vendredi 18 décembre 2015 - par Bernard Dugué

Cancer, Alzheimer, etc. Guérir, vivre ou mourir

Si la médecine a progressé depuis quelques siècles pour soigner les pathologies dites courantes, elle bute actuellement dans le domaine des maladies dites incurables. Parmi lesquelles les plus connues sont Alzheimer, Parkinson et une partie non négligeable des cancers. On doit aussi y ajouter le diabète ainsi que le sida, pathologies dont le point commun est d’être incurable tout en autorisant moyennant certaines corrections une existence durable mais pas forcément « confortable ». Toutes ces pathologies incurables abrègent la vie avec souvent de grandes souffrances. Mais que peut faire la science et qu’espérer au juste des progrès dans la médecine et les sciences du vivant pour contrecarrer le développement de ces longues maladies au sombre pronostic ?

La science développe des recherches. Aucune prédiction n’est envisageable quant au succès de ces recherches. Sur le « papier », le système scientifique de la santé a pour objectif de guérir ou d’améliorer le cours de ces maladies incurables. Dans les faits, le système scientifique produit des résultats, des publications et des traitements et c’est un système au sens du sociologue Luhmann, un système qui n’a pas forcément en vue la santé publique mais qui définit à l’intérieur de son fonctionnement ses finalités propres. C’est par exemple le cas du système médiatique qui ne se soucie pas d’élever le niveau de connaissance du public ou de lui donner des données pertinentes pour l’existence. Les médias se sont donnés comme finalité la production de l’information en direction des masses en attente de consommer ces informations. En suivant un raisonnement symétrique, la recherche médicale n’a plus forcément le sort des sujets malades comme finalité mais l’élaboration de produits dont la finalité est d’être prescrits pour être consommés moyennant quelques études statistiques censées prouver une efficacité évaluée selon les normes permettant de calculer cette efficacité.

Peut-on faire confiance aux statistiques et croire en l’efficacité des traitements chimiothérapiques ? Je doute. Les chiffres sont peut-être significatifs mais vous pouvez constater dans votre entourage le nombre de proches ou de connaissances affectés par une issue fatale.

Je ne peux pas prédire l’avenir de la recherche mais je crois impossible d’éviter une hypothèse de travail plausible, celle d’un essoufflement des découvertes thérapeutiques et d’une impasse dans la recherche si elle suit le principe de la médecine moderne qui repose sur l’action d’une forme moléculaire sur une cible dans le cadre d’une conception réductionniste et mécaniste de la vie. Cette hypothèse expose l’éventualité d’une bataille qui ne peut être gagnée contre le cancer. Auquel cas, il faut accepter l’issue de cette pathologie comme on accepte de devoir mourir un jour. Quand je dis bataille jamais gagnée, je ne pense pas à un surplace mais à des recherches qui avancent sans jamais percer.

La configuration est claire. Le plus difficile est de convaincre les patients et les scientifiques de la nécessité de prendre des chemins de recherche nouveaux. Quelques-uns n’hésitent pas à chercher autour du métabolisme en mobilisant les vieilles théories de Warburg. Mais ce que l’on trouve le souvent sur le « marché » des thérapies alternatives, ce sont des pratiques relevant du charlatanisme. Et c’est ce point qu’il faut analyser car une sophistique dévoyée se sert de ces charlatans pour affirmer la légitimité d’une seule approche, celle de la médecine scientifique institutionnelle. Cette stratégie visant à rendre proéminent un adversaire illégitime se retrouve dans d’autres domaines. C’est le cas de l’évolutionnisme darwinien. Celui qui ose critiquer Darwin se voit traité de créationniste. Celui qui ose mettre en cause la Cop-21 est caricaturé comme un abruti niant le climat. Fin de parenthèse.

Retour à la science. Le cancer, comme Alzheimer, est une maladie dont le cours est irréversible. La médecine moderne consiste à stopper le développement de la pathologie comme on colmate les voies d’eau d’un bateau en train de couler. Parfois ça marche dans quelques types de cancer. Ce sont des cellules qui sont détruites afin qu’elles n’envahissent plus l’organisme. Le succès est d’autant plus assuré que la cible est accessible à l’opération, qu’elle soit chirurgicale, radiative ou moléculaire. Dans le cas d’Alzheimer, ce sont des neurones indispensables au psychisme qui dégénèrent sans que l’on ne puisse stopper le processus moléculaire en cause, pour autant que ce processus soit clairement analysé et accessible à une intervention moléculaire ciblée.

