Commentaire de Monolecte
sur Je ne veux pas mourir aux côtés d'un lecteur du Figaro
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Il faudra un jour que je raconte ce réveillon passé dans la région toulousaine dans une soirée d’enfants de la bourgeoisie locale. En gros, je m’étais préparée à une longue et éprouvante séance de pince-fesses et je m’étais entraînée à bien me tenir en société.
Je n’ai plus jamais vu de ma vie pareille assemblée de gorets !
Peut-être était-ce là l’exception qui confirme la règle, mais il me semblait qu’aucun des membres de cette caste très fermée n’avait l’air étonné par le comportement de soudards qui était de règle dans cette assemblée.
Depuis, je regarde la notabilité d’un tout autre œil !