Commentaire de Salsabil
sur Plasticité du cerveau et résilience humaine


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Salsabil 14 novembre 2009 21:49

Re-bonsoir Monica,

L’émotion me submerge ! C’est un récit, tout simple, (et oui ! encore !), qui fait mouche.

Je ne savais rien, rien du tout de ce type d’intervention. Whahh Ouh ! Que pourrait-on dire d’autre ? Je suis sur mon cul plus encore que d’habitude !

Je voudrais dire des milliers de choses et rien ne sort. Je ne sais comment votre empathie fonctionne pour exercer cet extraordinaire rôle que vous avez. En tous cas, vous êtes riche, de tout ce que contient votre expérience, ça c’est un truc sûr.

Une question : Lorsque les personnes opérées sont « emmurées » comme vous dites (Quelle angoisse !!), elles ne peuvent s’exprimer oralement si je comprends bien, qu’est-ce qui implique qu’elles ne puissent pas transcrire par écrit ce qu’elles ressentent. Je veux dire : Est-ce que c’est la fonction de « construction de la pensée et donc de la parole » qui est touchée ou est-ce seulement l’activation « moteur » du langage ? Et combien de temps peut durer ce blocage ?

Enfin, vous soulevez une question d’ordre métaphysique. Quelle est donc la part « extérieure » dans l’appréhension, le vécu et le futur d’une telle intervention. Quels sont les facteurs psychologiques, au-delà des connaissances scientifiques avérées jusqu’à présent, qui peuvent jouer, positivement ou négativement, dans ce type d’interventions ?

En tous cas, votre article est absolument passionnant au-delà de l’émotion naturelle qu’il implique.

Pour cela, mille mercis et j’espère vous lire encore.

Bien amicalement.


Voir ce commentaire dans son contexte