Commentaire de Céline Ertalif
sur Quand les bretons étaient étrangers en France
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
Mon pauvre Masuyer,
Je vais t’expliquer, parce que le français est parfois plus difficile à décrypter que le bas-breton. Du plus redoutable de leurs enfants, tout imbibé de morgue sectaire, les Bretons en leur sagesse tinrent le rejeton, du bout des bras en tournant le nez, au plus loin et en firent un nationaliste... français ! Et Linternaute en est fan.
Complément culturel : en breton, Pen c’est le bout l’extrémité. Finistère en breton, par exemple, se dit Pen ar bed, littéralement bout de la terre.