Commentaire de Louise
sur Le syndrome du larbin
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Le syndrome du larbin, tel que l’auteur le décrit, parait essentiellement « économique ».
J’ai constaté qu’il s’agit surtout (pour le larbin) de se faire aimer du chef, qui peut être un « petit chef ». C’est un peu différent du lèche-botte, car celui-ci n’est pas sincère, alors que le larbin l’est.
Le larbin (comment dit-on au féminin ?...) s’attache à un(e) supérieur(e) hiérarchique, lui rend mille petits services, très gentiment. Il n’offrirait pas les mêmes à ses « égaux »...
Mais tous les supérieurs ne se prêtent pas à cette situation qui est abusive. Là aussi, il existe un type de personnes qui acceptent d’être mises sur un piédestal par UN larbin, et qui en tirent profit. J’ai souvent vu de ces « couples larbin-profiteur », ça fonctionne... Les serviteurs dévoués, ça existe ! et bénévoles...ou presque. En fait le larbin vit un peu la vie de l’autre qui a une personnalité plus forte.