Commentaire de Claude DP
sur La triste dérive du Clémenceau
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Vous avez raison de le souligner, la destruction des bateaux de plaisance en fin de vie est également un problème d’importance, d’autant qu’il s’agit de matières plastiques non dégradables. Il convient là, moins d’utiliser de la main d’oeuvre en abondance, puisqu’un bon broyeur ferait l’affaire, que de trouver des débouchés aux résidus et surtout de financer cette destruction. L ’automobile est à cet égard probablement un exemple à suivre, les constructeurs de véhicules neufs ayant été chargés de créer les filères de destruction et de recyclage.