Commentaire de SANDRO
sur Hervé Prudon : les hommes s'en vont, leur stylo reste
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Salut Yohan
Pas d’inquiètude, Prudon ne fait pas dans le larmoyant, tu peux m’en croire. Sa vie est noire, mais il y a partout la lueur des mots et de leur jeu dérisoire et vital en méme temps.
Une chimio des mots et de smaux.
Tiens, une dernière de M’sieur Prudon, pour la route :
« Bref, tout cela ne tenait pas debout, mais est-ce que je tenais debout, moi ? ».