Mon opinion est que la science ne pourra pas progresser et que la seule issue pour contenir l’avancée de ces pathologies consiste à emprunter une voie nouvelle, qui combine les avancées de la physique et la science holistique. Il existe une marge de manœuvre mais je crains que ces pathologies ne soient irréversibles. C’est la loi de l’entropie ou si vous voulez de la flèche du temps. Mais il y a deux flèches, l’une conduit vers la désorganisation, l’autre vers l’autre. La seule issue favorable repose sur la compréhension de la flèche universelle qui va vers l’ordre. La nouvelle philosophie de la nature fondée sur la physique quantique met au centre l’information et l’ordre. Le cancer est Alzheimer se traduisent par une perte de communication des cellules ou des molécules et un déficit dans l’ordre holistique. Mais je crains une fois de plus que ces patients ne puissent être réordonnés vers l’harmonie. Je veux bien chercher si on m’en donne les moyens et si des scientifiques s’associent avec un soutien citoyen éclairé. Si cela ne vous intéresse pas, mettez votre destin entre les mains de la science moderne et mécaniste. Vous êtes libres de décider du sort des recherches scientifiques !

Si vous ne me prenez pas au sérieux, sachez tout de même que j’ai quelques années de recherches en cancérologie à mon actif. Ce qui n’est pas un argument de légitimité puisque de mon côté, je n’accorde pas une confiance absolue à ceux qui se prévalent de trente ans d’expérience en ce domaine. Les voies de recherches qui percent ne reposent pas sur une pratique mais sur une certaine disposition de l’intelligence envers la compréhension des choses naturelles. S’il existe une voie, elle sera trouvée, s’il n’en existe pas, autant s’en remettre aux médecines conventionnelles et accepter la mort. Le cancer comme Alzheimer a un rapport avec le secret de l’existence biologique et psychologique humaine. J’ignore pour l’instant quel est ce secret. Pour le découvrir, il faut chercher.



47 réactions


  • Le Gaïagénaire 18 décembre 2015 15:20

    @Bernard Dugué (son site) vendredi 18 décembre 2015


    « Le cancer comme Alzheimer a un rapport avec le secret de l’existence biologique et psychologique humaine. »

    Attention : sujet passible d’emprisonnement


    Le Gaïagénaire 12 août 13:02

    @foufouille 12 août 09:08


    Il y a trois feuillets embryonnaires ;

    Il y a trois « maladies » : Tumeurs, ulcères et pertes de fonction ;

    Il y a deux phases : sympathicotonie et vagotonie ;

    Le tout est guéri soit par les virus ou les bactéries.

    Il faut ajouter tout le tératogénique de la « médecine », de l’environnement industriel, alimentaire et de l’aqueduc.
    Je suis un INCONDITIONNEL de la médecine nouvelle germanique :


    • pemile pemile 18 décembre 2015 16:03

      @Le Gaïagénaire « Je suis un INCONDITIONNEL de la médecine nouvelle germanique »

      Entre deux peines de prison pour exercice illégal de la médecine, ce charlatan qui prétend depuis 35 ans guérir tous les cancers, pleurniche :

      Ryke Geerd Hamer prétend que la chimiothérapie et la morphine seraient utilisées par une conspiration juive dans l’objectif d’un génocide de la population non juive13,14,15. De même, il explique le rejet de ses thèses et la révocation de son autorisation à exercer la médecine comme le résultat d’une conspiration juive15


  • Francis, agnotologue JL 18 décembre 2015 15:21

    - ’’Celui qui ose critiquer Darwin se voit traité de créationniste. Celui qui ose mettre en cause la Cop-21 est caricaturé comme un abruti niant le climat. ’’


    Mettre le Darwinisme et la COP21 sur le même plan, il fallait oser ! Le premier est une théorie qui ne demande qu’à être améliorée, voire remplacée ; le second n’est qu’une vaste fumisterie avérée qui joue sur la crédulité et la peur (*).

    - ’’C’est la loi de l’entropie ou si vous voulez de la flèche du temps. Mais il y a deux flèches, l’une conduit vers la désorganisation, l’autre vers l’ordre. La seule issue favorable repose sur la compréhension de la flèche universelle qui va vers l’ordre.’’ 

    Oui oui, c’est comme le bateau qu’on colmate et qu’on écope : l’autre manière de faire c’est de vider l’océan !

    - ’’Je veux bien chercher si on m’en donne les moyens et si des scientifiques s’associent avec un soutien citoyen éclairé. Si cela ne vous intéresse pas, mettez votre destin entre les mains de la science moderne et mécaniste. Vous êtes libres de décider du sort des recherches scientifiques !’’

