Commentaire de Internaute
sur Cachez ce sein...


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Internaute Internaute 13 février 2010 12:34

« De ces seins allait sortir du lait et l’idée même de cette sécrétion m’était vaguement écœurante. »

Le problème est que vous êtes beaucoup trop formattée par le féminisme et le politiquement correct ambiant. Déjà, faire cas de la vieille Badinter est significatif. Il n’y a rien à attendre d’une bonne femme dont le mari a participé à la loi Gayssot. Ce ne peut être qu’un carcan lourd à porter, qu’il soit féministe, humaniste, machiste ou ce que vous voulez. La liberté de l’individu n’existe pas pour ces gens là, autre que la leur d’exercer leur pouvoir et d’imposer aux autres une façon de se comporter.

L’égalité des femmes telle que vous la concevez est-elle nécessaire ? Pourquoi cette course à toujours vouloir faire ce que font les messieurs ? Je suis convaincu qu’une société moderne doit offrir l’égalité des droits mais pas le reste. Les individus sont différents, les hommes ne vivront jamais la maternité quelles que soient les lois les plus répressives qui soient votées et je ne vois pas pourquoi tout le monde devrait vivre pareil.

J’aime bien l’idée d’une société diversifiée où chacun trouve son bonheur dans son espace. Vouloir tout mélanger, tout égaliser, non seulement est irréalidable mais en plus ne provoque que des frustrations. C’est comme cette nouvelle lubie stupide de la parité homme-femme dans les conseils d’administration.

Pour en revenir à la phrase du début de ce commentaire, lourde de sens, il est vrai que la maternité est mal vue dans nos sociétés. Dans d’autres pays vous voyez une femme allaiter son enfant dans le métro sans que cela soit un archaïsme moyen-âgeux. Les bien-pensants et les féministes ont réussi qu’en France nourrir son enfant soit devenu quelque-chose de dégueulasse et c’est cela qu’il faut changer. Commençons par discrétier les féministes et les bien-pensants comme Batinder et la femme retrouvera sa liberté.


Voir ce commentaire dans son contexte