Commentaire de Eric
sur Lettre secrète de dénigrement, un acte administratif loyal ?


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Eric (---.---.184.65) 30 novembre 2006 13:42

> Certains contradicteurs mettent beaucoup de bonne volonté > pour justifier l’injustifiable, à savoir l’usage de la > lettre secrète de dénigrement comme un acte normal > d’administration

Personne n’a dit que c’était un acte normal ou justifiable. La question est simplement de savoir dans quel tribunal on jugera de cette faute.

Vous argumentez qu’il s’agit bien d’une faute, que cette lettre est anormale. Je suis d’accord avec vous mais là n’est pas la question pour l’instant.

Je suis d’accord avec vous qu’il y a faute, mais cette faute a-t’elle été faite en tant que principal d’un établissement pour la fonction, ou en tant que personne à titre privé.

Pour un principal, un dialogue avec des représentant des parents d’élèves à propos d’un professeur, je juge difficilement que c’est en tant que personne à titre privé. Le juge a visiblement pensé la même chose.

Après, devant la bonne juridiction, là vous aurez l’occasion de faire valoir le fond : que la lettre, son contenu et son utilisation étaient inacceptables et constituent une faute (ce sur quoi nous sommes d’accord).

Vous frappez à la mauvaise porte pour vous plaindre, et au lieu de vous rediriger vers la bonne porte vous êtes en train de râler parce que vous êtes convaincu d’avoir raison de vous plaindre. Allez au tribunal administratif, et là si effectivement le jugement sur le fond est mauvais, il sera temps de raler ici.


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