    Ce texte où l’on trouve tautologies, délires narcissiques, malédictions et appel au secours, est inclassable.

    (*) « Le mensonge et la crédulité s’accouplent et engendrent l’Opinion. » Paul Valéry 

  • pemile pemile 18 décembre 2015 15:50

    @Bernard Dugué "Peut-on faire confiance aux statistiques et croire en l’efficacité des traitements chimiothérapiques ? Je doute. Les chiffres sont peut-être significatifs mais vous pouvez constater dans votre entourage le nombre de proches ou de connaissances affectés par une issue fatale."

    Je rève ! Venant d’un soi disant scientifique surdoué, qui vient faire la quête pour enfin apporter la lumière à la médecine !

    Pourquoi j’irais croire les statistiques nationale de la chimiothérapie alors que je connais un cas pour lequel l’issue a été fatale !


  • njama njama 18 décembre 2015 16:16

    Cancer, sida, et cie ... si les chercheurs ne trouvent pas depuis le temps qu’ils planchent là-dessus, c’est qu’ils cherchent aux mauvais endroits.

    Certains l’admettraient je crois, mais lorsque les investisseurs et l’obstination s’en mêlent et s’accompagnent de menaces plus ou moins voilées de ne plus avoir de crédits de recherches ... on s’enfonce dans des impasses ...
    Toutes ces maladies dites incurables sont des poules aux œufs d’or pour les labos et l’univers médical
    La science n’est pas loin de la religion, elle a ses grands prêtres, et ses dogmes.

    Retour sur le cas du Dr Beljanski, victime d’une fatwa médicale

    --------------
    « J’ai l’espoir que le cancer soit bientôt classé maladie du passé »
    Cancérologue à l’AP-HP et chercheur à l’école Polytechnique, le Pr Laurent Schwartz considère le cancer comme une maladie simple du métabolisme des cellules tumorales, liée à un dérèglement enzymatique. Il mène des recherches pour élaborer un traitement non toxique, à base de produits de la pharmacopée courante. Sur des personnes incurables, les résultats de ses essais sont encourageants.

    http://www.cancer-et-metabolisme.fr/interview-du-pr-laurent-schwartz-dans-alternative-sante/


    • Bernard Dugué Bernard Dugué 18 décembre 2015 18:13

      @njama

      Quelques remarques J’ai évoqué la voie du métabolisme qui repose sur une vieille théorie, celle de Warburg, mais ne n’y crois pas. Le métabolisme est une conséquence et non pas une cause du cancer Deuxième remarque. @pemile et JL, vos commentaires sont s’une stupidité abyssale. On se demande si vous savez lire. La base haineuse à l’égard de l’auteur vous rend illetrés. @Gaïgénaire, salutation camarade. Pour finir je remarque le peu de succès de ce billet. La médecine n’est pas prête à devenir citoyenne. La plupart des gens appartiennent à la génération Milgram. Ils croient dans l’autorité infaillible des scientifiques. C’est dommage. Etre citoyen, c’est aussi prendre en charge des enjeux pour tous et non pas se plaindre, gémir et tout attendre de l’Etat. Les citoyens auront la médecine qu’ils méritent !

      bonnes fêtes à tous


    • pemile pemile 18 décembre 2015 20:31

      @Bernard Dugué « @pemile et JL, vos commentaires sont s’une stupidité abyssale. On se demande si vous savez lire. »
      Gamin ! Je sais même lire entre les lignes, comme si la médecine vous attendait impatiemment pour explorer de nouvelles voies !

      "Quant à mon sort, si je devais être atteint d’un cancer, il est certain que je refuserai tout traitement chimique, ne désirant pas offrir mon corps à la médecine, juste une piqûre de morphine pour régler l’affaire et finir avec dignité mon passage en refusant d’être l’otage des métastases du cancer et du profit" Bernard Dugué, 2011


    • Bernard Dugué Bernard Dugué 18 décembre 2015 21:28

      @pemile

      Comme quoi, vous persistez dans votre incapacité à lire. Je n’ai pas prétendu que la médecine m’attendait et d’ailleurs, en admettant que je puisse réussir quelque chose, la médecine en serait ennuyée. Renseignez-vous sur Messmer, ça date du 18ème et rien n’a vraiment changé. Ce billet est juste un invitation à rassembler ceux qui peuvent et veulent explorer une nouvelle voie. Je suis comme n’importe quel chercheur, je cherche aussi des partenaires et des moyens. Mais je ne vais pas vers l’AERES et toute cette bureaucratie d’escrocs qui font perdre du temps aux chercheurs du système. C’est leur problème, je suis hors système et c’est pour cette raison que je peux réussir !


