Commentaire de Kabyle d’Espagne
sur « L'Ennemi intime » : coup de coeur pour le dernier Florent-Emilio Siri
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Le film tombe malheureusement dans un ethnocentrisme filmique déjà bien connu des films américains sur le Vietnam : l’ennemi n’a pas de visage ; il est dépolitisé. On termine d’ailleurs par un relativisme démissionaire en guise de regard rétrospectif.
Je suis d’ailleurs tombé sur un blog qui en faisait état, un peu par hasard ... (http://anglesdevue.canalblog.com/archives/2007/10/07/6455520.html)
Ça vaut le coup d’en parler, en tout cas.
Kabyle d’Espagne