Commentaire de jules simon
sur L'épouvantail de l'américanisation
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
« On commence, l’air de rien, par lancer des pierres sur les vitrines des Mcdonald’s. On termine par construire des camps de concentration. »
Bon Isaac plutot que d’ecrire des conneries pareilles fais moi un cocktail pour la 212.