Commentaire de gem
sur Darwinisme social et pauvreté, un paradoxe antisocial


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gem gem 21 décembre 2006 10:25

hum... pas facile, si c’était raté, de recommencer... je crains d’avoir voulu trop en dire.

S’il ne fallait retenir qu’une seule chose, c’est que pour juger si une politique réduit la pauvreté à moyen terme, il faut regarder ses effets en terme de dynamique familiale (pousse-elle a avoir peu ou beaucoup d’enfants ?), et seulement ça. On peut en déduire que

1) ne sont véritablement « sociale » que les politiques qui favorisent les familles courtes contre les familles nombreuses (scolarisation longue, travail des femmes, et mutualisation du risque vieillesse, par exemple). En revanche, certaines politiques qui peuvent apparaitre fortement « social » peuvent en fait être des machines à fabriquer des pauvres (par exemple une politique favorable aux « enfants pauvres »)

2) un contexte qui lie la reproduction au capital détenu est nécessaire pour lutter contre la pauvreté, alors que c’est le genre de contexte qu’on qualifie (à tort, donc) d’anti-social. D’où le mot « paradoxe » dans le titre.


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