Commentaire de Gazi BORAT
sur Le prestige des racailles
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
@ l’auteur
Nous restons encore dans l’instrumentalisation...
Les agressions existaient avant d’être diffusées sur internet au mépris de la loi.
Les images issues de systèmes installées dans les lieux publics ne sont pas destinées à être livrées en pâture pour servir un discours politique dont vous souhaitez faire la promotion. Elles sont à la disposition de la justice, et non du voyeurisme, même lorsque celui-ci se pare d’une vertueuse « dénonciation citoyenne ».
Je doute que vous appréciiez le fait que votre famille vous voient accoster une prostituée sur le périphérique ou que votre employeur vous voit vous promener alors que vous vous lui avez déclaré le matin même être malade.
C’est ainsi..
La victime qui subit vos foudres parce qu’elle ne rentre pas dans votre jeu malsain n’est « acteur » qu’à la suite d’un délit, celui de la législation régissant la diffusion de telles images.
Il n’a, ni demandé à être agressé, ni même à ce que les images de son agression ne serve à une propagande rance d’extrème droite destinée à faire monter ce « fameux sentiment » d’insécurité.
Au fait, quelles ont été les suites judiciaires de cette agression sur lesquelles votre article n’est guêre prolixe ?
gAZi bORAt