Commentaire de Monica
sur Plasticité du cerveau et résilience humaine


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Monica Monica 11 novembre 2009 11:15

Merci de votre lecture, jps.

Nous sommes ici effectivement aux confins de la science et de l’émotion.

- De la science, car ces tumeurs, qui évoluent lentement, permettent au cerveau de faire appel à de magnifiques capacité de plasticité et de connectivité.... au point que le chirurgien peut enlever des zones que l’on pensait indispensables. Cela met en cause beaucoup de schémas rigides et fixistes du cerveau.

- De l’émotion, car l’être opéré n’est pas un corps immobile et endormi, mais une personne éveillée qui participe très activement à son intervention.


Voir ce commentaire dans son contexte