Commentaire de Gourmet
sur « Les médiocres » médias
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Je crois sincèrement au journalisme, au vrai au pur et au dur qui consiste à informer quelles qu’en soient les conséquences.
Ce journalisme là est proche de l’ascétisme et réclame une organisation ad hoc.
La meilleure organisation est probablement celle de la coopérative.
Mais à partir du moment où la finance rentre dans le capital par un biais ou un autre (publicité, participations, membre du conseil d’administration) c’est fichu.
La presse a cru être sauvée dans les années 70 et 80 lorsqu’elle a mis le pied dans la publicité. Grave erreur. La publicité fut son fossoyeur !
Et je ne parle pas de la reprise en main par quelques groupes financiers et industriels qui ont juré conserver la ligne éditoriale intacte !
Sans indépendance, pas de presse !
db