Eh ben, ça baratine sec !

Je prends un exemple au vol : ces singes qu’on a vaccinés.

Alors, reprenons vite :
1. La source d’information est très sérieuse : un humoriste qui ne fait que des plaisanteries (parfois d’un goût douteux).
2. Mode d’emploi pour transmettre l’information, puisque l’humoriste n’a pas donné les sources. Quel laboratoire ? quel ami ? quel vaccin ? pour quel virus ? quelle est la cause de la mort, les circonstances etc. ?
3. A priori, la transmission entre les espèces vivantes ne peut se faire qu’avec des mutations. A moins que ce soit des tests pour les vaccins sur les humains ?
4. Bref, information nulle, donc désinformation totale.

Ce qui est curieux, c’est que si je « crois » ce que les institutions médicales affirment, c’est parce qu’il y a des preuves scientifiques, et qu’il ne s’agit pas de croyance mais de faits, mais ce sont ceux qui reprochent cette référence aux travaux scientifiques qui vont être les plus crédules vis-à-vis d’une blague d’un humoriste censé juste faire rire l’automobiliste coincé dans un embouteillage pour aller travailler.

Etrange, étrange...

A propos de la décharge : ce n’est pas une décharge que le futur vacciné signe mais simplement une reconnaissance comme quoi il a lu la notice avec les réserves et précautions d’usage qu’on lui a fourni au préalable. Cette signature ne remettrait pas en cause la responsabilité pénale si par une erreur médicale ou manufacturière, le vaccin était un poison.

Ce sera tout pour ce midi, merci à Léon, Sylvain Reboul et à quelques autres capables de garder raison face à un sujet pourtant essentiel puisqu’il s’agit de la santé de chacun.

Cordialement à tous.