Commentaire de Marie Pierre
sur L'Education nationale prise entre deux feux (ou pourquoi rien ne change)
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Bien d’accord avec vous Zen.
On voit bien que ceux qui ont le plus de mal à s’orienter vers de nouveaux métiers sont ceux qui ont quitté le cursus scolaire trop tôt.
Dans les années 70, Renault et d’autres entreprises avaient créé des sortes « d’écoles ouvrières » où les salariés venaient en cours du soir dispensés par des enseignants de l’Education Nationale. Les « étudiants » étaient nombreux, assidus et pourtant, leurs conditions de travail étaient vraiment dures : la chaîne d’antan !