Commentaire de L’enfoiré
sur « Concorde » : la discorde


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L'enfoiré L’enfoiré 7 juillet 2010 08:33

Bonjour Olivier,
 Je t’ai donné des références quant à ce que je pensais.
 Il n’y a pas que l’argent dans la vie.
 Il y a les projets motivants et qui font penser que l’homme est autre chose qu’un objet qui ne pense qu’à sa poche.
 Dire que la messe est dite est absolument défaitiste.
 Autant se tirer une balle dans la tête immédiatement.
 Tu n’es pas le seul évidemment. Pour souvent des raisons de sensationnalisme et de ne pas vouloir aller à contre courant. Sur Agoravox, sur Internet, pour beaucoup, cela devient souvent le leitmotive.
 Dans ce sentiment, je ne participerai jamais. Réfléchir puisque nous avons quelques neurones en plus que les précédents. Cela, oui.
 Investir dans l’avenir, c’est ma technique.
 Nous avons eu une phase ascendante dans nos carrières respectives.
 Tu peux chercher je suis souvent critique mais je n’ai jamais couper l’herbe sous le pied de ceux qui suivent.
 Il faut donner du souffle au jeunes et non du pessimisme à revendre.
 Il n’y a rien de plus dangereux que de vivre.
 Le risque zéro n’existe pas.
 Pour ce qui est de l’aviation, je comprends qu’il y ait des « ratés ».
 Ce qui me turlupine, c’est qu’on ne trouve pas la raison des crashs.
 Ce qui serait assassin, en effet, c’est de connaitre les problèmes et pour des raisons d’argent qu’ils n’aient pas été corrigés.
 Pour quoi « malsain » ?
 Parce que cela n’a rien à voir. Qu’il n’y a aucun lien dans cet amalgame.
 Si tu me lisais régulièrement, tu verrais que même si je dis « tout est dans tout », c’est qu’il y a une origine globale à nos petits problèmes rikikis, dans nos mesquineries, nos tares de vie chacun dans notre cocon, derrière nos petites frontières....
 La technologie n’est qu’un outil comme levier à notre savoir. Ce n’est pas un mal en soi.
 Il suffit encore une fois, savoir jusqu’où aller trop loin. On peut presque tout faire aujourd’hui, il faut comprendre pour quel bénéfices global.
 Nous sommes encore plus comptables après la rupture du numérique. Nous savons faire le ratio entre pertes et profits.
 Alors, il n’y a plus qu’à.
 smiley
 
 


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