Commentaire de Proudhon
sur Ingrid Betancourt : et si on se plantait complètement ?


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Proudhon Proudhon 26 novembre 2007 18:51

Quel article de faux-cul. Que l’on critique HC Chavez, je veux bien, mais que l’on honore A Uribe, cette merde d’extrême-droite, alors là non.

Relations avec le commerce de drogues :

Un document officiel, classé « sans vérification finale », datant de 1991 rendu par la Defense Intelligence Agency (DIA) en page dix, le numéro 82 ; M. Uribe y est décrit comme collaborateur du cartel de Medellin, et ami intime de M. Escobar ; il aurait également aidé le cartel en ce qui concerne les lois sur l’extradition. Álvaro Uribe ne s’est jamais exprimé en défaveur de ces lois mais a fait reculer le vote de ladite loi après les élections nationales de 1990. La publication de ce document a entraîné une forte controverse et des explications du département d’État américain qui a réitéré l’information selon laquelle le document a été établi « sans vérification finale exigée ».

La parapolitique :

Lors des élections présidentielles de 2002, Alvaro Uribe aurait bénéficié de l’aide des paramilitaires qui ont intimidé la population afin de le faire élire. Depuis le début de l’année 2007, le scandale de la « parapolitique » éclabousse le président, le gouvernement, et une grande partie de la classe politique libérale et conservatrice. La ministre des Affaires étrangères, Mme Maria Consuelo Araújo, a été contrainte de démissioner en février, suite aux révélations accusant son père et son frère d’être en lien avec les paramilitaires. Le directeur de la police politique (DAS), Jorge Noguera, un fidèle d’Alvaro Uribe,a été arrêté pour les mêmes raisons. Plus de cinquante élus nationaux sont sous le coup d’enquêtes à cause de liens présumés avec les paramilitaires. En outre, des enquêtes ont permis de découvrir que les services de renseignement et l’armée dressaient des listes de personnalités politiques de gauche ou des milieux syndicaux et de défense des droits de l’homme, qui étaient transmises aux paramilitaires afin qu’ils les éliminent ou au moins fassent pression sur eux

Allié des États-Unis :

Dès son arrivée au pouvoir, il s’est associé avec les États-Unis dans leur guerre contre le terrorisme, et il a poursuivi le plan Colombie. Ce plan prévoit notamment l’aspersion par voie aérienne d’herbicide de type Roundup, pour détruire les champs de coca. Mais, dans les faits, il est également répandu sur des zones pétrolières, sur des forêts tropicales et sur des indigènes.

Politique de sécurité intérieure :

Il a proposé une quasi-amnistie des forces d’autodéfenses unies de Colombie (AUC, des paramilitaires d’extrême droite), et obtenu que plusieurs milliers (ou dizaines de milliers) des membres de ces milices déposent les armes, ce qui pose le problème de leur réinsertion.

Il n’a pas établi de dialogue avec les Forces armées révolutionnaires de Colombie (FARC, groupe d’extrême gauche), après l’échec de son prédécesseur. Les conditions préalables qu’il pose, et celles que posent les FARC avant de commencer des négociations sont pour le moment incompatibles.

Il a néanmoins réussi à faire reculer l’insécurité : près de 500 otages ont été libérés par des opérations de police en deux ans, et le nombre d’homicides est passé de 28 700 à 18 000 de 2002 à 2005.

Manifestation des indigènes :

Le 16 septembre 2004, 45 000 indigènes colombiens, se sont rassemblés pour manifester contre la politique d’Uribe. Ce dernier les condamne, car ils ne coopèrent pas avec le gouvernement. Ceux-ci se sentent pris entre les feux croisés des AUC, du FARC et de l’armée du gouvernement.

Rapports avec le Venezuela :

Des mouvements et des opérations militaires ont été essayés près de la partie nord de la frontière vénézuélienne en 2004. Quelques personnes accusées d’être des paramilitaires, dont on a découvert plus tard qu’elles avaient été forcées à agir contre leur volonté, ont été arrêtées au Venezuela, et accusées de monter un coup d’état par le gouvernement vénézuélien. Sur les 100 colombiens arrêtés, 27 ont été condamnés par la justice du Venezuela.

« On comprend après pourquoi la crapule n’aime pas H C Chavez »

Tout ça, c’est Wikipedia !

Ah oui, j’oubliais. Cet article, c’est de la merde !!!


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