    • Sozenz 18 décembre 2015 22:32

      @Bernard Dugué
      oui monsieur Dugué.
      la plus part des gens font parti de la « génération Milgram » et en ce qui concerne les maladies et les soins sachez que vous touchez un point sensible . car c est l un des grands enjeux non seulement économique, mais aussi comment dire... enjeux Mondial ....
      Cherchez les dessous.... les aspects « cachés » .

      .


    • pemile pemile 18 décembre 2015 23:40

      @Bernard Dugué « en admettant que je puisse réussir quelque chose, la médecine en serait ennuyée. »
      Ridicule, l’industrie pharmaceutique, peut être, si votre réussite met en péril leurs profits, mais cela n’a rien avoir avec le médecine, juste avec l’économie capitaliste !

      « Renseignez-vous sur Messmer, ça date du 18ème et rien n’a vraiment changé »
      Pas Messmer mais Mesmer, si vous êtes obligé de remonter au 18éme pour crtitiquer la médecine actuelle, effectivement, vous êtes risible !


    • Francis, agnotologue JL 19 décembre 2015 11:07

      @pemile,


      vous aurez remarqué que l’auteur n’apprécie que les commentaires qui le flattent.

      ’’La base haineuse à l’égard de l’auteur vous rend illetrés.’’ 

      Elle est très jolie, la faute d’orthographe, dans cette phrase qui mérite qu’on s’y attarde un peu : où diable l’auteur a-t-il vu de la haine à son encontre ? A moins qu’il appelle ici haine ce qu’il n’ose qualifier de jalousie, car en effet, de jalousie je ne vois non plus aucune raison. Pour ma part, je préfère un imbécile heureux à un génie aigri.




    • pemile pemile 19 décembre 2015 11:36

      @JL
      Par contre quelqu’un comme Gaiagénaire qui poste des liens vers des charlatans notoires, a lui droit à un cordial « salut camarade » !


    • Bernard Dugué Bernard Dugué 19 décembre 2015 22:18

      @pemile

      Oui, un salut camarade même si je ne partage pas forcémentce que propos le Gaïagénaire. Et vous, qu’avez-vous à partager, à proposer, à construire, ? Rien, alors je me permets de vous zapper, vous êtes insignifiant, la civilisation repose sur les bâtisseurs.


    • pemile pemile 19 décembre 2015 22:27

      @Bernard Dugué « je me permets de vous zapper, vous êtes insignifiant, la civilisation repose sur les bâtisseurs »
      J’accepte le défi, comparons la corne de nos mains ?


    • abcd 20 décembre 2015 10:48

      @pemile
      Bon les tourtereaux (pemile et dugué), vous préféreriez pas plutôt vous voir pendant les fêtes ? :)


    • pemile pemile 20 décembre 2015 22:05

      @abcd
      Si Dugué est un batisseur surdoué, j’embauche, j’ai plusieurs chantiers en cours !


    • abcd 21 décembre 2015 14:07

      @pemile
      Inaptitude à la reproduction :
      Je vais citer un de ces articles datant d’il y a 4 ans, pour lui faire remarquer que je m’intéresse à lui, évidement je ne ferai rien de plus, de toute manière si cela ne vient pas de lui, je préfèrerai nier (même sous la torture).
      Et effectivement, cette méthode à mainte fois prouvée son efficacité (quasi-nul) sur l’ensemble des mâles par rapport à un décolleté.
      Pendant ce temps, Dugué sort ces gros sabots de surdoués, je vais pas me laisser aller à des sensibleries du type : « analyser le pourquoi de mes réactions et en déduire les affects qui m’y ont conduits, je suis un intellectuel moi », méthode qui à aussi une efficacité certaine en société.
      Faire partie d’un faible pourcentage de la population ne vous rend pas pour autant unique :), bien sur en cas de répartie sanglante à mon endroit, je réagirai très courageusement en niant faire partie de votre club de monstre doué et je laisserai croire que c’est justement parce que je suis doué à la reproduction que je me permet de vous le signaler (ce qui est faux, mais on n’est pas un masque prés :) )


  • Vipère Vipère 18 décembre 2015 18:15

    • Le Gaïagénaire 19 décembre 2015 02:47

      @Vipère 18 décembre 18:15


      Excellente référence, excellente compréhension de l’autolyse.. 

