Commentaire de Paul Cosquer
sur Le slam : entre musique et poésie


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Paul Cosquer 7 novembre 2009 17:26

J’adorais ce comédien. La scène la plus impayable, c’est avec Pierre Richard et l’immense Bernard Blier (il y avait aussi les Charlots) dans une entreprise où le patron (Blier) pousse aux cadences infernales. MDR.


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