vendredi 3 octobre 2014 - par Bernard Dugué

Le sacre du vivant, essai post-darwinien sur l’essence de la vie et son évolution

JPEG C’est fait, mon livre sur le vivant et l’évolution est enfin disponible dans les bonnes ou moins bonnes librairies, sans doute rangé sur un coin d’étagère assez loin du livre de Valérie Trierweiler. Cet essai propose une philosophie de la nature (vivante) construite avec les données scientifiques récentes. Il tente d’expliquer ce qu’est la vie dans ses grandes lignes, en refusant la facilité des solutions mécanistes et darwinistes tout en faisant une sorte d’éloge de l’évolution. Une suite est prévue mais par pour demain. (Par une étrange coïncidence, le livre est sorti le jour même où j’ai achevé un essai dont le titre définitif devrait être : « Après Newton et Einstein, la cosmonadologie quantique ». Les résultats acquis en étudiant la physique théorique confirment les idées esquissées dans cet essai sur le vivant. Aurais-je quelques coups d’avance ? ). Bien évidemment je ne vais pas faire de commentaires sur « Le sacre du vivant », laissant lecteurs et reviewers se forger un avis critique. Tout au plus vais-je reproduire quelques extraits de la préface rédigée par Hervé Barreau, DR honoraire au CNRS et membre de l’académie internationale de philosophie des sciences.


« Le livre que Bernard Dugué livre au public est remarquable à plus d’un titre. D’abord il se présente comme « post-darwinien ». Il ne faut pas entendre seulement cette expression, me semble-t-il, comme signalant un ouvrage qui paraît après l’œuvre très influente de Darwin, ce qui est une évidence. L’analogie avec le qualificatif de « post-moderne », revendiqué par certains philosophes, me semble plus pertinente. Dans un cas comme dans l’autre, il convient de se référer à ce que Nietzsche désignait comme la « généalogie » des doctrines. C’est parce qu’on connaît bien une doctrine, qu’on l’a même reçue comme un enseignement de base, qu’on en détecte facilement les limites, et son inadéquation à recouvrir les découvertes qui l’ont suivie. Certes le darwinisme exprime bien la sanction du jeu de la vie, quand ce jeu n’a pas pris suffisamment en compte l’environnement où il se déroule, et qui ne permet pas n’importe quoi. La sélection naturelle désigne les vainqueurs du jeu de la vie, mais n’explique pas leur victoire. Il faut chercher ailleurs le secret de cette victoire. C’est parce que la vie est dotée d’une capacité évolutive qu’elle est capable de réagir aux défis que ne cesse de lui poser le milieu qui l’entoure. »

« Le deuxième intérêt de ce livre est qu’il ne se contente pas de manifester ce constat d’une évolution de la vie, si apparente dans la cladogenèse comme dans l’embryogenèse, malgré les différences de l’une à l’autre. Il l’attribue à « l’essence de la vie », dont il tente de décrire les prérogatives et d’où il peut justifier son titre « le sacre du vivant ». Pourquoi arrive-t-il à certains vivants de détenir une sorte d’empire, aujourd’hui contesté, parce qu’il s’est révélé avec l’homme trop arbitraire et inconscient, sur les choses matérielles ? Parce que la vie est un pouvoir de technique visant des finalités et de cognition, sachant reconnaître les moyens de ces finalités et la valeur même de la connaissance. Ce pouvoir est présent déjà chez les unicellulaires, comme le montre l’auteur, qui se plait à décrire ces comportements du vivant, dont la compréhension échappe aux mécanismes qui sont l’objet de la science biologique. Il ne s’agit pas de mettre en cause les immenses résultats qu’a obtenus la science, en s’attachant à expliquer par des lois, des régularités, ou des modèles, non à comprendre par des intentions et des finalités. Mais il s’agit de restaurer une philosophie de la nature, dont la tâche est de faire ce que la science, précisément, s’interdit de faire, de peur de tomber dans un anthropomorphisme naïf et stérile. »