      J’ai expérimenté le jeûne intégral à l’eau pure plusieurs fois et pour des périodes de + de 10 jours.

      Savez-vous qu’il y a rajeunissement d’une année par jour de jeûne ?

      C’est notre médecin intérieur que l’on doit apprendre à laisser agir et qu’un vrai professionnel de la santé aidera.

      Dans chaque hôpital il devrait y avoir une aile de jeûneur.

      Cependant c’est une médecine d’esclave qui prévaut :c.à.d. retour à la production au plus tôt.

      Salutation

    • Vipère Vipère 19 décembre 2015 22:24

      @Le Gaïagénaire Bonjour smiley

      Ne sommes-nous pas ce que nous mangeons ? nous semblons en phase avec d’autres voies en complément de la médecine traditionnelle. La vidéo jointe est édifiante :

      https://www.youtube.com/watch?v=7KQE9bAYig4

      Salutations


    • Le Gaïagénaire 23 décembre 2015 16:51

      @Vipère 19 décembre 22:24


      La sortie passe par la porte.

      Nous mangeons beaucoup d’émotions, même inconsciemment. Cela ne se guéri pas par un médicament ou un aliment. Un symptôme peut être bloqué comme la lumière rouge du tableau de bord
      peut être éteinte sans aller sous le capot. Le problème n’est pas réglé pour autant.


      Le Gaïagénaire 12 août 13:02

      @foufouille 12 août 09:08


      Il y a trois feuillets embryonnaires ;

      Il y a trois « maladies » : Tumeurs, ulcères et pertes de fonction ;

      Il y a deux phases : sympathicotonie et vagotonie ;

      Le tout est guéri soit par les virus ou les bactéries.

      Il faut ajouter tout le tératogénique de la « médecine », de l’environnement industriel, alimentaire et de l’aqueduc.
      Je suis un INCONDITIONNEL de la médecine nouvelle germanique :


      Cordialement

  • alinea alinea 18 décembre 2015 18:47

    Mais enfin Dugué, ce n’est pas parce qu’on ne vous lit pas ou qu’on ne commente pas, qu’on va se faire soigner par les autorités !
    Personnellement, j’ai tant à dire que je me suis abstenue.
    L’erreur de la science, c’est d’oublier la vie, de prendre un organisme pour simplement des cellules, et la vie nous est mystérieuse tant que l’on ne s’est pas réconcilié avec son inconscient.


