Commentaire de Annie
sur Petite chronique de la précarité ordinaire


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Annie 28 mars 2009 19:05

Daniel R touche du doigt le problème. Ce ne sont pas aux associations de se substituer au rôle de l’état, et le fait qu’elles se multiplient en dit long sur son incurie. Compter sur les groupes de pression revient un peu au même, puisqu’ils ont le poids de la somme de leurs constituants. Les syndicats c’est vrai s’occupent davantage des travailleurs, mais il devrait rester comme dernier recours les députés, qui sont censés représenter leur électorat, et toutes ses composantes. C’est à ce niveau que se situe le vrai scandale.


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