« Qu’il y ait quelque chose de métaphysique à la racine de tout être vivant n’a rien non plus qui devrait nous étonner. C’est d’ailleurs ce qu’ont pensé, avant l’auteur, les grands initiateurs de la philosophie de la nature que furent Aristote et Bergson. Le troisième intérêt de son livre, c’est que l’auteur ne craint pas d’en faire mention, et précisément à ce titre. Il a très bien vu qu’Aristote, par le vif sentiment qu’il avait de l’originalité des phénomènes vivants, est le fondateur de la biologie. (…) Ce qui éloigne le plus Aristote de notre conception moderne de la vie, c’est son refus de l’évolution des espèces, dont l’auteur fait, au contraire, une capacité essentielle du vivant. Par là il peut écrire que son étude peut être « mise à côté de L’évolution créatrice de Bergson ». Les citations qu’il donne de l’œuvre magistrale de Bergson, au chapitre II de son livre, sont d’ailleurs bien choisies et témoignent du refus que, dès 1907, Bergson opposa au darwinisme. Dans le sillage de Bergson, l’auteur fait mention de Lucien Cuénot, à qui il doit, sans doute, d’avoir mis l’accent sur les capacités techniques du vivant. Il mentionne également, dans la ligne anti-darwinienne, à côté de la critique de Simon Conway, l’étude intéressante du biologiste allemand Josef Reichholf, L’émancipation de la vie (1993), à laquelle le regretté Albert Jacquard accorda une préface qui ne semble pas avoir eu l’effet escompté. »

« En conclusion, on se reportera aux propres conclusions de l’auteur en son chapitre VII qui propose « quelques conjectures sur une révolution copernicienne en science de l’évolution ». La révolution copernicienne consiste à expliquer non la vie par l’évolution, ce que tente de faire le darwinisme, mais l’évolution par la vie, ce que propose l’auteur. Il ne prétend pas avoir rempli un tel programme, mais du moins en avoir fait ressortir le caractère plausible, dont doit se contenter l’essai philosophique en général : « Le plus grand mystère reste celui des origines de la vie. La sélection naturelle ne peut expliquer l’apparition de la vie car la vie précède la sélection. Avant que le jeu ne se déroule, il faut qu’il y ait des êtres individués, capables de se répliquer à l’identique. Le mystère de la vie et de son évolution résiste à l’entendement. Hasard disent la plupart des scientifiques. Mais si l’on admet de prendre en compte comme donné ontologique la substance double, technique et cognitive, voire les deux substances, technique et cognitive, alors le mystère n’est pas levé mais il est partiellement dévoilé. Par ailleurs, cette hypothèse de technicité et cognition fonctionne avec d’autres hypothèses, celle d’une intention émergente, évolutive, et celle d’une finalité, elle aussi évolutive, selon la nature de l’espèce considérée ». C’est au lecteur d’apprécier la consistance de ces vues théoriques et leur pertinence face à l’état de la science biologique de notre époque. J’espère l’avoir aidé à saisir et cette consistance et cette pertinence, telles qu’elles me sont apparues à une lecture attentive. Ce qui n’empêche pas d’attendre de l’auteur, qui sait si bien se mouvoir dans les champs difficiles de la philosophie, des éclaircissements encore plus poussés sur sa philosophie de la nature. » (Hervé Barreau)

Le sacre du vivant, aux éditions Le temps présent (oct. 2014)
JMG éditions. Email : contact ((at)) jmgeditions.fr

http://www.decitre.fr/livres/le-sacre-du-vivant-9782351851821.html



13 réactions


  • howahkan Hotah 3 octobre 2014 10:29

    certes,mais parler de sélection naturelle n’est pas un fait avéré mais uniquement une supposition humaine, une théorie non prouvée qui peut être fausse ......a partir de laquelle les neocons et ancêtres millénaires veulent tout pour quelques personnes..et le font avec cruauté e violence s’auto pardonnant ainsi leur démence..se sachant donc déments..