  • jean-marc D jean-marc 18 décembre 2015 18:51

    Bonjour à tous,

    Que dire de cet article et des commentaires divers qui s’ensuivent ? A mon avis, un peu de tout et de tout un peu, Je vais prendre le cas du cancer puisque c’est celui que je connais le mieux.
    Ma tante est décédée d’un cancer du sein, à 47 ans, en 1971 (! !!). J’avais à l’époque 17 ans (je vais sur 63 ans aujourd’hui) et je peux vous dire que j’en ai vu de ces malades décéder en cascade par la suite.
    Aujourd’hui, j’ai un voisin qui vit depuis 16 ans d’un cancer du poumon inopérable, un autre d’un cancer de la prostate depuis 9 ans et fait encore ses courses et promène son chien deux fois par jour, un médecin que j’ai connu puisqu’il soigner ma mère décédée à ce jour qui vit toujours avec aussi un cancer de la prostate, un de mes amis vit depuis 9 ans avec une leucémie, j’ai moi-même eu un cancer du colon, guéri médicalement aujourd’hui mais qui a métastasé aux poumons il y a six ans, inopérable dans ce cas évidemment, après 90 séances (eh oui, c’est prouvé) de chimiothérapie la situation est stable depuis 10 mois.
    Au cours de mes chimiothérapies il est bien évident que j’ai fait énormément de rencontres au cours des séances, des rechutes sont classiques car un cancer récidive très fréquemment d’une manière ou d’une autre. C’est un peu comme mon staphylocoque doré larvé en intracellulaire qui réapparaît de temps en temps. J’ai, je pense, apporté dans ces séances une animation et un soutien à l’ensemble des patients du service d’oncologie qui m’accueillait (je suis d’ailleurs encore en relation avec nombre de patients). 
    Il y a encore 40 ans tous ces survivants seraient probablement disparus, moi évidemment y compris.
    Mais bien sur, il existe le cas inverse : le chirurgien thoracique qui avait opéré ma mère vient de décéder d’un cancer du pancréas.
    J’en tire quant à moi quelques constatations qui ne sont que personnelles :
    1) de toutes les façons comme ont doit mourir un jour, la situation n’est que de constater un peu plus tôt que prévu, si l’on ne s’en était pas aperçu avant, que l’épée de Damoclès qui pèse sur chacun d’entre nous existe bel et bien, que de toutes les manières on peut mourir en traversant la rue par exemple, la seule différence est qu’en cas de situation « normale » on préfère simplement occulter une mort de toutes façons inévitable autrement dit pratiquer la politique de l’autruche,
    2) aucun cancer ne se ressemble à l’identique, il est calqué sur nos habitudes de vie et bien certainement sur notre génétique,
    3) chaque personne atteinte de cette maladie développera une réponse biologique propre définie par cette génétique,
    4) il ne faut pas négliger la capacité de chaque malade à réagir, de manière individuelle, psychologiquement ; être seul ou accompagné est primordial pour le soutien moral,
    5) il ne faut pas non plus négliger la bonne qualité des soins, l’écoute et la confiance réciproque avec les médecins, les équipes soignantes.
    De toutes les façons, les traitements n’apportent qu’environ 50% à la guérison, le malade doit compléter volontairement ou non par sa participation à défaut de quoi la fin sera rapide, c’est peut-être finalement une question de choix propre, qui se doit être respecté après tout.
    Alors, quand j’entends parler de statistiques, mon poil se hérisse au vu de ce que je viens d’énoncer, une statistique n’est que ce qu’elle est, c’est à dire une vaste approximation sans grand intérêt réel pour une personne bien ciblée, donc un cas personnel unique.
    Evidemment, ce secteur médical est une « poule aux oeufs d’or » pour le domaine médical au sens large du terme et pour le grand public, mais ça n’est pas dans le seul sens du profit pur, car d’une part les recherches coûtent énormément, et tout le secteur est générateur d’une foultitude d’emplois, pour certains bien moins rétribués eu égard à leur charge de travail que certains ne le pensent.
    Il n’empêche qu’à mon sens, que des progrès certains ont été faits depuis des dizaines d’années, mais que bien d’autres voies sont encore à explorer, personne et certainement pas moi ne dira le contraire. Chercher au bon endroit, c’est bien, mais encore faut-il savoir où il se trouve.
    Mais ça n’est que mon humble avis.


    • jean-marc D jean-marc 18 décembre 2015 18:59

      @jean-marc
      Pardon,

      « puisqu’il soigner » : non, soignait, désolé. J’espère ne pas en avoir fait d’autre(s).......

    • Bernard Dugué Bernard Dugué 18 décembre 2015 21:33

      @jean-marc

      Ce n’est pas certain que tous les survivants de votre époque présent n’auraient pas survécu. Le bilan est contrasté. Il y a eu des progrès mais ça ne progresse plus vraiment. Et comme vous le signalez, aucun cancer ne ressemble à un autre. Le vécu est essentiel, la médecine permet quelques thérapies mais ne peut pas aller plus loin. Un cancer, c’est un enjeu de résilience aussi. Je ne porte aucun jugement moral. Juste quelques notes philosophiques très modestes. Et comme vous l’avez compris, il faut chercher mais en premier lieu, chercher comment fonctionne la vie avant de chercher comment elle dysfonctionne


    • jean-marc D jean-marc 19 décembre 2015 19:27

      @Bernard Dugué
      Bonsoir,

      J’ai bien compris la teneur de vos propos, je n’ai fait quant à moi qu’exprimer mon ressenti propre.
      Cependant, il est indéniable de constater d’immenses progrès dans les traitements, ne serait-ce que dans le fait où on est plus obligé de vomir dans ce qu’on appelle les haricots.
      Des milliers de molécules sont expérimentées sans cesse, seules quelques rares d’entre elles feront l’objet d’essais randomisés, et seules une ou deux seront susceptibles de faire progresser la lutte contre cette cochonnerie de cancer. Les enjeux financiers sont tels qu’ils boostent la recherche ; si tout cela n’existait pas nous serions encore à l’époque des cavernes. 
      Un exemple entre autres, les thérapies ciblées qui n’existaient pas il y a une dizaine d’années......on progresse donc toujours, contrairement à ce que vous pensez, moins rapidement peut-être mais les recherches sont de plus en plus pointues et surtout coûteuses.
      A l’époque dont je vous parle, guérir voire mettre longuement en sommeil un cancer du sein, du poumon du colon était quasiment mission impossible médicalement, plus aujourd’hui, heureusement, bien que logiquement votre raisonnement se tienne. Je ne fais qu’une constatation pratique que j’ai personnellement vécue, rien de plus,ça n’a rien à voir avec les statistiques ou une logique de probabilités.
      Quant à chercher comment fonctionne la vie, on peut en discuter durant des années ; mais à mon humble avis, on sait depuis belle lurette comment elle fonctionne, pourquoi elle fonctionne, mais on ne sait tout simplement pas pourquoi elle existe et comment elle existe.
      Philosophiquement on en discute depuis des milliers d’années, et on n’est pas près de trouver une réponse, peut-être la trouvera t-on lorsqu’on quittera ce bas monde.
      Nous sommes donc condamnés à ne travailler de façon urgente que sur les dysfonctions, ce qui n’écarte pas de progresser sur d’autres terrains évidemment.
      Merci de vos remarques,
      Bien à vous, 


