Commentaire de Lisa SION
sur Quand la Chine dit « Non » : les jeux Olympiques (et « l'Occident ») à reculons...


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Lisa SION 2 Lisa SION 31 juillet 2008 16:26

 

"...Tout s’est passé comme si c’est le CIO qui voulait Pékin et non Pékin qui était candidate devant le CIO..." avez vous écrit, Daniel,
 

La Ching aurait pu dire NON au CIO qui la voulait comme aurait dit une vraie femme, mais la Ching n’est pas une femme, car quand la femme dit non, ça veut dire peut-être, si elle dit peut-être, ça veut dire oui, mais quand elle dit OUI...c’est un pute. Mais, Pékin n’est pas la Ching. Et c’est Pékin qui a dit oui.

Comme la femme vénale qui a le porte feuille et qui vous entraine sur son terrain, vous allez regretter de vous y être fourvoyé. Cette grosse mascarade macro publicitaire qui bafoue les valeurs humanistes de paix et d’unité des peuples pour doper des marionnettes et leur coller une étiquette à l’enseigne des gros pontes du commerce sportif mondial, celui-çi fanatisant des milliards d’adeptes, clients des accessoires du sportif commun et de la bière télévisée, a gagné encore un milliard de clients réguliers et le marché revient...à la Ching !
 

Le CIO est devenu une entreprise commerciale et la Ching est son plus gros client. Ce n’est pas les jeux qu’il faut boycotter, mais les produits ds plus grandes marques et importés de là-bas !
 


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