    d’ailleurs je pense que « je veux tout pour moi » ,précède la pseudo sélection naturelle en tant qu’idée ,qui vient alors pardonner aux pires d’entre nous les actes terribles et criminels qu’ils commettent a ce titre de pseudo sélection naturelle....

    tout ceci est peut être totalement faux.......c’est une possibilité très sérieuse ..

    la pensée humaine limité à sa propre mémoire et encore elle ne voit meme pas toute sa mémoire, pompeusement appelée conscience ne peut découvrir l’inconnu ni le vivre......devant l’énormité du fait de vivre qu’elle ne peut mémoriser ni saisir,elle invente alors des théories qui ont pour but de créer un modèle fixe qu’elle va alors pouvoir regarder travaillant alors à son auto glorification personnelle,..car pour moi la pensée ne regarde que son propre film du passé et de son futur imaginé et jamais le présent qui a disparu....cerise sur le gâteau, elle ne sait pas qu’elle fait cela....

    si a un moment donné je regarde un gland en terre, je reviens 10 ans après puis 20 ans puis 100 ans, et je peux dire si je ne vous pas l’ensemble du tableau : il y a évolution...(cela dit évoluer veut juste dire changer.)alors que il me semble que il n’y a pas d’évolution mais juste une éclosion puis mûrissement de quelque chose qui est tout entier integré dans le gland des le debut....

    l’humain n’a aucune notion de ce qui sous tend ce qui est aucune !!!ni de la création ,ni de l’Origine...

    il est possible qu’il y ait changement graduel pré terminé des le début d’une forme à une autre ,changement qui est le propre de la matière intégrée dans le temps qui passe car elle semble avoir un début a partir d’une origine non mesurable, la science n’a rien a dire sur l’Origine.....il n’y a pas éclosion spontanée du chêne....mais mûrissement de la graine qui contient l’arbre...

    Il n’y a peut être que création pure qui pqrt de ce qui est hors du temps, qui crée ce qui a un début,et ce début contiendrait aussi la finalité en lui.....

    cela dit si cela avait une once de vrai et alors..on fait quoi des assassinats de l’empire ??


    • trevize trevize 3 octobre 2014 23:46

      « Phrase darwiniste manquant de cou !lles de se dégager de la doxa ambiante. »
      « Phrase créationiste manquant de cou !lles pour rejoindre les vrais dissidents. »

      Phrases totalitaires dénotant une vision tranchée et donc simpliste de la vie, camouflant mal un profond sentiment d’angoisse profonde face à l’étendue des possibles que nous offre l’univers infini.


  • howahkan Hotah 3 octobre 2014 10:34

    cela dit j’ai lu ceci

    Le mystère de la vie et de son évolution résiste à l’entendement. Hasard disent la plupart des scientifiques..

    en clair on ne sait pas............appliquer des methodes qui mesurent, comparent, évaluent,sélectionnent etc a ce qui est aforcement au dela du temps voir bien plus que cela donc non mesurable est voué à un echec total...la science non plus n’est pas le miracle escompté...des gens simples le savent depuis le début...

    salutations

    respects et robustesse..bonne chance avec le livre.....


  • non667 3 octobre 2014 14:46
    Le sacre du vivant, essai post-darwinien sur l’essence de la vie et son évolution

    aucun intérêt c’est le pré-darwinien qui importe !

     

    le « vivant » est -il une « évolution » de « l’inerte. »  ? C.Q. F. D . 

    question initiale pourtant jamais posée ! toubi or not toubi...... ? smiley smiley smiley


  • Dwaabala Dwaabala 3 octobre 2014 15:46

    Darwin a dû faire quelque chose aux prédécesseurs de l’auteur en métaphysique.
    @ non667 Le vivant fut une révolution, ou plutôt une succession de révolutions dans « l’inerte ».


  • L'enfoiré L’enfoiré 3 octobre 2014 18:18

    Lors de l’anniversaire de Darwin, j’avais sorti "Préfixe ’évoluer’.