    • jean-marc D jean-marc 19 décembre 2015 19:37

      @Ziziledur
      Bonsoir,

      Merci de ton souhait de bonnes fêtes, le mien en retour.
      Je souligne qu’il est assez rare, comme tu le fait fort justement, qu’on ose écrire qu’il faut profiter de la vie tout schuss et jour après jour, quelques soient les aléas.
      Et on a toujours quelqu’un à aider,le tout est de ne pas l’ignorer ou le repousser.
      Bien à toi,


  • rhea 1481971 18 décembre 2015 19:53

    C’est très simple on a mis l’homme au service du progrès scientifique au lieu de mettre le progrès scientifique au service de l’homme, nous en subissons les conséquences.


  • foufouille foufouille 18 décembre 2015 19:56

    putain, qu’est ce qu’il est nul ton article.
    faudrait que tu retournes en fac de médecine ce qui serviait à faire fonctionner ton QI.


  • GHEDIA Aziz GHEDIA Aziz 18 décembre 2015 21:07

    Mr Duguet, vous devez certainement connaitre l’adage suivant « tumeur ou pas tumeur, tu meurs ». Ceci résume donc bien le fait qu’il y a une fin à tout, que l’être humain, à l’instar de tous les êtres qui composent notre planète, est programmé, dès sa conception, pour mourir, un jour ou l’autre. Les causes de cette mort programmée sont cependant multiples. Par dégénérescence cellulaire (cas de la maladie d’Alzheimer ) ou tout simplement par la « folie » des cellules qui se mettent à se multiplier de façon anarchique (cancer). Aucune médecine, aussi pointue soit-elle, ne pourra arrêter ces processus biologiques qui sont dans l’ordre naturel des choses. 


  • l’alsacien 18 décembre 2015 21:49

    On parle toujours de trouver de nouveaux traitements (la nouvelle molécule qui parait prometteuse)

    On peut chercher des traitements plus efficaces. Mais ne pas réfléchir sur les causes des maladies…

    Il y a tant de profit à faire sur le dos des maladies.

    C’est certainement pour cela que la recherche ne s’oriente pas vers la prévention, ou vers d’autres voies comme la démarche Hamer (dont a parlé ‘’Le Gaïagénaire’’ plus haut)

    ‘’pemile’’ nous dit que Hamer a fait de la prison. A mon avis il gênait et il fallait le casser, il ne faisait pas le poids contre l’industrie de la maladie (industrie pharmaceutique entre autre)

    Cette histoire me fait penser à mamie toto, lourdement condamnée, par rapport à un ministre‘’les yeux dans les yeux’’

    https://www.youtube.com/watch?v=qSkDIarh8Ac

    On écrase les petits, les autres sont intouchables (ou si peu)


  • Sozenz 18 décembre 2015 22:38

    Comment guérir d un mal quand tout dans son environnement , transmet des poisons au quotidien ?


    • pemile pemile 18 décembre 2015 23:55

      @Sozenz « Comment guérir d un mal quand tout dans son environnement , transmet des poisons au quotidien ? »
      Comment préserver l’homéostasie du corps (système nerveux, immunitaire et hormonal).


    • Sozenz 19 décembre 2015 01:26

      @pemile
      pardon , désolée si j’aime parler simplement ....si je ne suis pas une encyclopédie ....
      Mais je crois que beaucoup peuvent comprendre mes phrases et l essentiel .


    • pemile pemile 19 décembre 2015 10:43

      @Sozenz
      Bonjour,

      Il est évident que pour tout ce qui est agressions extérieures, le lobby nucléaire minore les effets et focalise surtout sur les seuils d’expositions aux radiations et pas sur les ingestions de particules radioactives, et que les lobbys industriels minorent les effets des cocktails chimiques.

