ mathématique dont se régalent ses amateurs et qui en ce sens ’’fonctionne’’. Recette ’’idéelle’’ qui ne décrit pas ce qu’une ’’réalité’’ observable de visu pourrait être ou EST.

    Mais ce modèle est la transcription-traduction, dans le langage des maths, du modèle prôné par Faraday qui au 19ièm s. ne pouvait savoir qu’un électron solitaire pouvait être observé en mouvement dans un substrat spatial du genre éther. Déplacement qui produit, nous l’observons expérimentalement tout autour de l’électron, une ligne observable comme ’’un anneau et dite magnétique parce que l’aiguille d’une boussole s’y oriente’’. S’il avait pu se douter de cela, il est évident que la théorie du champ qu’il nous a laissée n’aurait pas pu voir le jour en les termes qu’il a utilisés, et qu’en voulant transposer cette vision en son mode d’expression préféré Maxwell n’aurait pas composer le morceau chiffré qui met encore toute sa troupe au pas cadencé calculé … et non encore aux PAS, autrement dit en la Propagation en Anneau Spatiale très spéciale du Photon-Anneau-Soliton.

    Encore une fois, le Photon-Anneau-Soliton dont il s’agit ici est une visualisation objective, autrement dit un ’’objet’’ pouvant être comparé à un rond dans l’eau, rond qui s’y propage non plus en surface mais dans les profondeurs et cela sans se déformer (d’où l’aspect soliton) tout en ayant un SPIN OBSERVABLE qui est ’’comme’’ un ’’mouvement’’ de giration effectué autour d’un axe ? Ceci parce que les molécules d’eau qui ’’matérialisent’’ cet anneau-onde-’’corpuscule’’ ne tournent plus en ronds sur des plans pouvant être dits transversaux à la propagation de la perturbation ondulatoire (à l’anneau donc) mais en décrivant, à l’intérieur et tout du long de la circonférence de cet anneau, des trajectoires en spirales. Pour ’’voir ça’’ il suffit d’imaginer qu’une grosse pierre tombe en tournant comme une toupie en touchant la surface d’un plan d’eau, pierre dont on peut suivre la trajectoire dans les profondeurs tout en pouvant y observer ’’en soi’’ la vague d’étrave qu’elle y produit …

    Mais bon ! Dans la vie chacun commence à avancer comme il le ’’sent’’, autrement dit comme il a été lancé … Et c’est bien connu. Et quand ça ne tourne pas rond … c’est très très, mais très carré. Ou dans le désordre complet.

    Toupie hors note … ! ? TOUPIE ./

    Maintenant serait-ce trop demander que de solliciter le soutien – sans parti pris – de celles et ceux qui lisent ce forum. Leur présence et nombre conditionnera la suite de mes interventions. Pour cela il suffit de cliquer sur le ’’bouton’’ prévu afin de se manifester sur une de mes interventions par un vote comptabilisé par un compteur … Mais rebond !

    @ + ? … M-A J.


    • JC_Lavau JC_Lavau 4 juillet 2015 22:06

      @Marc-Antoine JEULLIAU. Le génialissime krank persiste à oublier que la lumière polarisée plane EXISTE. Même les abeilles s’en servent. Les photographes aussi.
      Le génialissime krank persiste à oublier que les interférences EXISTENT. Même avec des électrons, des protons, des neutrons, des atomes d’hélium, des fullérènes, voire des molécules d’insuline.
      Le génialissime krank persiste à oublier que l’expérience d’Afshar a été faite.
      Le génialissime krank persiste à oublier que la radiocristallographie sait remonter de la largeur des raies réflex à la dimension des cristallites. J’ai même confondu un escroc international grâce à ça. C’est incompatible avec la réification d’un photon qui serait distinct de la solution des équations de Maxwell.
      Etc.
      Le génialissime krank persiste à nous faire ch-aque fois la même chose.


    • JC_Lavau JC_Lavau 5 juillet 2015 03:12

      @JC_Lavau.
      J’oubliais de rappeler que l’astronomie interférentielle à large base existe et fonctionne bien.
      Ça ne marche que parce que les photons sont des bosons.
      Par exemple les photons qui nous viennent de la grande Galaxie d’Andromède ont atteint chacun une largeur de 265 000 km pour ceux de 4,5 µm de longueur d’onde ; de l’ordre de la seconde-lumière, ou de la distance Terre-Lune. Cette largeur partagée leur a amplement permis de se synchroniser en fréquence, phase et polarité.
      http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/Physique/Microphysique_contee.html
      http://citoyens.deontolog.org/index.php/topic,2201.0.html

      S’ils n’étaient bosons, et s’ils ne se propageait pas selon la géométrie des fuseaux de Fermat, tintin ! Plus d’astronomie interférentielle à large base !

