Commentaire de Yann Riché
sur Du journalisme citoyen traditionnel au journalisme d'investigation « open-source »
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Ce qui fait vivre la presse c’est son lectorat... par l’achat ou par le nombre (pour les pubs)
Quel interêt d’écrire pour ne pas être lu ?
Donc chaque « presse » a son secteur d’activité et une lectorat qu’il comporte 100 lecteurs ou 1 million.
L’investigation répond aussi à un lectorat particulier mais coute plus cher et se vend moins !