Commentaire de ddacoudre
sur Silence politique sur la « socialisation » du capitalisme


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ddacoudre ddacoudre 15 janvier 2009 19:04

Jason


 

je pense qu’il serait très constructif de pouvoir discuter dans le détail avec toi. un jour je me plaignais à une connaissance des méfaits de la société, comme il était neuropsychiatre il m’a répondu la société je ne connais pas la seule chose que je rencontre ce sont des individus qui ont plus ou moins des difficulté existentielle en dehors de tous traumatismes neurologiques.

il n’y a pas de solution finale à notre existence, même la mort n’en est pas une elle met seulement fin a une configuration passagère. Tu as raison en ce qui concerne l’impact de l’entreprise sur nous le dernier exemple en est la tentative de ce gouvernement de laisser penser qu’une nation se gouverne comme une entreprise, s’en faire le parallèle avec ce que cette démarche comporte de totalitaire, car l’entreprise est un lieu ou les individus sont soumis à l’arbitraire de leurs dirigeants, et par cette déclaration le gouvernement se place en position de potentiel dictateur. Et si tu te montres attentif aux mesures que prend ce gouvernement, tout en se montrant proche des préoccupations du peuple, on peut observer qu’elles sont des mesures qui renforcent le totalitarisme du gouvernement puisque calqué sur l’efficacité de l’entreprise, ce qui m’a fait dire que nous aurons le privilège de développer la première « démocratie totalitaire ».

 

ensuite la nature nous montre qu’elle est économe de l’effort et choisi toujours la solution consommant le moins d’énergie, même si passagèrement ses transformations sont explosives, cela veut dire que nous privilégions toujours ce que nous appelons la fainéantise puisqu’elle est économe d’énergie, et que pour produire ce dont nous avons besoin nous devons nous faire violence et consommer beaucoup plus pour cela.

 

Ces structure productive s’appelle aujourd’hui l’entreprise et les individus s’y aliènent car elle satisfait en passant par l’effort et la contrainte tout ce qui biologiquement permet à chacun de se nourrir, s’abriter, se valoriser pour une seule fin qui est toujours la même procréer ou renouveler l’espèce.

Sauf qu’en fonction des transformations que nous apportons à la nature par l’utilisation de ce lieu de concentration humaine et d’efficacité productrice nous pouvons constater que les capacités de renouvellement des populations dans les seuls pays riches ne croissent que du fait de l’immigration, d’hommes et de femmes qui ne sont pas encore atteint par l’hédonisme que donne la prospérité « entreprenariale ».

Cette prospérité momentané n’en n’est pas forcément une, si le bien être ressenti individuellement, qu’au travers de la possession sans limite de la désidérabilité, conduit à la transformation ou la disparition de notre espèce et d’autres. S’il en est ainsi ce n’est pas de notre chef, car nous ne disposons pas du libre arbitre, même si individuellement nous pensons être les maitres de nos décisions. L’inverse nous rendrait la vie invivable, car nous existons par défaut de tout connaître, c’est ce qui rend la vie difficile ou agréable et nous fait agir.

 

Quel que part nous sommes, se que j’appelle des êtres perdus à la recherche perpétuelle « du père » dans un éternel recommencement toujours sous de nouveaux paradigmes.

J’ai pour comprendre cela j’ai deux source celle de l’étude de Calhoum :John B. Calhoun (11 Mai 1917-Septembre 7, 1995) était un écologiste américain et de la recherche psychologue pour ses études de la densité de population et de ses effets sur le comportement. Au cours de ses études, Calhoun a inventé le terme "comportement de puits » pour décrire des comportements aberrants à la densité de la population des situations surpeuplées et "beaux" pour décrire les individus passifs qui se sont retirés de toutes les interactions sociales. Son travail acquise une reconnaissance mondiale. Il a parlé à des conférences dans le monde, et son avis a été demandé par des groupes aussi divers que la NASA et le District de Columbia du Groupe d’étude sur la surpopulation dans les prisons locales. Calhoun du rat ont été utilisés comme base dans le développement de Edward T. Hall ’s 1966 proxémique theories.

Ensuite l’mage suivante que j’en donne, le monde est lisible mais caché pour notre compréhension. Nous devons pour le comprendre, le décrypter, réunir et assembler les pièces détachées de « la connaissance et du savoir » que nous découvrons.

Nous en prenons conscience au fur et à mesure en sélectionnant les pièces de ce puzzle qu’est la vie, même si la pièce théâtrale finale est jouée (la mort). Par analogie, notre monde ressemblerait à un puzzle en expansion où chaque pièce se renouvelle, se multiplie, varie de forme, de couleur, de place, et modèlerait une image sans cesse changeante. Un puzzle que nous n’avons aucune chance de lire dans son ensemble par notre seul regard, et même si nous nous situions dans une position hypothétique d’observateur, nous ne pourrions observer et comprendre que le passé, car le temps de décoder ce que nous observons, l’image que nous définissons n’existe plus. Si bien que l’étroitesse de notre regard ne nous permet d’exister que par défaut tout en étant partie intégrante du monde objectif. Monde objectif que nous devons percevoir par nos sens, et c’est cet apparent paradoxe qui a certainement donné naissance à la récurrente querelle des matérialistes et des spiritualistes.

 


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