Commentaire de Monolecte
sur Prends-en de la graine !
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Les pauvres ont surtout les moyens de cultiver des jardins bio : pas d’engrais, fertilisant, herbicides qui coûtent la peau du cul ! Il s’agit de remplacer la chimie par la connaissance.
Les pauvres ne sont pas ignares, comme on aimerait tant le faire croire, ce sont leurs savoirs qui ont été dévalorisés. Cultiver son jardin, c’est aussi échanger des savoirs, avec la famille, les voisins, voire des animateurs locaux (municipaux, en régie, mutualisés, là aussi, on peut innover !), c’est penser des pratiques et les appliquer, c’est chercher des variétés adaptées au terrain, au climat, aux gens (d’où l’intérêt incontournable de Kokopelli !)