Commentaire de R.L.
sur Interprétation libérale de la crise des subprimes


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R.L. 2 octobre 2008 17:34

Gonflé l’auteur. L’attaque est la meilleur défense, d’accord. Mais la mauvaise foi...
Paulson était, il y a encore 2 ans, le dirigeant de Godlman Sachs. Il a gardé ses actions.
Une fois devenu ministre des finances de l’État (eh oui !), il profite de la crise pour sauver Goldman et couler son concurrent le plus direct : Lehman. Eh ouai, c’est un fait.
Qui a-t-il de commun avec Rumsfeld, Chesney et tous les autres salopards ?
Ils ont tous squatté l’État qui est devenu une coquille vide, obligé de "déléguer" des actions publiques aux sociétés privées de ces "libéraux d’état" (un grand nombre a conserver ses intérêts privées d’une façon ou d’une autre) : Halliburton, Carlyle... et toutes les boîtes qui travaillent en Irak et ailleurs (sans appels d’offres bien sûr...).

En France, tout le monde connaît le mot pantoufflage n’est-ce pas ?

Par exemple, quand la Gaymard (femme de l’éphémère ministre de l’économlie), profite de son passage à un poste stratégique dans l’État français pour devenir pdf de General Electric France, vous appelez ça comment ?
Je suis à votre disposition pour vous en donner une liste à vous bruler les yeux.

Et Alan Greenspan, l’ancien patron de la FED pendant près de 10 ans (I"L’économiste des économistes que tout le monde -libéral- l’appelait), il a travaillé pour qui ce disciple et ami de Ayn Rand et se déclarant républicain libertarien ?
Il était cul et chemise avec Milton Friedman, le père du monétarisme qui le considérait comme le meilleur gouverneur de la Fed.

Alors, ce sont des partisans d’un l’État démocratique ou des libéraux profiteurs qui profitent du système ?
Votre ficelle est un peu grosse !


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