    Bonne idée de sortir un livre sur ce sujet toujours controversé.... smiley


  • soi même 3 octobre 2014 22:22
    essai post-darwinien ; La révolution copernicienne que de mots pompeux pour dire que Darwin est un retardatus ! L’homme, premier-né de l’évolution

    Jos Verhulst

    Note de l’éditeur

    Voici sans doute l’étude la plus minutieuse et la plus complète réalisée à ce jour sur une théorie de l’Évolution, qui fut exposée pour la première fois au début du XXe siècle par le biologiste hollandais Louis Bolk. Celle-ci repose sur l’idée que la forme humaine n’apparaît pas à la fin de l’évolution animale, comme on a coutume de le penser, mais au début. On sait qu’un fœtus de chimpanzé ressemble de façon saisissante à un bébé humain : crâne arrondi, visage plat, chevelure limitée au-dessus de la tête, trou occipital sous le crâne, etc. Lorsqu’il se développe, le chimpanzé diverge de sa forme humaine originelle et prend des traits de plus en plus simiesques. En comparant de nombreux organes, Verhulst montre que, à la différence des autres primates, l’homme conserve toute sa vie sa forme juvénile. Renversant l’habituelle vision darwinienne de l’Évolution, il conclut que l’homme ne descend pas du singe, mais que le singe se développe en s’écartant d’un prototype humain. Verhulst complète l’idée de Bolk en montrant que la tendance de l’homme à conserver sa forme fœtale (fœtalisation ou retardement) est complétée par la tendance inverse au sur-développement de certains organes (hypermorphose), - notamment des jambes, du larynx et du cerveau antérieur - grâce auxquels l’homme atteint ses capacités spécifiquement humaines : station érigée, langage, pensée. Dans un dernier chapitre, Verhulst esquisse une vue d’ensemble où le prototype humain apparaît comme le véritable tronc de l’arbre de l’Évolution, la source agissante dont le règne animal est issu. Cette étude fondamentale parvient à se situer au-delà de la vieille querelle entre darwinistes et créationnistes. L’auteur ne cherche pas à savoir si l’instance qui a créé les formes animales est la sélection naturelle ou Dieu. Il veut d’abord nourrir l’observation et susciter la réflexion du lecteur.

    Sommaire de l’ouvrage

     L’aspect primitif des primates
     Fœtalisation et retardement
     L’animalité en l’homme
     La main
     La station verticale
     Les vertèbres
     Le cœur et les poumons
     Le pied
     Le crâne et le cerveau
     La procréation et les organes génitaux
     Goethe contre Darwin : le poids des faits.



    • soi même 3 octobre 2014 23:06

      Sans intérêt., lit le avant de jugé, en tous cas c’est un ouvrage qui le mérite de sortir du débat poluler sur ce sujet !

      Il y a une réflexion et un approfondissement scientifique qui met en pièce bien des hypotyposes de matou vue scientifique et de créationnisme à l’eau de rose  !


    • soi même 5 octobre 2014 14:42

      @ Zip, vous faites un renversement d’un déduction logique qui s’ appui sur un fait avéré !

      D’après vous comment ce biologiste à émit cette hypothèse, et bien sur une étude scrupuleuse de l’embryologie qui montre à des semaines compare le singe Chimpanzé a au départ le même morphopsychologie que la tête humaine et dans la gestation du fétus, il y a une évolution vers un crame fuyant et une avancer maxillaire de la mâchoire qui vont se différeencé avec un fètus humaimain qui comparativement serait étudier sur la même échelle de dévelopement .

      Sans vouloir vous encourages à lire ce livre au fils des pages, il fournie la preuve de l’erreur scientifique infondé, de pensée que c’est l’homme qui descend du singe !

      C’est une étude vigoureuse pointue en tous points incontestables du point de vue scientifique de l’observation , qui à chaque questions et hypothèses met la preuves de sont obcervations, comme dit la postface de l’édition du livre, il n’est as dans la démarche d’exposé une théorie, il est dans la démarche à sollicité des questionnements !

