Commentaire de Georges Yang
sur Jack London : Humanisme écologique pour un nouveau monde
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Curieusement, je détestais London quand j’étais ado ! Je refusais de le lire pour ne pas avoir l’air d’être comme les autres qui aimaient les histoires de toutous dans la neige.
Arrivé adulte, j’ai enfin apprécié cet écrivain touche à tout, érudit par lui même , à la fois journaliste, analyste de la société de son temps. Et puis aimant la vie à en mourir. London n’était pas un tiède de salon. En dehors du penchant pour l’alcool qu’ils partagent, London est l’anti Hemingway (un vantard) et l’anti Scott Fitzgerald (un dandy dillétante)
Et puis un type capable de se saouler, de se bagarrer et de commettre des délits tout en s’intéressant à Nietszshe et Darwin, c’est autre chose que Knobelspiess