      Il est donc très difficile d’avoir des statistiques sur la part de responsabilité de ses agressions « modernes » par rapport aux effets dus aux dérèglements de l’équilibre intérieur (homéostasie) venant par exemple du stress ou de l’alimentation.


  • pemile pemile 18 décembre 2015 23:48

    @Bernard Dugué « sachez tout de même que j’ai quelques années de recherches en cancérologie à mon actif. »
    Merci de détailler, à vous lire, j’ai des doutes.


    • pemile pemile 19 décembre 2015 19:26

      @Zip_N « Des doutes mathématiques oui. »
      C’est par contre cohérent avec son utilisation d’un cas particulier fatal (si possible un proche) pour exprimer ses doutes sur les statistiques de guérison. Il est impossible d’accepter qu’il y ait environ 50% de guerison si UN SEUL cas proche est « irréversible » !

      Le suicide est une maladie lorsqu’il est raté et un accident lorsqu’il est réussi, quand à la roulette c’est du suicide par russophilie smiley


    • pemile pemile 19 décembre 2015 19:43

      @Zip_N « Dugué est totalement illogique confu et irréel. »
      Les 11 dimensions d’un tel génie nous sont impénétrables smiley


  • l’alsacien 19 décembre 2015 08:37

    J’avais lu quelque part que, dans les cancers, les malades qui avaient des projets d’avenir s’en sortaient beaucoup mieux que ceux dont l’avenir était bouché.

    Un extrait du livre ‘’Vous pouvez lutter pour votre vie’’ de Lawrence LeShan

    ‘’Le fait de se savoir condamné ne faisait que les confirmer dans leurs convictions, à savoir qu’ils n’avaient rien à attendre de l’existence. Le cancer résolvait en quelque sorte pour eux le problème du fardeau intolérable qu’était leur vie …’’


  • Richard Richard 19 décembre 2015 10:01

    Merci Bernard pour cette réflexion et les autres. Je les lis chaque fois avec grand intérêt. Bonnes fêtes et que la Force soit avec vous ! smiley


  • pemile pemile 19 décembre 2015 11:29

    @Bernard Dugué « Ce billet est juste un invitation à rassembler ceux qui peuvent et veulent explorer une nouvelle voie. »

    Sauf que votre billet est plus que flou et confus dans la présentation de cette nouvelle voie !

    "J’ai évoqué la voie du métabolisme qui repose sur une vieille théorie, celle de Warburg, mais ne n’y crois pas. Le métabolisme est une conséquence et non pas une cause du cancer« 

    C’est quand même une nouvelle voie pour laquelle pas mal de spécialistes ont des espoirs (comme rappelé par njama) et quelle bêtise d’argumenter par »j’y crois pas car conséquence et non pas une cause du cancer". C’est évidement cette conséquence qui donne espoir de pouvoir cibler ces cellules !


  • L'enfoiré L’enfoiré 19 décembre 2015 14:14

    Salut Bernard,


     « La santé n’a pas de prix », un article qui pourrait vous intéresser.
     Le cancer, je m’y suis intéressé pour des raisons très proches tout comme Alzheimer 


  • pemile pemile 20 décembre 2015 10:23

    @Bernard Dugué

    • stupidité abyssale
    • incapacité à lire
    • vous êtes insignifiant
    • n’avez rien compris et vous êtes irrécupérable
    Bernard Doué dans son argumentation
    Bernard Doué dans son mépris
    Bernard Doué pédant même dans les domaines dans lesquels il n’a à l’évidence aucune compétence

    • L'enfoiré L’enfoiré 21 décembre 2015 16:50

      @pemile,


       Il suffit de faire le test et vous verrez qu’il y a beaucoup de candidats à psychopathie.

       La médecine fait partie des sciences humaines.
       Et ces dernières n’ont jamais fait partie des sciences exactes.

       Pour changer, Bernard faites nous un billet sur le libre des frères Bogdanov.
       Hier, ils étaient invités de Drucker après l’avoir été chez nous pour parler de leur livre « Le code secret de l’Univers ».
       Eux ne souffrent pas de psychopathie et ont très bien réussi dans leurs ambitions.


  • michelle 30 janvier 2016 03:52

    Mais que peut faire la science...pour contrecarrer le développement de ces longues maladies au sombre pronostic la seule issue pour contenir l’avancée de ces pathologies consiste à emprunter une voie nouvelle. http://www.casquettemagasin.com


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