Commentaire de Fergus
sur E pericoloso sporgersi
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Merci pour ce beau voyage ferroviaire, Sandro.
Mes souvenirs en matière ferroviaire sont également nombreux.
A commencer par cette belle inconnue à qui, adolescent, je n’ai pas osé parler dans le Paris-Béziers et que je n’ai jamais revue, telle une passante de Georges Brassens.
Ou bien encore ces trains de mon enfance entre Paris et l’Auvergne, principalement caractérisés par la forte odeur de charcuterie qui montait des paniers à provisions et par les escarbilles que l’on prenait dans les yeux en se penchant à la portière : « E pericoloso sporgersi » avait en effet gravé la SNCF sous les vitres.
Mais aussi « Nicht Hinauslehnen » !