Commentaire de Le péripate
sur Copenhague et les pauvres
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Quand les effets de ces politiques auront créé de nouveaux pauvres par millions, les niaiseux qui dénoncent aujourd’hui la « propagande » gémiront : c’est la faute au capitalisme.
Aussi sûr que un et un font deux.
Les pièces au dossier s’accumulent.