      Ce livre est d’un haut niveau scientifique, et par sa rigueur et son objectivité de son point de vue, il détermine rien , il démontre que l’on a peut être conclus d’une manière ative à une réponse qui ne tiens pas la route devant une observation scientifique rigoureuse !


    • soi même 5 octobre 2014 18:33

      Avant de déblatérer sur l’auteur, lit le livre et à près tu pourrais toujours argumenté contre en connaissance de cause !

      Et comme c’est visiblement pas votre cas, et que vous n’avez même pas un argument valable à proposer, si ce met l’éternel croyance que la science évolutionniste à répondue à toutes les questions et qu’il n’est pas licite de l’écorné sur un sujet où il est évident que la réponse est sur ce sujet ce qui a de plus hypothétique.

      Même Yves Coppens remet en causse sa thèse sur Lucy .

      Lucy retourne chez les singes - 16/05/1999 - LaDépêche.fr
      Donc si Yves Coopens se remet en causse , pourquoi pas vous ?

       smiley


  •  C BARRATIER C BARRATIER 3 octobre 2014 22:45

    La planète Terre et ce qu’on y découvre est de première importance pour les terriens et les êtres humains qui raisonnent entre eux ont absolument besoin d’une origine et d’une fin, ce qui n’a pas forcément du sens dans l’univers. Je pense que l’animal qui sait qu’il doit mourir se polarise sur une prétendue origine et une prétendue fin a tout.

    Pour ceux que cela intéresse voir en table des News du site chessy 2008 Retraites dans la République, l’article Sens de la vieSens de l’univers.

    Je vais me procurer le livre bien sur..

    • trevize trevize 5 octobre 2014 20:50

      C’est normal, la vérité éclate au grand jour, de nombreuses personnes sont en train de découvrir le pot aux roses à leur façon.


  • Xavier Tramon 18 octobre 2014 17:43

    Fondamentalement, il n’y a aucune évolution. C’est très facile à prouver.« La nature ne fait rien en vain » dit Aristote. 

    Cherchez un animal qui a des pattes en bas et en haut, une tête devant et une derrière, des ailes en haut et en bas à la place des pattes, un arbre avec les racines en haut et la cime en bas !
    Un animal sans foie, sans reins....
    La tête à droite et les pattes en haut...
    Une roche avec un foie...

    La situation des parties n’est pas en vain, tout est ordonné et rien n’est désordonné, au passé, présent et futur.

    Qu’il y ait évolution relativement aux circonstances, c’est d’accord, mais absolument, non.

    On est pas loin du créationnisme et plus loin de l’évolution de Darwin.

    Devant, derrière, haut et bas , gauche et droite sont les 6 dimensions du vivant mobile, le vivant immobile ou les plantes n’ont que le haut et le bas, ce sont les dimensions fondamentales de la vie et sont immuables.

    Trois couples de deux dimensions dont une est noble, devant, haut, c’est évident (pensez à la tête), et droite, c’est moins évident, selon Aristote, tous les mouvements partent de la droite par nature, s’ils partent de la gauche c’est par accident, il prend l’exemple de la lourde charge que l’on va mettre instinctivement sur l’épaule gauche pour laisser la droite plus libre de commander la marche. 
    Voir , Aristote, La marche des animaux. http://remacle.org/bloodwolf/philosophes/Aristote/marche.htm#MA

    On peut ajouter que du jour et de la nuit la partie noble est le jour, des saisons, printemps été, du ciel, le système solaire, peu importe qu’il soit dans un coin de l’univers.

    Quand le ballon de foot est dans un coin du terrain, qui ne regarde plus le match au motif qu’il n’est pas au centre ? Il est toujours la partie noble du match où qu’il soit ! C’est un centre mobile si on veut.

    Darwin dans une lettre à William Ogle du 22 Février 1882 écrit :

    Linné et Cuvier ont été mes deux divinités, mais ce sont de simples écoliers en comparaison du vieil Aristote.
    http://www.philolog.fr/aristote-la-main-et-lintelligence/

    Qui croire, le maître ou les écoliers ?


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