Commentaire de Voris
sur Régionales : la guerre des tranchées
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Aujourd’hui on fait parler la Grosse Bertha du clivage gauche-droite. Demain, on emploiera la même excuse mais inversée : « le président est au service de telle clientèle électorale donc c’est rhédibitoire et donc fusillons l’autre camp » A ce rythme, le « vivre ensemble » n’est pas pour demain et inutile de venir parler d’identité nationale, elle n’existe pas dans ces conditions.