Commentaire de Georges Yang
sur Le crépuscule des slogans


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Georges Yang 9 février 2010 10:41

A Sandro
les pochoirs de Mistic dans les rues de Paris quel plaisir
Le mot qui tue, la phrase percutante, certes, mais pour cela il faut une base d’education et d’apprentissage suffisante pourt pouvoirr se lacher>
Penser un slogan, c’est comme le piano ou le violon, il faut connaitre le solfege et faire des gammes, sinon on tombe vite a plat ou dans le publicitaire
Je me souviens de ’Qui veut la fac veut les doyens
et cette pancarte contre le recteur Haby : ’Nous viendrons a bout d’Haby
C’etait une autre epoque
Mais comme le disait Holderlin avant de sombre dans la folie : Je suis philosophe parce que j’aime Sophie !


Voir ce commentaire dans son contexte