      Il n’y aurait plus de lasers ni de masers, non plus...

      Ah oui, le krank n’a jamais manipé sur un laser, ni sur l’optique interférentielle...
      Dugué non plus, du reste.


  • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 5 juillet 2015 08:31

    BonTout.

    Qui lit ce forum aura sans doute compris que celui qui m’a pris pour un virus de la grippe, voire de la ch-asse ou de la moins prosaïque colique, (cf. le : persiste à nous faire ch-aque ...) est un farouche adversaire de la Mécanique Quantique, et qu’il ne se pose plus la question de savoir, puisque ses réussites sont nombreuses, si en allant vers plus de réalité elle ne pourrait pas être améliorée. Non, voulant avoir raison à tous prix, le quidam nous refait ici le coup déjà fait par lui à Wikipédia vu qu’il ne faut surtout pas le corriger ou contredire. Aussi laissons là ce genre d’affamé de triomphes dialectiques en tous genres retourner à son cure-dents et au grattages de gencives crocodiliennes, vu que cela semble lui apporter de quoi se repaître de restes non encore digérés. Ping Hong Chun … Tout krank qu’il puisse être il peut encore apprendre, la preuve ./


    L’expérience d’Afshar est une expérience de MQ visant à montrer qu’on peut outrepasser le principe de complémentarité de Niels Bohr, en permettant d’observer, simultanément, l’aspect corpusculaire et ondulatoire de la lumière. Et cet aspect ondulatoire et corpusculaire de la lumière est précisément ce que la théorie que je propose permet d’illustrer et qui, soutenue par l’expérience, permet d’expliquer d’une façon ’’réaliste’’ les explications alambiquées de l’interprétation copenhaguienne de la MQ. Ainsi cette expérience d’Afshar soutient la théorie que j’émets, et cela d’autant plus qu’elle est faite avec des trous circulaires et non plus avec des fentes de Young. Par conséquent, vu qu’il est au faîte de certaines connaissances, je ne vois pas pourquoi l’intervenant précédent cite ladite expérience comme une contradiction rédhibitoire de ma théorie. Mais bon ! Trop estomaqué peut être ? C’est alors possiblement une question de PH. Ding dong … passing-shot … dur dur !


    Le photon ondulatoire-corpusculaire de ma théorie, le Photon-Anneau-Soliton, peut être représenté par l’animation visible à l’adresse suivante et trouvée sur le net il y a plusieurs années déjà alors que j’y cherchais des infographistes ’’amateurs’’ qui pourraient m’aider à faire – gracieusement – les animations dont ma théorie a besoin.

    C’est à l’adresse suivante et encore un grand merci à qui, au bout du monde, a imaginé et produit ça : http://tumblr.shockblast.net/post/49253138859


    Cette anime est en effet idéale pour illustrer le Photon-Anneau-Soliton ou ’’objet’’ ondulatoire-corpusculaire de ma théorie qui, sans se déformer, viendrait de face vers l’observateur en se ’’propageant-déplaçant’’ dans un substrat emplissant tout l’espace.


    Dans cette animation les avants-bras qui spiralent sont représentatifs des molécules constitutives du substrat spatial nécessaire à cette propagation ondulatoire. Ces molécules sont en mouvement spiral – donc vibratoire – dans le ’’corps’’ du Photon-Anneau-Soliton. Et ce Photon est aussi ’’corpusculaire’’ puisque localement observable comme un anneau, et ’’ondulatoire’’ puisque perturbation vibratoire en forme d’anneau soliton de l’espace. Ainsi, ce que nous observons ici est la propagation transversale d’un soliton en anneau, propagation polarisée produite par les ’’mouvements internes’’ en spirales de ses constituants’’. Et ces ’’attributs’’ du Photon-Anneau-Soliton sont finalement causés par la propagation-mouvement de l’électron qui l’a émis. C’est que cet électron en mouvement dans l’espace aurait pu être observé possédant un spin tout en se déplaçant sur sa trajectoire … comme cela a déjà été longuement explicité dans les interventions précédentes de l’auteur.


