Bien sûr, le fait que cette réunion n’autorise ni prise de notes ni compte rendu alimentent toutes les rumeurs et suppositions hasardeuses.

En soi le principe du club privé n’est pas attaquable (au nom de quoi ?), et les dirigeants doivent bien faire avec les règles de leurs gouvernements, nations, etc...

Il est certain qu’une « idéologie » est distillée dans ces rencontres. Mais c’est bien plus un cocktail hétéroclite où surnagent les idées de Irving Fisher, Lord Keynes et Milton Friedman. Ce néo-socialisme est appelé par les alter-comprenants néo-libéralisme, mais bon, les mots....

Par contre, c’est très nettement l’apparition d’une aristocratie certes peut-être pas très démocratique, mais surtout anti- libérale. Aucun libéral digne de ce nom ne peut voir avec plaisir émerger ces embryons de gouvernements mondiaux.