    Maintenant, lorsque plusieurs de ces Photons-Anneaux-Solitons sont émis à des intervalles de temps identiques, ils forment un train ’’ondulatoire-corpusculaire’’ pouvant être interprété et observé comme une onde dite électromagnétique, voire comme le train d’onde de la MQ. Et c’est probablement pour cela que les recettes mathématiques de Maxwell et de Schrödinger fonctionnent lorsqu’ils sont utilisés en électromagnétisme et en Mécanique Quantique.

    En relativité générale, la gravitation est formalisée en un modèle de la géométrie laissant entendre quelle est due à une courbure de l’espace ; courbure qui y serait produite dans tous les plans par les masses qui y baignent et qui sont, nous a démontré Einstein, constituées d’énergie. La lumière étant maintenant couramment observée comme déviée par la courbure spatiale produite par une masse importante, nous sommes amenés à penser – malgré le fait que cette lumière est reconnue comme ne possédant pas de masse – que l’énergie dite ’’pure’’ comme le serait un Photon-Anneau-Soliton est aussi à l’origine d’une courbure de l’espace dans lequel il se propage-déplaçe. Ainsi cette courbure est symptomatique de la gravitation produite par toute énergie-matière, autrement dit par toute particules ondulatoire-corpusculaire. Et cette courbure se propage dans l’espace et en disparaît à la vitesse de la lumière lorsque de la matière-corpuscules y est désintégrée.


    Si donc nous voulions observer la courbure produite dans cet espace par un Photon-Anneau-Soliton que l’on ne peut arrêter au risque de le faire ’’ondulatoirement’’ disparaître, nous serions contraints de tenter de suivre son ’’éternel’’ propagation-mouvement à la vitesse « c » et cela en nous asseyant dessus comme l’avait, dit l’histoire, rêvé Einstein dans sa jeunesse.


    Ainsi, vu que cette courbure ’’gravifique’’ doit se propager et disparaître à la vitesse « c » de la lumière, en toute logique CETTE COURBURE NE PEUT ÊTRE MANIFESTE QU’À L’INTÉRIEUR D’UN PHOTON se déplaçant déjà à cette vitesse, autrement dit cette courbure ne pourrait être localement QUE CELLE DE L’ESPACE EN VIBRATION LOCALE DONNANT L’ÊTRE à UN PHOTON-ANNEAU-SOLITON … ou à tout quantum d’énergie se propageant-déplaçant lui-même à la vitesse « c », autrement dit À LA MATIÈRE qui se structure lors des interactions de ces quanta.


    C’est dire que, sous cette lumière aveuglante à laquelle l’auteur de ces lignes s’est accoutumé lors d’une quarantaine studieuse, réflexive et solitaire, tout est à revoir. Ainsi ce modèle du Photon-Anneau-Soliton permet de prédire et de virtuellement pouvoir assister par la simulation sur ordinateur à ce qui ’’réellement’’ doit se passer lors de la rencontre de deux Photons-Anneaux-Solitons gamma. Cette interaction, où la gravitation n’est pas absente, donne en effet naissance à deux particules pondérables, un électron et un positron. C’est dire que ce modèle permet d’assister virtuellement à la matérialisation de l’énergie des deux « g » en 2 charges électriques dont on pourra ’’voir’’ battre les cœurs, donc en 2 particules pondérables, donc à la matière qui nous compose. L’unification de ce qui a été appelé forces et matière est alors consommée … N’oublions pas en effet que lorsque nous touchons quelque objet que ce soit, de même que l’être vivant que nous saluons, nous entrons en contact avec les électrons périphériques des atomes qui les constituent, c’est-à-dire avec des charges analogues, voire identiques à celles que la physique décrit comme composant les nucléons.


    Ce qui s’impose alors, Ici et maintenant, c’est que TOUT CE QUI EST est manifestations vibratoires stationnaires et composites pouvant être réduites en solitons-anneaux locaux, autrement dit en vibrations se propageant en l’intérieur d’un espace-temps-éther. C’est dire, avec de nombreuses philosophies voire religions, que TOUT est en UN puisque TOUT émerge de ce substratum spatial unique, de ce champ unique, de cet éther des terres.


    Et puisqu’il faudra bien le dire, il n’y a pas là de BEH qui tienne.


    @+ … M-A J.


    • JC_Lavau JC_Lavau 5 juillet 2015 13:40

      @Marc-Antoine JEULLIAU. Dans le cours de psychopathologie adultes, c’est ce que le prof désignait par « délirant chronique ».
      Légèrement calmable, mais incurable à ce stade.


  • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 10 juillet 2015 06:07

    BonTout.

    Bingo … !

    J. Gréa m’avait prévenu, lui qui m’avait proposé gracieusement la formation mathématique par lui jugée nécessaire si je voulais ’’discuter’’ de mon modèle avec le monde dit savant : « Sans formalisme mathématique pour exposer un tel modèle, vous allez être traité de fou par ceux qui ne voient le monde qu’à travers ça … » D’où l’avatar que je me suis choisi pour couper court aux supputations … et qui ne manque pas d’inspirer et solliciter les ’’mЀmes’’ ./

    Lors de nos 2 rencontres, je n’avais pas eu le temps, ni à l’époque les arguments (fin 198*... ) pour le convaincre que si les maths avaient permis de ’’cerner’’ ce modèle et de l’approcher au plus près, je ne voyais alors pas comment ces maths pourraient expliquer-formaliser l’origine d’un repère, quel qu’il soit … ? Je ne vois toujours pas … De l’origine de notre Univers en passant par le zéro origine des nombres, puis par l’origine d’un repère cartésien ou d’espace-temps, si quelqu’un à une idée c’est le lieu ici d’en faire profiter la galerie.

    M-A J.


  • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 28 juillet 2015 15:14
    BonTout.

    Pour les Bohr nés, une citation d’Einstein / Infeld venant à propos tirée d’une relecture estivale et festive de ’’L’évolution des idées en physique’’ (pbp N° 47, 1978 ; p. 257) : « Les idées fondamentales jouent un rôle essentiel dans la formation d’une théorie physique. Les ouvrages de physique sont remplis de formules mathématiques compliquées. Mais c’est la pensée, ce sont les idées qui sont à l’origine de toute théorie physique. Les idées doivent plus tard revêtir la forme mathématique d’une théorie quantitative pour rendre possible la comparaison avec l’expérience. »

    MA J.

    • JC_Lavau JC_Lavau 29 juillet 2015 11:56

      @Marc-Antoine JEULLIAU. Merci de cet aveu : jamais rendu compte d’aucun résultat expérimental. C’était évident depuis le début, mais avec un aveu en plus, c’est encore mieux.


    • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 31 juillet 2015 09:55

      @JC_Lavau

      Un aveu … ! ? Quel aveu ? Re-bingo ! Y’en a qui feraient bien de se souvenir que si les paroles passent les écrits restent, et que voir le monde à travers une grille d’interprétation perso n’est pas signe d’être le bon d’yeux ...

      Ce sont Einstein et Infeld qui étaient cités et là faisaient de l’esprit en le soufflant gaiement d’outre tombe. Rien de plus. Ce qu’il me reste à écrire mérite en effet de l’être ailleurs qu’en ces commentaires où l’on peut voir que qui n’est qu’un jacques se prend pour JC et signe de ces royales initiales croyant probablement qu’ainsi il lave haut la main tout ce qui lui vient de plus bas … que là où il se croit perché.

      Triste vie en vérité que celle d’être sans cesse à la recherche de l’altercation et de n’avoir que l’invective et l’insulte à exprimer alors que tout ce qui nous a fait vivre fut appris des autres. Mal_appris … ! ? Pour sûr ! Malappris qui croyait prendre. Oui, Oui ! Lors d’un éclair de lucidité ça doit être vraiment triste de prendre conscience, in fine, vieux ... qu’on ... va finir ainsi vu qu’on aurait pu faire autrement.

      Mais bon ! Ne s’assied pas à la table qui veut. Et ça c’est un aveu : même s’il n’en a rien à fiche voilà plus de 4 décennies que M-A J. y a été admis ./



    • JC_Lavau JC_Lavau 31 juillet 2015 12:19

      @Marc-Antoine JEULLIAU. Kestatan pour apprendre la physique et devenir prix Nobel ?


    • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 22 août 2015 06:29

      @JC_Lavau 

      D’où viens-je ? Qui suis-je ? Où vais-je ? … 
      J’ai toujours suivi ce que j’étais que je me proposais de re-suivre, autrement dit : je suis ce que je suis que je suis … Mais inconsciemment j’attends peut-être que d’aucuns, tel un JC de l’église des cas allumés et véhéments officiant sur cet espace, trouvent un calumet, autrement dit qu’ils cassent leurs pipes … Et avant moi si possible … 
      C’est dire si, dans mon état, je me satisfais de peu ._____


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